L'ENFER SUR TERRE VA DU "GREAT RESET" AU "GREAT ISRAEL"...

Le "Great Reset", du Forum économique mondial (WEF), se présente comme une réponse à la crise climatique et aux inégalités sociales. Il se superpose à un autre projet tout aussi préoccupant qu’est celui du "Great Israël". Cependant, derrière les discours fallacieux de transition écologique et d'inclusivité promues par le WEF, se cache uniquement une manœuvre visant à renforcer l'hégémonie d'une élite mondiale autoproclamée et totalement déconnectée des réalités populaires. Mais ce projet ne se limite pas à une simple refonte économique, industrielle et sociale. Si l'on ajoute à cela un programme géopolitique meurtrier et suprémaciste (soutenu par des individus haineux et jaloux, venus d'Europe centrale jusqu'au Moyen-Orient et prêts à tout pour assouvir leur soif de sang et de domination, c'est à dire Israël et ses alliés talmudo-sionistes) qui exacerbe le nationalisme, le racisme et l'expansionnisme au détriment des droits humains fondamentaux, on comprend que ces deux initiatives, bien qu'apparemment distinctes, partagent une même logique de domination mondiale et surtout les mêmes marionnettistes en coulisse. À travers l’analyse qui suit, nous explorerons non seulement les mécanismes du "Great Reset", mais aussi la manière dont ce dernier se relie à un système mondial plus vaste, où pouvoir, ressources et contrôle sont concentrés entre les mains d'une toute petite caste dont la puissance vient de l’extorsion des fonds souverains et de la violence aussi systématique qu'injustifiée à l’encontre de leurs opposants.

Ce "Great Reset" des mondialistes, opération marketing géante orchestrée par Klaus Schwab et ses acolytes du WEF, est un pur chef-d'œuvre de manipulation mentale mené tambour battant par leurs médias de propagande. Censé incarner le renouveau de l’humanité, le 3ème millénaire étincelant de l’humanité, ne représente en réalité qu'une réinvention sinistre d’une vieille tactique de domination, de la part d’une caste malsaine ivre de pouvoir, camouflée sous des slogans à la gloire d'un avenir "durable" et "inclusif". On vous vend l’idée d’une transition écolo-technologique salvatrice, mais dans les faits, ce plan n’est qu’un moyen de renforcer l’ascendant de cette élite autoproclamée, héritière de fortunes familiales datant des siècles passés et dont la déconnexion avec la réalité quotidienne des peuples n’a jamais été aussi criante.

Sous les airs faussement bienveillants de "l’initiative verte" escrologique, se cache en fait une manœuvre cynique et surtout mensongère, visant à centraliser toujours plus de pouvoir, ruiner les économies comme les industries des pays, franchir un cap technologique de surveillance totalitaire et ancrer les rênes du monde dans les mains d'une poignée d’individus qui, en dépit de leurs discours fallacieux et pleins de bons sentiments, ne poursuivent qu'un seul but unique depuis la nuit des temps : maintenir leur contrôle sur les ressources, les institutions et, surtout, sur le destin de milliards de personnes. Schwab, ce personnage issu du nazisme, se drape dans les habits d'un visionnaire éclairé et incarne cette élite qui ne parle jamais de justice sociale ou d’égalité véritable, mais bien d'un capitalisme de prédation et de surveillance perfectionnées, où l'on impose aux masses des réformes inhumaines sous prétexte de sauver la planète. Planète qui n’a que faire d’eux. Pourtant, à l’ombre de ces discours environnementalistes alarmants, ce sont justement les mêmes multinationales, en lesquelles ces dirigeants psychopathes vouant leur vie aux profits placent leur confiance, qui continuent à polluer impunément, à exploiter sans vergogne les terres et les ressources naturelles des plus pauvres, tout en détruisant systématiquement les vies des humains autant que ce qu’ils accaparent en empilant des profits colossaux.

On vous dit que tout cela est pour un "avenir commun", mais la réalité est toute autre. Les puissants du "Great Reset" ne cherchent surtout pas à rétablir l'équité ou à réparer les injustices systémiques. Non, ils cherchent à imposer un modèle économique mondial où le contrôle total sur la production, les infrastructures et même les comportements individuels seraient concentrés exclusivement entre leurs mains. La véritable ambition nauséabonde derrière cette façade, c’est bien entendu la création d’une oligarchie mondiale, dirigeant une élite technocratique et dont les membres sont déjà largement déconnectés de la souffrance réelle des peuples qu'ils prétendent "sauver", alors qu’ils les méprisent quand ils ne les haïssent pas carrément. Ils se retrouvent enfermés dans des tours d'ivoire dorées, protégés par des milices surarmées, à élaborer des stratégies globales dans des salons feutrés, tout en restant totalement indifférents, voire orchestrant la misère grandissante qui touche les populations qu'ils prétendent vouloir "gérer".

Le plan de Schwab et des siens, loin de créer un monde meilleur pour tous, vise uniquement à accroître le fossé entre les nantis et ceux qu’ils considèrent comme des consommateurs passifs, des bouches inutiles à nourrir et contrôlables à souhait. Ils ne veulent pas un monde où les peuples sont libres, mais un monde où la soumission est un modèle accepté, où la liberté individuelle n’est qu’une illusion, façonnée et surveillée par des machines implacables. En alimentant l’idée d’une "transition" nécessaire, ils ne font que redéfinir les règles à leur avantage, tout en verrouillant un système qui les place au sommet, et les masses en bas, dans une posture de subordination éternelle.

Ces pseudo-réformes, qui sont censées offrir des solutions aux crises existentielles du monde, ne sont en réalité que des pièges savamment tendus. Les termes "soutenabilité" et "inclusivité" sont des slogans vides de sens, utilisés pour justifier des mesures de contrôle de plus en plus intrusives d’un capitalisme de surveillance généralisé, où chaque aspect de votre vie serait observé, régulé et optimisé pour maximiser les profits et privilèges de ceux qui vous dirigent. Le "Great Reset" n’est rien d’autre qu'une tentative brutale de faire passer cette dictature technocratique sous le masque d’un prétendu projet humaniste.

Puisqu’en fin de compte, cette élite, héritière des dynasties financières et politiques, s’arroge le droit de réorganiser le monde à sa convenance grâce au chantage et à la corruption. C’est exactement la méthode "Epstein", utilisées par le Mossad et la CIA, visant à se servir des vices de leurs membres - pédophilie, avarice, luxure et autres psychopathies diverses et variées - afin de leurs faire exécuter leurs basses besognes sous menace de divulguer leurs méfaits. Et pendant ce temps, Schwab et ses partenaires technocrates, ces architectes d’un "Great Reset" dont ils seraient les démiurges, s’empiffrent tranquillement sur notre dos, tout en verrouillant toujours plus de ressources dans ce cercle privé. Malheureusement, le monde qu’ils imaginent pour vous n’est pas un monde où l’Homme a sa place, mais un monde où l’Homme devient une simple pièce du puzzle qu’ils contrôlent.

C’est pour cela que le "Great Reset" des mondialistes, porté en grande pompe médiatique par Klaus Schwab, n'est rien d'autre qu'un déguisement réactualisé, basé sur la technologie cette fois-ci, de la même vieille tactique de domination aussi totalitaire et tyrannique que leurs prédécesseurs méphitiques dans l’Histoire du monde.

D'un côté, ils appellent à une "4ème révolution technologique verte" mensongère, schizophrénique et antinomique, pour justifier leur Hybris en nous imposant de force des changements radicaux dans nos vies qu’ils tentent de mettre sous contrôle numérique grâce à l’IA. Tout en affirmant que la technologie, l’intelligence artificielle et le contrôle numérique sont la clé de notre avenir, alors qu’il n’y a pas plus polluant et énergivore. Cependant, ce projet n’est rien de plus qu’un moyen habile de dissimuler l’essence même de ce programme avec une nouvelle forme de domination, où les grandes entreprises, dont ces élites sont en grande partie actionnaires, continuent de saccager la nature en toute impunité. Dans ce monde "vert", les masses sont appelées à accepter des sacrifices, tandis que ceux qui détiennent les clés du système continuent de profiter de leur statut et d’exploiter les ressources naturelles de la planète. Le monde se voit donc enfermé dans une cage numérique, surveillé en permanence, au service d’un modèle de contrôle technocratique qui ne fait qu’accélérer le processus de destruction, tant de l’environnement que de la liberté individuelle. Le tout, en laissant les grandes entreprises, dont ils sont les actionnaires principaux, saccager quotidiennement la nature qui nous fournit vie et abondance en toute impunité. Ce soi-disant progressisme qui se veut être une solution aux maux environnementaux que cette caste de dégénérés a elle-même créés.

De l'autre côté, on assiste au mensonge illusoire du "Great Israël" de la part des sionistes, aussi schizophréniques et tout aussi dégénérés que les dirigeants du WEF, où Netanyahou et ses alliés œuvrent à établir une théocratie arrogante, un État raciste où les Droits de l'Homme sont aussi flexibles que les intérêts géopolitiques qu'on leurs attribue.  Ils se présentent comme étant une forteresse de défense des valeurs "occidentales", tout en imposant des politiques de guerre et de répression. Certes, ce sont des européens centraux qui volent les terres des sémites, comme longtemps les ascendants de Schwab et de ses acolytes anglo-saxons, ont volés les ressources du monde durant des siècles. Mais derrière l’apparence de cette "protection", on trouve en réalité une théocratie aussi archaïque qu’arrogante, un État illégitime et artificiel, fondé sur une illusion et un mensonge répété jusqu’à l’endoctrinement, où les droits humains ne sont que des concepts malléables au gré de leurs intérêts géopolitiques et économiques aux antipodes de toute pensée divine. Ce régime de d’assassins et de psychopathes se nourrit de l’illusion d’un "peuple élu" et d’un nationalisme exacerbé, tout en écrasant les populations voisines en pratiquant une politique de colonisation violente, servant de base au sacrifice de sang dont leur hypothétique Dieu se repait.

Le "Great Reset" comme le "Great Israël" sont un miroir de la folie d’une caste d’humains dans sa forme la plus brutale. "Donnez du pouvoir à un idiot, vous en ferez un tyran" disait déjà Platon, mais comme le disait Alfieri : "De la peur de tous naît, sous la tyrannie, la lâcheté du plus grand nombre". Voilà pourquoi on observe de nos jours, une quête irrationnelle de domination fondée sur des croyances religieuses mensongères et des idéologies racistes, où la paix et la justice sont sacrifiées sur l’autel de la sécurité et de l’expansion territoriale. Loin de vouloir apporter une solution à la souffrance de la région, cet État voyou créé et financé par Rothschild, soutenu par une poignée d'acteurs internationaux bien connu, incarne un système aussi ignoble que mortifère et une extension de la logique de domination qui ne cesse de se nourrir de conflits et de divisions.

Deux faces mensongères de la même médaille suprémaciste et abjecte où l'une propose un soi-disant avenir meilleur et l'autre plaide pour la "protection" d'une nation illégitime et raciste, en permanence sur le pied de guerre pour tenter de faire vivre leur idéologie totalitaire. Ces deux faces du même masque, l'une "verte" et "technologique", l'autre "religieuse" et "nationaliste", sont les expressions d’une même idéologie psychopathique, où le but ultime n’est que de concentrer le pouvoir entre leurs mains et d’écraser toute opposition. Que ce soit sous la forme d'un contrôle numérique déguisé en révolution écologique ou sous celle d’une théocratie expansionniste fondée sur des principes exclusifs, ces projets ne cherchent qu’à imposer une hiérarchie mondiale où ceux qui détiennent le pouvoir continueront de faire la loi, au détriment des peuples et de la planète.

L’un comme l’autre est guidé par la même idéologie suprémaciste, l'idée qu'un petit groupe d'individus élus de naissance, ou par les connexions mondaines, détient la clé de la gouvernance globale. Leurs véritables objectifs sont d'assurer leur hégémonie, de concentrer les richesses, les ressources et les technologies dans leurs mains, tout en maintenant le reste du monde sous contrôle, réduit à une masse docile, désinformée et dépendante. La manière la plus efficace de parvenir à cela ? Maintenir une population dans une cage mentale, où tout questionnement est perçu comme une menace, et où l'esprit libre devient un fossile du passé.

Les promesses d’un avenir "meilleur" sont des mirages, destinés à dissimuler une réalité bien plus sombre d’une société mondialisée sous le joug d’une minorité obsédée par la domination et l’exploitation. L’illusion de progrès dans un monde "sauvage" et "libéré" n’est qu’un prétexte pour maintenir la division, la guerre, et la destruction, tout en assujettissant les masses à des systèmes de contrôle toujours plus oppressifs. Ce sont les deux faces de cette même médaille satanique qui, dans leur logique de domination, détruisent non seulement notre environnement, mais aussi nos libertés, nos droits et notre humanité même.

Et ne nous méprenons pas car ces marionnettistes ne se cachent même plus derrière des stratégies sophistiquées. Ils n'ont plus besoin de jouer les invisibles, puisque leur propagande est si omniprésente que la simple critique devient un acte de rébellion. Les médias qu'ils contrôlent, avec leur batterie de célébrités et "experts" en carton, vous diront ce que vous devez penser, ce que vous devez craindre, et surtout, ce que vous devez accepter comme vérité absolue. De Schwab à Netanyahou, en passant par leurs acolytes et complices dans les arènes économiques et politiques mondiales, tous partagent le même but : créer une hiérarchie mondiale où leur pouvoir est incontestable et inéluctable, et où les peuples se contentent de leurs miettes. Ces pantins du mal, de part et d'autre, n'agissent que selon le bon vouloir de ceux qui tirent les ficelles en coulisse comme les banquiers apatrides et avides.

Et lorsque leurs plans échouent, ces idéologues de la destruction et de la mort, n'hésitent jamais à recourir à la guerre comme ultime solution pour rétablir leur hiérarchie et effacer les traces de leurs échecs. La guerre, dans leur esprit, devient un instrument stratégique pour redéfinir les frontières, écraser la résistance et imposer leur vision du monde par la force. Depuis des siècles, chaque tentative de ces élites pour imposer un modèle global de domination, qu’il soit politique, économique ou idéologique, a rencontré l'opposition de ceux qui refusent d'être réduits à de simples pièces de leur machine. Alors, plutôt que de remettre en question leur système, ces "dirigeants" choisissent de sacrifier des vies humaines, plongeant le monde dans des conflits sanglants qui ne servent qu’à éliminer ceux qui s’opposent à leur projet, et créer toujours plus de dette.

La guerre devient ainsi un moyen de nettoyer le terrain des résistants, qu'ils soient des peuples entiers, des révoltes populaires ou des individus qui, par leur indépendance d'esprit, se dressent contre ce qui ressemble à une tyrannie mondiale. Chaque guerre qu'ils déclenchent est un bras de fer contre l'indépendance des nations et l'intégrité des peuples, un moyen de briser les esprits libres et de maintenir leur vision dévastatrice intacte, tout en dissimulant leur propre incapacité à imposer leurs idées autrement que par la violence.

Depuis toujours, la folie de ces hommes avides et amoraux, alimentée par des désirs insatiables de pouvoir, de richesse et de domination, s'exprime à travers un système économique et politique qui détruit progressivement mais surement la planète. L’humanité avachie dans le confort matériel, dans sa quête de progrès technologique et de contrôle sur la nature, a créé un monde où l'exploitation sans fin des ressources naturelles est devenue la norme. L’industrialisation effrénée, la surconsommation et la pollution ont été considérées comme des gages de succès, mais elles ont plongé la Terre dans un état de déclin irréversible. Chaque action humaine, pensée comme une avancée, a été une étape supplémentaire dans la dévastation de notre environnement. La quête de croissance à tout prix a conduit à l'épuisement des ressources, à la dégradation des écosystèmes et à un dérèglement climatique dont les conséquences ne font qu'empirer, menaçant l'existence même des générations futures. C’est l’orgueil humain, aveugle à ses propres limites, qui mène le monde à sa perte.

Cependant, leur psychopathologie avérée ne se limite pas à un simple désir de conquête ou d'expansion matérielle. Elle réside aussi dans l'incapacité à comprendre les conséquences profondes de cette quête insatiable. Alors que les peuples épuisés par leurs manigances sonnent l'alarme, les dirigeants politiques et les grands capitaines d'industrie continuent à jouer la carte de l'illusion et de la dénégation. En dépit des évidences, la société est prise dans un tourbillon d'intérêts personnels et de croyances idéologiques qui refusent d’affronter la réalité de leur destruction logique. Le "progrès" devient une religion et les discours lénifiants sur un avenir vert et durable ne sont qu'un écran de fumée pour cacher la perpétuation du modèle économique qui nous a conduit à la crise. Cette folie collective est alimentée par un système qui privilégie la croissance exponentielle, le consumérisme, et la domination, au détriment de toute conscience d’élévation de l’humanité. Car il est toujours plus simple d'ignorer les avertissements que de remettre en question les fondements mêmes de notre société. Le pire, c'est qu'il y a une multitude de personnes qui, aveuglées par leur confort immédiat et leur idéologie capitaliste, nient la nécessité de ce changement.

En fin de compte, la folie de ces hommes, à la fois source et conséquence de notre destruction, repose sur une incapacité mentale à reconnaître l'interdépendance de notre existence avec la nature environnante et le respect d’autrui. Les erreurs du passé se multiplient et se perpétuent, car chaque génération de ces castes dégénérées, que sont les mondialistes ou les sionistes, semble vouloir ne faire face stupidement qu'aux problèmes qu'elle engendre et orchestre, avec toujours les mêmes armes comme solution. Leurs armes ce sont, la compétition, la domination, le chantage, la corruption, la violence et surtout l'aveuglement de leurs doctrines.

Pourtant, il est possible d’entrevoir une sortie de ce cycle infernal, mais pour cela, il est nécessaire que l’humanité accepte de remettre en question sa propre manière de vivre. Qu’elle ose grandir et se battre contre ce petit noyau dur d’abrutis décadents. Et plutôt que de chercher à dominer la nature ou autrui, il faut apprendre à éduquer nos enfants, à respecter notre environnement et à en comprendre les rythmes et les limites. Cela exige un profond changement de paradigme, une volonté de renoncer à la croissance illimitée et à la consommation effrénée, et de s'engager dans une véritable transformation des mentalités et des structures économiques. Si la folie de ces hommes a conduit le monde moderne à sa ruine, alors seule une prise de conscience collective et une réorientation de nos priorités pourront, espérons le, inverser la trajectoire suicidaire que nous avons tracée pour nous-mêmes en laissant agir impunément ces psychopathes et schizophrènes aux idéaux archaïques.

Mais ce changement n’arrivera que lorsque l’humanité prendra enfin conscience qu’il faut savoir purger le corps corrompu par la vermine, comme il se doit, sans regrets ni mensonges sur Israël ou de pseudos dominants (les deux étant héritiers et porteurs du Mal), et surtout préserver l’équilibre avec la Terre nourricière, sans continuer à la martyriser.  Et ceci, n'est plus une simple option, mais bien une condition sine qua non pour notre survie.

Phil BROQ.

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