LES JUNKIES DU POUVOIR
L'explosion de la vente et de la consommation de drogues en France, et notamment celle de la cocaïne, s'accélère à un rythme vertigineux. Une chute libre qui semble être orchestrée à l’échelle politique, économique, et criminelle, afin d’asservir un peuple tout entier au profit des mafias et des puissants qui tirent les ficelles dans l'ombre. Le fléau des drogues n'est pas un accident, il fait partie d'un système bien huilé, celui de la corruption organisée à travers des réseaux complexes reliant la haute sphère économique et la criminalité internationale. Cette réalité est d'autant plus évidente lorsqu'on examine l’évolution de la consommation depuis l'arrivée de Macron au pouvoir, un président dont le propre rapport avec la drogue semble à la fois flou et suspect.
La France, autrefois centre de la culture et des idéaux humanistes, est devenue aujourd'hui un terrain fertile pour le trafic et la consommation de cocaïne. En 2021, le gouvernement de Macron a pris la décision d'inclure certaines activités illégales, telles que la vente de drogues et la prostitution, dans le calcul du produit intérieur brut (PIB) de la France. Ainsi, en incluant ces activités normalement illégales dans le calcul du PIB, Macron et son gouvernement révèlent que ces secteurs, bien que totalement criminels, sont en réalité gérés et intégrés aux calculs économiques par les plus hautes sphères du pouvoir, montrant de fait une forme de reconnaissance implicite de leur existence et de leur impact sur l’économie nationale.
En dix ans de règne macronien, la situation a complétement basculé et la consommation de cocaïne a doublé. Selon l’Observatoire Français des Drogues et des Tendances addictives (OFDT), près de 1,1 million de Français ont expérimenté la "C" en 2023, un nombre hallucinant qui n’est pas une simple statistique mais un symptôme d’une société malade. Et ce ne sont pas les milieux marginaux ou les exclus de la société qui en sont responsables : la cocaïne est désormais une drogue des "actifs", des "travailleurs", des cadres qui cherchent à maintenir un rythme effréné au prix de leur santé. Si l'on écoute les témoignages de ceux qui en consomment, comme Kévin, un serveur dans un restaurant branché de Metz, la cocaïne est devenue une norme dans les espaces de travail : "Ça me permettait d’enchaîner les services sans forcément me reposer entre le midi et le soir. Et puis, tout le monde en prend."
Cette banalisation de la drogue est le résultat d'une politique systémique qui permet à la cocaïne d’envahir chaque coin de la société, que ce soit dans les milieux festifs ou les bureaux. La France, selon les experts, est devenue un véritable "hub" européen pour la cocaïne, une porte d’entrée pour les "narcos" qui, face à un marché américain saturé, se tournent de plus en plus vers l’Europe pour écouler leur marchandise. La cocaïne qui était autrefois un produit de luxe réservé aux soirées mondaines a progressivement été démocratisée, sa consommation est devenue presque aussi courante que celle du café. Mais derrière cette évolution se cache un système de corruption gigantesque.
Mais le trafic de cocaïne en France n’est pas un phénomène nouveau. Dans les années 1930, pendant les "années folles", la consommation de cocaïne était en grande partie réservée à une élite privilégiée, qui, malgré la grande crise économique, semblait vivre dans un luxe et une insouciance absolus, loin des souffrances des peuples affamés. Tandis que la pauvreté gagnait du terrain, cette classe dominante continuait de prospérer, s'enivrant de substances illicites et de fêtes sans fin. Le Foxtrot, danse emblématique de l'époque, devenait ainsi le symbole de cette décadence, où l'exubérance et l'extravagance cachaient une réalité d'inégalités profondes et de déconnexion totale avec les masses laborieuses.
Il remonte ensuite à l’époque de la "French Connection" des années 1970, lorsque des organisations criminelles de Marseille assuraient le transit de la drogue en provenance d’Amérique Latine vers les États-Unis. Après la chute de cette organisation, la France est restée une zone de passage, mais ce rôle a évolué avec l’arrivée de nouveaux cartels. Dans les années 1980, les cartels colombiens ont commencé à s’intéresser au marché européen, et la France est devenue l’un des points de chute de la cocaïne à destination des consommateurs européens. Le pays est devenu un maillon essentiel de la chaîne, ce qui a conduit à une explosion de la consommation à partir des années 1990. Mais derrière cette expansion du trafic de cocaïne se cache un phénomène encore plus dérangeant : la collusion des pouvoirs publics avec les cartels et l'implication directe des élites économiques dans ce système.
Tout recommence en 2008, avec la crise financière mondiale. Les banques, incapables de survivre sans une intervention de l'État, sont sauvées par l'argent sale, l'argent de la drogue. Les États-Unis, et plus particulièrement la Banque Fédérale, ont alors injecté des milliards dans un système financier exsangue, mais ce sont les cartels qui ont été les vrais bénéficiaires de ce renflouement. Cette fusion entre l'économie légale et le marché illicite a permis aux cartels de renforcer leurs positions, d'influencer les politiques économiques et de manipuler les marchés financiers. La crise de 2008 a agi comme un catalyseur, permettant à la cocaïne de se répandre partout, de toucher de plus en plus de personnes et de se banaliser dans les milieux les plus insoupçonnés.
Les banques, sauvées en 2008 grâce à des milliards d'euros provenant en grande partie des barons de la drogue, ont donc vu leurs dettes colmatées avec l'argent issu de ces activités illicites, qui circulent en toute discrétion à travers les circuits financiers, et leur a évitée les nationalisations. L'invasion actuelle du fléau de la drogue n'est donc que le retour sur investissement, et les rétrocommissions de cette gabegie - où les profits colossaux générés par le trafic sont non seulement tolérés, mais aussi intégrés dans le système économique - alimentent à la fois l'économie souterraine et le système bancaire mondial.
Aujourd’hui, la cocaïne est partout en France, de la banlieue aux quartiers chics, et elle touche toutes les couches sociales. Dans le même temps, une couverture médiatique sensationnaliste et alarmiste a été mise en place, évoquant de manière récurrente une "inéluctable légalisation". Une manière de préparer le terrain pour un futur marché légal où l’État, qui a toujours été complice du trafic, pourra encore plus en profiter. Ce discours d’une légalisation imminente cache en réalité une volonté de rendre la cocaïne plus accessible pour mieux en exploiter la consommation, pour alimenter encore davantage un système économique basé sur l’addiction, l’exploitation et la déchéance. Ce même système dont la figure emblématique est, aujourd’hui, Emmanuel Macron, un président qui semble lui-même être le produit de cette collusion.
La responsabilité de l’État, et particulièrement de Macron, dans cette crise n’est pas anodine. Depuis son élection, la situation n’a cessé d’empirer. La banalisation de la cocaïne, sa démocratisation dans les milieux professionnels et l’impunité des trafiquants témoignent d’un manque de volonté politique pour stopper ce fléau. Macron, à travers son absence de politique de répression et de prévention réelle, ne fait qu’entretenir ce système de drogue qui ruine la santé des citoyens, déstabilise l’économie et détruit les fondements de la société. En vérité, la crise de la cocaïne est la conséquence directe de l’indifférence criminelle de ceux qui gouvernent, des puissants dont les intérêts économiques sont protégés, même si cela signifie détruire la santé publique.
Dès 1890, la cocaïne n'était pas seulement perçue comme une drogue mais comme une substance utilisée dans les laboratoires pharmaceutiques européens. En France, comme dans d'autres pays, la cocaïne faisait partie des produits médicaux pour traiter divers maux, des douleurs musculaires aux maladies respiratoires. C'était à la fois une substance thérapeutique et un produit destiné à des usages plus répréhensibles. La production de cocaïne était déjà en partie intégrée à l'industrie pharmaceutique allemande et néerlandaise, créant ainsi un pont direct entre la production légale et la consommation illégale.
À partir de là, une sinistre connexion s'est formée, mêlant narcotrafic et pharmaceutique, avec des détournements de substances destinées à la production de médicaments. Le premier grand réseau d’approvisionnement en cocaïne en France, la fameuse "Java Coca", a été alimenté par des filières clandestines, en particulier depuis l'Indonésie et le Pérou. Ces circuits ont rapidement pris de l'ampleur, et la France est devenue une porte d'entrée stratégique pour la cocaïne en Europe.
Dans les années 1970, la France se transforme en un hub mondial pour le trafic de cocaïne. La "French Connection", cette organisation criminelle marseillaise, commence à prendre de l'ampleur, en partie en raison des relations entre les trafiquants et les cartels sud-américains, notamment en Colombie. La cocaïne en transit vers les États-Unis, le marché de consommation le plus lucratif à l’époque, passe par Paris, Marseille et d’autres villes françaises. Les routes commerciales sont établies, et des sociétés-écrans sont créées pour faciliter le passage de la drogue.
À l’époque, l’essor de la consommation de cocaïne en France se confond avec une décennie d’excès, où l'usage des drogues devient progressivement banalisé. Cela ne fait qu’alimenter les profits des grandes organisations criminelles, renforçant les relations internationales entre les narcotrafiquants et les hommes d’affaires peu scrupuleux. Les autorités françaises, tout en menant des opérations policières contre la criminalité organisée, ferment souvent les yeux sur la puissance du système en place.
À partir des années 1980, la France devient non seulement une zone de transit mais également une zone de consommation massive. Les cartels colombiens, principalement ceux de Medellín et Cali, ont vu l'Europe comme un marché alternatif à l’Amérique du Nord, saturée. L'acheminement de la cocaïne par avion, par bateau et par voie terrestre ne s’arrête jamais. À chaque génération de cartels, les méthodes se sophistiquaient, et les volumes de cocaïne ont continué à inonder le marché européen.
Les cartels n'étaient pas seuls dans cette entreprise : les réseaux locaux, soutenus par des acteurs français, se sont multipliés. Des noms comme Pablo Escobar ou les frères Ochoa sont désormais associés à l’histoire de la drogue en France. Le trafic de cocaïne se trouve désormais lié à un réseau bien plus large qui comprend non seulement des criminels mais aussi des fonctionnaires, des policiers, et des personnalités du monde des affaires.
Bien que la French Connection ait été démantelée dans les années 1970 et 1980, les réseaux ne disparaissent jamais vraiment. Les cartels mexicains, les groupes colombiens décentralisés et d'autres acteurs de la drogue ont rapidement pris la relève. Et la France reste un carrefour stratégique dans le trafic international de cocaïne. Les mules, les laboratoires clandestins et les organisations mafieuses continuent d’alimenter un marché de plus en plus juteux.
Avec l’avènement des années 2000, la France a vu la cocaïne devenir un produit de consommation courante dans certains milieux sociaux. L’accessibilité de la drogue, couplée à la récession économique et à l’effritement du tissu social, fait de la cocaïne un moyen facile d’évasion pour ceux qui sont pris dans la tourmente. En parallèle, l’augmentation du prix de la drogue ne fait qu’attirer de nouveaux consommateurs, prêts à tout pour s’adonner à leurs addictions.
Avec l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir en 2017, la situation du trafic de cocaïne n'a fait que se renforcer. La France reste l'un des principaux points de passage de la cocaïne en Europe. Les politiques gouvernementales, en particulier celles de la guerre contre les drogues, n'ont fait qu'accentuer le paradoxe de la situation : les autorités enfoncent les consommateurs et les petits dealers dans des sanctions sévères, mais la route de la drogue n’a jamais été aussi libre.
Pire encore, Macron et ses ministres continuent de cultiver ce climat de dépendance, en apparence luttant contre le trafic de drogue tout en collaborant avec des forces économiques et politiques dont l’objectif est de faire durer le marché mondial de la drogue. Big Pharma est l’un des acteurs clés dans cette mascarade. Tandis que la société est assiégée par la dépendance et la dégradation, les grandes entreprises pharmaceutiques - souvent complices dans ce système - continuent à prospérer.
L’échec évident de la politique de sécurité publique et de santé en matière de drogue est une réussite pour ceux qui exploitent le système. Macron, dans son rôle de président, continue de manipuler la perception publique en prônant la sécurité tout en fermant les yeux sur les liens de plus en plus évidents entre les cartels de drogue, l’argent sale, et les élites politiques qui en profitent. Les drogues deviennent ainsi un outil stratégique pour les dirigeants qui, au lieu de résoudre le problème, préfèrent en profiter pour maintenir leur pouvoir et leur richesse.
La France, à travers l’Ukraine, se positionne aujourd'hui comme un centre névralgique du déclin moral et politique mondial. Des millions de vies sont affectées, que ce soit par la dépendance, la dégradation sociale ou les profits des grandes entreprises qui exploitent la souffrance humaine pour se maintenir au sommet. La dépravation n'est plus une conséquence, elle est le but !
Le problème est que nos dirigeants - de Macron aux autres - sont complices et surtout clients de ce système qui promeut la drogue pour tous, dont la cocaïne. Au lieu de chercher à en finir avec les cartels et Big Pharma, ils ont choisi de les nourrir et de protéger leurs intérêts. C’est une guerre, mais une guerre contre notre propre peuple, une guerre que l’on nous fait payer au prix fort, sous couvert de santé, de bien-être et de modernité. La France ne fait pas que passer la cocaïne, elle la cultive politiquement, et ce, depuis des décennies. La question n’est pas de savoir quand ce cercle vicieux prendra fin, mais de comprendre que ceux qui devraient nous protéger profitent, eux aussi, du chaos qu’ils créent.
Le trafic de cocaïne en France n'est pas une simple question de drogue, c'est un problème systémique, un problème qui dépasse largement la sphère de la criminalité. Il touche à la corruption des élites, à l’impunité des puissants et à l’instrumentalisation de la santé publique pour faire prospérer des intérêts privés. La démocratisation de la cocaïne, la complicité du pouvoir, la passivité des institutions et la passivité des médias contribuent à faire de la France un terrain de jeu pour les narcotrafiquants et un laboratoire pour la transformation de la société en une masse de consommateurs esclaves de leur addiction. Le pire, c’est que tout cela est planifié, orchestré, et que les responsables en tirent profit.
La France est malade, et la gangrène vient de haut. Cette classe politique, prétendant incarner l'ordre, la morale et l'exemplarité, est une coquille vide, une farce bien huilée. Les scandales se multiplient, les failles se creusent, et au lieu de servir l'intérêt public, nos "élites" se vautrent dans un bouillonnement de corruption et de débauche. La question de la drogue, loin d’être anecdotique, n’est que le symptôme d'un mal plus profond, celui d'une classe politique droguée par le pouvoir et l'argent, complice d'un système qui broie la société.
Les politiciens d'aujourd'hui se prennent pour des démiurges, mais ce sont en réalité des pantins, manipulés et corrompus par les mêmes réseaux qui les utilisent, les financent, les entretiennent. Qui plus est, ils sont eux-mêmes les premiers à s'enivrer des mêmes substances qu'ils prétendent combattre. Pas de honte à consommer sous les dorures de l’Assemblée, pas de scrupules à défendre des intérêts privés, quand la consommation de drogue devient un rituel d’appartenance à une caste dont le seul moteur est le profit personnel et l’impunité.
Un scandale a éclaté autour de Laurent Birgogne, directeur du Think-Tank libéral Institut Montaigne, lorsqu’il a été révélé qu’il avait drogué à son insu sa collaboratrice, Sophie Conrad. Birgogne, figure influente et proche de nombreuses personnalités politiques, dont le Président de la République Emmanuel Macron, n'est pas un inconnu des milieux politiques. Mais c'est son addiction à la cocaïne qui a pris le devant de la scène. On apprend que l’essayiste assumait publiquement sa dépendance, expliquant que "la coke me redonne de l'énergie, j'ai l'impression que je vais pouvoir répondre aux questions que l'on me pose". Une confession qui laisse perplexe, car pour Birgogne, la drogue était devenue un remède pour supporter le stress et la charge de travail. Mais l'affaire prend un tournant inquiétant : selon l’enquête, c'est cette même addiction qui l’aurait poussé à saupoudrer des cristaux de MDMA dans le verre de sa collaboratrice lors d'un dîner d'affaire en tête-à-tête, un geste qui, au-delà de l'irresponsabilité, soulève de sérieuses questions sur les mœurs et les dérives dans les cercles du pouvoir.
On voit souvent Macron se frotter le nez du revers de la main. Puis, sur un autre cliché, ses yeux mi-clos semblent trahir une fatigue ou une autre forme de dysfonctionnement. Ces images sont extraites d'une vidéo où Macron, reçu à la Maison-Blanche, est épousseté par un Donald Trump qui semble le préparer pour un grand événement. Mais certains ne s'arrêtent pas là : des rumeurs circulent. François Asselineau, toujours à l’affût de ce qui secoue la scène politique, évoque la rumeur persistante selon laquelle "M. Macron consommerait des psychotropes ou des drogues, et notamment de la cocaïne". D'autres s'engouffrent dans la brèche, comme cette élue versaillaise, ancienne candidate Reconquête aux législatives, qui s’interroge publiquement sur l’état du Président lorsqu’il prend des décisions cruciales pour la Nation, suggérant à demi-mots que ces décisions pourraient être influencées par la consommation de substances illicites. La poudre de perlimpinpin semble être bien plus qu’une simple métaphore pour certains observateurs. D’autant que ces "soirées orgiaques" sont souvent citées dans les rumeurs qui entourent la vie privée du Président, alimentant encore davantage cette atmosphère de doute et de suspicion.
Andy Kerbrat "a été interpellé en flagrant délit alors qu’il achetait de la 3-MMC" à proximité d'une station parisienne de métro (18e arrondissement), rapporte Valeurs Actuelles. Le député LFI a coopéré avec les forces de l'ordre et n'a pas été placé en garde à vue. Sur les réseaux sociaux, l'élu de 34 ans a commenté cette information et fait son mea-culpa. Pour rappel, selon l'Observatoire Français des Drogues et des Tendances addictives (OFDT), la 3-MMC est "une molécule synthétique dérivée des cathinones (à l'effet) stimulant". "Elle se présente principalement sous forme de poudre dont les propriétés sont similaires aux amphétamines". Louis Sarkozy, fils de l'ancien Président de la République, a également soutenu la légalisation des drogues, expliquant que si une personne prend de la drogue seule chez elle, elle ne fait de mal à personne. Le député de La France Insoumise, Éric Coquerel, a souligné que la politique n'est pas hermétique aux drogues, reflétant la société dans son ensemble. Plus récemment, une enquête de France Info a révélé que certains députés et collaborateurs consomment des produits stupéfiants. Ou encore l’ex-député, Joachim Son-Forget, a été interpellé au cœur de Paris, dans le 7e arrondissement, alors qu’il conduisait une puissante berline. Celui-ci a refusé d’obtempérer alors qu’il était sous l’emprise de cocaïne.
Ces figures politiques, censées incarner la rigueur, se rendent pourtant coupables d’une hypocrisie déconcertante. Et que dire de cette connivence silencieuse entre ceux qui détournent le regard et ceux qui facilitent le système en toute connaissance de cause ? Ils sont les architectes d’une société où l’addiction et la corruption sont des moyens d’accéder à une forme de pouvoir, une manière d’assouvir un besoin irrationnel de contrôle. Loin d’être isolés, ces comportements infectent l’ensemble des institutions, créant un réseau impénétrable où la loi, déjà faible, perd tout sens.
Le plus scandaleux reste la façon dont ces vices se transforment en armes politiques. Quand les narcotrafiquants sont en roue libre, les puissants ne sont pas loin, ils les laissent agir, les encouragent même. Le trafic de drogue devient ainsi une monnaie d’échange, une manne qui finance les campagnes, qui enrobe de confort ceux qui nous dirigent, tout en noyant la société dans un tourbillon de dépendance et de violence. Ce n’est plus une question de lutte contre la drogue, c'est une question de lutte pour l'indépendance des masses. Mais ici, la France est un terrain de jeux, un laboratoire où l’hypocrisie et la cupidité sont des pratiques légales.
La vérité crue est que "le poisson pourrit par la tête." Tant que ceux qui nous gouvernent, ceux qui sont censés nous protéger, seront eux-mêmes accros à leur propre pouvoir, à leur propre vice, rien ne changera. La corruption ne fait que se solidifier, se régénérer, sous les formes les plus sournoises. La police, loin de s’attaquer aux réseaux de trafiquants, semble laisser les dealers opérer en toute impunité, que ce soit dans les quartiers populaires ou même à proximité des zones de pouvoir comme l’Élysée. Pendant ce temps, elle se concentre sur le racket des citoyens honnêtes et des automobilistes, multipliant les contraventions et contrôles abusifs. Parallèlement, les opposants au gouvernement sont réprimés avec une violence inouïe, digne des régimes autoritaires Staliniens, où la liberté d’expression est étouffée sous le poids d’une répression implacable.
Oui, la drogue circule parmi eux, comme l'alcool, les prostituées ou les mensonges. Les faux combats sont menés dans les couloirs des institutions, pendant que le vrai fléau de la malhonnêteté et de la corruption prospèrent. Les scandales ne sont plus qu'un bruit de fond, une légende urbaine qui agite la société, sans jamais changer son essence. Et pendant ce temps, les citoyens, eux, étouffent dans la poussière laissée par ces débris politiques, pendant que ces derniers s'enfoncent dans leurs addictions, à l'abri des regards.
Car à l’Assemblée, comme dans toute la classe politique, présidence en tête, la corruption par l’addiction de sexe ou de drogues sont les véritables moteurs de cette tragédie nationale qui voit notre pays sombrer. Et que dire du peuple, toujours trahi, toujours sacrifié sur l’autel de cette classe dirigeante désormais hallucinée et accro autant au pouvoir qu'aux psychotropes ?
Phil BROQ.
Tout est dit ! Notre société est totalement accroc et la cocaïne fait partie des nombreuses autres addictions néfastes de notre mode de vie. Il n'y a qu'un effondrement total pour changer la donne et de paradigme. Rien d'autre ne pourra y parvenir.........
RépondreSupprimerLes peuples, tout comme les dirigeants, sont responsables de cette folie. Les drogues, comme la cocaïne, ne sont qu'une échappatoire à la réalité, un moyen d'éviter l’effort et les défis de la vie. Changer nécessite un engagement collectif, pas juste un effondrement.
SupprimerLa nouvelle société decadente qui rapporte et tue .
RépondreSupprimerCette société décadente profite à certains, mais tue l'essence même de l'humain. Chacun de nous, par ses choix et son indifférence, contribue à cette dérive.
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