DU RENONCEMENT A L'EFFONDREMENT...
La France, autrefois symbole de liberté, d'égalité et de fraternité, se trouve aujourd'hui à un tournant décisif. Ce n’est pas seulement l’effritement de ses institutions ni l’effondrement de ses structures sociales et politiques qui constituent la véritable crise, mais bien le renoncement profond et insidieux de son peuple à défendre ce qui a fait sa grandeur, ses racines, son histoire, sa culture et sa foi. Ce déni de l’identité collective et de l’héritage historique a plongé la nation dans un abîme de renoncements, où l’individualisme et la quête du confort matériel ont remplacé les idéaux de solidarité, de sacrifice et d’unité. Pourtant, loin d’être une fatalité, ce tableau sombre est un appel à l’action. La France doit se réveiller, renouer avec son passé et réinventer son avenir, en redonnant au peuple son rôle de guides éclairés, en réorientant l’éducation vers la transmission de ses valeurs fondamentales et en cultivant un sens profond de la solidarité. Le chemin vers la reconstruction est semé d’embûches, mais il est encore possible, à condition de faire face à la réalité et de se relever avec fierté et détermination.
Le véritable effondrement de la France ne réside pas seulement dans la corruption de ses institutions ni dans l'effritement de ses structures politiques ou sociales. Non, le mal profond, celui qui ronge le cœur même de cette nation, trouve son origine dans un renoncement bien plus vaste et désastreux. C'est dans celui de son peuple ayant depuis bien longtemps refusé son rôle à défendre sa culture, ses racines, son histoire et sa religion. La France, jadis bastion mondial et puissant de la liberté, de l'égalité et de la fraternité, s'est laissée engloutir par un océan de déni, une incapacité collective à revendiquer ce qui a fait la grandeur de ce pays, ce qui a nourri ses rêves et fait briller ses étoiles. Ce pays, autrefois fier de sa civilisation, s'est laissé glisser dans la morosité du renoncement, dans l’oubli de ce qui, pourtant, faisait de chaque matin un chant de liberté et de fierté que la planète entière nous enviait.
Bien avant que les élites déconnectées et corrompues ne souillent les institutions, avant que la justice ne se transforme en parodie et que les forces de l’ordre ne deviennent une milice oppressante plutôt qu’un bouclier, la France a pourri de l’intérieur. Ce n’est pas la politique mondialiste qui a précipité son déclin, mais l’érosion lente et implacable, du sentiment d’appartenance à un tout, à une histoire collective. Les Français, au fil des décennies remplies de confort illusoire et d'allocations aliénantes, ont abandonné leur héritage, leur culture et leur identité. Une lâcheté subtile, insidieuse, s'est emparée de ce peuple jadis vibrant d’idées et de passions. Là où il y avait un enthousiasme palpable pour la défense des valeurs traditionnelles, il ne reste plus qu’un souffle incertain, murmurant dans les ruines de ce qui aurait dû être un cri d’espoir.
Les grands monuments qui autrefois symbolisaient la grandeur et le génie de la France sont désormais des témoins muets d'une époque révolue, et ses citoyens, pour la plupart, n’ont même plus la force de se souvenir de leur splendeur. Le désintéressement à ces valeurs essentielles ne s’est pas fait en un jour, mais à travers une succession de compromis, de petites trahisons quotidiennes, de petites lâchetés qui, à force de s’accumuler, ont créé ce gouffre béant entre ce que la France était et ce qu’elle est devenue. C’est dans l'indifférence la plus crasse à l'égard de son histoire, dans la complicité silencieuse d'un peuple ayant abdiqué face à l’effacement de ses racines, que la véritable tragédie se noue au quotidien.
Ce renoncement, ce déni d’une identité collective forte, ne peut être expliqué par la seule dégradation politique ou sociale. Les élites, certes, ont contribué à la dislocation de la France, mais elles ne font que jouer sur le terrain d’un peuple qui, lui aussi, a cessé d’y croire, d’être fier de sa culture et de ses valeurs, de ses idéaux. Les idées progressistes, comme ce gauchisme de bon aloi, au lieu de libérer les esprits, ont agi comme un poison lent, rendant le peuple malade de ses propres contradictions. Les discours sur l’égalité, la tolérance et la modernité ont étouffé jusqu'à l’âme de la nation, la privant de sa substance vitale. De ce nihilisme collectif a émergé un vide qu’aucune réforme, aucun changement institutionnel ne pourra plus jamais combler.
La France n’est pas seulement une question d’institutions ou de gouvernance ; elle est une question de cœur, de conviction, de foi en une vision collective. Quand le peuple se détourne de cette vision de liberté et de panache, quand il se laisse guider par le confort de la modernité au détriment de la grandeur de son passé, il ne fait pas qu’involuer. Il se damne. Il se condamne à l’oubli. Il s'offre à l’indifférence de sa disparition.
Le véritable effondrement de la France, c’est ce moment où son peuple a cessé de se battre pour ce qui faisait la vie, la beauté et la joie d’y vivre. C’est ce moment où, dans un accès de résignation, il a choisi de renoncer à tout ce qui le reliait à sa gloire, préférant l’oubli tranquille à la lutte noble. Avant même que les infrastructures ne s'effondrent, la France était déjà morte dans l’esprit de ceux qui avaient cessé de croire en elle. Et c’est dans ce vide, dans cet abandon à défendre ce qui la rendait unique, que réside la véritable tragédie de notre époque.
La capitulation à l'identité française s'exprime par des exemples multiples, parfois insidieux, parfois flagrants, mais toujours dévastateurs. Prenons, par exemple, l’école, institution autrefois sanctuaire du savoir et forge des générations futures. Elle a, aujourd’hui, cédé aux sirènes du relativisme culturel et de la pensée unique. Il ne s’agit plus de transmettre une culture, un patrimoine, des savoirs séculaires, mais d’intégrer un système mondialiste où tout se vaut, où l’histoire de France est traitée comme une série d’actions dénuées de sens, où les héros de notre passé sont réduits à des figures ambigües, voire coupables de tous les maux de notre époque. Combien d’enseignants aujourd’hui, par paresse ou par idéologie, choisissent de faire le silence sur les grands principes qui ont forgé notre pays, qu’ils soient républicains, monarchiques ou religieux ? Combien d’élèves grandissent sans jamais avoir une véritable conscience de l’importance des bases de la religion, des Révolutions, des Guerres mondiales, des luttes pour la liberté ou de la grandeur de notre patrimoine culturel ?
Ce déni ne s’arrête pas à l’école. Regardons les médias, qui ne font plus écho qu'à une version déformée et propagandiste de l’histoire et de la réalité française. L'obsession de "l'inclusivité", du politiquement correct, pousse à la réécriture des événements et à l'effacement des personnages historiques jugés "trop" français, "trop" traditionnels, ou "trop" patriotes. De Gaulle, qui a incarné la résistance et la grandeur nationale, est désormais un personnage ambigu, presque anachronique dans un monde où tout doit être nié ou relativisé. L’héritage de la Révolution française est sacrifié sur l’autel de l’égalitarisme mal compris, de la quête d’une uniformité qui efface toute spécificité nationale. On pourrait croire à une volonté consciente de délégitimer l’histoire de France, de dissoudre le lien entre le peuple et ses gloires passées, comme si, dans ce déni, l’on espérait voir émerger une société nouvelle, vierge de tout poids culturel.
Les symboles mêmes de la nation ont été relégués au second plan, voire ridiculisés. Le drapeau tricolore, l’hymne national, la fête nationale, sont devenus des éléments suspectés de communautarisme ou de nationalisme excessif. Passible même d'amende s'il est brandit en ville. Combien de fois avons-nous vu des voix s’élever pour remettre en cause la légitimité même de ces symboles qui ont accompagné les luttes pour la liberté et l’égalité ? Ceux qui les défendent sont souvent stigmatisés comme rétrogrades, fermés, voire réactionnaires, tant le nationalisme est devenu odieux aux yeux des mondialistes dégénéré. Là où ces symboles étaient des marqueurs d’unité et de fierté, ils sont désormais des vestiges à remettre en question, des symboles à déconstruire, des velléités à punir.
Mais cette abdication va encore plus loin, car elle se manifeste aussi dans le refus de défendre l’héritage religieux qui fait partie intégrante de l’identité française. La France, ce pays qui fut historiquement le carrefour des grandes dynamiques religieuses, a abandonné sa foi chrétienne au profit d’un athéisme stérile, d’un laïcisme qui, sous couvert de liberté, est devenu une dictature silencieuse de l’indifférence spirituelle. La laïcité est devenue le nouveau dogme, elle qui devait garantir la liberté de croire, est devenue un prétexte pour exiger la suppression de toute expression chrétiennes dans l’espace public envahit de menorah et de djellabas. Le christianisme, moteur de l’histoire de la France, est aujourd’hui mis au banc des accusés, comme si cette part essentielle de l’identité nationale était à effacer pour "s’adapter" à un monde communautariste soi-disant plus tolérant, mais qui, en réalité, déstabilise toute forme de cohésion culturelle.
Les événements sociaux et politiques des dernières décennies ne font qu’accentuer ce désaveu de l’identité nationale. Les émeutes des quartiers remplis d'êtres aussi inadaptés que décérébrés, la montée de l’islamisme radical, l’essor du communautarisme sioniste, l'invasion migratoire déferlante sont autant de symptômes d’un pays qui, ayant renoncé à ses principes et à ses racines, ne sait plus comment répondre à l’hétérogénéité croissante de ses populations incontrôlables. Plutôt que de forger une identité inclusive, capable d’intégrer les différences tout en restant fidèle à ses valeurs fondamentales, la France semble avoir choisi l’option la plus facile de l’effacement. Et dans cette absence de volonté de défendre ses principes, la nation se fragmente, se divise, et devient un terrain fertile pour tous les extrémismes.
La société de consommation et l’individualisme effréné ont fait le reste. La quête du confort matériel, la recherche de la sécurité avant tout, ont profondément modifié les aspirations du peuple français. L’idéologie du "vivre-ensemble" a dévoré la volonté de vivre pour quelque chose, vivre pour créer un espace plus grand, plus noble. Ce ne sont plus les idéaux républicains ou les grands principes de solidarité qui galvanisent le peuple abrutis, désormais incapable de penser ou de réagir, mais la satisfaction personnelle immédiate, la jouissance de l’instant, l'avidité du matérialisme. Cette France, jadis porteuse d’une culture intellectuelle, artistique et philosophique prestigieuse, est devenue un terrain vague où les valeurs de la vie sociale ont été remplacées par la consommation effrénée, par l’indifférence à ce qui fait l’essence d’une nation. On ne parle plus de la grandeur d’être Français, mais de l’intérêt de vivre sans trop de tracas au crochet d'un état rapace.
Le véritable effondrement de la France est en grande partie la conséquence d’une trahison inouïe de ses élites corrompues, mais cette trahison n’est que le reflet d’un phénomène bien plus vaste et insidieux allant de pair avec l’avachissement des générations successives. Ces dernières, détournées de leur devoir de transmission et de sacrifice, se sont repliées sur elles-mêmes, privilégiant un confort égoïste au détriment de l’avenir collectif et de la grandeur commune. Ce renoncement à la noblesse de l’engagement a créé un fossé abyssal entre ceux qui gouvernent et ceux qui sont gouvernés, et, par ricochet, entre la France d’hier et celle d’aujourd’hui.
Les élites françaises, ces figures autrefois porteuses des idéaux de l'humanité libre et souveraine, ont abandonné leur mission de direction éclairée. Ces derniers, détachés de tout ancrage culturel, historique et moral, se sont précipités dans les bras d’un mondialisme déshumanisant, où tout se dilue, où l’héritage français ne représente plus rien, où l’indépendance et la grandeur nationales sont perçues comme des reliquats d’un passé honni. Pour ces élites cosmopolites et déconnectées, l’important n’est plus de nourrir le bien commun, mais d’acquérir une reconnaissance internationale, d’adhérer à des idéologies globales souvent étrangères aux réalités de leur propre peuple. En d'autres termes, elles ont troqué l'avenir de la nation contre un mirage de gloire personnelle et une place à la table des puissants. Loin de servir la France, elles l’ont sacrifiée sur l’autel de la démagogie et de l'opportunisme.
Mais cette trahison des élites est également favorisée par un phénomène plus subtil avec la disparition de la nature humaine, provoquée par l’avachissement des cerveaux et des idéaux des nouvelles générations. Celles-ci, plutôt que de s'inspirer des sacrifices de leurs ancêtres, ont choisi de se tourner vers un présent figé, où la recherche du confort personnel et la satisfaction des désirs immédiats sont devenues les seuls moteurs d’action. Là où autrefois, des générations se sont battues corps et âmes pour préserver la liberté, la justice et l’honneur, aujourd’hui, les jeunes générations semblent davantage préoccupées par la quête de leur propre tranquillité, de leur propre épanouissement personnel, sans aucune réflexion pour perpétrer l’héritage et le futur de la nation. L’individualisme rampant a ainsi étouffé toute vision collective et solidaire.
Dans ce climat de consumérisme généralisé, la noblesse des idéaux s'est diluée à jamais. La quête de la beauté et de la grandeur se sont retrouvée écrasées par l’obsession du bien-être immédiat, au prix d'une réflexion profonde sur ce qui pourrait être légué aux générations futures. Ce n’est pas tant un rejet de la responsabilité qu’une abdication totale de l’héritage qu’il fallait préserver, une fuite dans l'indifférence totale face à ce qui fait l’âme et la magnificence d’une nation. La charité d’autrui, cette vertu chrétienne cardinale qui nourrissait la solidarité et l’entraide entre les citoyens, a été remplacée par un égoïsme insidieux, où l’individu est devenu le seul maître de son destin, sans se soucier de l'avenir commun. Ce n’est plus l’esprit d’unité et de dévouement pour autrui qui guide les pas des générations actuelles, mais un désir morbide et constant de confort, de reconnaissance et de gratification personnelle, quitte à faire disparaître ce qui est commun, ce qui nous lie.
Ainsi, la France, en se tournant vers ses propres préoccupations, a perdu cette capacité essentielle à se projeter dans un avenir noble, où l’ambition collective se nourrit de sacrifices et de vision. En se concentrant uniquement sur le présent, elle a cessé de se nourrir des aspirations d’un futur digne, solidaire et éclairé. L’avachissement des générations successives, tournées vers le mirage d’un confort personnel, a permis à cette caste d'élites déconnectées de se saisir du pouvoir pour détruire patiemment les fondements de cette nation.
Les jeunes générations, en dépit de leur potentiel naturel, se sont laissées séduire par des discours simplistes et des aspirations matérialistes, oubliant que toute grandeur passe par l’effort, la réflexion et la solidarité. L’ouverture au futur noble, cette quête d’un monde meilleur fondé sur les valeurs intemporelles de liberté, de fraternité et d’égalité, a été remplacée par une vision étriquée et autocentrée. L’individualisme triomphant a supplanté la charité d’autrui, et au lieu de bâtir un avenir commun, ces générations se sont repliées sur elles-mêmes, laissant les élites d’aujourd’hui imposer une vision dévoyée de ce que la France pourrait être.
Ainsi, dans cette spirale de renoncements et de lâchetés, la France se trouve condamnée à une existence sans profondeur ni sens. Sans avenir ! L'érosion de ses valeurs fondamentales est le fruit d'une double trahison allant de celle des élites, avides de pouvoir et déconnectées de la réalité du peuple, à celle d’un peuple qui, las et indifférent, a cessé de défendre ce qui faisait la seule beauté de sa nation, en se tournant uniquement vers lui-même. Le futur, loin d’être une promesse de grandeur, se transforme alors en un miroir où chacun ne voit que sa propre image, vide et désincarnée. Et dans ce vide, la France perd son âme.
C’est dans ce vacarme de déconstruction que la France se noie en ce début de XXIème siècle, perdant son âme à force de renoncer à ses racines, à son histoire, à son héritage culturel et religieux. Il n’y a plus d’élan collectif, plus de volonté de défendre ce qui a fait la beauté et la force de ce pays. Le peuple, épuisé par l’indifférence et le renoncement, par l'abdication et le sacrifice de son âme, se laisse emporter dans la spirale d’une mondialisation déshumanisante, d'une technostructure aussi avilissante qu'aliénante, tandis que ceux qui avaient la responsabilité de le guider, de le préserver, se contentent d’entretenir la déconstruction et de favoriser son déclin. La France ne s’effondre pas en une seule explosion grandiloquente, non !; elle se meurt doucement , dans l’indifférence feutrée des soirées télé, dans l’abandon de son identité et le déni de son manque de volonté !
Mais loin d’être une fin en soi, ce tableau tragique est avant tout un appel à l’action, une invitation à un réveil nécessaire et salvateur. Si la France veut retrouver sa grandeur, sa dignité et son âme, il est impératif de rompre avec cette spirale de déconstruction et de recréer un lien fort avec ses racines, son histoire et ses valeurs fondatrices.
La première étape vers ce réveil consiste à redonner le nom d'élites à des guides éclairés, méritant leur fonction et refusant la corruption. Il ne s’agit pas de les accuser à outrance, mais d'en finir avec les conflits d'intérêts, les détournements impunis et de les rappeler à leur mission originelle d'être des architectes de l’avenir et non des instruments soumis au chantage d’une mondialisation déshumanisante. Les dirigeants futurs doivent comprendre que leur pouvoir ne leur a été confié que dans un but noble de défendre l’intérêt commun, préserver les fondements culturels et spirituels de la nation, et transmettre un avenir digne aux générations à venir. La reconquête de cette vision collective est essentielle, et cela passe par un retour à une politique de dignité et de justice, où chaque décision prise est au service de l’intérêt général et non d’ambitions personnelles ou de compromis opportunistes.
Ensuite, le réveil de la nation passera par une éducation radicalement réorientée, redonnant aux jeunes générations le goût de l’histoire, de la culture et de la solidarité. L’école ne peut plus se contenter de former des individus soumis aux lois du marché et du confort personnel. Elle doit, au contraire, forger des citoyens conscients de leur héritage, capables de comprendre les luttes qui ont façonné la France et désireux de participer activement à sa reconstruction. Une éducation qui, loin d’effacer l’histoire, la célèbre, et qui enseigne l’effort, la noblesse de la charité et la responsabilité collective. La véritable liberté ne réside pas dans l’individualisme aveugle, mais dans la conscience partagée d’une mission commune, d’une histoire à honorer et d’une culture à préserver.
Enfin, il est impératif de redonner au peuple français une vision de l’avenir capable de dépasser le cynisme ambiant. La société française doit se réinventer en cultivant un sens profond de la solidarité et de la charité, où l’individu ne se définit pas uniquement par ses désirs personnels, mais par sa capacité à participer au bien-être collectif. Ce réveil implique aussi une remise en question de notre rapport au confort matériel : la quête incessante de la satisfaction immédiate doit céder la place à une recherche plus authentique du sens et de la grandeur. La France a toujours été une nation d’idées et de valeurs, et c’est en retrouvant ce sens de l’idéal qu’elle pourra se redresser.
Le chemin vers la reconstruction sera semé d’embûches, mais il est encore possible. La France n’est pas encore morte, elle attend seulement que son peuple se réveille, qu’il s’unisse à nouveau autour d’une vision partagée, qu’il se redresse avec fierté et détermination. Qu'il retrouve sa fougue et son panache. Mais il est temps de faire face à la réalité, de regarder en face les erreurs du passé et de saisir la chance qu’offre l’avenir. Il ne s’agit pas de restaurer un monde révolu, mais de ressusciter les principes de dignité, de solidarité et de grandeur qui ont fait de la France une nation unique et noble.
Le réveil est désormais aussi urgent que nécessaire, car sans lui, la France, telle que nous l’avons connue, risque de disparaître à jamais.
Phil BROQ.
Bien
RépondreSupprimerC'est plutôt succinct comme commentaire.
Supprimer