LES GROSSIERES MANIPULATIONS D'UNE CASTE AUX ABOIS !
Derrière la façade d’une Union Européenne censée promouvoir la solidarité, la paix et la prospérité, se cachent des intérêts personnels et sournois, des ambitions démesurées et des décisions dangereuses qui ne servent que les élites bancaires au détriment des peuples. Von der Leyen, Macron et Starmer incarnent parfaitement cette dérive totalitaire de leur caste de nantis et cette impunité abjecte, poussant à des conflits inutiles tout en creusant les fossés entre les individus et leurs gouvernements. Sacrifiés et propulsés au cœur de cette tragédie, jusqu’à quand les peuples resteront-ils spectateurs de cette comédie macabre, incapables de se lever et de réclamer justice face à des dirigeants qui les mènent à leur perte ?
Dans cette Union Européenne, qui n’est plus qu’une mascarade de démocratie et une façade d'unité entre gangsters en cols blancs, désormais quasi en ruine et où les conflits se multiplient à cause de dirigeants s’agitant dans leur tour d’ivoire, il est urgent de se demander ce qui motive vraiment la démence belliciste de ceux qui, bien à l'abri des conséquences de leurs actions, sans plus aucune arme ni finances, osent défier la Russie et envenimer les conflits mondiaux comme en Syrie. Trois noms surgissent au cœur de ce théâtre de l’absurde : Ursula von der Leyen, Emmanuel Macron et Keir Starmer. A eux trois, ils incarnent la corruption totale des élites européennes, l’arrogance des leaders contemporains, la perfidie des anglo-saxons et l’hystérie d’un système moribond cherchant la guerre pour couvrir ses trop nombreuses malversations. Leur plan, basé sur le détournement des richesses et l’imposition d’un agenda tyrannique, tout en ignorant les besoins des peuples ou les véritables enjeux géopolitiques mondiaux, est bien moins de faire la guerre que d'empêcher les peuples de les punir.
Pour débuter, Ursula von der Leyen, présidente d'une Commission européenne gangrénée par les lobbys, incarne cette technocratie démentielle et déconnectée des réalités, mais profondément ancrée dans un système de gestion financière dévoyant les économies de tous. N’ayant jamais été élue par les peuples européens, elle s’est pourtant imposée au poste de gestionnaire des finances de l’UE, un poste qui lui convient parfaitement vu son passé trouble. Ancienne ministre en Allemagne, où elle a été chassée du gouvernement pour corruption active et a toujours été mêlée à des scandales financiers, notamment ceux survenus pendant la gestion de la crise du Covid. Des achats massifs à Pfizer aux subventions abusives à son mari, elle est de toutes les malversations. Toujours sous enquête judiciaire pour ses pratiques douteuses, La Hyène, descendante de nazi, s’arroge pourtant des pouvoirs qu'elle n'a pas, se comportant comme la souveraine de l’Europe. Ses décisions unilatérales, comme son soutien à la guerre par procuration en Ukraine ou encore son projet de créer une armée européenne, illustrent son autoritarisme issu du IIIème Reich et déguisé en vision stratégique. L’UE, censée être un ensemble de nations souveraines promouvant la paix et l'unité, voit ses finances et ses décisions militaires dictées par cette technocrate hallucinée, dont les actions visent davantage à accumuler du pouvoir et des richesses personnelles qu’à défendre les intérêts des individus européens. En s’engageant dans des conflits extérieurs sans consultation et en imposant des dettes colossales aux États membres, elle franchit toutes les lignes rouges et démontre l’ampleur de son arrogance ainsi que de son impunité. Elle veut faire disparaitre les nations, effacer les frontières et sacrifier les individus.
Continuons avec le coké de l'Elysée. Depuis son ascension à l’Élysée, Macron a élevé la posture belliciste à un art, s’autoproclamant "chef de guerre", une fois encore après le faux front du Covid, dans une vision idéologique de l’Europe, tout en jouant à un jeu de plus en plus dangereux, où les conséquences de ses actes semblent l’importer peu, tant il est habitué à sa protection milicienne. Ses déclarations martiales à la limite du ridicule, prônant une guerre contre la Russie et un renforcement de la puissance militaire européenne, cachent surtout une tentative désespérée de préserver son pouvoir en France. Derrière cette façade militaire, il poursuit essentiellement une guerre de distraction pour masquer ses échecs et ses malversations, dans l’espoir d’échapper aux nombreuses révélations qui dévoilent quotidiennement son vrai visage de truand patenté par son parrain Rothschild. Parrain qui le remercie sûrement pour la faramineuse dette qu'il a créée et dont il empoche allégrement les intérêts. Macron semble d'ailleurs plus préoccupé par son image sur la scène mondiale que par la réalité des conflits qu’il exacerbe. Mais rassurez-vous, ni la France, ni l’Europe ne disposent, actuellement et pour un moment encore, des moyens financiers ou militaires pour mener une guerre contre la Russie. Seulement Macron, ivre de pouvoir et d'impunité, soutenu par cette oligarchie bancaire basée essentiellement à Londres, n’hésite pas une seule seconde à risquer la vie de ses citoyens, qu'il haït par dessus tout, pour servir des ambitions personnelles et médiatiques, plus que géopolitiques. Le manque de préparation et de vision face aux véritables dangers de la situation est criant de désespoir. Lui qui n’a même pas même été apte à servir dans l’armée, se drape désormais en stratège militaire de bac à sable, tout en sachant exactement qu'elles seraient les conséquences dramatiques de ses prises de position. Il veut la destruction de la France.
Keir Starmer, actuel Premier ministre britannique, arrivé lui aussi frauduleusement à ce poste, s’est directement imposé comme une figure détestée de son propre peuple. C'est un homme de pouvoir de l'ombre, aux mains très sales mais lui aussi extrêmement protégé par des liens de corruption comme par sa milice anglaise. Sa gestion autoritaire et ses scandales personnels ne cessent de ternir son image. Starmer a été très critiqué pour sa protection de réseaux douteux pratiquant le viol et le rapt, notamment ceux liés à des affaires de pédophilie et de harcèlement dans les forces de l’ordre, ainsi que son recours à l’enfermement de citoyens pour de simples opinions exprimées sur les réseaux sociaux. Mais ce n’est pas tout, car sa politique étrangère, adoubée par le Roi Charles III, ne fait que perpétuer systématiquement les erreurs de Boris Johnson, prolongeant un conflit en Ukraine qui n’a cessé de faire des victimes parmi les civils du Donbass. Le soutien de Starmer à l’Ukraine, alimenté par l’argent de la City de Londres et l’Union Européenne dont il ne fait plus partie, semble beaucoup plus intéressé par les bénéfices financiers et politiques de la guerre que par le bien-être de ses concitoyens. Ce soutien à une guerre meurtrière n’est rien d’autre qu’un calcul stratégique pour renforcer l’influence britannique, tout en sacrifiant des vies humaines pour des intérêts géopolitiques. Et il est aussi psychopathe qu'un Macron et suffisant qu'une Von der La hyène.
De plus, l’arrogance du pantin Macron, se proclamant "Chef de guerre", est une farce grotesque. Sa guerre, celle qu’il mène depuis plus de dix ans, est uniquement contre son propre peuple de France. Détournant les finances publiques, bradant les industries de pointe et réprimant brutalement toute opposition, il met le pays en danger et en désordre pour préserver son pouvoir et sa place dans le jeu mondial de cette mafia dirigée par Rothschild. Psychopathe avéré, il cherche avant tout à sauver sa peau face aux révélations qui risquent de dévoiler son rôle dans la manipulation de son élection et la nature de son mariage comme de son ascension. Il a échoué à tout ce qu’il a entrepris depuis sa jeunesse, mais son parrain Rothschild a su le propulser au delà des sommets pour servir ses propres intérêts, sans aucun égard pour les conséquences pour la France et ses citoyens. Obsédé par son image et sa place dans l’arène géopolitique, il se lance dans des déclarations belliqueuses sans avoir ni les moyens financiers ni militaires pour les soutenir, menaçant comme toujours la France d’une guerre qu’elle ne peut en aucun cas gagner.
Macron, le grand stratège de la guerre… ou plutôt le roi de la diversion. Derrière sa posture de chef de guerre, il se cache un pantin incapable de défendre ne serait-ce que la moindre ruelle de nos banlieues, là où les tirs à la kalachnikov résonnent bien plus fort que dans les tranchées de l’Est. Mais n’ayons crainte, il est prêt à faire la guerre, à condition que celle-ci soit loin de son palais doré et de ses petites affaires à l’Élysée. En attendant, il a tout vendu. Oui, tout : l’industrie de défense, les fleurons français, tout, et tout ça sans un regard en arrière. Pendant sept ans, il a bradé nos armes et nos savoir-faire aux Américains, tandis que nos soldats se battent avec des antiquités dans un pays où même les flics ne peuvent plus lutter contre les mafias qui tirent à vue. Mais peu importe, puisqu’il a un plan : préparer la jeunesse à… se demander s’ils se sentent homme, femme, non-binaire ou je-ne-sais-quoi, dans un programme scolaire à faire pâlir d’envie n'importe quel idéologue de pacotille. À quoi bon enseigner la stratégie militaire quand on peut discuter du genre et de l’identité dans des salons feutrés ?
Et ce n’est pas tout, car Macron, cet économiste de pacotille, veut en plus faire la guerre à un pays tout en conduisant la France à la ruine avec une dette monstrueuse de plus de 3 400 milliards d’euros. Oui, dans un pays où personne ne veut travailler (mais qu’on taxe lourdement quand même), il faut bien un peu de courage pour réclamer des budgets militaires faramineux et jouer les va-t-en-guerre. Une guerre qu'il mène contre son propre peuple, d’ailleurs. À coups de réformes assassines, de privatisations à gogo et de répression systématique, il ne cesse de diviser et d’affaiblir la France. Mais son seul ennemi, c’est bien la vérité qui pourrait le faire tomber. Ses déclarations martiales, sa guerre à deux sous, n'ont qu'un seul but : cacher ses échecs et ses malversations sous un tapis de nationalisme mal dégrossi, tout en servant les intérêts d’une oligarchie qu’il n’a cessé d'enrichir.
Macron est plus un danger pour la France que Poutine ne le sera jamais. Car s'il veut vraiment faire la guerre, c’est d’abord contre ses propres citoyens qu’il doit la mener, contre ceux qu’il oppresse, qu’il humilie, qu’il méprise. Un chef de guerre en carton, sans préparation ni vision, qui se rêve en héros tout en propulsant le pays vers le chaos, tout ça pour sauver sa peau et son image dans un monde où ses ficelles sont de plus en plus visibles. Mais au fond, qui peut encore croire qu’un homme qui n’a jamais porté un uniforme peut se proclamer le sauveur de notre nation ? Quand il parle de guerre, c’est surtout pour masquer sa propre défaite face aux véritables enjeux du pays.
L’obsession de Macron à attaquer la Russie dépasse de loin les seuls intérêts français et a des relents de vengeance de la Seconde guerre mondiale que les mêmes acteurs ancestraux avaient déjà financée. France qui, sans le sacrifice des Russes à la Seconde guerre mondiale contre le nazisme, serait depuis longtemps devenue une colonie anglo-sioniste parlant le Yiddish. Mais voilà, le retour de l'Histoire et des nazis, car visiblement ceux qui ont perdus cette guerre ce sont les allemands et surement pas les nazis... Sa volonté puérile de jouer un rôle de premier plan dans une arène géopolitique où il a été exclu, tout en sacrifiant des vies humaines pour ses ambitions personnelles, ne peut mener qu’à une catastrophe. Et la France nouvelle, pays à la population aussi lâche qu'avachie, autrefois protectrice des Chrétiens d’Orient, a abandonné tous ses engagements pour protéger les innocents et s’est alignée sur les intérêts atlantistes des talmudo-sionistes. L’Occident, en soutenant des régimes dévastateurs et en réprimant les minorités, joue un jeu dangereux qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur les générations à venir. Et favoriser une regain supplémentaire pour l'émergence totale d'une tentative encore plus radicale d'invasion clandestine basée sur la haine du Chrétien blanc. Macron, fidèle représentant de cette folie de pacotille, navigue en eaux troubles, en menant notre pays droit dans le mur, dans un monde où l’issue de tout conflit est certaine et tragique.
Les dérives diplomatiques de Macron, notamment son soutien aveugle aux factions islamistes en Syrie, sont un autre exemple frappant de l’hypocrisie géopolitique occidentale. En invitant le terroriste sanguinaire Mohammed Al Joulani, leader du Front al-Nosra, à l’Élysée, il renie aussi tous les principes de justice et de protection des minorités. Il est loin le temps où il fallait être Charlie visiblement. Mais l'aveu est clair quant au financement de ces barbus d'apparat. Son soutien à des groupes terroristes sous prétexte de "modération" a mené à une tragédie humanitaire, sans que les responsables n’aient jamais rendu de comptes. Macron et ses alliés européens, truands notoires en cols blancs et autres gangsters en kippa, par pur opportunisme ou incompétence, se retrouvent désormais à soutenir ouvertement ceux qui mènent une guerre totale contre des populations innocentes, tout en restant indifférents aux massacres de Chrétiens, à la répression des Alaouites, et à la destruction systématique du patrimoine syrien. Ce soutien aux terroristes, financés par la CIA et le Mossad, semble plus lié à une stratégie visant à affaiblir la région et à limiter l’influence de puissances non occidentales, et cette politique servant les intérêts des sionistes est non seulement dangereuse, mais de surcroit immorale.
Ainsi, dans ce triste ballet d'illusions et de faux-semblants, où l’orgueil et la vanité des puissants se mêlent à des stratégies géopolitiques sordides, la vérité est inévitablement éclipsée. Ces dirigeants, tels des marionnettes grotesques, nous mènent volontairement tout droit vers un précipice, guidés non par des idéaux de paix ou de solidarité, mais par un appétit insatiable pour le pouvoir et les profits. À l’instar des nocifs comme La Hyène, Macron et Starmer, ces architectes du chaos dont il faut se demander qui finance leurs délires, l’Europe semble se consumer dans un abîme d’arrogance et de duplicité, accablée par un système hautement toxique qui, au lieu de protéger les peuples, préfère les sacrifier sur l’autel de ses ambitions dévorantes.
Leurs gesticulations belliqueuses, loin de masquer leur incompétence et leurs malversations, ne font que prolonger une comédie tragique où les innocents payent le prix fort. Et pendant ce temps, ces soi-disant dirigeants, confortablement installés dans leur tour d’ivoire, regardent l'horizon de leur propre chute, impavides, tout en jouant à la guerre pour éviter d’affronter la réalité qui se profile. Mais que peut-on attendre d’une Europe en ruines, dirigée par des fantômes du passé, sinon une fin inéluctable et douloureuse ? Une Europe où la paix n’est plus qu’un vieux souvenir, et où l’on se bat avant tout pour dissimuler les décombres de son propre système moribond. La seule menace qui existe pour la France ce n'est pas Poutine, mais bien Macron et sa clique de pantins.
Et dans ce théâtre de l’absurde, une large part de responsabilité incombe aussi au peuple, qui, par sa passivité et son indifférence, laisse se perpétrer ces crimes et cette folie, sous son nez et grâce à ses deniers. Ce même peuple, que ces dirigeants méprisent et manipulent à loisir, est pourtant le seul à pouvoir renverser cette mascarade. Mais il reste figé dans son déni, paralysé par la peur, l’apathie et la résignation, préférant plier sous le poids de son propre confort plutôt que de se lever et de chasser de nos terres ces annonceurs de mort. Où est donc la justice populaire, ce principe fondamental qui, dans une véritable démocratie, devrait faire trembler ces tyrans d’opérette ? Tant que le peuple ne comprendra pas qu’il détient la seule véritable arme capable de mettre fin à ce système, il continuera de subir les conséquences logiques de ses propres lâchetés.
Les dirigeants, aussi corrompus soient-ils, ne sont que le reflet de cette société qui préfère le silence à l’action et le confort à la vie. Alors, tant que cette prise de conscience collective ne surgira pas, l’Histoire, aussi tragique soit-elle, continuera de se répéter, inlassablement et les peuples continueront de mourir dans des guerres fabriquées par les banquiers pour mieux les éliminer.
Phil BROQ.
Voilà un billet d'une très grande lucidité et que je vais m'empresser de partager. Prenez bien soin de vous Phil.
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