21 septembre 2024

L’OMBRE D’UN TOTALITARISME SANITAIRE

Dans notre époque troublée, où la vérité semble souvent se dérober, les voix éclairées d’experts tels qu'Ariane Bilheran et Vincent Pavan méritent une écoute très attentive. Leurs réflexions sur les dérives actuelles du pouvoir, notamment dans le domaine de la santé, mettent en lumière un phénomène inquiétant que nous vivons tous. Il s'agit de l'émergence d’un totalitarisme insidieux, menant à une déshumanisation de l’individu au profit d’une idéologie sanitaire.

Ariane Bilheran dépeint avec acuité un processus redoutablement efficace, en deux temps, par lequel un régime totalitaire s’installe : d’abord, une propagande habilement orchestrée, tissant une toile complexe d’illusions où la réalité est cyniquement déformée. Ensuite, c'est l'usage de la terreur par un coup de force qui impose son idéologie par la peur. Dans ce bal des ombres, la censure, véritable outil de domination dont le gouvernement Macron abuse, à l'instar des années sous Staline, agit tel un prédateur affamé, prêt à dévorer toute dissidence.

Prenons un instant pour observer ce spectacle grotesque : les campagnes d’affichage sur les effets indésirables des vaccins, systématiquement muselées sous le prétexte fallacieux de protéger la santé publique. Comme si un débat éclairé était une menace à la sécurité des citoyens ! Quand la réalité, comme un intrus désagréable, se heurte à ce narratif soigneusement édifié, c’est la voix dissidente qui est étouffée avec une détermination qui frôle l’acharnement. Tous les moyens sont employés pour faire taire les voix contraire, allant de la diffamation publique jusqu'à la prison, en passant par les contrôles fiscaux.

Les échos de cette dynamique résonnent terriblement avec tous les sombres chapitres de l’histoire du communisme puis du socialisme, où la vérité a été sacrifiée sur l’autel du contrôle, et où les régimes autoritaires dits de gauche, se sont réjouis de ce silence complice. N'oubliez jamais que TOUS les dictateurs au monde sont de Gauche !! C'est un fait trop souvent ignoré, ou simplement effacé par la propagande. Et oui, même Hitler l'était, car les nazis, ce sont des nationalistes socialistes!

De son coté, Vincent Pavan, porte-parole de l’association Réinfo Liberté, s’invite dans cette danse macabre pour confirmer cette analyse. Sa mise en garde n’est pas à prendre à la légère : la similitude avec les pratiques passées, où l’information était méticuleusement filtrée pour ne laisser passer que ce qui servait l’idéologie en place, est frappante. Quoi de plus insidieux qu’un monde où la liberté d’expression se raréfie au profit d’une uniformité de pensée qui ronge les fondements mêmes de notre démocratie ?

C’est un drame, où le pluralisme s’évanouit, et où les voix individuelles sont étouffées sous le poids d’une conformité oppressante. Dans cette danse macabre, chacun est invité à se plier, tel un pantin, à une pensée unique qui ne tolère aucune discordance. Les débats, jadis riches et vibrants, se réduisent à de vagues échos de slogans uniformes, où la créativité intellectuelle se perd dans la banalité. Les esprits critiques, ostracisés, deviennent des parias dans une société qui privilégie le confort de l’harmonie factice. En cette ère de conformisme, l’angoisse de la marginalisation pousse les individus à abandonner leurs convictions pour se fondre dans un consensus fabriqué. Ainsi, la richesse de la diversité s’effrite, laissant place à un paysage désenchanté, où l’originalité est perçue comme une menace plutôt qu’un atout.

Il est facile de constater que la voix du citoyen, autrefois vibrante d’indépendance, est réduite au silence par un discours dominant qui ne souffre ni critique ni questionnement. Les gardiens de cette vérité unique nous expliquent, avec un aplomb confondant en engouffrant nos propres impôts pour les subventionner, que tout cela est pour notre bien ! Ironiquement, alors que les cris de désespoir de ceux qui osent contester se perdent dans le tumulte, la machine à broyer des opinions dissidentes se met en marche, huilée par un discours moralisateur qui ne laisse aucune place au doute.

Alors, que reste-t-il de notre liberté si nous cédons à cette logique aliénante ? Ces spécialistes nous alertent sur le danger imminent d’une telle dérive, une mise en garde qui, pourtant, semble glisser sur les consciences comme l’eau sur les plumes d’un canard. Qui se soucie vraiment de cette perte insidieuse ? Dans ce contexte, la vérité devient une denrée rare, enfermée dans les catacombes de l’information, pendant que le grand public se contente de sa portion quotidienne d’illusions, servie avec une généreuse dose de peur.

La question se pose alors avec une cruauté délicieuse de savoir jusqu’où irons-nous dans cette abdication de notre pensée critique ? La propagande, cet art de la manipulation, est devenue le maître d’œuvre d’une société où l’individu, réduit à un simple chiffre de données numériques, abandonne son droit à la vérité.

Il est grand temps de réveiller notre conscience collective et de briser les chaînes de ce conformisme éhonté, avant que la désinformation ne devienne le seul langage parlé dans les salons du pouvoir. Si nous ne nous levons pas pour revendiquer notre droit à la voix, nous ne serons bientôt plus que des ombres, errant dans un monde où la liberté et la vérité ne sont plus que des souvenirs d’un temps révolu.

L’un des aspects les plus troublants de cette dérive moderne est la transformation insidieuse de l’épidémiologie en un outil de contrôle social, comme le soulignent A.Bilheran et V.Pavan. Ce glissement inquiétant, où la médecine, qui devrait se consacrer à l’individu, se mue en une science des masses, est révélateur d’une époque où chaque être humain est réduit à une simple donnée statistique, un chiffre froid dans un tableau Excel. Et souvent fallacieux, puisque nous avons constaté que les comptages ne sont pas effectifs, mais idéologiques. Comme pour les résultats des présidentielles !

Cette vision utilitariste, où le bien-être collectif écrase la valeur intrinsèque de chaque vie humaine, soulève des questions éthiques fondamentales. À quel prix cherche-t-on à éradiquer des maladies ? Ou plutôt quel prix rapportent les maladies que l'on refuse d'éradiquer ? Au-delà de l’obsession pour des indicateurs de santé, c’est une forme de déshumanisation qui se met en place, traitant l’individu comme un simple rouage dans une machine sanitaire qui se veut bienveillante alors qu'elle n'est plus qu'une fabrique à dividendes au mépris de toute humanité et d'une bonne santé. Car soyons clairs, derrière cette façade de préoccupation collective, se cache une froide indifférence pour la souffrance humaine. Puisque dorénavant "un patient soigné est un client perdu !"

Ce processus déshumanisant, ne fait que masquer une réalité plus sombre, où la santé publique devient un mantra au service d’une idéologie dévastatrice. En réduisant l’individu à un chiffre dans une équation, on efface son histoire, ses émotions, sa souffrance. Le discours dominant ignore les récits personnels, ces vérités qui devraient guider une approche véritablement humaine de la médecine. Cette méprise peut conduire à des violations graves des droits humains, et c’est là un danger que ces experts s’efforcent de dénoncer avec une détermination louable.

Il est ironique de constater que, dans notre quête d’une santé parfaite, nous pourrions perdre de vue ce qui fait de nous des êtres humains : notre capacité à ressentir, à aimer, à souffrir. La médecine, qui devrait être un refuge pour l’individu, se transforme en un système de surveillance où la norme est définie par des courbes épidémiologiques plutôt que par les besoins des patients. La souffrance d’un individu devient secondaire face à des objectifs statistiques, un comble pour une discipline qui se veut guérisseuse. Nous vivons en plein serment d'hypocrites en place de celui d'Hippocrate !

Alors, où nous mène cette dérive ? À un monde où l’on préfère sacrifier l’individu sur l’autel du bien-être collectif et surtout des oligarques qui ont créé Big Pharma, où l’on peut légitimement se demander si nous ne nous dirigeons pas vers une société où le mépris pour la vie humaine devient la norme. La réponse à cette question, est plus qu’une simple interrogation philosophique, elle est cruciale pour notre avenir. Si nous continuons à laisser le malthusianisme de ces élites, devenues folles de leur hybris, se transformer en instrument d’oppression numérique, nous risquons d’ériger une muraille entre nous et notre humanité.

Il est impératif de rétablir un équilibre, de rappeler que chaque vie compte et que la santé ne se résume pas à des chiffres sur un tableau, ni à des dividendes d'actionnaires mal intentionnés. En fin de compte, il en va de notre responsabilité collective de défendre notre humanité face à une tendance de plus en plus déshumanisante. Car si nous ne prenons pas conscience de cette dérive, nous nous retrouverons bientôt à naviguer dans un monde où l’éthique est sacrifiée sur l’autel de la statistique, et où l’être humain, en tant qu’individu, risque de disparaître à tout jamais.

Face à cette réalité alarmante, la réponse ne peut être que celle d’une résistance lucide et déterminée à supprimer le cancer que sont devenus ces oligarques tels que Bill Gates et leurs outils de contrôles que sont le WEF, l'OMS, l'OMC et plus largement les pseudos milliardaires philanthropes. Dans un monde où la peur est un outil de manipulation, il est impératif de ne pas se laisser submerger par le tumulte ambiant. Au contraire, nous devons développer un esprit critique aiguisé, capable de déchiffrer les discours dominants qui, sous le vernis de la science, cachent souvent des intentions peu reluisantes, voire assassines.

Ces médecins audacieux nous exhortent à engager un dialogue ouvert, à échanger des idées, à partager des informations. Ce n’est pas simplement un appel à la discussion, mais un cri de ralliement pour rétablir le lien entre la médecine et la réalité vécue par les citoyens. Comment accepter que le savoir médical soit monopolisé par une élite qui ignore les souffrances individuelles, réduisant chaque patient à une statistique sans visage ? Comment accepter qu'un informaticien fou, devenu milliardaire sous l'égide de la CIA, puisse parler et financer des vaccins ?

La nécessité d’une prise de conscience collective est plus que palpable, c'est devenu une urgence. Faire entendre les voix dissidentes n’est pas un luxe, mais une nécessité vitale. Ces voix, souvent noyées dans le vacarme de la propagande, parviennent pourtant à briser le silence imposé. Ce courage, bien que risqué, peut provoquer un changement significatif, insufflant une nouvelle vie dans la relation entre le corps médical et la population. Nous devons traquer ces juges Staliniens qui interdisent un à un les sites d'informations et les réseaux tels que X, Telegram, Rumble ou tous les sites qui ont vocation à utiliser la liberté d'expression comme un droit naturel et inaliénable !

Nous sommes à un tournant décisif de notre histoire et de notre avenir en tant qu'humains. Nous pouvons choisir d’accepter l’écrasante illégalité des discours officiels, ou nous pouvons, au contraire, nous lever avec audace et revendiquer notre droit à une compréhension authentique de la santé comme à des soins appropriés. Une résistance lucide ne consiste pas à rejeter aveuglément la science, mais à l’interroger, à la confronter à nos réalités quotidiennes. En science, le consensus est un mensonge, puisque la science progresse chaque jour.

La médecine doit redevenir ce qu'elle était censée être, c'est-à-dire un art au service de l’individu, une discipline humaine, où l’expérience personnelle prime sur les abstractions statistiques et les gains qu'en retirent les laboratoires. C'est ce capitalisme de connivence, impuni et corrupteur que nous devons éradiquer. Si nous échouons à redonner une voix à ces véritables médecins et plus généralement aux alerteurs, nous risquons de nous enfermer dans une société où l’informé est réduit au silence, et où le citoyen devient un simple pion dans un jeu de pouvoir.

Ce chemin n’est évidemment pas sans embûches, mais il est le seul qui nous permettra de préserver notre humanité et notre vie face à un système de santé qui, sous couvert de bienveillance, pourrait bien se transformer en instrument d’oppression implacable. La résistance lucide et collective n’est pas seulement une question de survie, mais une affirmation de notre droit à la dignité et à la vérité. Nous devons éclairer les ténèbres pour les faire reculer. Dans cette lutte, chaque voix compte, chaque témoignage a son poids, et ensemble, nous pouvons redéfinir les contours d’une médecine qui honore réellement la vie humaine.

Dans un monde où la vérité et la liberté d’expression semblent s’effacer peu à peu, les réflexions d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan apparaissent comme des phares dans la nuit. Leur message ne se limite pas à une simple mise en garde contre les dérives d’un système de santé qui, sous prétexte de protéger le bien commun, pourrait se transformer en un instrument de contrôle totalitaire. Au contraire, ils nous rappellent que la santé publique devrait être fondée sur un engagement sincère envers le bien-être de chaque individu, quel que soit son statut, un principe que trop souvent, nous semblons oublier.

Il est impératif d’écouter ces voix éclairées, car elles incarnent une nécessité vitale dans notre société. Leur appel à la transparence et à la vigilance n’est pas un souhait pieux, mais une exigence pour bâtir un avenir où la liberté et la vérité s’imposent face à la peur et à la censure. Dans ce paysage chaotique, il est facile de céder à la résignation pourtant, la résistance commence d'abord par une prise de conscience individuelle. Chaque geste, chaque acte de courage, contribue à dessiner les contours d’un futur qui respecte l’intégrité de chaque être humain.

Ces réflexions que je vous présente aujourd'hui, ne sont pas seulement des cris d’alarme. Elles se présentent également comme des invitations à agir, à penser de manière critique, à débattre avec passion et à refuser toute domination avec détermination. Elles nous incitent à ne pas nous contenter d’être des spectateurs passifs d’un drame qui se joue sous nos yeux. L’avenir de notre société ne peut se construire sans une participation active et réfléchie de chacun d’entre nous. La complaisance est une complice silencieuse des abus, tandis que le discernement et la détermination deviennent des armes essentielles dans notre quête pour un monde plus juste. De nos jours être passif face à cette folie suicidaire revient à accréditer le monde carcéral que nous préparent ces oligarques dégénérés.

Il est temps de prendre la mesure des enjeux, de revendiquer notre droit à une santé publique qui respecte notre dignité et nos choix, à une liberté d'expression qui est naturellement inaliénable et à une capacité à dire stop à tous ces énergumènes dépravés par leur idéologie mortifère que nous finançons avec nos impôts.

Les défis sont immenses, mais l’espoir demeure dans notre capacité à unir nos voix pour réclamer un avenir où la science est au service de l’humanité, et non l’inverse. Dans cette lutte, nous devons être prêts à nous lever contre les discours uniformisateurs, à défendre le droit de chacun à s’exprimer et à vivre pleinement sa vérité.

L’avenir nous appartient, et c’est à nous de répondre à cet appel avec une conviction renouvelée, une audace retrouvée et un peu de panache perdu depuis si longtemps. Chaque pas vers une société éclairée est un pas vers une existence où la santé, la liberté et la vérité ne seront plus de vains mots, mais les piliers d’un monde meilleur.

 Phil BROQ.






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