H6N2 : UNE ÉPIDÉMIE DE DÉBILITÉ ENTRE EN SCÈNE CET HIVER !

Bienvenue dans le grand cirque de la santé publique, où les épidémies émergent tel un illusionniste tirant des lapins d'un chapeau. Cette année, nous aurons le plaisir d’assister à la première sortie officielle du H6N2, j'ai nommée, la" grippe du Connard", un mélange savant de H1N1 et H5N1, concocté pour nous faire croire que notre santé est en danger.

Mais attendez, n’oublions pas les véritables magiciens derrière cette performance : les oligarques, qui tirent les ficelles d’un plan mondial astucieusement nommé "Agenda 2030". Cette manigance ne vise rien de moins que de contrôler l’humanité à travers une série d’épidémies soigneusement orchestrées, notamment celles qui touchent l’élevage animal.

En effet, à chaque crise économique, les virus se présentent comme des opportunités en or pour faire des affaires florissantes tout en nous empêchant de voir le schéma sous-jacent des pénuries orchestrées et de la santé boycottée. Alors, préparez-vous à explorer cet univers cynique où la peur est la monnaie, et où nous, simples spectateurs, sommes les véritables perdants. Et pour longtemps !

Chaque épidémie, qu'elle soit artificielle ou opportunément surfée, s'invite comme un intrus lors d’une fête que nous n’avons pas organisée. Considérez le timing des épidémies : elles apparaissent invariablement au cœur des crises économiques. Ce phénomène n’est pas une coïncidence ; c’est une stratégie. Les épidémies comme la "coïncidose" (là où les coïncidences font des évidences et finissent par la prise d'une dose !) viennent titiller les politiques de l’élevage, poussant à des abattages massifs d’animaux sous le prétexte d’une menace sanitaire. Un coup de maître pour distraire le public tout en garnissant les poches des oligarques qui, en parallèle, poussent pour des solutions miracle sous forme de vaccins et d'insectes !

Prenons un instant pour réfléchir à des crises passées comme la vache folle (ESB), créée en donnant à manger des farines animales à des herbivores, ou la fièvre aphteuse, alors que des publications récentes ont montré que seuls quelques dizaines de cas humains de fièvre aphteuse ont été confirmés, et que la plupart de ces cas sont liés à des erreurs de laboratoire ou à des manipulations de virus aphteux non inactivés. Cela soulève des questions sur la sécurité des pratiques de laboratoire. Toutes deux justifiant des mesures draconiennes, telles que l’abattage massif d'animaux, créant un désastre économique pour des éleveurs, tout cela par des décisions politiques jugées fallacieuses. 

Les épidémies actuelles, loin d'être des phénomènes naturels, semblent être orchestrées avec une précision déconcertante, comme si les virus dansaient au rythme d’une symphonie écrite par les oligarchies et leurs laboratoires remplis de chercheurs fous !

Et bien entendu, le rôle des médias dans cette farce n’est surement pas à négliger. D'ailleurs bons nombres de ces médias appartiennent aussi aux propriétaires de ces labos… Une autre coïncidose ?! Avec un formatage soigneux de l’information, ils deviennent des alliés parfaits dans cette manipulation perpétuelle de l’opinion publique. Qui a besoin de vérités désagréables quand on peut avoir des titres accrocheurs sur les "nouvelles menaces sanitaires" ? Les véritables causes des épidémies sont soigneusement ignorées, pendant que les journalistes s’autocensurent, se contentant de répéter le discours officiel, fourni par les oligarques là aussi, sans broncher.

Ajoutez à cela l’introduction du "principe de précaution", ce mécanisme astucieux qui agit comme une bulle protectrice pour nos chers décideurs. Dans un monde où la santé publique est brandie comme un étendard sacré, qui oserait vraiment contester une décision prétendument conçue pour nous protéger ? Ce principe, en apparence bienveillant, devient rapidement une arme redoutable contre toute forme de désaccord ou de critique. Il s'insinue dans le discours public comme un dogme indiscutable, permettant aux élites de justifier des mesures drastiques sous prétexte de "prévenir le pire". Pire, qu'ils activent eux-mêmes.

Prenons la gestion des épidémies modernes, en particulier celle du Covid-19, qui se transforme alors en une véritable aubaine pour instaurer des restrictions de plus en plus sévères. Les gouvernements, profitant de la peur ambiante et du manque d'esprit critique, imposent des règles qui se justifient par ce fameux principe. La promesse d'un retour à la normale devient un mirage, tandis que les libertés individuelles s'étiolent lentement. Les confinements, les couvre-feux, et la surveillance accrue de la population deviennent la norme, le tout sous le couvert d'une sécurité sanitaire sans faille.

Et que dire de cette passivité ambiante ? Une population trop souvent désillusionnée, happée par une désinformation ambiante, se retrouve à accepter sans broncher ces mesures, persuadée qu’elles sont les seules alternatives viables à une catastrophe imminente. Les esprits critiques, ceux qui osent questionner ces décisions et demander des comptes, sont rapidement étiquetés de "complotistes", relégués aux marges de la société. Dans ce contexte, la logique du principe de précaution ne fait que renforcer le pouvoir des décideurs, les plaçant au-dessus de tout soupçon tout en consolidant leur contrôle sur une populace qui, effrayée comme des moutons, ne demande qu'à être guidée... vers l'abattoir.

Examinons donc les récentes épidémies, ces petites calamités bien orchestrées, comme la grippe aviaire H5N1 ou les crises liées à la COVID-19. N'oublions pas non plus l'incontournable H1N1, sans parler des singes, des chauves-souris et des pangolins, ces stars éphémères des gros titres. Mais étrangement, les moustiques OGM de Bill Gates, cette armée silencieuse prête à semer la panique et à générer des milliards de profits à chaque fois qu'ils s'abattent sur une population, restent dans l’ombre. Ces événements, avec leur parfum de catastrophe, ont été astucieusement utilisés comme prétextes pour justifier des abattages massifs d'animaux d’élevage. Et quelle ironie ! Pendant que les éleveurs se débattent dans une tempête économique, les consommateurs, eux, se voient privés de produits sains, en attendant que les prix s'envolent vers les cieux.

Et ne parlons même pas des maladies émergentes, comme celles liées aux visons, qui sont habilement instrumentalisées pour justifier des mesures encore plus extrêmes. C’est un cycle perpétuel de manipulation et de contrôle, où chaque alerte sanitaire est une nouvelle occasion de restreindre nos choix et de resserrer l’étau autour de notre liberté. Au fond, tout ceci semble conçu pour nous faire accepter sans broncher des produits ARNm, ou, à défaut, nous inciter à croquer dans des insectes qui, paraît-il, vont bientôt devenir notre nouvel aliment de base, malgré le fait qu'ils pourraient nous valoir un cancer de l'intestin. Un vrai festin de la terreur, où chaque bouchée est une promesse de profit pour ceux qui orchestrent ce ballet macabre.

Mais attention ! Ce schéma n’est pas qu’une simple observation : c’est un tragique jeu de société, un jeu macabre où les pions que nous sommes avancent sur l’échiquier de l’indifférence, hypnotisés par des promesses d’un avenir radieux, servies sur un plateau en argent par ceux qui nous vendent des solutions miracle. Les épidémies, en particulier celles qui frappent les animaux d'élevage, ne sont rien de moins que des créations artificielles, habilement orchestrées par une élite oligarchique avide de pouvoir. Pendant que nous sommes plongés dans la peur, ces magnats renforcent leur emprise, tout en appauvrissant les masses. Ils créent délibérément des pénuries alimentaires pour justifier l'augmentation des prix, tandis que la sélection, sinon l'éradication des pauvres, devient le triste corollaire d’une stratégie machiavélique bien rodée.

C’est presque une pièce de théâtre où nous jouons tous les rôles, les acteurs et les spectateurs, applaudissant à chaque nouvel épisode d’angoisse orchestré. Chaque crise sanitaire devient alors une occasion rêvée de resserrer l’étau sur ceux qui osent rêver d’une vie meilleure. Qui a besoin de solutions durables quand on peut vendre des pansements temporaires, assaisonnés de désespoir ? Les éleveurs voient leurs exploitations dévastées, pendant que le consommateur, piégé dans cette toile d’araignée de manipulation, doit se contenter des miettes laissées par ces barons de l'industrie. À quel prix ? À celui d’un contrôle toujours plus affûté sur nos choix alimentaires, nos modes de vie et, finalement, sur notre liberté.

Alors, accrochez-vous à vos chapeaux, mes amis, car je vous annonce l'arrivée prochaine et à grande échelle, tel un prophète de bas étage, du clou du spectacle : la H6N2, la grippe du Connard ! Ses symptômes ? Une foi aveugle dans les récits gouvernementaux, une incapacité désespérée à remettre en question les vérités officielles, et un penchant irrésistible pour ces conversations où l’on martèle, comme un mantra, que "les vaccins sont la seule réponse", avec la perte de toutes les libertés bien sûr. Ah, ces vaccins ! Ceux qu'il faut réinjecter chaque année, ou pire encore, comme pour le Covid, jusqu’à sept fois pour les plus obtus !

Oui, ceux qui continuent à croire à la nécessité de ces piqûres répétées sont, à n'en pas douter, déjà contaminés par cette grippe particulièrement contagieuse. C'est un fait : les "vaccins" actuellement mis sur le marché ne sauvent sûrement pas autant qu'on le prétend. Et que dire de cette tendance à l’injection régulière et au dépistage PCR pour un oui ou pour un non ? Ce n'est pas pédagogique, c'est clairement pathologique !

Ce virus a déjà frappé bon nombre de personnes, méfiez-vous ! L'injection semble aussi avoir un effet plus que paradoxal sur les décès. Regardez autour de vous : tous ces malheureux qui, après s'être fait injecter cette potion miracle, semblent désormais avoir pris un abonnement au cimetière ! Bon, c'est de la sélection naturelle à ce stade…

Et que dire de nos valeureux sportifs, champions d'injections et de performances, qui se retrouvent sur la touche, sinon sur la civière ? En revanche, nos médecins, ces valeureux gardiens de la santé et de leurs privilèges monnayés contre la mort à injecter, meurent beaucoup moins que les autres, eux ! Étonnant, non ? Mais n’allez surtout pas en parler trop fort, cela risquerait de troubler l’harmonie de notre belle mélodie d’obéissance !

Imaginez un monde où l’on applaudit des campagnes de vaccination, comme sur les balcons à 20h, convaincus que l'on sauve la planète, tout en devenant des cobayes volontaires et stupides dans un vaste laboratoire où les oligarques sont rois. Les cerveaux formatés depuis si longtemps déjà, prêts à tout gober aprés 30 minutes d'Hanouna, croient fermement que ces piqûres les protégeront de tout mal, ignorant que les vaccins contre la grippe, loin de sauver des vies, semblent souvent engendrer plus de décès que de vies sauvées depuis déjà 70 ans.

Les feux d’artifice de la désinformation et les applaudissements sur les balcons masquent la réalité : nous sommes des acteurs dans un spectacle où la santé publique est le décor, et l’ignorance, le scénario. Personne ne veut d'un vrai débat quand l’illusion d’un remède miracle fait si bien l’affaire. Car, qui a besoin d’éducation sanitaire, voire historique, quand on peut simplement avoir une piqûre ?

Il est grand temps de tirer la sonnette d’alarme sur cette farce sordide. La "grippe H6N2 du Connard" n'est pas juste un virus fictif de plus ; elle incarne surtout de façon cynique l'aveuglement collectif face à des manigances grotesques, tirées par des ficelles si visibles que ça en devient indécent de nous prendre autant pour des cons ! Les véritables perdants de cette tragédie sont ceux qui, plongés corps et biens dans le déni, refusent de se questionner sur la narration dominante. À chaque nouvel épisode épidémique, nous nous laissons berner, sacrifiant notre capacité à penser de manière critique sur l'autel de la peur.

Regardez autour de vous : ceux qui croient fermement à ces récits farfelus, enfilant masques et vaccins comme des perles à la fête foraine, deviennent les héros tragiques de cette comédie. Ils applaudissent en cœur les initiatives gouvernementales, s'illusionnant sur un monde où la vaccination est la panacée, tout en se moquant des faits évidents. Ces individus, enfermés dans leur bulle de certitudes, sont prêts à ignorer les preuves tangibles qui les entourent, préférant se vautrer dans l'illusion d'une protection infaillible, et réserver leur cercueil.

Chaque épidémie devient ainsi une occasion en or pour les profiteurs de la santé publique : les oligarques rient sous cape, comptant leurs bénéfices pendant que nous nous débattons dans notre naïveté. La rhétorique apocalyptique, savamment orchestrée, remplace la réflexion rationnelle. Ce qui est le plus cocasse, c'est que ceux qui, brandissent les slogans de la sécurité publique comme une armure, sont souvent les mêmes qui ont échangé leur bon sens contre une dose de conformisme.

Et maintenant, après des décennies de vaccinologie peu convaincante, qui aurait cru qu'on en serait là ? En fait, la "grippe H6N2" pourrait bien être la métaphore parfaite de notre époque. Une combinaison détonante d'ignorance, de complaisance et de cynisme, où le bon sens est un ancien souvenir. Alors, levons nos verres à cette hilarante tragédie humaine, où les seuls à rire vraiment sont ceux qui, dans l'ombre, continuent de manipuler les ficelles de ce grand spectacle grotesque.

Mais attention ! Ce n'est pas une fin, c'est juste le début d'un nouveau chapitre. Tant que nous resterons aveugles, les manigances se poursuivront, et la farce continuera. Peut-être un jour, ouvrirons-nous les yeux sur cette mascarade, mais d'ici là, nous serons tous les acteurs de cette tragi-comédie, riant à nos propres dépens de ce suicide, sans même nous en rendre compte.

La thèse, de plus en plus vérifiable et soutenable, selon laquelle les épidémies seraient des créations artificielles au service d’un contrôle oligarchique devrait susciter une réflexion collective, surtout chez ces parents tortionnaires qui soumettent leurs enfants à cette série de vaccins : ces onze piqûres cachent en réalité un arsenal bien plus vaste, allant jusqu'à soixante-dix, comme le souligne le Dr A. Hérion-Caude. "Les "vaccins" COVID ARNm ont été conçus intentionnellement pour nuire, mutiler, tuer, et pour réduire la fertilité humaine." Lorsque c'est dit par l'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, ça a au moins le mérite d'être clair !

Oui, mesdames et messieurs, bienvenue dans le grand cirque des vaccinations, où chaque aiguille est une promesse de sécurité, mais aussi un ticket d’entrée pour le grand spectacle de la manipulation, masquant la stérilisation et l'ajout de maladies inédites, mais soignées par les laboratoires pour quelques milliards.

Mais attention ! Cette vision du monde peut aussi alimenter une méfiance délétère, à la fois, et nécessaire, envers des institutions qui, bien que corrompues jusqu'à la moelle, s'appuient sur des bases volontairement erronées et des omissions de données clés pour nous "protéger"… De quoi, exactement ? De la vie en bonne santé, bien sûr ! On se demande parfois si leur objectif n'est pas de nous faire croire que le meilleur moyen de rester en forme, c'est de se faire injecter des concoctions mystérieuses qui, à y réfléchir, ressemblent davantage à un bon vieux coup de poker qu'à une solution scientifique solide. On est passé du serment d'Hippocrate à celui d'hypocrites en quelques années.

Regardons les choses en face : à force de jongler avec des informations biaisées, de censurer les vrais études et de nourrir une peur omniprésente, ces institutions finissent par tordre la réalité à leur avantage. Elles transforment chaque épidémie en opportunité de renforcement de leur pouvoir, tout en nous assurant que tout cela se fait pour notre bien. Le paradoxe ? C’est qu'il y a encore des gens qui y croient ! Et que ce faisant, elles engendrent toutefois un climat de suspicion et de défiance qui pourrait, à terme, s’avérer salutaire. Du moins pour les survivants ! Car à force d'injecter autant de maladies que de mensonges, elles nous poussent, en quelque sorte, à chercher la vérité cachée derrière ce spectacle macabre. Et comme dit l'adage : "Pour trouver le coupable, suivez l'argent !" 

En fin de compte, cette situation révèle non seulement notre besoin pressant d’une éducation critique face à la santé publique, mais aussi notre responsabilité de remettre en question cette narration dominée par la peur. À travers cette farce tragique, les véritables perdants sont ceux qui, hypnotisés par leur confiance aveugle, ne se rendent plus compte qu'ils sont les pions d'un jeu bien plus vaste que leur propre santé et dont ils vont en mourir rapidement. C'est toute la ménagerie française et mondiale qui est touchée de plein fouet, allant des pigeons aux moutons et des castors aux autruches.

La clé, mes amis, réside encore une fois dans notre capacité à naviguer avec aisance dans ces débats télévisuels, soigneusement manipulés comme un tour de magie raté. Oui, ce sont des illusions dignes des plus grands prestidigitateurs, mais avec un esprit critique qui commence à sérieusement s’évaporer, comme un nuage de fumée après un grand spectacle. Cette amnésie collective ? Voilà sûrement l'une des conséquences les plus visibles du "H6N2", un virus fictif qui semble nous avoir laissé incapables de distinguer les faits avérés des spéculations absurdes, vendues par des laboratoires fous, enrobées dans des promesses savoureuses, le tout avec le soutien inébranlable de leurs oligarques bien-aimés et de l'OMS.

Et dans cette farce tragique où nous sommes tous des acteurs involontaires, il est grand temps de se réveiller et de réaliser que le futur que nous choisissons dépend de notre capacité à ouvrir les yeux sur cette manipulation insidieuse. Refusons d’être les spectateurs passifs de ce grand cirque où les clowns sont en réalité nos gouvernants, jonglant avec nos peurs et nos crédulités. Car, sérieusement, qui veut devenir un simple "Connard" dans ce grand jeu orchestré par les puissants, à l’ombre des projecteurs et des fausses promesses ?

Réveillons-nous, avant que la grippe du Connard ne devienne votre triste réalité. Prenons une profonde inspiration et, la prochaine fois que vous entendez parler d'une nouvelle épidémie qui surgit comme par magie, ou d’un vaccin miracle aux effets secondaires flamboyants, posez-vous la question existentielle : suis-je en train de devenir un simple con dans cette mascarade ou ai-je encore la capacité, et surtout l’envie, de vivre sainement et librement ?

Car finalement, mes chers lecteurs, à trop se laisser porter par le courant, on finit par se noyer dans une mer d'absurdité. Il est temps de brandir notre scepticisme comme un bouclier et de naviguer dans cette tempête de désinformation avec humour et discernement. Rappelons-nous que le vrai pouvoir ne réside pas dans les seringues et les discours lénifiants, mais dans notre capacité à questionner, à douter et à rire de cette farce mal scénarisée.

Phil BROQ.



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