ANTIFA : L’ARMÉE DE DESTRUCTION DES OLIGARQUES

Le 2 septembre 2024, un violent incendie a ravagé l’église de l’Immaculée-Conception de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais. Cet incendie, allumé par un Antifa de 39 ans déjà condamné et  connu pour avoir des antécédents judiciaires nombreux, notamment pour des faits de destruction par incendie, y compris l’incendie d’églises précédemment, est considéré comme un phénomène de décivilisassions préoccupant, qui rappelle la fragilité humaine et la nécessité de protéger les lieux de culte.

Les méthodes des Antifas ne se limitent donc pas à des manifestations bruyantes. Leurs actions incluent aussi la destruction de biens, les incendies criminels et les agressions physiques, ce qui a conduit certains à les comparer à d'autres formes de violence politique. En Allemagne, après les émeutes de Hambourg, les autorités ont pris des mesures contre ces groupes, illustrant une prise de conscience croissante du danger qu'ils représentent. Aux États-Unis, la situation est plus ambiguë, les autorités étant parfois réticentes à agir contre des mouvements qui, sous prétexte de combattre le fascisme, semblent exacerbés par des influences extérieures et une idéologie extrême. En France, ils sont presque remerciés par Macron pour tous les services qu'ils rendent à sa politique de destruction et de chaos.

Au milieu des tumultes actuels, cette organisation dont la notoriété croissante, grâce à l'appui des médias Mainstream, s’accompagne systématiquement de violences et d’illusions révolutionnaires de petits bourgeois, est une gangréne. Leur présence s’est récemment imposée sur la scène internationale, en particulier à Charlottesville, Portland et Berkeley, dévoilant une stratégie violente et opportuniste sous le masque de la lutte contre le fascisme. Ce mouvement, dont les origines plongent dans les années 1920 en Allemagne, semble aujourd’hui alimenté non seulement par des idéologies radicales, mais aussi par les poches profondes de George Soros, un personnage dont l'influence mondiale se manifeste à travers une myriade de crises sociétales.

Les Antifas, d’abord des combattants antifascistes en Allemagne avant la Seconde Guerre mondiale, se sont depuis multipliés dans divers pays européens. Leur renaissance dans les années 1980 et 1990 a coïncidé avec les manifestations anti-mondialisation du tournant du millénaire. Cependant, ce qui se présentait autrefois comme une lutte contre le nazisme est devenu, sous leurs nouvelles formes, un outil de terreur politique contre une variété de cibles allant des politiciens de centre-droit aux fonctionnaires. Les méthodes violentes de ce groupe, y compris les émeutes sous la forme des Black Blocs, ne sont pas seulement la continuation d'une tradition historique, mais une intensification des tactiques pour faire régner le chaos.

La figure de George Soros s'impose comme un catalyseur majeur dans ce contexte tumultueux. Avec sa fortune colossale, Soros a été accusé de financer non seulement des mouvements de gauche mais aussi des organisations comme Antifa. Ces accusations, bien que souvent controversées, trouvent un écho dans les preuves tangibles de soutien financier à des groupes violents. Ce soutien est perçu par certains comme une stratégie pour déstabiliser les gouvernements et exacerber les tensions sociales, notamment à travers sa fondation « Open Society », qui, paradoxalement, encourage une forme d’ouverture au pillage et au désordre.

Il est ironique de constater que les membres d'Antifa, souvent issus des classes moyennes intellectuelles, se posent en champions d'une révolution contre le capitalisme. En Europe, ces militants sont parfois liés à des syndicats, mais leur engagement anti-capitaliste semble souvent contredire leur propre position sociale et leur mode de vie privilégié. Aux États-Unis, la situation est encore plus complexe avec des Antifas qui oscillent entre anarchisme radical et marxisme, tout en se mêlant à des coalitions de gauche pour conférer une légitimité accrue à leurs actions violentes.

La situation entourant Antifa et George Soros soulève des questions cruciales sur la nature du pouvoir et de l’influence dans le monde moderne. Les Antifas, loin d'être des héros de la lutte antifasciste, apparaissent comme des instruments du désordre, tandis que Soros semble orchestrer un tableau de chaos à l’échelle mondiale pour des motifs de pouvoir et de profit. La classe bourgeoise, en quête d’un sens à son engagement politique, semble de plus en plus déconnectée de la réalité de ses propres contradictions et des effets déstabilisateurs de ses actions.

Dans cette analyse, la critique n’est pas seulement dirigée contre les Antifas mais aussi contre le système plus vaste qui les soutient et les manipule. Il est impératif de voir au-delà des slogans révolutionnaires pour comprendre les véritables forces en jeu, celles qui, par l’intermédiaire de figures comme Soros, façonnent et alimentent les crises globales pour leur propre bénéfice, tout en se parant des atours de la vertu.

En France, les Antifas ne se contentent pas de s'attaquer à des institutions politiques et économiques ; ils vont jusqu'à brûler des églises, comme récemment à Saint Omer. symboles ancestraux de la culture et de l'histoire nationales. Cette violence, loin d’être une simple rébellion anti-système, semble être le résultat d’une stratégie plus sinistre orchestrée par des oligarques influents. En transformant des lieux de culte en cibles, les Antifas se positionnent non seulement contre des institutions établies mais aussi contre les fondements mêmes de la cohésion sociale. Cette tactique destructrice a pour but de saper les valeurs traditionnelles et de semer la discorde dans la société. En soutenant ces actions, les oligarques espèrent discréditer les véritables mouvements populaires en les associant à des actes de vandalisme et de terreur. En fin de compte, les Antifas, en tant que pions des élites financières et politiques, deviennent des instruments de manipulation, destinés à miner les bases de la société tout en dissimulant les véritables intentions des puissants qui les financent.

En définitive, les Antifas incarnent une stupidité et une violence qui n’ont d’égal que la dévastation qu’ils infligent à tout ce qui est beau et légitime dans notre société. En se vautrant dans le chaos et la destruction, ces pseudo-révolutionnaires se transforment en véritables vandales des valeurs et des institutions qui ont construit et préservé la civilisation. Leur arrogance aveugle et leur agressivité insensée ne sont pas des signes de courage ou de conviction, mais plutôt de la déliquescence intellectuelle et morale d’une fraction de l’élite bourgeoise qui se croit investie d’une mission salvatrice. En brûlant des églises, en s’attaquant à des symboles sacrés et en prétendant agir au nom de la justice, ils ne font que servir les intérêts des oligarques qui manipulent les masses pour leurs propres desseins. 

Leur « lutte » est un spectacle grotesque de destruction gratuite, un affront à la civilisation et à la dignité humaine. Les Antifas, en prétendant combattre le fascisme, finissent par incarner le pire de l’idéologie totalitaire : une force aveugle qui détruit sans discernement tout ce qui est fondamentalement bon et nécessaire à la cohésion de notre société. Leur stupidité, alimentée par la violence et la manipulation des puissants, ne fait que révéler la vacuité et l’hypocrisie d’un mouvement qui se drape dans des habits de vertu tout en s’attaquant aux fondations mêmes de notre civilisation.

Phil BROQ.




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