COMMENT MACRON ET L'OLIGARCHIE MONDIALISTE ONT PIÉGÉ LES PEUPLES
Il n’aurait suffi que d’une simple pichenette pour faire vaciller l’illusion d’un édifice prétendument solide. Ce château de cartes que les élites mondiales, incarnées par des figures telles que Macron, ont érigé, se révèle chaque jour plus fragile. Un monde où les promesses de liberté, de droits de l'Homme et de démocratie ne sont que des paravents, derrière lesquels se cache une machinerie implacable, orchestrée par le Forum Économique Mondial et ses Young Leaders.
Sous ce vernis de respectabilité démocratique, les vérités se métamorphosent en leur contraire. Toute la phraséologie libérale sur la démocratie, sur le respect des « droits de l’Homme », se transforme en une véritable escroquerie électorale. C'est devenu leur mode de gouvernance. La manipulation politique et médiatique constitue leur stratégie étatique machiavélique. L’intimidation se hisse en méthode de gestion, tandis que la calomnie devient leur arme médiatique. Plus pernicieux encore, la criminalisation des dissidents est désormais la norme, l’incarcération un outil de bannissement politique. Quant à l’arbitraire, il règne comme une conduite procédurale officielle. Le mépris envers les peuples et leurs droits n’a jamais été aussi flagrant, une expression naturelle de ce pouvoir. Le gouvernement lui-même, de Macron à ses conseillers, incarne cette forfaiture, cette trahison de la volonté populaire.
En France, le piétinement du suffrage des Français illustre avec cruauté cette triste réalité. Macron a révélé au grand jour son machiavélisme présidentiel, sa nature aristocratique déguisée en démocratie. Il gouverne désormais par le knout du 49.3, des décrets oligarchiques, et l’imposition de lois autoritaires. Son mépris de la légitimité populaire n’a plus de limite.
Mais ce règne ne serait jamais aussi total sans la participation volontaire, presque hypnotique, des populations elles-mêmes. L'outil le plus puissant de cette domination ? Le smartphone. Cette technologie, qui a envahi chaque aspect de nos vies, est devenue le relais parfait de l'abêtissement général. Ce rectangle lumineux qui capte chaque regard, chaque instant de nos vies, a permis une illusion de liberté, tout en enchaînant les esprits. Grâce à cette technologie, les masses sont maintenues dans un état de soumission volontaire, bercées par le flux incessant de distractions, de divertissements et de mensonges distillés par les médias mainstream, financés et dirigés par les mêmes oligarques qui orchestrent cette mascarade mondiale.
Les véritables informations, celles qui pourraient éveiller les consciences et briser ce cycle de manipulation, sont systématiquement muselées. Les interdictions successives de Telegram, de X, de Rumble, et bien avant cela, de Russia Today et Sputnik, ne sont pas des accidents isolés. Ce sont des actes délibérés, des tentatives méthodiques d’étouffer les voix dissidentes, de contrôler la narration. Les médias mainstream, quant à eux, ne sont que des porte-voix de la propagande oligarchique, répétant inlassablement des récits fabriqués, aseptisés, destinés à entretenir l’illusion d’un monde sous contrôle. Sans la complicité de ces technologies, sans l’hypnotisme du smartphone, rien de tout cela ne serait possible. Les populations sont non seulement piégées, mais elles deviennent également complices de leur propre servitude, aveuglées par le confort illusoire que leur offre cette cage numérique.
La pandémie de COVID-19 fut l’ultime test, l’expérience grandeur nature pour jauger de la soumission volontaire des peuples. Sous couvert de « responsabilité sociale », des milliards de citoyens ont accepté sans sourciller des restrictions inimaginables, se conformant à une « nouvelle normalité » dictée par les élites. Ils voulaient voir combien d’entre nous abandonneraient notre liberté individuelle pour une fausse sécurité, combien accepteraient cette dystopie douce imposée par la technologie.
Les peuples doivent ouvrir les yeux. Ils doivent comprendre que les seules informations accessibles sur les grands réseaux sociaux, sur les chaînes de télévision ou les plateformes de streaming ne sont que des narrations soigneusement élaborées pour perpétuer l'emprise de l'oligarchie. Chaque journal télévisé, chaque fil d’actualité sur ces plateformes est une nouvelle pierre posée sur la tombe de la vérité. Mais l'étau se resserre. La censure devient plus agressive, plus visible, et les dissidents, eux, plus nombreux.
Il est temps de reprendre la main. De briser cet écran derrière lequel se cache le pouvoir. La soumission volontaire ne doit plus être la norme. Que cette mafia politico-financière paie enfin pour ses exactions, pour l’illusion qu’elle a imposée à des peuples trop longtemps maintenus dans l’ignorance. Le château de cartes est sur le point de s’effondrer, et lorsque viendra ce moment, la vérité, enfin, se dressera, libérée de l’emprise des faussaires.
Le peuple français, et avec lui les autres nations, ne saurait tolérer plus longtemps cette trahison. L'heure est venue d'exiger des comptes, de rétablir la souveraineté populaire et de se libérer des chaînes imposées par cette mafia mondialiste. La France légitime doit reprendre son destin en main, non pas en réclamant quelques maigres concessions, mais en imposant une nouvelle société, fondée sur la dignité, l’égalité et la liberté véritables. Que ce système corrompu soit balayé, et avec lui, ceux qui l'ont servi avec tant de zèle et de mépris.
Phil BROQ.
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