SATAN S'INVITE A TOULOUSE ou L'ÉMERGENCE DU MAL RÉVÉLÉ !

Mes amis, dérogeant à la règle du billet quotidien, je dois vous faire part de ce nouvel avertissement sur l'époque délicieuse et désolante que nous vivons ! 

Notre belle France, réputée pour être la "fille aînée de l'Église", se retrouve sous l'emprise d’une folie satanique aux ramifications si étendues qu’elles ressemblent à une pieuvre omniprésente dans une mer de ténèbres. Les agents zélés de ce culte obscur se faufilent dans notre quotidien, tels des spectres malicieux, prêts à renverser nos valeurs fondamentales mais avec les subventions issues de nos impôts. Face à cette offensive sans précédent, l'Église se dresse enfin comme un rempart, tout en mettant en lumière les dangers qui nous guettent. Ensemble, interrogeons-nous sur l'état de notre culture et sur les menaces qui l'assaillent. Des productions telles que "Les Portes des Ténèbres" ne sont rien de moins que des manœuvres pour nous plonger dans un océan de désespoir. À quoi bon célébrer des œuvres qui érodent notre capacité à rêver, à aimer, à espérer ?

Dans un ballet macabre d’intrigues, ces fervents disciples du mal s'activent à promouvoir une culture obsédée par le sombre et le ténébreux. Par l'inspiration de la peur et du Mal absolu. Leurs œuvres ne sont pas de simples productions artistiques, mais des vecteurs d’une idéologie insidieuse qui cherche à détourner nos esprits de la Lumière, à pervertir notre perception du bien et du mal, voire à l'annihiler. À chaque coin de rue, ils s’invitent dans nos vies, offrant des spectacles et des récits imprégnés d’une obscurité plus qu'inquiétante. Des productions telles que "Les Portes des Ténèbres" ne sont rien de moins que des manœuvres pour nous plonger dans un océan de désespoir. À quoi bon célébrer des œuvres qui érodent notre capacité à rêver, à aimer, à espérer ?

Chers Toulousains et amis du monde entier, cet événement monumental qui se profile à l’horizon, transformera notre belle Ville Rose en un théâtre de mystères obscurs et de créatures mythologiques ténébreuses à souhait. Du 25 au 27 octobre 2024, nous assisterons impuissants à l’opéra urbain "Le Gardien du Temple : La Porte des Ténèbres", orchestré par la Compagnie La Machine et Toulouse Métropole. Mais comme je viens de l'évoquer, derrière cet événement qui promet d’être grandiose, une ombre très inquiétante se profile. Ce n’est pas simplement un spectacle ; c’est un miroir tendu vers notre société, un appel à la vigilance face à une glorification des ténèbres et une façon de détruire la ville rose pour en faire la ville noire !

Les promoteurs de cette vision apocalyptique, disons-le, sont des agents du chaos. Armés d’une imagination débordante, dès lors qu'il faut promouvoir la laideur et l'inversion des valeurs, et d’un cynisme à toute épreuve, ils se frayent un chemin à travers nos traditions, détournant les symboles sacrés et les histoires qui devraient nous unir, afin de les pervertir sous l'excuse de l'Art. Ils célèbrent des entités mythologiques tordues, glorifient la souffrance, et jettent des ombres sur des valeurs qui ont, autrefois, éclairé notre chemin et développé notre société. Ce ne sont pas des satanistes qui ont créées les cathédrales, ni même la moindre bâtisse qui fasse la fierté de notre patrimoine architectural vecteur de touristes venus du monde entier. Et que serait notre patrimoine culturel sans ces récits porteurs d'espoir, sans ces légendes qui célèbrent le triomphe du bien sur le mal ? Mais non, ces agents zélés ont décidé que l’obscurité était à la mode, et que la mode, apparemment, est éternelle.

Et que dire alors des conséquences de cette exposition du glauque sur les esprits ? La société dans son ensemble semble se laisser emporter par cette marée de noirceur. Les jeunes, fascinés par ces récits de désespoir et de mort, finissent par croire que la tristesse et l’anxiété sont les seuls véritables compagnons de route. Désabusés, déconnectés du beau, du bon et du vrai ; soumis et abrutis par la technologie, ils ne voient plus que cela dans leur environnement proche et on comprend leur dégoût de l'avenir. Les héros de ces spectacles ne sont plus des modèles de bravoure et de dignité, mais plutôt des figures énigmatiques oscillant entre rébellion et déchéance, comme si la lutte pour la Lumière était devenue une rareté, une relique d’un passé révolu. Or, ceci n'est qu'une illusion, un leurre mais que nous laissons croitre sans réagir.

Cet opus, suite de la première édition en 2018, nous ramène au cœur d’une histoire où le spectaculaire semble supplanter le sens. Astérion, le Minotaure, et Ariane, la Grande Araignée, reviennent, mais cette fois, ils sont rejoints par Lilith, la Gardienne des Ténèbres. À travers cette nouvelle aventure, elle est chargée de conduire les âmes vers les enfers, un rôle qui questionne sur notre rapport à l’obscurité. Ce grand événement, financé par des mécènes sous prétexte de célébrer la créativité artistique, soulève une question fondamentale : jusqu’où ira cette glorification des ténèbres ?

La Porte des Ténèbres, que gardent ces gardiens du Temple (ne sont-elles pas celles du temple des francs-maçons adorateurs de Lucifer ?), se profile comme un écran de fumée, une distraction dont le véritable but est de nous plonger dans un univers où l’obscurité et le mal sont célébrés comme des héros. Astérion, avec son passé enchanteur, évoque des légendes anciennes, mais ce spectacle devient un rappel inquiétant des forces qui régissent notre existence. La présence de Lilith (l'épouse du diable) n’est pas anodine ; elle incarne les ténèbres, un archétype qui menace notre équilibre et notre identité collective. En glorifiant ces figures, nous sommes appelés à interroger notre rapport à la mythologie et à la réalité. Et en ajoutant un concours de dessins pour enfants intitulé "Dessine ta machine imaginaire", où les jeunes sont invités à exprimer leur créativité, nous nous demandons : quel message voulons-nous vraiment leur transmettre ? La normalisation d’un univers où le mal est célébré n’est pas qu’un simple détail ; c’est un choix délibéré qui pourrait façonner les esprits de demain.

S’élever contre cette tendance à glorifier l’obscurité, c’est avant tout protéger notre héritage culturel et spirituel. Au lieu de célébrer le mal, pourquoi ne pas réécrire notre histoire en mettant en avant les héros lumineux, ceux qui ont fait de notre culture un bastion d’espoir et de force. Alors que "Le Gardien du Temple : La Porte des Ténèbres" s'apprête à ouvrir ses portes, il est impératif de rester vigilants. Je vous le répète, CE N'EST PAS UN DIVERTISSEMENT ! Mais les perspicaces comprendront que c'est avant tout un appel à l'action pour toute personne qui possède encore une âme.  Que ce soit à travers les gigantesques machines qui peuplent notre centre-ville ou par les récits qui nous sont contés, il est de notre devoir de questionner et de résister à la tendance grandissante qui cherche à infiltrer notre culture avec ces éléments hautement toxiques et ténébreux. Que signifie vraiment ce spectacle sous son apparence ludique ? Une manipulation insidieuse, sans aucun doute, mais surtout une mise en plein jour de leur programme machiavélique, tissé comme une toile d'araignée et défendu avec les cornes de Satan.

Quel vent de folie s’est encore levé ! Et cette fois, ce n’est pas seulement à cause du vent d'autan qui rend fou, des dernières tendances culinaires ou des performances Rugbystiques, c’est bien plus grave et nauséabond que cela ! Les manipulateurs de l’ombre, sous couvert de spectacles grandioses, s’attaquent bel et bien à notre belle Ville Rose. Par le biais de ces événements montés de toutes pièces par des pseudos artistes ne vivant qu'au crochet de subventions, pour nous attirer dans les filets d’une culture de la désespérance et du désespoir. Mais enfin, mes amis, si même l’Église, d'habitude si placide depuis son inversion et son allégeance aux talmudistes avec le pacte de Vatican II, commence à voir à travers ce mirage, nous avons la permission de retrouver l'espoir dans la providence Divine !

Bien que je me demande encore comment une ville aussi vibrante que Toulouse peut-elle se laisser séduire par les sirènes de la noirceur ? Ne sommes-nous pas des héritiers de tant de Lumière, de tant de beauté, de tant de bonté, de tant de vérité ? Ne sommes nous pas Terre de Rugby aux valeurs viriles qui glorifient la vie ? Pourtant, la célébration des ténèbres sous toutes leurs formes semble y devenir la norme. Car ces spectacles, censés être de l'art sont en réalité de dangereux vecteurs d'une idéologie nihiliste. Les artistes se présentent eux-mêmes comme des sorciers, des enchanteurs, se moquant de notre foi et de nos valeurs. Ils prennent plaisir à nous plonger dans des histoires de souffrance et de désespoir, tandis que nous regardons, fascinés et impuissants. Tout en ruinant les impôts locaux et les aides aux étudiants.

Face à cette offensive satanique, l'Église, bien que parfois maladroite dans sa réponse, se dresse enfin comme un rempart par l'intermédiaire de Mgr de Kerimel (Archevêque de Toulouse) et de ses semblables qui ne sont plus là pour rire, mais bien pour avertir. Pour offrir un échappatoire spirituel à tout ce marasme malsain, savamment entretenu depuis des années et accéléré depuis Macron et sa clique de fanfarons aliénés aux loges obscures dans lesquelles se fomentent ces attaques. Le diocèse de Haute-Garonne voit, avec une clairvoyance troublante, que ces manifestations artistiques ne sont pas de simples spectacles de rue. Elles portent en elles une menace insidieuse, un poison lent qui pourrait faire éclore des graines de désespérance dans les cœurs les plus fragiles. Ainsi, les initiatives comme la messe du 16 octobre 2024, où chacun doit trouver le temps de participer tellement c'est important, ne sont pas non plus des cérémonies religieuses banales. Car ce sont des cris de ralliement désespérés et ultime, pour préserver notre culture et notre identité face à ces influences dévastatrices. Nous devons être légion ce jour là pour éclairer l'espoir et la vie en chassant les ténèbres.

C'est la raison pour laquelle, il faut noter dans vos agendas cette messe du 16 octobre prochain, afin de "Consacrer Toulouse et son diocèse au Sacré-Cœur de Jésus". Il faut y participer en famille et entre amis afin de marquer cet événement et dire STOP à ces agissements malsains qui nous entrainent vers l'abîme de notre destin. N’est-ce pas un acte fort, un acte de résistance ultime contre cette marée noire qui tente encore une fois d'engloutir notre Lumière ? L’Église, par son message d'espoir, cherche à raviver la flamme de la foi et de l’amour, à rappeler que la victoire sur le mal est non seulement possible, mais nécessaire. Mais cette bataille ne se limite pas à une lutte entre l’obscurité et la Lumière ; elle nécessite également une prise de conscience collective. La culture de la peur et du désespoir ne devrait plus être la norme. Et pourquoi ne pas redécouvrir les trésors oubliés de notre patrimoine, ces récits de courage, de sacrifice et de beauté, pour redonner aux générations futures des repères solides, des héros à admirer, et des valeurs à chérir ?

C’est un véritable acte de résistance ultime, un cri de ralliement pour tous ceux qui, chrétiens ou non, décident de faire quelque chose contre ceux qui veulent notre destruction, car on ne combat les ténèbres qu'avec l'Esprit Saint !  Mes amis, si nous ne prenons pas conscience de la bataille qui se livre sous nos yeux, qui le fera ? Qui sauvera l'avenir et l'esprit de nos enfants? Qui s'opposera ensuite si cela se fait dans nos rues à la vue et au su de tous ? Nous ne pouvons plus laisser ces forces obscures gouverner notre réalité. Il est grand temps d’affirmer notre identité, de célébrer nos racines, nos valeurs, et de rappeler que nous sommes les seuls bâtisseurs de notre avenir. Et il ne sera pas dans leur toile d'araignée tissée pour l'occasion. Il est temps de combattre ces démons une fois pour toute !

Toulouse, ma belle, je t’exhorte à ne pas laisser la nuit engloutir ta Lumière ! Dans un monde où les ombres semblent s’allonger et où les forces du mal tentent de s’immiscer dans nos vies, il est de notre devoir de rester vigilants et de combattre cette obscurité qui menace d’étouffer notre essence. Nous sommes ici pour nous battre, pour revendiquer notre culture, notre héritage, et pour rappeler au monde entier que la France est un pays de Lumière, de beauté et d’espoir. Et non, les Chrétiens ne sont pas pacifiques dès lors que le combat se fait contre le Mal ! C'est d'ailleurs la seule action qui nous est permise avec violence et la volonté de faire éclore la vérité du sacré.

La richesse de notre histoire, de notre culture, de notre spiritualité et de notre patrimoine, mérite d'être célébrée, non pas comme de simples reliques d'un passé révolu, mais comme des phares qui nous guident vers l'avenir. Malgré les agissements de certains de nos dirigeants, souvent corrompus et trop souvent dévoués à un système qui se nourrit de la division et du désespoir, nous devons résister à la tentation de sombrer dans l'apathie. Ce système, soutenu par des forces obscures, se présente sous un masque séduisant, prétendant apporter progrès et modernité, mais il ne fait que nourrir les ténèbres.

Toulouse, ville emblématique de la culture et de l'art, doit se lever comme un bastion de résistance. Et par elle, la France suivra et cessera son déni d'identité et sa soumission aux entités du Mal. L’enfer est pavé de bonnes intentions, dit-on. Mais en ajoutant ce concours de dessins pour enfants intitulé "Dessine ta machine imaginaire", où les jeunes sont invités à exprimer leur créativité, nous nous demandons : quel message voulons-nous vraiment leur transmettre ? La normalisation d’un univers où le mal est célébré n’est pas qu’un simple détail ; c’est un choix délibéré qui pourrait façonner les esprits de demain.

Car, Astérion, avec son passé enchanteur, évoque des légendes anciennes noires, mais ce spectacle devient un rappel inquiétant des forces qui régissent notre existence et ceci sera vissé dans le cerveau de nos enfants à jamais. L'araignée tisse sa toile, d'où les moucherons que nous sommes face à ces dirigeants devenus fous, ne sortirons pas. Ainsi, la présence de Lilith n’est bien évidemment pas un hasard, car elle incarne celle qui donne naissance aux ténèbres, un archétype qui menace clairement notre équilibre et notre identité collective.

Alors, relevons cet ultime défi ensemble, en unissant nos voix pour proclamer notre détermination à préserver notre identité et notre culture, lors de cette messe de consécration offerte par le diocèse de Toulouse. Exprimons notre fierté d'être Toulousains, Français, sains de corps et d'esprit, et surement pas dupes devant leurs manigances, nous les héritiers d'un riche passé et bâtisseurs d'un avenir lumineux. La Lumière que nous portons en nous est plus forte que toutes les ténèbres qui veulent l’éteindre. Faisons-en un étendard, un symbole d’espoir et de renaissance qui brillera loin dans leurs tentatives de noircir le monde et notre ville. Car ce n'est qu'ensemble, dans la solidarité et l'amour, que nous ferons briller à nouveau la Lumière de Toulouse.

Dans ce combat pour nos valeurs, n’oublions jamais que nous sommes les gardiens de notre culture, et que chaque action, chaque décision compte. Face à cette offensive des ténèbres, il est de notre devoir d'être les véritables porteurs de la Lumière Divine.  En cette heure de turbulence, restons ferme dans notre conviction que la beauté, la vérité et l'espoir triompheront. Ne laissons plus jamais la nuit engloutir notre Lumière !

Phil BROQ.


Commentaires

  1. L’œuvre d'art ne glorifie ni ne stigmatise, elle offre une vision de ce qui est dans nos esprits, nos âmes et qui nous menace ou nous fascine. Elle est de parti-pris. Le parti-pris d'éclairer, de faire monter à la conscience les croyances, les êtres, les choses qui nous dérangent. Et manifestement vous êtes dérangés. Mais ce n'est pas l’œuvre qu'il faut critiquer et vouloir interdire et même supprimer. Parce qu'ainsi vous supprimerez potentiellement les œuvres d'art que vous-même aurez créé, et qui ne plairont peut-être pas à d'autres...L’œuvre d'art est une sorte de lanceur d'alerte.
    Et, j'oubliais, une incarnation de la liberté de dire tout ce qui travaille l'esprit humain. C'est sans doute le dernier de liberté. Alors, la liberté, c'est pas la liberté d'accepter et de saluer simplement votre conception de l’œuvre, votre liberté. Ca, c'est ce que pratiquaient les colonialistes, en imposant leur foi, leur conception de l'humanité, d'abord avec les prêtres, ensuite avec les canons, les tueries, les exterminations...

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    1. Si pour vous ceci est de l'art, alors je crois que vous vous trompez dans votre définition, du beau, du bon et du vrai qui sont les bases de ce qui est l'art ! Confondre cette mascarade avec du beau, ou du bon , je comprends que l'on en soit arrivé là si vite avec des esprits déformés, incapable de visualiser ce qui est bon de ce qui est laid ! Au mieux , ceci est du Lard, et ce n'est vraiment que pour les porcs ! Quant à la liberté, c'est aussi celle de refuser la laideur, l'instrumentalisation, l'imposition du faux et du lugubre sous prétexte que des personnes hallucinées et sans talents ni génie se prennent pour des artistes ! je ne veux rien supprimer, juste avertir que des esprits dérangés cherchent à pervertir la société avec des spectacles - que je finance malheureusement avec mes impôts-... et comme tout "artiste", c'est à dire artisan d'une oeuvre qui se respecte, je ne vis pas de subventions mais de mes lecteurs ! Et si l'art doit déranger, ce n'est pas de l'art car il doit fédérer au contraire, car c'est le symbol qui rassemble, ce qui divise est le diabol !

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