17 septembre 2024

L'ART DE LA FARCE DIVINE

Ah, mes chers amis, plongeons ensemble dans le grand théâtre Divin où, malgré nous, nous jouons tous des rôles dans une comédie aussi fascinante que les chefs-d'œuvre de la dramaturgie. Imaginez une scène où les oligarques, véritables maestros du pouvoir et de l'argent, tirent les ficelles d'une marionnette mondiale. Pendant ce temps, l’Omnipotent observe de loin, comme un spectateur amusé. Dans cette pièce où les "gentils" et les "méchants" se disputent les premiers rôles, chaque mouvement et chaque décision semblent orchestrés pour captiver un public avide de spectacle. La grandeur divine, quant à elle, plane sur ce chaos avec une indifférence majestueuse, démontrant que l’essence du cosmos ne dépend ni des applaudissements ni des huées de ses figurants.

Nous évoluons dans une comédie cosmique dont le scénario rivalise avec les œuvres de Shakespeare… si Shakespeare avait eu un penchant pour le grandiose et l’absurde. Imaginez un théâtre d'ombres où les oligarques, ces virtuoses du pouvoir et de l'argent, manipulent les fils des marionnettes mondialistes façonnées à leur image. Et comme tout bon drame épique, il y a le coup de théâtre ultime : le grand retour de l'Omnipotent, observant la scène d'un regard distant, tandis que nous, simples figurants, cherchons encore à prouver sa grandeur. Oui, mes amis, même sans nos prières ferventes et nos dévotions éclatantes, Dieu reste et restera le souverain incontesté du cosmos tout entier. Pourquoi un créateur de galaxies aurait-il besoin d'un fan club pour briller de mille feux ? C'est nous qui avons besoin de Lui et non l'inverse !

Examinons d’abord le "casting" de notre drame planétaire. D'un côté, les "gentils" ou les "Goyims", ces héros à la moralité éclatante, dont le cœur est aussi pur que l'eau d'une fontaine céleste. De l'autre, les "méchants", dépravés et impies, dont la mission première semble être de compliquer la vie des gentils. Ce contraste n'est pas simplement un choix scénaristique, mais une construction narrative sophistiquée, où chaque action et chaque réaction est soigneusement orchestrée pour tenir le public en haleine.

Regardons à présent, dans cette lutte éternelle, nos titans modernes : Trump, Poutine, Musk, ces figures quasi mythologiques, armées de projets démesurés et de discours flamboyants ; et de l'autre côté, Gates, Soros, Schwab, les architectes des réformes grandioses détruisant l'Humanité, comme des démiurges façonnant notre avenir avec une confiance inébranlable. Quelle farce ! Ces géants se dressent comme champions des causes nobles, surtout devant les médias, mais ne nous y trompons pas, derrière leurs façades de grandeur, ils ne sont que des acteurs dans une pièce où chaque geste est scripté uniquement pour préserver leur suprématie financière. Trump, Musk, et leurs semblables ne sont pas meilleurs que Gates et Schwab. Ils sont tous des protagonistes d’une même pièce, avec certes des rôles opposés mais surtout un objectif identique : conserver leur contrôle sur les masses et leurs privilèges. Les récits de sauvetage, les projets d'innovation et les déclarations grandioses ne sont rien d'autre que du spectacle, une illusion destinée à nous faire croire en leur grandeur, et payé à nos frais.

Les puissants milliardaires de ce monde, qu'ils soient icônes de l'industrie ou champions de la philanthropie, savent pertinemment que leur suprématie repose autant sur leurs actions que sur leur capacité à entretenir l'illusion. Nous vivons dans une farce scénarisée où les "gentils" et les méchants que l'on nous présente dans les meRdias sont interchangeables, chaque camp jouant son rôle pour préserver le statu quo. Nous, les spectateurs, sommes invités à applaudir ou à huer, à croire ou à douter, mais surtout à participer à cette grande mascarade.

Dans notre époque moderne, les guerres ne sont plus simplement des conflits armés, elles sont des stratégies minutieusement orchestrées pour maintenir l'équilibre des pouvoirs et des illusions. Les puissants ont compris que les guerres, qu'elles soient physiques, climatiques ou économiques, servent de distractions efficaces pour détourner notre attention des véritables enjeux. Les crises qu'ils orchestrent deviennent des occasions en or pour semer la division parmi les masses, pendant que les véritables maîtres du jeu continuent à manipuler les ficelles en coulisses. Tant que le peuple se bat, les élites sont tranquilles.

Mais au-delà de ce grand spectacle tragi-comique, que reste-t-il pour nous, simples acteurs ? Quelle signification personnelle pouvons-nous extraire de ce drame grandiose dans lequel nous sommes engagés malgré nous? Peut-être que, dans cette vaste scène où chaque geste semble préétabli, la véritable quête réside dans notre capacité à donner un sens à nos propres actions, à choisir comment nous jouons nos rôles d'humains, et à chercher, au-delà des apparences, la véritable essence de notre existence.

Mais les stratagèmes des oligarques ne se limitent pas à de simples manipulations. Ils intègrent et alternent des techniques sophistiquées de persuasion et de distraction, de soumission et de récompenses. L’influence des meRdias, la gestion des crises, et les récits fabriqués sont autant d'outils utilisés pour modeler notre perception de la réalité. En révélant ces mécanismes, nous pouvons commencer à comprendre comment nous sommes guidés dans cette grande farce suicidaire et, surtout, comment nous pouvons résister à ces manipulations.

Face à cette absurdité grandiose, il est crucial de se rappeler que notre capacité à ressentir de l'empathie et à agir avec compassion est ce qui nous distingue réellement des monstres qu'ils sont. Alors que les grandes manœuvres des puissants peuvent sembler inévitables, c’est dans notre humanité et notre capacité à nous soutenir mutuellement que nous trouvons des réponses significatives. En fin de compte, c’est notre humanité partagée qui peut offrir un contrepoids aux machinations du pouvoir et apporter un sens véritable à nos vies.

Alors, mes amis, armés de cette perspective sur notre rôle dans le grand théâtre des oligarques, que pouvons-nous faire concrètement pour améliorer notre existence ? Peut-être que le vrai défi est de transformer cette prise de conscience en actions significatives dans nos vies quotidiennes. Que ce soit en cherchant la vérité, en agissant avec intégrité ou en faisant preuve de charité, chaque petit acte compte dans la construction d’un monde où la grandeur divine peut se refléter dans nos actions humaines. Cette grandeur symbolisée par le Christ.

Dans cette vaste toile eschatologique, se pose la question éternelle de la relation entre l'individu et le divin. Les philosophies anciennes et les traditions spirituelles nous enseignent que notre connexion avec l’Omnipotent transcende les apparences et les illusions du monde matériel. En explorant ces dimensions plus profondes, nous pouvons trouver des éclaircissements sur notre véritable nature et sur le rôle sacré que nous jouons dans ce grand spectacle. Aussi faut-il le vouloir et recommencer à prier, avec humilité, pour nos écarts et nos péchés.

En conclusion, alors que nous nous immergeons dans cette farce aux relents sataniques, rappelons-nous que la grandeur divine n’est pas influencée par nos petites intrigues humaines. Nous sommes tous des acteurs dans cette comédie épique, où le grandiose et l'absurde ne sont plus que les deux faces d'une même pièce. Les puissants, qu'ils soient icônes ou philanthropes, ne sont que des personnages d’un drame dont l'Omnipotent reste le véritable metteur en scène. 

Applaudissons avec discernement et jouons nos rôles avec conviction, mais n’oublions pas que la véritable sagesse réside dans la manière dont nous écrivons notre propre histoire au sein de cette grande aventure divine. Et au final, même si le scénario est déjà écrit et les acteurs en place, chaque événement minutieusement orchestré, notre véritable mission est surtout de jouer notre rôle avec sagesse, de proposer le beau, le bon et le vrai à chaque moment et ainsi, d'embrasser réellement notre propre destinée divine dans ce vaste théâtre de la vie.


Phil BROQ.














Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire