29 septembre 2024

LA FRANCE A PERDU FACE AUX MAFIAS

La France, jadis berceau des Lumières et symbole de liberté, d'égalité et de fraternité, se trouve aujourd'hui plongée dans un gouffre de corruption et de désillusion. Ce qui aurait dû être une démocratie vivante et prospère est devenue, sous l'emprise d'une mafia bancaire et de l'élite corrompue, une véritable république bananière. Le pouvoir politique est enchaîné à des intérêts financiers privés, tandis que les citoyens, réduits à l'impuissance, observent leur pays sombrer dans un chaos moral et institutionnel.

L'avènement d'Emmanuel Macron, un ancien banquier chez Rothschild, incarne parfaitement cette dérive. Présenté comme un agent des puissances financières mondiales, Macron a, dès son arrivée au pouvoir, mis en œuvre un agenda centré sur l’endettement massif de l’État et la privatisation de ses ressources, au profit de ses alliés banquiers et de l’élite économique mondiale. Son ascension au pouvoir a marqué un tournant dans l’asservissement de la France aux oligarchies bancaires, transformant la politique nationale en un vaste marché où les décisions sont dictées par la finance et non par l’intérêt du peuple.

Sous son mandat, la situation s’est dramatiquement détériorée. La mafia bancaire, représentée par une poignée de puissants acteurs, s’infiltre dans chaque recoin de la société, de l’économie aux médias. Ces institutions bancaires, soutenues par des loges franc-maçonnes et leurs maîtres sionistes, contrôlent désormais le destin du pays, en étouffant les voix dissidentes et en imposant des politiques économiques destructrices pour la population.

Les médias, autrefois considérés comme les gardiens de la démocratie, se sont transformés en relais de propagande au service de cette oligarchie. Les scandales politiques qui devraient faire la une sont étouffés, banalisés, voire ignorés. Les journaux et chaînes de télévision, souvent contrôlés par des milliardaires proches du pouvoir, façonnent l’opinion publique pour maintenir le système en place. La liberté de la presse, principe fondamental de toute démocratie, a cédé la place à une presse asservie aux intérêts économiques des élites.

Les affaires de corruption éclatent régulièrement sans qu’aucune véritable justice ne soit rendue. Toutes les figures politiques emblématiques sont empêtrées dans de véritables scandales financiers, que l'on pourrait apparenter à de la haute trahison, mais échappent comme toujours à toute sanction réelle. Ce traitement de faveur accordé aux élites alimente ce sentiment croissant d'injustice parmi les citoyens, constatant amèrement que les lois, censées s'appliquer à tous, ne sont qu’un outil de répression aux mains de ceux qui contrôlent le système.

Les relations douteuses que la France entretient avec des puissances étrangères, comme le Qatar, l'Ukraine ou Israël, sont un autre signe évident de cette dégradation. L'acquisition de grandes institutions culturelles et économiques françaises par des fonds étrangers, tels que le rachat du Paris Saint-Germain par des investisseurs Qataris, illustre la vente à la découpe du patrimoine national. Derrière des apparences de coopération diplomatique et économique se cachent des transactions obscures, qui sacrifient l'indépendance nationale sur l’autel du profit privé et de la corruption. La France se soumet aux intérêts financiers d'entités étrangères et surtout américaines, au détriment de ses propres entreprises et de son économie nationale. Les dérogations fiscales accordées à ces géants étrangers, dont Black Rock est la plaque tournante, écrasent les petites et moyennes entreprises locales, laissant les citoyens livrés à eux-mêmes dans un environnement économique de plus en plus hostile et face à une police devenue une milice archi-corrompue.

L'un des exemples les plus récents et troublants de cette soumission est la gestion des aides à l’Ukraine dans le contexte du conflit avec la Russie. Officiellement, la France et l’Union Européenne apportent un soutien militaire et financier à Kiev pour défendre la "liberté" et la "démocratie". Cependant, derrière cette façade humanitaire se cache un réseau de corruption systémique, impliquant des entreprises d’armement et des banques qui prospèrent grâce aux milliards d’euros injectés dans l’effort de guerre. La France, en apportant ces aides, semble davantage protéger les intérêts de l’industrie militaire occidentale que ceux de la paix.

Les milliards versés pour soutenir l'Ukraine sont canalisés à travers des institutions financières et des groupes privés, comme BlackRock, qui se positionne comme un gestionnaire privilégié de la reconstruction du pays, malgré des critiques croissantes concernant leur rôle dans l’exploitation des ressources ukrainiennes à des fins de profits. Cette intervention massive de la finance américaine dans les affaires européennes, et particulièrement dans le conflit ukrainien, s’inscrit dans une logique néolibérale qui écrase les petits acteurs économiques locaux et conforte l’emprise de l’oligarchie mondiale sur les nations.

Le Qatar, via des investissements massifs dans des secteurs clés de l’économie, profite d’un régime fiscal avantageux en France, lui permettant de tirer des bénéfices colossaux tout en contribuant peu à l’économie nationale. Les dérogations fiscales, accordées généreusement aux géants financiers comme BlackRock et d’autres investisseurs étrangers, aggravent la situation des petites et moyennes entreprises françaises. Ces dernières, véritable colonne vertébrale de l’économie nationale, sont écrasées sous une concurrence déloyale et une fiscalité asphyxiante, alors que les multinationales profitent d'une totale impunité.

De plus, en grande partie, à l’exception de l'immigration asiatique, qui a le bon goût de s’en tenir à des cultures millénaires, les immigrés nord-africains et sub-sahéliens, issus de sociétés tribales, semblent s’épanouir dans le chaos, habités par un ressentiment hérité de parents incultes et revanchards. Elevés dans un mépris palpable des lois et des mœurs françaises, ils s’agrègent en communautés, bien aidés par un pouvoir profond complice et un appareil d’État aux ordres, entièrement dévoué aux intérêts d’un patronat avide. 

Dans cette danse macabre, une bourgeoisie française, en proie à un anti-communisme maladif et qui, depuis Mitterrand, préfère voir la classe ouvrière plonger dans les bras de l’extrême droite, trouve son bonheur à manipuler un « lumpen prolétariat » politiquement inoffensif. Pendant ce temps, l’Occident, en pleine crise, voit son maître américain, croulant sous une dette colossale et engoncé dans des infrastructures en ruines, s'accrocher désespérément à la suprématie d'une monnaie au bord de l'effondrement, tout en continuant d'exploiter le monde occidental et ses fidèles satellites européens. Ah, quelle belle époque de déclin !

Ajoutons à cela, l'impunité des crimes israéliens dans les territoires palestiniens est un autre exemple frappant des relations troubles qu’entretient la France avec certaines puissances étrangères. Alors que les gouvernements successifs, y compris celui de Macron, se posent en défenseurs des droits de l’homme, ils ferment les yeux sur les exactions commises par l’État israélien contre les Palestiniens. Malgré des violations répétées du droit international, les assassinats ciblés et les bombardements de civils dans la bande de Gaza sont ignorés ou minimisés dans les discours officiels français.

Cette connivence avec Israël ne se limite pas à la politique étrangère. En France même, des accords économiques et sécuritaires renforcent cette relation. Les élus bi-nationaux, véritable gangrène plus loyale envers les intérêts israéliens que ceux de la France, influencent les lois et les politiques, légiférant contre les libertés des citoyens. En promulguant des législations qui renforcent la surveillance, limitent les droits à la contestation et favorisent les intérêts des grandes entreprises, ces élus trahissent leur engagement envers le peuple français. Leur action met en péril les principes fondamentaux de la démocratie, sacrifiant la souveraineté nationale et le respect des droits individuels sur l’autel de leur loyauté envers des puissances étrangères, en exacerbant le sentiment d'injustice et d'aliénation au sein de la population.

Les entreprises israéliennes spécialisées dans les technologies de surveillance et de cyber espionnage, telles que NSO Group, profitent des troubles sécuritaires en France pour imposer leurs technologies intrusives, sous couvert de lutte contre le terrorisme. Les citoyens français, surveillés de plus en plus étroitement, subissent ainsi les conséquences d’un État qui se militarise et s'inspire des méthodes répressives israéliennes, faisant de la police une milice presque incontrôlable.

BlackRock, souvent présenté comme le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, incarne la collusion entre les intérêts financiers et politiques qui gangrènent la France. Ce géant de la finance bénéficie de relations privilégiées avec Emmanuel Macron et son gouvernement, influence les politiques publiques, et s’enrichit sur le dos des citoyens français. Que ce soit à travers la privatisation des services publics ou la réforme des retraites, qui profitent directement aux gestionnaires de fonds privés, BlackRock s’impose comme une plaque tournante de la mafia bancaire qui contrôle l’avenir de la France.

Le rôle de BlackRock dans la réforme des retraites, par exemple, est particulièrement symbolique de cette emprise. Alors que le gouvernement Macron impose des mesures d’austérité pour réduire les dépenses publiques, les gestionnaires de fonds privés se frottent les mains à l'idée de récupérer des milliards d’euros de cotisations des travailleurs. La promesse de privatiser des secteurs clés de l’économie, tels que la gestion des retraites, permet à ces acteurs financiers de renforcer leur contrôle sur l’économie française, au détriment du peuple.

L’un des symptômes les plus visibles de cette corruption généralisée est la transformation progressive de la police française en une véritable milice, au service des élites et des banques. Loin de protéger les citoyens, les forces de l’ordre répriment violemment les mouvements sociaux et les protestations populaires. Les récentes manifestations contre la réforme des retraites ou le mouvement des Gilets Jaunes ont montré l’ampleur de cette dérive : violences policières, répression systématique et impunité totale pour les forces de l’ordre.

Cette police, archi-corrompue et infiltrée par des intérêts privés, est utilisée pour protéger les institutions financières et les multinationales contre le peuple. Le recours aux technologies de surveillance israéliennes et à la militarisation de la police montre clairement que l’État français, sous Macron, n’hésite pas à écraser toute forme de contestation pour préserver le système en place. Cette situation accentue le fossé entre l’élite, protégée par une milice armée, et les citoyens qui subissent une violence d’État grandissante.

La France, gangrenée par la mafia bancaire, les intérêts étrangers et une élite corrompue, est aujourd’hui à la croisée des chemins. Les citoyens, conscients de cette dérive, doivent s’unir pour revendiquer une véritable démocratie, libre de l’emprise des banques et des puissances étrangères. Seule une prise de conscience collective pourra permettre de renverser cette tendance et de restaurer un État qui protège réellement ses citoyens, plutôt qu'une oligarchie qui n'a que faire de leurs droits et de leurs besoins.

Dans ce contexte, le temps est venu pour le peuple de se révolter contre cette tyrannie financière et politique qui écrase nos libertés et notre dignité. Il est impératif de récupérer notre démocratie, de briser les chaînes de l’oligarchie et de restaurer la souveraineté nationale, que ce soit face à la mafia bancaire ou aux élus traîtres qui s’alignent sur des intérêts étrangers. La lutte pour une France libre et démocratique commence aujourd'hui, et il n’y a plus de place pour la complaisance ou l’indifférence. Il est temps de faire entendre notre voix, de dénoncer ces oppresseurs et de renverser ce système corrompu. Si nous restons passifs, nous ne serons que des spectateurs de notre propre déchéance. La résistance est notre seul espoir, et elle se doit d'être totale et intransigeante. Levons-nous et affirmons notre volonté de reprendre le contrôle de notre destin, car notre avenir en dépend.

J'ai déjà dit souvent, écrit encore plus souvent et scandé ces vérités basiques lors de toutes les manifestations depuis les 8 dernières années, mais visiblement, ce peuple qui compose la France est aujourd'hui dans un tel niveau de déni et d'avachissement intellectuel, que je ne vois plus vraiment quelles solutions apporter pour empêcher ce pays de disparaître définitivement, ainsi que tous ses habitants. 

"On ne fera pas le monde de demain avec les cons d'hier," alors vivement que l'on fasse table rase de tous ceux qui clairement voient ce suicide d'un bon œil, ou pour le moins ne s'en inquiètent même pas !

Phil BROQ.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire