16 septembre 2024

LE JEU DU KISSUSKI ou LE VAUDEVILLE SAUCE SOCIALISTE

Dans le grand théâtre de la politique française, l'intrigue se déploie avec la finesse d'une tragédie shakespearienne mêlée à l'absurdité d'une comédie moderne. C'est un monde où les alliances se trahissent, les amours se dévoilent et les scandales se propagent avec une rapidité inégalée. Les acteurs principaux de cette pièce de théâtre ne sont autres que les figures les plus flamboyantes du panorama politique Français où le monde du pouvoir et du sexe semble se croiser de manière inextricable dans cette danse effervescente.

Il était une fois, dans le royaume tumultueux de la Ripoublique française, où les Cahuzac et les Gayet formaient un duo rocambolesque. Les Cahuzac, dont la fortune et la politique se mêlent à des histoires de comptes en suisses, chez son Frère directeur d'HSBC, et de trahisons sur fond de promotion canapé, étaient en désaccord avec les Gayet, dont le père, célèbre chirurgien, avait même eu des relations avec Macha Méril. Julie Gayet, fille de ce chirurgien marié à une riche antiquaire qui avait été jusqu'à souffler son château dans le Gers à l'alcoolo Aubry (autre pauvre socialiste qui s'en ira cuver sa rancœur à Lille), était la maîtresse de Philippe Risoli, un animateur écarté du "Juste Prix" pour des raisons aussi mystérieuses que soudaines mais dont le secrétaire du PS pourrait surement nous éclairer, à juste titre.

Cette pièce prend une tournure dramatique avec l’arrivée de Jérôme Cahuzac, ministre du Budget. En pleine tourmente pour des comptes dissimulés en Suisse, il se retrouve dans une situation encore plus épineuse lorsqu'il se sépare de sa femme Patricia, qui, pour se venger, révèle les dessous de l’affaire. Patricia Cahuzac, en effet, n'est pas en reste : elle fréquente Carlos Ghosn, le PDG de Renault/Nissan.

Cette révélation secoue le monde politique et surtout, Ghosn, alors client de Rachida. Ce dernier passera par la case Prison au Japon, pour lui apprendre ou ranger ses pinceaux, alors que l'ex-garde des sôts sceaux Rachida Dati finira, mise en examen pour corruption passive et "recel d'abus de pouvoir" pour ses prestations de "conseil" en tant que son avocate, sur les montages immobiliers internationaux défiscalisés. N'est pas Alliot-Marie, épouse Olliet, qui veut !

Mais ceci, servira surtout pour expliquer à Rachida, les règles complexes du grand jeu du Kissuski à la Française, par un système judicaire spécialisé en la matière ! Mais qui garde un doigt sur le coup de son frère, condamné pour trafic de stupéfiant. Alliot-Marie et Olliet, quant à eux, seront d'ailleurs mis sous pression par cette même justice, revenue entre-temps vers la Gauche Caviar, pour "détournement de fonds publics" et " prise illégale d'intérêts". Elle, pour ses montages financier immobiliers avec Ben Ali et l'utilisation abusive de Jet Privés, et lui pour avoir bénéficié, par l'intermédiaire d'amis et de son fils, de plusieurs opérations immobilières aux dépens de la commune de Rueil Malmaison dont il était Maire.

La sauce s’épaissit encore un peu lorsqu'Aurélie Filipetti, ancienne ministre de la Culture, dont la liaison avec Jérôme Cahuzac, ce dernier largement financé par Pfizer sur des comptes en suisse, devient publique au moment où elle est encore en couple avec le petit "Young Leader" Montebourg. Coupant l'herbe sous le pied de ce dernier visant le fauteuil de l'Élysée, Filipetti vexée, après avoir été quittée par Cahuzac pour Ségolène Royal, se lance alors dans une vendetta médiatique, exposant toutes les affaires de son ancien amant harceleur.

Le tableau s’assombrit encore car, Isabelle Copé, avocate de Patricia Cahuzac et sœur de Jean-François Copé, joue également un rôle clé. En tant que maîtresse de l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, étant lui-même passé dans les bras de Ségolène Royal, est soupçonnée d’avoir ouvert de nombreux comptes en Suisse. La relation entre Ayrault et Copé ajoute une dimension supplémentaire à ce dédale d’intrigues où les billets se nettoient dans des draps sales, et les lingots se cachent sous l'oreiller.

Jean-Marc Ayrault, quant à lui, n’échappe pas à l’amusement des observateurs. Ce fervent personnage, lié littéralement cul et chemise à Ségolène Royal, se retrouve donc, par la grâce des loges, lui aussi mêlé et médiatisé sur ses scandales financiers et politiques, tout en étant également impliqué dans la farce de la villa de Michel Drucker, à Saint-Rémy-de-Provence. Drucker, l'ami intime des Cahuzac, ayant obtenu une autorisation pour construire sa villa sur un site classé, grâce à l'intervention providentielle de cet ami, et évidemment en dépit des lois en vigueur.

Au milieu de ce tourbillon de corruption, entre frou-frou et gros pognon, le fils de Simone Weil, Maître Jean Weil, avocat de DSK, ajoute une touche ethnique supplémentaire à cette comédie politique. DSK, l’ancien directeur du FMI dont les affaires judiciaires ne sont plus à présenter, incarnant la collusion parfaite entre pouvoir, sexe et pognon de dingue, n'échappe pas au scandale. Scandale couvert à coup de chéquiers à millions, distribués par sa femme Anne Saint Clair, venus de son bas de laine issu de la shoah, afin d'étouffer non pas ses frasques à lui, mais ses parties fines régulières dans les saunas parisiens à elle. Tout ce petit monde du pouvoir et du sexe semble se croiser de manière inextricable dans ces danses orgiaques effervescentes.

Alors comment ne pas évoquer les coulisses avec Bernard Kouchner, ancien ministre de la Santé et ami du père Gayet, dont le nom, bien qu’ayant souvent flotté dans les airs, reste une présence discrète mais influente dans le réseau complexe des relations et intrigues politiques où se mêlent, pédophilie, vente d'organes, trafic d'êtres humains et dessous de tables juteux. Les frères Duhamel, Dany Cohn-Bendit, Jack Lang, Richard Berry et consœur, invités prestigieux du diner du siècle, n'en diront rien de plus, de peur de se voir aussi affichés que l'Ex d'Ockrent dans des parties fines où son fils servait de fourre tout, aux relents de Blédina…

Ceci, sans omettre l'autre versant de cet iceberg avec le cousin circoncit d'Hollande, Nicolas Sarkozy, à qui depuis on a posé un bracelet électronique pour ne plus le perdre jusqu'à New-York, et qui a joué également un rôle de premier plan dans la distribution de l'or pour les lâches. Sa femme écœurée par le scénario proposé, le quittant pour un publiciste américain mais toujours à Kippa, Sarkozy se retrouve alors avec une Carla Bruni toujours disponible pour les amis de ses amis et ex-femme de d'Enthoven lorsqu'elle était aussi la maîtresse de Mike Jagger.

Pendant ce temps, Pierre Moscovici, le cousin de John Kerry, ayant fini de grimper la Vallaud Belkacem, récupère des dossiers pour l'aider à grimper de nouveau mais pas aux rideaux, mais sur un siège juteux et à vie de commissaire à l’UE. Siège dont il jouira depuis avec sa femme de trente-cinq ans plus jeune que lui, tout en étouffant ses propres affaires financiero-sexuelles sur notre territoire. Najat récupère au passage la présidence de l'association France Terre d'Asile, la plus ruineuse arnaque aux subventions de France. Et Moscovici, dans ces affaires récupérées au bureau des socialos, trainent des fiches sur les frères Duhamel, dont Olivier ira taquiner les roubignoles de son beau-fils, né Kouchner, en étant président du club Le Siècle, catalyseur mondain de ce petit entre-soi, éclaboussant les figures politiques de la place de Paris, de Jack Lang à Cohn-Bendit, en passant par Dray, Berry et Bandinter, en continuant avec tout le gang d'Henri-Levy. Ce dernier plus adepte du KIKIKI que du Kissuski avec son égérie défraichie.

Dans le même courant ethnique, notons que Kouchner, ancien ministre de la Santé, du même acabit que Cahuzac, et aussi ami intime du père Gayet qui travaillait pour lui en tant que médecin, reste une présence discrète mais très influente, au point d'envoyer la fille de ce dernier dans les bras d'Hollande ridiculisé, tout en punissant Royal de ses infidélités au clan des loges. Tandis que les familles de stars comme les Saval/Drucker et les Jarre ajoutent encore à la complexité du tableau. Stéphanie Jarre, après une romance avortée avec Jérôme Cahuzac, toujours lui, trouve refuge dans les bras d’Enrico Macias. Et Michel Drucker, remis de son accident d'hélicoptère étonnamment défaillant un jour de printemps, toujours en quête de nouveaux projets et de nouvelles controverses, se retrouve au cœur de cette saga pour redorer tous les dimanches le blason de ses amis mis sous pression, illustrant à coups de Prime Time flamboyant la complexité et l’absurdité de la politique française du divertissement, mais toujours à nos dépends.

Au prochain acte, nous verrons comment Bruno Le Maire, loin des préoccupations économiques dont on connait le succès pour l'hexagone et de ses livres dont les plus beaux secrets sont encore bien gardés, s'adonne à des moments de détente avec les amis de Pierre Palmade, dont fait partie G.Attal, entre deux rails de coke et trois compagnons. De leur côté, Gabriel Attal et Olivier Véran sont dans une situation délicate car leur relation estivale sur des yachts privés, cachée jusqu’alors, ne plaît guère à l’ex-mari d'Attal, devenu entre-temps l'unique Ministre des Affaires Étrangères analphabète au monde, afin de maintenir le secret sous le boisseau de leur sordide relation dont l'apogée fut d'être Pacsés. Secret qui pourrait le voir propulsé Commissaire Européen à la place de Thierry Breton, devenu trop gourmand et trop gênant en mettant involontairement sous la lumière les affaire de la famille Von Der Layen et son rôle sur les injections tueuses.

Rappelons que Von der Layen, déjà viré d'Allemagne pour corruption, a récupère son siège de Présidente à l'Union Européenne grâce à Schwab. Schawb dont le fils, directeur de McKinsey Asie, travaille en étroite collaboration avec celui de Von der Layen, directeur Europe de la même firme, et donc supérieur hiérarchique du fils Fabius, lui-même directeur France de cette même officine de conseil. Officine qui a profité des largesses du père Fabius, faisant la pluie et le beau temps sur les règles de la Raie Publique à son siège de président du conseil d'état et donnant à son fils tous les droits pour maltraiter les Français, tout en versant des émoluments à l'Union Européenne.

Subventions ruineuses au PIB, que Von der Layen distribuait à la société fictive de son mari durant la pandémie. Elle-même récupérant des rétro-commissions auprès d'Albert Bourlat, vétérinaire de son état mis en place précipitamment à la tête de Pfizer pour emmener le troupeau composé de moutons, castors, pigeons et autres autruches Françaises à l'abattoir, en remerciement des milliards versés à cette escroquerie génocidaire, dont on n'a pas encore fini d'écrire le scénario. La Buzyn et son mari Levi, ne faisant office que de gardiens de troupeau pendant que Salomon subventionnait l'abattoir, avant d'être envoyé directement à l'OMS pour services rendus. Mais ce sera là l'occasion d'une autre histoire, plus sombre encore.

Ainsi, cette tragi-comédie politique s’achève, pour l'instant, sur une note de réjouissance ironique : le pays est gouverné par des acteurs de X, et qui n'ont rien à voir avec Twitter, dont les histoires privées et les ambitions se mêlent en un grand ballet de corruption et de rétro-commissions, mélangeant scandales et bacchanales. La politique française, avec ses coulisses effervescentes et ses rebondissements improbables, offre un spectacle inégalé, où chaque révélation est à la fois une comédie ratée et une tragédie pour un peuple systématiquement racketté par ces protagonistes.

Mes chers lecteurs, la politique française est, comme vous pouvez le constater, un véritable feuilleton à tiroirs, où le pouvoir, l'argent et les passions se rencontrent dans un tourbillon incessant de chaises musicales et où le chef d'orchestre reste toujours masqué, mais dont l'identité commence à être cernée. Alors, gardez toujours un œil avisé sur ce grand théâtre où les Raies publiques de la politique ne cessent jamais de faire parler d’elles. Mais surtout, n’oubliez pas que ce sont eux qui nous gouvernent, pour le meilleur et pour le pire, mais rarement pour le rire !


Phil BROQ.






 

 

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