QUAND LA DÉMOCRATIE MEURT SOUS LE POIDS DES BOMBES
Il y a des jours où l’Histoire bégaie avec un cynisme si épais qu’il suffirait d’un réveil collectif pour le dissiper. Mais rien ne vient. Ni réveil, ni même sursaut dans le sommeil profond des consciences. Juste un silence obstiné des peuples hypnotisés, la torpeur d’un déni massif dans une Europe désormais soumise non à ses citoyens, mais à la volonté glacée de figures non élues, dont le vernis démocratique s’effrite au fil des scandales. Ursula von der "La Hyène", impératrice sans trône mais toute-puissante, assistée par Macron et quelques autres chefs des prédateurs affamés des libertés publiques et des droits des peuples, récidive et s'attaque, comme toujours, à la carcasse déjà mutilée de la démocratie européenne. Cette Union Européenne, censée être l’ultime rempart de la paix mondiale, se transforme désormais en usine de guerre et d’endettement. D’un côté, on nous parle de solidarité, de l’autre on déclenche un programme financier pour soutenir l’industrie de la mort avec une sécurité, qui n'est qu'une illusion de plus pour dissimuler un surarmement en toute impunité.
Alors que France-Soir nous informe avec une tranquillité glaciale que, sous prétexte de la mise en œuvre du Plan ReArm Europe, Ursula von der Leyen ose justifier son choix de contourner le Parlement européen - comme si ce dernier n’était qu’un simple accessoire -, Geopolintel, quant à lui, nous avertit d’une dérive encore plus inquiétante où la France serait sommée de rejoindre les accords de partage nucléaire de l’OTAN pour "renforcer" la dissuasion européenne. Une décision qui, sous des airs de grande stratégie, sent la soumission aveugle et la fin de l’indépendance nationale. La présidente de la Commission européenne, dans une entreprise de centralisation toujours plus autoritaire, se permet donc de violer les principes démocratiques les plus élémentaires, tandis que les prétendus experts géopolitiques nous vendent l’idée qu’accepter l'intégration nucléaire sous le commandement de l’OTAN serait une victoire pour la souveraineté européenne. Mais quelle souveraineté ? Celle qui se cache derrière les promesses vides de sécurité sous égide américaine ?
L’absurdité d’un tel projet réside dans le fait que l’on nous pousse à renforcer la dissuasion européenne tout en nous entraînant toujours plus loin dans le giron de l’Empire américain, en troquant nos dernières illusions d’autonomie contre une coopération nucléaire qui n’est que le prolongement d’une servitude déguisée. La France, censée être l’ultime bastion de l’indépendance nucléaire, se voit donc sacrifiée sur l’autel d’une "solidarité" factice, où ses forces de frappe se trouveraient noyées dans un système de décision commun, orchestré à Bruxelles et Washington. Ce n’est plus une question de défense, mais bien de soumission de notre avenir à une logique d’armement et de commandement intégrés sous prétexte de "dissuasion", tout en renforçant le contrôle technocratique d’une Union Européenne déconnectée des réalités et des volontés populaires. Et cette manœuvre est aussi cynique qu’inquiétante.
Les menaces américaines de réduire ou de retirer leur protection du continent européen, loin de susciter une réaction énergique et solidaire, ont provoqué une panique froide, conduisant à des propositions risibles pour "renforcer" la dissuasion européenne. Des promesses de substitution à la dissuasion nucléaire des États-Unis se multiplient, mais leur vacuité est saisissante. Comment, avec des arsenaux nucléaires hétérogènes, une technologie partiellement dépendante des États-Unis, et des divergences abyssales en matière de doctrine stratégique, l’Europe pourrait-elle un jour égaler la puissance de feu américaine ? C’est une farce tragique où la France et le Royaume-Uni se retrouvent à rêver d’une solidarité nucléaire qui, en réalité, n’aurait aucune chance de résister à une crise. La France, pourtant championne de l’indépendance nucléaire, semble prête à sacrifier sa souveraineté pour quelques accords de façade, pendant que les autres pays de l’OTAN se contentent de repousser leur dépendance à Washington sous des airs de manœuvres stratégiques. Un semblant de défense collective qui ne ferait qu’ajouter à la confusion et à la fragilité d’une Europe déjà désemparée.
La vérité, plus dérangeante, est que l’Europe se trouve piégée dans un dilemme intenable. En effet, face à la montée des tensions mondiales et au déclin des engagements américains, la seule réponse viable serait de renforcer la solidarité nucléaire au sein de l’OTAN. Mais voilà, cette intégration plus poussée des capacités françaises au sein du NPG et la multiplication des "partenariats" nucléaires ne feraient que sacrifier l’un des derniers symboles de la souveraineté européenne. Et que dire de l’idée absurde de pays, comme la Pologne, tentés de s’armer de manière autonome ? Une telle démarche ne ferait que déstabiliser davantage un continent déjà fragilisé, risquant de déclencher une prolifération incontrôlable et de remettre en cause des décennies de contrôle des armements. La quête de sécurité par la nucléarisation ne ferait que multiplier les risques d’erreurs fatales et alimenter un cercle vicieux de méfiance et de compétition aveugle. Tout cela pour quoi ? Une Europe qui, au fond, ne fait que se soumettre à la logique d’un Empire américain tout en jouant à l’équilibriste avec ses propres illusions de pouvoir.
"La démocratie européenne repose sur deux piliers : ses citoyens et ses États membres, et nous avons besoin des deux pour notre sécurité", avait déclaré "La Hyène", sur un ton solennel, comme on récite une formule sacrée. Traduction : "Citoyens, vous serez dépossédés !", signifiant vidés de votre pognon, érodés dans vos droits, privés de vos libertés sous couvert d’état d’urgence permanent. Mais également, "États membres, quant à vous et à condition que vous soyez dociles", donc affaiblis, démembrés, réduits à des guichets d’exécution de nos ordres venus d’en haut, sans marge de manœuvre ni volonté propre, vous serez dans notre camp. Et ce "pour notre sécurité," qui sonne comme un appel à l’unité, mais désignant en réalité que leur sécurité. Celle de cette caste des "Zélites" hors-sol qui verrouillent le pouvoir, s’enrichissent et consolident leurs ignobles privilèges sur le dos des gueux à qui l’on demande en boucle de faire des sacrifices pour cette Europe mafieuse. Ce ne sont que des exécutants d’une tyrannie financière, des gangsters qui agissent en bande organisée, pendant qu’on dilapide notre avenir en blindés, en dettes et en dogmes.
Après avoir été éjectée de son poste de Ministre des Armées en Allemagne pour corruption active, Von der "La Hyène" a été impliqué dans plusieurs affaires concernant la mauvaise gestion des budgets et des contrats militaires du Ministère de la Défense allemande, sous sa direction. Puis dans l'utilisation d’entreprises privées de conseil, comme McKinsey et Boston Consulting Group (tout cela sans appel d'offres ou en contournant des procédures normales), pour des tâches censées être assurées par les fonctionnaires du ministère. Les contrats octroyés à ces entreprises ont alimenté les accusations de népotisme et de conflits d'intérêts. Et son ascension rapide au sommet de la Commission européenne a exacerbé les soupçons concernant la continuité de ces pratiques mafieuses à un niveau plus élevé.
Ursula von der "la Hyène", cette dirigeante par usurpation, n’a cessé d’évoluer dans l’ombre d’un système qu’elle a constamment enrichi tout en le contournant. Son passage à la tête de la Commission européenne, loin de marquer une rupture avec ses pratiques, a donc été pour elle une opportunité d’élargir son emprise sur les leviers du pouvoir. Le Pfizergate, le scandale des rétros commissions, l’argent versé discrètement sur le compte en banque de l'entreprise de son époux, l’implication de son fils chez McKinsey, tout cela a été noyé sous une mer de dénis et de dissimulations. Mais plus choquante encore, cette opacité persistante a été renforcée par la disparition d'un coup de baguette magique de ses SMS échangés avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, concernant l’achat de vaccins anti-Covid pour l’UE, dissimulant au passage les négociations secrètes autour de cet achat massif. Une transparence qui ne sera jamais qu'un leurre, et une démocratie dont la clarté se dissipe au gré des intérêts privés.
Mais ce n’est pas tout. Usurpant des droits qui ne lui appartiennent pas, elle s’est emparée du dossier ukrainien avec la certitude d’être la voix de l’Europe, alors que ses décisions unilatérales ont non seulement accru les tensions géopolitiques, mais aussi précipité l’Europe dans une spirale de dépendance et de militarisation. Ces choix ont été imposés au nom de la "sécurité", mais à quel prix ? Des millions d’euros d’aides directes, sans contrôle, ont été alloués à des grandes figures de la Tech, comme Bill Gates, transformant l'aide en un marchandage d'influences bien loin de l'intérêt public. Et pendant ce temps, les citoyens européens ont été poussés dans la misère à coup de réformes aussi autoritaires qu' austéritaires.
Et que dire du plan SAFE, (Security Action for Europe), cet instrument financier controversé lancé par la Commission européenne, toujours sous l’impulsion de "la Hyène", et visant à mobiliser jusqu’à 150 milliards d’euros sous forme de prêts communs européens pour financer l’achat collectif d’équipements de défense. Présenté comme une réponse urgente à la "détérioration du contexte sécuritaire", notamment en s'engageant de façon unilatérale dans la guerre en Ukraine lors du retrait partiel du soutien américain, SAFE marque un tournant historique, car pour la première fois, l’UE s’endette à grande échelle pour soutenir directement l’industrie militaire européenne. Le programme se distingue encore et toujours par son contournement des procédures démocratiques habituelles, puisque la Commission a activé l’article 122 du Traité sur le Fonctionnement de l’UE (TFUE), mécanisme d’urgence censé être utilisé en cas de crise grave, pour imposer ce plan sans passer par un vote parlementaire contraignant. À cela s’ajoute une clause dérogatoire au Pacte de stabilité, permettant lui aussi de contourner les règles de rigueur budgétaire imposées aux États membres avec une flexibilité accordée à l’armement, alors que "l'UE, c'est la paix", nous avait-on vendu ! Accords que l’on refuse souvent à la santé, l’éducation ou la transition écologique. SAFE s’inscrit donc dans une folie assumée de réarmement massif, à la fois pour des raisons de souveraineté industrielle et d’influence géopolitique, mais au prix d’un affaiblissement démocratique et d’un endettement collectif engagé sans consultation directe des citoyens européens.
Et maintenant, voici venir le ReArmGate, ce nouveau projet démesuré qui illustre, une fois de plus, la volonté farouche de cette hyène, agissant sans aucune retenue et voulant tout piloter derrière des portes closes, dans une fuite en avant militaire effrénée. Ce programme vise à reconstituer l’arsenal européen à coups de centaines de milliards d’euros empruntés, donc soumis à intérêts, et toujours en dehors de tout contrôle démocratique ni consultation des peuples directement concernés. A ce stade, l’hybris technocratique atteint ici son paroxysme. L’Europe, censée être le bastion de la coopération entre nations souveraines, devient désormais le terrain d’un grand projet d’armement où la sécurité est garantie pour ces élites décadentes au détriment des citoyens. Après tout, ce qui est en jeu, ce n’est pas la souveraineté des peuples, mais bien la perpétuation d’un système qui garantit la sécurité des comptes en banque de quelques privilégiés, tout en sacrifiant l’avenir de l’ensemble de l’Europe.
Et l’article 122 du Traité européen, un sorte de "49.3" à l'échelle du continent, devient alors un outil banal de contournement, à la faveur d’une urgence savamment entretenue par cette techno dictature. "L’urgence" - comme toujours - est mise encore en avant, mais celle qui justifie tout et surtout l'injustifiable. Or, la seule urgence à présent est de se débarrasser de ces malfaisants et rapidement. Car encore une fois, derrière la rhétorique martiale, la réalité reste crue avec des contrats opaques, des intérêts industriels colossaux, et une fuite en avant militaire qui prétend garantir la paix en réarmant les frontières et les esprits. Puisque pour cette caste, comme l'écrivit Orwell, "La Guerre, c'est la Paix !"
Ce n’est plus une Europe des peuples, c’est une Europe de gangsters, d'assassins, de fous de l’armement, de la dette mutualisée sans mandat et d'alliances nouées à huis clos. Pendant qu’on nous promet la sécurité, en nous entrainant vers un suicide collectif, on dilapide sans contrôle l’avenir de générations entières, pressées de payer le prix d’un projet dont elles n’ont jamais validé la folie. Et le Parlement européen, tout aussi corrompu et se vautrant dans les privilèges, relégué au rang de chambre d’écho, menace mollement, proteste poliment, tout en sachant qu'il n'est désormais qu'un théâtre d’ombres. La démocratie s’étiole au cœur même de l’édifice européen, en pleine lumière et face caméra sous les applaudissements discrets de ceux qui profitent de sa déliquescence.
Ce qui glace le sang, ce n’est pas tant la manœuvre en elle-même, puisqu'elle est aussi prévisible que mécanique - un spectacle tragique de la malhonnêteté politique -, mais l’atroce inertie des peuples depuis si longtemps. Cette acceptation fabriquée, cette torpeur collective - faisant détourner les yeux pendant que l’on façonne pour nous une Europe armée jusqu’aux dents -, est désormais inacceptable. Car ces peuples, pourtant à qui l’on vendait la liberté et l’autonomie, sont désormais les spectateurs dociles de leur propre asphyxie. Ils sont devenus, par leur avachissement total, complices volontaires dans ce meurtre démocratique et co-auteurs d’un suicide collectif.
On nous vend donc l’illusion de la "paix", tout en rendant la guerre inévitable. On invoque sans cesse la "sécurité", mais en réalité, ce sont leurs privilèges qu’ils blindent. On nous parle de "peuple", mais au fond, c’est la finance, ce monstre insatiable, qui est honorée. Nous sommes dans un système où l’on sacrifie des vies humaines sur l’autel de l’impunité et du profit, tout en brandissant des slogans vides pour calmer les consciences. Et pendant que les budgets sociaux se ratatinent, pendant qu’on enferme les nations dans des procédures pour déficit excessif, une clause magique apparaît pour délier les cordons de la bourse quand il s'agit de missiles, de drones et de blindés. L’austérité pour les vivants, la générosité pour la mort ! Leur doctrine est claire et l’humain coûte trop cher ! Alors que la guerre, elle, rapporte tellement plus...
Voici donc notre "avenir", soigneusement empaqueté dans un programme qui porte un nom d’une ironie glaciale avec ce Readiness 2030. Comme si l'on nous préparait non pas à vivre, mais à survivre dans un déclin permanent, pour mieux crever à crédit, le ventre plein de promesses creuses. Mais qui blâmer ? Les gouvernants ? Évidemment. Mais aussi nous-mêmes, devenus complices de notre propre défaite avec notre patience dévoyée, notre soumission servile à l'imposture et notre lâche apathie face à l’inacceptable. Nous tardons trop à nommer la vérité pour ce qu’elle est, c'est à dire un coup de force en règle, un détournement pur et simple des institutions, un despotisme techno-bureaucratique qui broie toute résistance sous des tonnes de paperasse et de menaces feutrées. Nous avons laissé ce système s'installer trop longtemps, et aujourd'hui, nous en sommes les esclaves consentants.
Ce n’est plus une question de gouvernance, mais un projet d’occupation, de domination brute et débridée, sans aucune entrave. Le pouvoir, enveloppé de son manteau civilisé, n’est plus qu’une grotesque mise en scène, où des silhouettes avides de contrôle évoluent dans la pénombre, masquées et prêtes à tout pour maintenir une légitimité qui n’est que l'ombre d’elle-même. Ils nous font jouer de force dans leur pièce de théâtre, mais l’Histoire, elle, n’a jamais été clémente avec ceux qui gouvernent contre les peuples. A tel point que la colère des peuples bouillonnent, prêtes à déborder.
Un jour, tout cela sera payé au prix fort, et l’Histoire leur rendra la monnaie de leur pièce. Ce jour-là, ni leurs lois d’urgence, ni leurs mascarades sécuritaires, ni leurs protocoles opportuns, ni même leurs portes closes ne pourront les protéger. Aucun dispositif, aucune manœuvre ne les préservera de la furie qui s’abattra sur eux. Car, dans le silence de leur insouciance, les peuples, acculés et asphyxiés, sauront se lever. Et ce jour-là, ils auront le dernier mot - à condition de se réveiller, enfin, de cette torpeur servile !
Phil BROQ.
🤔"Readiness 2030" pourrait faire référence à une stratégie ou un plan d'action pour se préparer aux défis et opportunités de l'année 2030
RépondreSupprimer- Les gouvernements, les entreprises et les organisations pourraient élaborer des plans pour se préparer aux défis futurs tels que le changement climatique, la sécurité numérique, la santé publique, etc
"Readiness 2030" pourrait faire référence à une stratégie ou un plan d'action . Cela pourrait inclure la préparation aux défis futurs, les objectifs de développement durable, la préparation technologique et l'éducation et la formation. On ne peut pas tout toujours condamner d avance.
je ne comprends même pas comment vous pouvez encore donner un minima de crédibilité à cette caste européiste après tout ce qu'ils nous ont déjà fait depuis leur existence !!! Vous êtes incurable… Il n'y a PAS de changement climatique mais une manipulation du climat et des chiffres, Il n'y a AUCUN développement durable dès lors que ce sont des multinationales qui pillent nos ressources, la technologie ne sert qu'à la surveillance de masse, la paupérisation des peuples et la baisse du QI, l'éducation est terminée et se concentre sur le sexe et non plus l'esprit, quant à la formation elle n'est destinée qu'à produire des esclaves ou des sauvages… Je ne condamne pas d'avance mais pas lassitude et habitude dorénavant !! Veuillez vous informer correctement avant de venir poser vos commentaires insipides sur cette page, prouvant votre totale soumission et incapacité de réflexion sur votre propre environnement !!!
SupprimerBien d'accord avec vous sur ce point!
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