LE RACKET DE L'ENERGIE COMME ARME DE SOUMISSION !

Sous le prétexte fallacieux de réformes "nécessaires", nous avons été réduits à l'état d’esclaves modernes, piégés dans des systèmes voraces qui siphonnent nos ressources vitales pour engraisser un empire financier insatiable et dénué de scrupules. L’énergie électrique et l’eau, deux éléments fondamentaux de notre survie, ont été transformés en instruments de domination. À travers des mécanismes de privatisation insidieux, de surveillance omniprésente et d’une inflation des prix permanente, les citoyens suffoquent, tandis que les multinationales s’enrichissent impunément sur leur dos. Ce racket légalisé, soutenu par une élite politique corrompue et des institutions complices, n’a pour seul but que de renforcer notre servitude à leur dictature économique. Mais il est encore possible de briser ce système, et il est plus que jamais urgent de le faire, avant que la roue du temps ne nous écrase définitivement.

Les lois, sensées être les remparts de la justice et de l’équité, ne sont aujourd'hui plus que des instruments de pillage habillés de fausse légalité. Le gouvernement, supposé être au service des citoyens, n'est plus qu’un bras armé au service de la domination, sacrifiant l’intérêt public sur l’autel des profits privés. Politiques et technocrates, à la botte des multinationales et des banques, façonnent des législations taillées sur mesure pour plumer les consommateurs, tout en prétendant les protéger. Leur cynisme est abyssal, leur duplicité un principe immuable. Les citoyens ne sont plus que des vaches à lait, obligés de payer toujours plus cher sous prétexte de réformes, tandis que les élites prospèrent. L’Union Européenne, loin d’être un bastion de solidarité, est une arme de soumission économique, imposant aux peuples une servitude sans fin au profit des puissances financières mondiales.

L’énergie, autrefois bien public et source de souveraineté, est désormais un levier absolu de domination dans la géopolitique mondiale. Ce qui devrait être un bien commun, essentiel au bon fonctionnement de la société, est devenu une marchandise précieuse, dont les grandes entreprises exercent un contrôle total. Par la privatisation des secteurs stratégiques de l’énergie, le démantèlement des infrastructures publiques et l’introduction de fausses compétitions, les citoyens sont dépossédés de leurs ressources et plongés dans un réseau de dépendance sans issue. Les États, dépourvus de toute réelle capacité décisionnelle, sont désormais les serviteurs des marchés et des institutions supranationales, comme l’UE, qui imposent des réformes visant à libéraliser des secteurs vitaux.

L’énergie n’est donc plus simplement une ressource, mais un outil permettant de maintenir les peuples sous contrôle. Les prix, manipulés par des intérêts privés et détachés des réalités de la production, deviennent une taxe sur la vie, tandis que les citoyens, réduits à la condition de consommateurs impuissants, doivent payer des tarifs exorbitants pour une énergie qui leur appartient de droit. Le système, plus pervers que jamais, ne fait qu’aggraver leur vulnérabilité, tout en consolidant les finances et le pouvoir des élites économiques.

Ce racket est d’autant plus grotesque qu’il est financé directement par l’argent des citoyens, ponctionné sous couvert de "solidarité" et de "bien commun". Les réformes, sensées être des progrès, ne sont en réalité que des transferts massifs de richesse des classes populaires vers les élites. L’illusion de légitimité est le dernier masque de ce système, conçu exclusivement pour garantir l’enrichissement des puissants au détriment de ceux qui les alimentent. En vérité, une part colossale des impôts collectés est détournée sous forme de taxes et de subventions indécentes pour engraisser ce système mafieux, où hauts fonctionnaires et parlementaires se goinfrent, tandis que les plus vulnérables paient la note. Même la Cour des Comptes, pourtant chargée de contrôler l’utilisation des fonds publics, se résout à refuser de certifier ces scandales financiers, tant elle a honte de cette mascarade légale.

Le rôle de l’UE dans cette dérive est central puisqu’elle a permis aux grandes entreprises privées de dérober les infrastructures publiques et de priver les citoyens de leur pouvoir décisionnel. La séparation de la production et de la distribution, la privatisation des réseaux, et l’introduction de la concurrence ont créé un marché où les citoyens sont réduits à des consommateurs captifs, soumis aux lois des groupes privés. Ce système ne cherche en aucun cas à garantir une énergie accessible et souveraine, mais à maintenir un état de dépendance permanent, où les États sont esclaves des règles dictées depuis Bruxelles.

Prenons l’exemple flagrant de l’électricité en France. Une ressource abondante et économique grâce à l’énergie nucléaire et hydroélectrique. Pourtant, grâce à des manipulations sans fin, les Français paient désormais leur électricité comme s’ils achetaient du pétrole. En à peine 20 ans, la France a été dépossédée de son indépendance énergétique par une série de réformes qui ont permis à des multinationales de s’emparer de ses ressources stratégiques et de les soumettre à la spéculation mondiale. Ce pillage est organisé et encadré, et l’État, complice, ferme les yeux.

Le démantèlement d’EDF et la création d’entités comme Enedis illustrent cette stratégie de privatisation des biens publics. En séparant la production de la distribution, la France a perdu le contrôle de ses infrastructures, tandis que des acteurs privés, souvent étrangers, s'enrichissent sur le dos des citoyens. Enedis, gestionnaire de réseau, impose des tarifs exorbitants pour des infrastructures déjà financées par l’État et échappe à tout contrôle démocratique. Cette privatisation n’est pas une avancée, mais une trahison, un transfert massif de pouvoir économique aux mains des grandes entreprises.

Le modèle semble offrir l’illusion d’une gestion indépendante, mais il repose en réalité sur un système de surveillance et d’exploitation des citoyens, et le compteur Linky en est l'exemple parfait. Plus qu'un simple outil de mesure, c’est un dispositif de contrôle, un moyen de collecter des données pour justifier des hausses tarifaires et des frais supplémentaires, sans possibilité de recours. Derrière cette façade technologique se cache une volonté de domination, où les citoyens sont asphyxiés financièrement et punis judiciairement.

Et que dire d’Enedis, qui se prétend incapable d'assurer une fourniture d’énergie stable et fiable ? La coupure massive d'électricité en provenance d'Espagne, qui a plongé des millions de foyers dans l’obscurité, en est la preuve la plus évidente. Mais qu’importe, car cette entreprise, même monopolisée et suralimentée en profits, est toujours dans l’incapacité de gérer correctement le réseau. Plus cynique encore est le coût d’installation du compteur Linky, présenté comme une "modernisation", directement répercuté sur les citoyens, tout en servant de simple outil de surfacturation. Enedis ne fournit pas un service de qualité, mais maximise ses profits en vendant toujours plus cher une énergie de plus en plus incertaine et de moins en moins fiable.

Et enfin, les juges, qui sont supposés être les garants de la justice, participent activement à cette mascarade. Sous prétexte de faire appliquer la loi, ils légitiment un système qui n’a rien à envier aux méthodes d'un cartel mafieux. Serviles face aux puissances financières, ils ferment les yeux sur la corruption systémique, transformant la justice en un simple outil de validation des décisions prises dans les salons feutrés du pouvoir. Leurs silences, leur inertie, leur complicité deviennent les piliers d’un régime où la loi n’est plus qu’une façade et où la justice n'est plus qu'un instrument de domination.

Ces juges se sont transformés en prestidigitateurs d’une entourloupe juridique où les lois sont tordues, pliées et déformées pour permettre aux pillards, comme Enedis, de cacher leurs forfaits sous le masque de réformes soi-disant "nécessaire". Leur rôle n’est plus de protéger les citoyens, mais de légitimer une logique mafieuse, où l’intérêt public est sacrifié sur l’autel du profit, et où les plus vulnérables, loin de trouver refuge dans l'État de droit, sont laissés à la merci d’une justice devenue leur pire ennemi.

Mais les juges ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Des institutions soi-disant indépendantes, comme l’Autorité de la concurrence, devraient protéger l’intérêt des consommateurs et garantir une concurrence loyale. Mais elles se sont transformées en relais dociles des multinationales, validant des pratiques anticoncurrentielles qui servent uniquement les intérêts des plus puissants tout en écrasant les petites entreprises et les consommateurs. Le Conseil Constitutionnel, quand à lui, censé défendre les principes fondamentaux de la République, se retrouve régulièrement à entériner des lois qui violent les droits des citoyens, avalisant sans scrupules des réformes néolibérales qui pillent les ressources du peuple. Et la Commission de Régulation de l'Énergie (CRE) n'est plus qu’un chien de garde obéissant aux grandes entreprises énergétiques, acceptant sans broncher des hausses tarifaires absurdes tout en permettant à des acteurs privés de s’enrichir de manière scandaleuse sur le dos des citoyens.

Ces structures, loin de remplir leur rôle de régulation et de protection, sont devenues des instruments de légitimation des intérêts privés. Leur fonction n’est plus de défendre les droits des citoyens ou d'assurer une concurrence loyale, mais de garantir la mainmise des grandes entreprises sur tous les secteurs stratégiques. En validant des hausses de prix injustifiées ou en fermant les yeux sur les pratiques anti-concurrentielles, l’Autorité de la concurrence et la CRE participent activement à ce système de prévarication institutionnalisée.

Et que dire du secteur de l'eau ! Tout comme l'énergie, il a été transformé en un racket institutionnalisé où les multinationales se sont à nouveau emparées des ressources publiques pour les exploiter à leur profit. Ces entreprises privées, responsables de la distribution de l’eau, imposent régulièrement des hausses de prix injustifiées tout en offrant un service de plus en plus dégradé. L'eau, un droit fondamental et vital, devrait être gérée par les collectivités publiques, mais ces entreprises exploitent leur monopole pour faire main basse sur ce bien précieux. Grâce à des contrats opaques, des augmentations tarifaires incessantes et un manque total de transparence, elles font de chaque goutte d’eau un levier financier pour augmenter leur profit. Tout comme pour l’énergie, l’implantation de technologies comme les compteurs connectés ne vise pas à améliorer le service, mais à renforcer le contrôle des consommateurs tout en justifiant des hausses tarifaires sous prétexte de "gestion intelligente".

Mais la réalité est toute autre car la qualité du service se dégrade de jour en jour. Fuites d’eau non réparées, infrastructures vieillissantes et une gestion catastrophique où les coupures d’eau et les pollutions deviennent monnaie courante. Véolia et Suez, géants privés de la gestion de l’eau dans de nombreuses villes, préfèrent investir dans la rentabilité et les dividendes pour leurs actionnaires plutôt que dans l’entretien des infrastructures ou la qualité du service. Les usagers, contraints de payer toujours plus pour un service de plus en plus dégradé, deviennent les vaches à lait d’un système conçu pour nourrir la voracité des grands groupes privés tout en sacrifiant l’intérêt public. L'eau, tout comme l'électricité, n’est plus qu’une marchandise dont le seul objectif est de remplir les poches des multinationales, au détriment des populations qui voient leurs ressources vitales exploitées sans aucune vergogne.

Les citoyens, de plus en plus démunis face à ce système impitoyable, doivent accepter des conditions de plus en plus précaires, tout en voyant les profits des multinationales et des financiers exploser. Et le pouvoir exercé par ces institutions n’est pas au service de la justice sociale, mais bien d’un système qui perpétue la concentration des richesses et des pouvoirs, assujettissant les populations et les rendant dépendantes d’un cadre économique qu’elles ne contrôlent plus.

Il devient évident que l’UE, loin d’être un bastion de solidarité, œuvre contre les intérêts des peuples. À travers des entreprises comme Enedis ou Veolia, dont l’activité repose uniquement sur le racket institutionnalisé, elle œuvre à l’éradication de la souveraineté des États pour les soumettre aux diktats d’un empire économique mondial. Les réformes imposées par Bruxelles ne visent qu’à faciliter le contrôle des ressources publiques par des multinationales et des banques, dépossédant les peuples de leur souveraineté pour en faire les esclaves d’un marché globalisé.

La libéralisation des secteurs de l’énergie et de l’eau, loin de constituer une avancée, n’est donc rien d’autre qu’une forme moderne de néo-colonialisme, où les peuples sont contraints d’accepter des politiques dictées par des puissances financières, et la privatisation de ces secteurs vitaux devient un outil de domination transformant les citoyens en simples sujets sous contrôle.

Le véritable hold-up, c’est celui qui se déroule sous nos yeux où la souveraineté des peuples européens est progressivement annihilée par ce système techno-carcéral qui ne profite qu'aux élites. Si l’Europe était réellement au service des citoyens, elle aurait défendu l’indépendance énergétique des États membres et non permis à des intérêts privés de les déposséder de leurs ressources les plus précieuses. Il est grand temps de reprendre le contrôle de notre secteur énergétique, de redonner aux citoyens la maîtrise de leurs ressources stratégiques. Alors,  combien de temps encore accepterons-nous ce pillage institutionnalisé avant qu’il ne soit trop tard ? Car ce n’est pas une simple question d’électricité ou d’eau, mais bien d’une prise de contrôle globale des ressources et de l’autonomie des nations.

Ce système, dont les contours restent souvent invisibles, agit avec une précision redoutable. Les citoyens, progressivement habitués à cette domination cachée, en viennent à accepter des conditions de plus en plus oppressantes. Les réformes, qu’elles soient législatives, économiques ou technologiques, ne visent pas à améliorer la vie des individus mais à renforcer ce système d’exploitation. Et au-delà de la simple privatisation, c’est une stratégie de colonisation douce, méthodique et durable qui se déploie sous nos yeux où les entreprises ne sont pas seulement là pour gérer des services, mais pour capturer et contrôler nos ressources vitales, nous enfermant dans un système où nous devenons dépendants de leur bon vouloir.

Mais l’escroquerie ne s’arrête pas là car l’énergie dite "verte", solaire ou éolienne, présentée comme la solution miracle à nos problèmes énergétiques, n’est qu’une nouvelle ruse pour enrichir les mêmes prédateurs. Sous couvert de transition écologique, les gouvernements injectent des milliards d’euros d’argent public dans des projets absurdes, inefficaces, et hautement dépendants des conditions climatiques. Pire encore, ces technologies intermittentes nécessitent des infrastructures coûteuses pour compenser leur instabilité, infrastructures financées par… les citoyens eux-mêmes, bien sûr ! Ce n’est pas la planète qu’ils veulent sauver, c’est leur profit encore et toujours. Car derrière chaque éolienne, chaque panneau solaire, il y a une entreprise qui empoche des subventions colossales tout en fournissant une électricité aléatoire, vendue à prix d’or sur un marché artificiellement tendu. Ce n’est pas une transition, c’est un transfert de richesse, encore une fois, des poches des contribuables vers celles des spéculateurs.

Et demain, que se passera-t-il quand ces sources dites "renouvelables", pourtant peu fiables, seront les seules disponibles ? Quand les centrales pilotables auront été sabordées, démantelées au nom de la "modernité", les peuples seront livrés pieds et poings liés à des opérateurs privés capables de couper l’accès à l’énergie d’un simple clic. L’intermittence de ces sources deviendra un prétexte parfait pour justifier des rationnements arbitraires, des restrictions ciblées, et pourquoi pas des punitions énergétiques pour les citoyens "non conformes". Le consommateur, déjà traité comme une vache à lait, deviendra une simple variable d’ajustement, une victime passive d’un système énergétique devenu outil du fameux "crédit social". Le rêve vert est un cauchemar déguisé, une arnaque technocratique maquillée en progrès, où même le vent et le soleil ne soufflent plus pour nous, mais contre nous.

Et ce cauchemar planifié ne tombe pas du ciel puisqu'il est l’expression exacte de ce que promeut le Forum Économique Mondial à travers son sinistre Agenda 2030. Un programme dystopique qui nous promet que nous ne posséderons plus rien (ni maison, ni voiture, ni même autonomie énergétique) mais pour lequel nous devrions, selon leurs propres mots, "être heureux". Cette vision du monde, conçue par une élite hors sol afin de soumettre les peuples à une existence sous abonnement permanent, n’est rien d’autre qu’un plan de dépossession totale. L’individu n’aura plus aucun pouvoir de décision, plus aucune emprise sur son mode de vie, mais sera continuellement surveillé, tarifé, évalué, et rationné au nom d’un prétendu "bien commun" dicté par des intérêts privés déguisés en sauveurs planétaires. C’est une servitude volontaire imposée à coup de slogans lénifiants, un esclavage numérique et énergétique sous l’égide de multinationales et d’organismes supranationaux qui veulent nous déshumaniser tout en réclamant notre gratitude.

Il est donc impératif de prendre conscience que le véritable ennemi n'est pas un système de marché mal réglé, mais bien un projet global de soumission orchestré par des entités non élues, comme l'UE ou le WEF, qui facilitent cette concentration des pouvoirs.  Ce ne sont plus des gestionnaires, ce sont des seigneurs néo-féodaux qui ont remplacé les chaînes par des algorithmes et les coups de fouet par des factures. Leur domination est abjecte, systémique, totale. Et tant que nous accepterons, par passivité ou résignation, de vivre sous cette emprise, ils continueront à tisser les fils de notre servitude avec notre propre silence. Ce processus de soumission n'est pas accidentel, il fait partie d'un plan beaucoup plus vaste, un projet global qui nous dépasse mais qui nous touche directement dans notre quotidien. Mais ce qui rend ce système particulièrement pernicieux, c’est l'adhésion passive des institutions, politiques comme judiciaires, qui légitiment ce processus de pillage. 

Pour briser cette dynamique, il est urgent de revenir à une forme d'autonomie locale, à une réappropriation des ressources et à la construction d'un modèle économique fondé sur la solidarité et la souveraineté des peuples. La décentralisation de la gestion des ressources naturelles, des services publics, et une gestion collective et démocratique de l’économie sont des conditions essentielles pour regagner notre indépendance. La mondialisation, avec ses tentacules qui s'étendent partout, doit céder la place à des modèles de gouvernance locaux, ancrés dans la réalité des peuples, respectueux de leurs spécificités et de leurs besoins.

Et le véritable défi, comme toujours, réside dans la capacité à éveiller les consciences, à revendiquer un changement profond du modèle économique et à imposer une rupture radicale avec ce système qui privilégie l'intérêt des puissants au détriment des citoyens. Les peuples doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard, et ce n'est pas un simple ajustement qui est nécessaire, mais une véritable rupture avec un système qui a longtemps fonctionné sur le dos des peuples sans qu’ils ne s'en aperçoivent.

Derrière cette façade de modernisation se cache une machination bien plus perverse, celle de nous plumer, de nous diviser, de nous réduire à l’état de serfs modernes. Ces forces invisibles mais terriblement puissantes, qui agissent dans les coulisses des institutions européennes et des grands groupes privés, n’ont qu’un seul objectif : soumettre les peuples, les rendre dépendants et les plier à leur volonté.

Nous ne sommes plus libres. Nous sommes écrasés, étouffés sous le poids d’un système qui impose sa volonté, nous réduisant à des esclaves modernes, à des consommateurs captifs d’un système de plus en plus brutal. Mais ce système n’est en rien figé. Il est aussi fragile que tout autre monstre de papier, construit sur des mensonges et des compromis. Le temps de la soumission est terminé. Il est urgent de réagir, comme il est indispensable de renverser cette machine infernale avant qu’elle ne nous engloutisse définitivement. Nous devons comprendre que la liberté ne se mendie pas, elle se prend !

C’est une lutte décisive, non une concession.  Les institutions, les lois, les contrats, tout cela peut être renversé, tout cela peut être détruit si nous nous unissons et combattons avec la force de ceux qui savent que rien n’est plus précieux que la liberté.

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé





Commentaires

  1. Une analyse intéressante. Pour aller de la dépendance à la résistance ;
    Le racket de l’énergie comme arme de soumission est une violence masquée, rendue possible par l’invisibilité des mécanismes de dépendance. En faire une arme implique qu’elle sert des intérêts de domination, plutôt qu’un bien commun

    Sortir de cette logique impliquerait comme solutions peut etre :

    Promouvoir la souveraineté énergétique (locale, citoyenne, écologique).

    Renforcer la transparence, les coopératives, et les solutions décentralisées.

    Comprendre que l’émancipation énergétique est un levier essentiel de liberté individuelle et collective.





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    1. Comprendre aussi que tout ceci n'est qu'une fumisterie pour entretenir des entreprises mafieuses !

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