CES ARMES SILENCIEUSES QUI NOUS TUENT
Face à une population plongée dans un déni suicidaire et des dirigeants mondialistes qui orchestrent la destruction de la planète au nom du profit, les preuves s’accumulent : la géo-ingénierie, les chemtrails et l’ARNm ne sont pas des solutions, mais des armes silencieuses contre l’humanité. Refuser de voir la vérité, c’est accepter leur plan de contrôle et de dépeuplement. Il est temps de lever le voile. Notamment avec la carte interactive proposée et développée par ETC Group et Heinrich Böll Foundation à voir en fin de billet.
Les chemtrails, souvent rejetés comme une théorie du complot par les sceptiques, sont en réalité un phénomène bien documenté et directement lié à la géo-ingénierie. Cette discipline scientifique, qui consiste à manipuler à grande échelle les systèmes climatiques de la Terre, n’est plus une hypothèse ni une idée marginale. Elle est au cœur de nombreux projets financés par des gouvernements et des entités privées puissantes, avec des conséquences potentielles dramatiques pour la planète et l’humanité. De même, l’essor de technologies incontrôlées, comme les traitements basés sur l’ARN messager, montre une tendance croissante à l’expérimentation globale sans précaution ni transparence.
Dans un contexte mondial de crise climatique, la géo-ingénierie s’est imposée comme une solution prétendue aux problèmes environnementaux. Parmi les techniques les plus discutées figure la gestion du rayonnement solaire (SRM), qui vise à réduire la chaleur retenue par l’atmosphère terrestre en injectant des particules réfléchissantes dans la stratosphère. Ce procédé, appelé également injection d’aérosols stratosphériques (SAG), est directement lié aux chemtrails.
Contrairement à ce que certains sceptiques avancent, des preuves tangibles et des rapports scientifiques confirment que ces pratiques existent et qu'elles sont testées depuis plusieurs décennies. En 2009, le Comité des sciences et technologies de la Chambre des représentants des États-Unis discutait ouvertement des implications de telles interventions. En 2022, Bill Gates, à travers le projet SCoPEx de l’Université Harvard, a reconnu avoir financé des expériences visant à refroidir la planète via des chemtrails. Ces initiatives sont souvent justifiées par la nécessité de ralentir le réchauffement climatique, mais les conséquences possibles – bouleversements climatiques, impacts sur la biodiversité, et risques pour la santé humaine – restent largement sous-estimées.
Les chemtrails ne sont pas de simples traînées de condensation laissées par des avions. Ils impliquent la pulvérisation de substances chimiques, telles que l’aluminium, le baryum et le strontium, qui ont des propriétés réfléchissantes. Selon Kristen Meghan, ancienne hygiéniste industrielle pour l’US Air Force, ces substances sont effectivement utilisées dans des opérations de modification climatique. Son témoignage révèle non seulement la réalité de ces pratiques, mais aussi les tentatives de les dissimuler au grand public.
Les risques liés à ces opérations sont majeurs. En altérant les cycles naturels de la pluie ou en perturbant le courant-jet, ces pratiques peuvent provoquer des sécheresses dans certaines régions et des inondations dans d’autres. Elles menacent directement la sécurité alimentaire mondiale et aggravent les inégalités climatiques. Par exemple, une modification involontaire des précipitations en Afrique ou en Asie pourrait entraîner des famines massives et des migrations forcées.
Les progrès en géo-ingénierie sont réalisés dans un vide réglementaire alarmant. Bien que des institutions comme la Royal Society aient publié des rapports sur la géo-ingénierie, aucune autorité internationale n’en supervise les applications. Les grandes puissances et les entreprises privées avancent leurs agendas dans l’opacité la plus totale, à l’abri des contrôles et des responsabilités.
L’opinion publique est délibérément tenue à l’écart. Une stratégie bien documentée, appelée "stratégie de lieu de rencontre limité", consiste à admettre l’existence de la géo-ingénierie tout en minimisant ses implications. Les médias, souvent financés par des entités ayant intérêt à dissimuler ces projets, ne révèlent que des informations fragmentaires, laissant le grand public dans l’ignorance.
Ce phénomène de manipulation à grande échelle n’est pas isolé. Les technologies basées sur l’ARN messager (ARNm) présentent des similitudes frappantes avec la géo-ingénierie. Présentés comme une révolution médicale, ces traitements ont été introduits à grande échelle sans recul suffisant. Les conséquences à long terme de l’intervention dans des processus biologiques complexes, tout comme dans les systèmes climatiques, restent imprévisibles. De plus, ces technologies sont souvent contrôlées par les mêmes entités privées, motivées non par le bien commun, mais par des intérêts financiers colossaux.
Les preuves de la géo-ingénierie et des chemtrails abondent. Des brevets ont été déposés pour des technologies permettant de manipuler le climat. Des témoignages comme celui de Kristen Meghan et des documents dévoilés par des organisations telles que GeoEngineering Watch mettent en lumière l’ampleur des opérations et leurs conséquences potentielles. Pourtant, malgré ces éléments tangibles, le déni et la désinformation continuent de prévaloir, empêchant une prise de conscience collective essentielle pour protéger notre avenir.
Les brevets déposés, tels que ceux concernant l’injection d’aérosols stratosphériques ou la gestion du rayonnement solaire, démontrent que ces technologies ne relèvent pas de la science-fiction, mais bien de réalités expérimentales concrètes. Les documents officiels, comme le rapport de la Royal Society en 2009 intitulé "Geoengineering the Climate : Science, Governance and Uncertainty", confirment également que ces pratiques sont activement explorées. Pourtant, les gouvernements et les industries impliqués persistent à minimiser leur portée réelle, avançant des justifications centrées sur l'urgence climatique pour étouffer les interrogations et éviter des débats publics.
L'absence de régulation et de transparence dans ces projets soulève des questions éthiques profondes. Qui décide des interventions sur des systèmes aussi vastes que le climat ou le génome humain ? Les populations n'ont aucun moyen de participer aux décisions qui affecteront leur avenir et celui des générations à venir. Cette marginalisation des citoyens dans des choix aux conséquences globales est préoccupante, car elle consolide un monopole de pouvoir entre les mains de quelques acteurs – multinationales, gouvernements et institutions académiques élitistes.
Par ailleurs, la géo-ingénierie et les chemtrails constituent aussi un problème géopolitique majeur. Si un pays ou un groupe d’intérêts décide unilatéralement de modifier le climat, cela pourrait déclencher des tensions internationales, voire des conflits. Une intervention climatique imprudente pourrait aggraver des conditions déjà critiques dans des régions vulnérables, amplifiant ainsi les inégalités mondiales.
Tout comme dans le domaine des thérapies ARNm, les projets de géo-ingénierie témoignent d'une foi aveugle en une science au service d’intérêts industriels. Cette approche ignore souvent les principes de précaution fondamentaux et les leçons tirées des erreurs passées. L'enthousiasme pour les solutions technologiques rapides pousse les décideurs à négliger les impacts secondaires, parfois irréversibles, de telles innovations.
Un parallèle frappant peut être établi avec la manière dont les traitements ARNm ont été introduits en masse dans le système médical mondial, souvent sous la pression des crises sanitaires. Ces technologies, bien que prometteuses, manquent encore d’un recul suffisant pour en mesurer tous les effets à long terme. De la même manière, la géo-ingénierie, dans sa quête de "solutions miracles" contre le changement climatique, joue avec des mécanismes complexes et fragiles que nous comprenons à peine.
Le temps de la passivité est révolu. Face à ces manipulations environnementales et technologiques, la population doit exiger des réponses claires et des engagements concrets en matière de régulation. Il est impératif de faire pression sur les institutions nationales et internationales pour imposer des cadres juridiques stricts encadrant la géo-ingénierie et pour assurer la transparence des projets en cours.
Les citoyens doivent également se réapproprier le débat scientifique. Trop souvent, les discussions sur des sujets aussi complexes sont monopolisées par des experts affiliés à des groupes ayant des intérêts financiers ou politiques. En s'appuyant sur des preuves indépendantes, des témoignages de lanceurs d’alerte, et une mobilisation collective, il est possible de contrer cette hégémonie et de faire émerger une gouvernance plus démocratique.
Enfin, la gestion de ces technologies doit s’inscrire dans une approche véritablement mondiale. L'impact de la géo-ingénierie dépasse les frontières nationales, et ses conséquences potentielles touchent l’ensemble de la planète. Une coopération internationale, fondée sur la transparence et l’inclusion, est essentielle pour garantir que les intérêts collectifs priment sur les ambitions d’acteurs isolés.
Les exemples récents de catastrophes écologiques ou sanitaires montrent clairement ce qui se passe lorsque des initiatives scientifiques sont conduites sans une coordination adéquate et sans considération pour les conséquences à long terme. La géo-ingénierie, tout comme les traitements ARNm, illustre la nécessité de repenser nos priorités en matière de progrès scientifique, en veillant à ce qu’ils servent l’humanité dans son ensemble, et non quelques élites privilégiées.
Les citoyens doivent donc cesser de faire les autruches et mentir lorsqu'ils voient se qui se passe au dessus de leurs têtes. Il faut se mobiliser, s’éduquer et exiger une transparence totale. La planète ne peut plus être un laboratoire géant où des expériences incontrôlées sont menées au détriment de la vie humaine et de l’environnement. Le futur dépend de notre capacité à faire face à cette réalité et à agir de manière collective et responsable.
Les chemtrails et la géo-ingénierie, tout comme les technologies de l’ARNm, représentent les deux faces d'une même pièce : une arrogance scientifique débridée mise au service d’une élite avide de pouvoir et de profits. Ces méthodes, loin d’être des solutions aux défis climatiques ou sanitaires, sont des armes silencieuses dirigées contre la planète et ses habitants. Elles illustrent la manière dont certains individus, agissant dans l’ombre, se permettent de jouer avec les forces fondamentales de la nature pour un agenda où l’humain n’est qu’un dommage collatéral.
L’ARNm, présenté comme une innovation médicale miraculeuse, suit la même logique : une expérimentation de masse menée à l’échelle planétaire, sans véritable maîtrise des conséquences à long terme. Ces traitements, déployés à une vitesse alarmante, modifient nos systèmes biologiques comme on altère aujourd’hui les systèmes climatiques. Qu’il s’agisse de manipuler les processus naturels du vivant ou de la Terre, le résultat est le même : un bouleversement des équilibres vitaux pour servir des ambitions cyniques, sous couvert de sauver le monde. Mais qui paie le prix de ces manipulations ? Les populations, abandonnées à des effets secondaires imprévisibles et irréversibles.
Et pourtant, une grande partie de la population reste sourde et aveugle à ces vérités. Par confort ou par peur, beaucoup s’enferment dans un déni suicidaire, préférant croire aux promesses trompeuses des mondialistes qui se prétendent sauveurs de l’humanité. Ce déni collectif n’est pas une excuse : il devient une complicité silencieuse face à des politiques qui détruisent les écosystèmes, aliènent les ressources naturelles et menacent nos vies mêmes. À chaque fois que nous ignorons les preuves, que nous restons silencieux face à ces scandales, nous renforçons le pouvoir de ceux qui, en toute impunité, jouent avec notre existence.
Il est temps de briser ce silence et de regarder en face la véritable nature de ces projets. Les élites mondialistes, qui prétendent agir pour notre bien, poursuivent un agenda qui semble viser à dépeupler la Terre et à consolider leur contrôle sur ce qui restera. Ces manipulations climatiques et biologiques ne sont pas des erreurs ou des maladresses, mais des actes délibérés, orchestrés avec soin. Ces dirigeants n’ont aucune intention de sauver l’humanité ; leur véritable objectif est le contrôle total – et, pour cela, il faut réduire la résistance, la conscience et la population elle-même.
Nous ne pouvons plus nous permettre d’être des spectateurs passifs. La lutte contre la géo-ingénierie et l’usage non éthique des technologies comme l’ARNm est une question de survie. Les preuves sont là, à portée de main, visibles pour ceux qui osent ouvrir les yeux. Refuser d’agir, c’est accepter notre propre destruction. Il est temps de rejeter ces manipulations, d’exiger des réponses, et de tenir pour responsables ceux qui ont sacrifié la Terre et l’humanité sur l’autel de leur cupidité.
L’avenir de notre planète et de nos enfants dépend de notre capacité à dire non à ces criminels déguisés en bienfaiteurs. La vérité est une arme puissante, mais elle ne sert à rien si elle reste enfouie sous l’inaction et le confort du mensonge. L’heure n’est plus à la complaisance : il est temps de se réveiller et de faire face, avant qu’il ne soit trop tard. La résistance commence ici, maintenant, et elle ne peut plus attendre.
Phil BROQ.
NB : Tout ceci, et bien plus, est développé dans mon dernier livre : "TOXIQUES - Les Nouveaux Empoisonneurs."
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Voici le lien vers la carte interactive des projets : Développée par ETC Group et Heinrich Böll Foundation, elle a mis en lumière la nature répandue des expériences de géo-ingénierie visant à modifier le climat. La carte identifie plus de 1 700 projets dans le monde, y compris le captage du carbone, la gestion des rayonnements solaires, la modification météorologique et d'autres méthodes...
Merci pour ce billet qui nous permet encore une fois de pointer avec force et courage le déni de l'humanité face aux terribles dangers qui la guette.Puisse votre message faire que nous ouvrions tous les yeux .
RépondreSupprimerIl est plus que temps d'agir et l'éveil d'une trop mince frange de la population n'y suffira pas. L'ennemi, lui, est très puissant, sans état d'âme, dispose d'une quantité colossale d'argent et de moyens (armes psychologiques y compris). Sans une organisation forte comme le fut le PCF jusqu'à la fin des années 60, nous n'arriverons jamais à déstabiliser le Goliath de tous nos maux... Je n'ai jamais été coco et encore moins stalinien, il n'empêche! Les rouges formaient un contre-pouvoir unifié très compact capable de soulager et d'épauler les masses prolétaires mamenées. Je ne vois aucun parti, aucune organisation citoyenne assez solide pour combattre la furie néolibérale. Pour l'instant, je suis très attentif au projet de Juan Branco, d'Aurélien Poisson-Atlan et de leurs compagnons qui vise à former non pas un parti politique "idéologisé" mais plutôt un mouvement de convergence des luttes nécessaires à un niveau national (dans un premier temps). Une sorte de fédéralisation politique, en somme (d'abord faire le grand ménage, d'où la notion de coup d'Etat suggérée par Branco). Il n'est plus possible que chacun reste dans son coin à réfléchir, écrire, parler, disséquer, analyser sans autres conséquences que d'accélérer l'immonde dictature qui vient avec son cortège de répression, de censure, de décrets liberticides, de violence institutionnels, de chantage ... Haut les coeurs, Citoyens!
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