LES MAITRES DU CHAOS - Conclusion - Vers la Fin des Empires Invisibles

La nuit civilisationnelle provoquée par la guerre contre les peuples et leur souveraineté est dense, et ses ténèbres médiatiques encore plus épaisses, car ce sont celles que portent en bandoulière "des maîtres du chaos" comme la CIA, le Mossad ou le MI6. Ces structures néfastes à tous ont été mises en place pour servir les desseins des banquiers apatrides, des institutions financières illégitimes et surtout des marchands d’armes et de mort. Ces entités, avec leur cohorte de groupes terroristes armés et financés par leurs soins, œuvrent à déstabiliser le monde entier et à formater la planète à leur image. Les milliardaires à la tête de ces entités ont décidé d'accélérer leur plan pour mener une attaque frontale contre les individus libres et souverains tout en s’accaparant toutes les ressources vitales du monde. Elles incarnent l’ombre absolue, l’oubli organisé, l’ingérence sans frontières, la cupidité sans fond et la cruauté la plus abjecte. Elles ne signent jamais directement leurs forfaits, mais dictent le rythme du monde par des coups d’État, des attentats sous faux drapeaux, des assassinats ciblés, des vols de ressources vitales et de terres, des manipulations et chantages en tous genres. Voici leur canevas, tissé dans l’acier des faits où rien n’est romancé et tout est véridique.

Le monde vit sous perfusion de chaos. Mais derrière le rideau tremblant des démocraties, ce ne sont ni des événements ni des obstacles imprévus qui façonnent la géopolitique moderne… ce sont des architectes invisibles. Dans les années 1960, la CIA a tissé sa toile en Amérique Latine, Asie du Sud-Est, Europe. Mais c’est au Vietnam qu’elle a donné sa plus grande leçon de barbarie bureaucratique où l’opération Phoenix a aligné 26 000 morts dans un processus d’éradication méthodique des civils désignés "ennemis". Oubliés les idéaux démocratiques dont la solution finale était la peur, l'effroi minutieusement planifié.

Puis vient l’impérialisme britannique. Le MI6, complice zélé, a non seulement fomenté mais surtout couvert ces plans. Il a versé des pots-de-vin, enrôlé des assassins à Téhéran, installé les cerveaux de l’opération Ajax, fomenté des émeutes téléguidées. Et quand la CIA freine, c’est le MI6 qui avance en cachette, sans parler des "pots à miel" du Mossad, toujours prompt à faire chanter les gouvernants par des vidéos incriminantes (voir le réseau Epstein) mais secrètement, toujours.

Le Mossad, quant à lui, a repris les guitares silencieuses depuis les ombres. De l’Opération Plumbat (1968), où 200 tonnes d’uranium sont sorties clandestinement de Belgique. Dans le cyberespace, le trio s’est métamorphosé : hameçonnage, certificats falsifiés, espionnage d’opposants. Les hackers iraniens ont obtenu des faux certificats SSL pour pénétrer les réseaux de la CIA, du Mossad et du MI6. Leurs cibles sont les dissidents, les lanceurs d’alerte, les journalistes, les activistes. L’État "libre" devient un État policier.

Au Moyen-Orient, la responsabilité devient éclatante. Le Mossad infiltre, exfiltre, assassine. L’opération de 2024 surnommée Grim Beeper, un vrai massacre numérique via des "pagers" piégés envoyés au Hezbollah faisant 37 morts, 3 000 blessés, enfants compris. Israël s’en glorifie ; l’appareil d’État siège dans l’impunité. Depuis l’attaque du 7 octobre 2023, fomentée par Netanyahou et ses sbires qui ont tiré sur leur propre peuple, c’est un véritable déchaînement de violence et de barbarie auquel on assiste, impuissants, tant les institutions sont gangrenées et ces acteurs omnipotents grâce à la corruption et au chantage exercé sur les gouvernants fantoches de l’Occident.

Le monde entier sait aussi qu'Al-Qaïda et Daech sont des créations américaines, que le Hezbollah est plébiscité par Netanyahou pour justifier sa folie et les massacres d’enfants. Tout le monde sait que les milliardaires aux manettes dans l’ombre ont le pouvoir de stopper la malnutrition, les guerres et les conflits. Mais ils préfèrent semer la terreur, maintenir la division, et récolter les profits de la guerre. Car pour eux, la paix est une menace, et le chaos, un business.

Les quatre épisodes précédents ont mis en lumière les architectes du chaos mondial comme la CIA, le MI6, le Mossad, les groupes terroristes qu'ils ont créés et manipulés, et les institutions financières apatrides qu'ils contrôlent. Mais derrière cette toile d'araignée se cache un projet bien plus vaste et plus sinistre d’un suicide civilisationnel orchestré par une élite de milliardaires fous d'hybris. Ces maîtres du chaos ne se contentent pas de semer la guerre et la misère ; ils sont les architectes d’un système infernal où la destruction est une marchandise, et la souffrance, un dividende.

Au sommet de cette hiérarchie macabre se cachent les véritables maîtres du monde que sont les institutions financières globales. Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, BlackRock, UBS, BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale, et bien d’autres, sont ces architectes d’un système financier promouvant la guerre, alimentant la spéculation et l’exploitation. Ces banques détiennent des milliards de dollars d’actifs et exercent une influence considérable sur les politiques économiques et militaires mondiales. Elles sont les complices nécessaires de ce cycle infernal de destruction et de mort.

Derrière ces marchands de mort se trouvent les fabricants d’armes, véritables profiteurs du sang versé. Lockheed Martin, RTX Corporation, BAE Systems, Northrop Grumman, Boeing, General Dynamics, Norinco, Aviation Industry Corporation of China, Rostec, et Leonardo sont les principaux acteurs de ce marché de la mort. Ces entreprises génèrent des milliards de dollars en vendant des instruments de guerre à des régimes autoritaires, des groupes terroristes et des gouvernements corrompus. Leurs produits alimentent les conflits, les massacres et les génocides à travers le monde. Leurs profits sont directement proportionnels au nombre de vies innocentes détruites.

Mais ces acteurs ne se contentent pas de financer la guerre, ils la planifient. Le Forum économique mondial (WEF) - ancien Club de Rome -, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’OTAN ou encore le Groupe Bilderberg sont autant de cercles de réflexion où se trament et se coordonnent les stratégies de domination mondiale. Ces organisations réunissent les élites politiques, économiques, militaires et médiatiques pour élaborer des plans visant à instaurer un ordre mondial autoritaire, où les peuples sont réduits à l’état de sujets obéissants. Leur objectif est de détruire les États-nations, d’imposer une gouvernance mondiale technocratique et de concentrer le pouvoir entre les mains d’une poignée d’individus.

Le plan du Club de Rome des "10 Royaumes", souvent présenté comme un simple exercice de prospective géopolitique, ne constitue en réalité qu’un jalon stratégique dans le vaste projet de gouvernance mondiale imaginé par une oligarchie internationale. Ce redécoupage du monde en blocs régionaux, sous couvert d’optimisation économique et de stabilité, sert surtout à mieux désarticuler les souverainetés nationales et à préparer le terrain à une centralisation autoritaire du pouvoir mondial. Il s’agit d’un maillage territorial pensé pour le contrôle car plus les peuples sont réduits à des entités régionales interconnectées, plus ils deviennent manipulables, surveillables, et dépossédés de toute influence réelle. Derrière cette façade technocratique, le véritable objectif est la mise en coupe réglée de la planète par une élite de financiers, de stratèges militaires et de multinationales prédatrices. Le monde, vidé de ses repères, de ses richesses et de sa volonté populaire, est alors mûr pour tomber entre les mains d’un pouvoir transnational sans visage, piloté par ceux que l’on nomme, non sans raison, les maîtres du chaos. Ce plan ne marque donc pas une fin, mais une transition qui est celle d’un monde encore désorganisé vers un empire global silencieux, façonné dans la violence, la manipulation et la dépossession.

De plus, l'ingérence flagrante de l'Union Européenne dans les élections des pays d'Europe de l'Est alimente de plus en plus l'idée qu'elle fonctionne comme une technodictature. Sous couvert de promouvoir des "valeurs démocratiques" et l'État de droit, l'UE exerce des pressions politiques, économiques et juridiques sur les gouvernements élus de ces pays, notamment lorsqu'ils prennent des orientations qui s’éloignent de la ligne libérale-progressiste dominante à Bruxelles. Ce contrôle s'opère par des instruments technocratiques mafieux comme la conditionnalité des fonds européens, les procédures d’infraction ou encore les recommandations de la Commission européenne qui s'imposent sans réel débat démocratique au niveau national. Dès lors, l'autonomie politique des États membres est mise en péril, car leurs choix souverains peuvent être sanctionnés s’ils ne sont pas conformes à la vision technocratique bruxelloise. Cette logique transforme l'UE en une structure de pouvoir où les décisions sont prises par des élites non élues et déconnectées des réalités locales, ce qui pose un sérieux problème de légitimité démocratique.

Ce système, loin d’être un accident, est un projet délibéré. Il s’agit d’un suicide civilisationnel orchestré par une élite déconnectée des réalités humaines, obsédée par le pouvoir et le profit. En imposant des politiques de guerre, de spéculation financière et de contrôle social, ces maîtres du chaos détruisent les fondements mêmes de nos sociétés, à savoir, la solidarité, la démocratie et la justice. Ils transforment l’humanité en une marchandise, la planète en une ressource à exploiter, et la vie en une variable d’ajustement.

En tête de cette caste malfaisante en Europe se trouvent des figures comme Macron, Mertz, Starmer (les "MMS") et Ursula von der Leyen ( alias "La hyène"). Macron, membre du groupe Bilderberg depuis 2014, a été propulsé sur la scène internationale et fut installé par fraude à la tête de la France, grâce à ce même réseau d’influence. La hyène, quant à elle, a construit un réseau international solide en politique et en affaires, participant activement à des rassemblements d'élites mondiales tels que le WEF et les réunions de Bilderberg. Starmer ou Mertz sont également lié à tous ces cercles de pouvoir. Et ces acteurs, ces agents des mondialistes, en apparence antagonistes, œuvrent en réalité à une même finalité avec la mise en place d'un ordre mondial technocratique, où les peuples sont réduits à l'état de spectateurs impuissants.

Ces dirigeants ne sont pas des acteurs isolés, mais des pions dans un jeu de pouvoir global. Le Groupe Bilderberg, fondé en 1954 par David Rockefeller et le Prince Bernhard des Pays-Bas, a pour objectif déclaré de détruire les États-nations et de gouverner le monde au service du capitalisme privé mondial. Les réunions de ce groupe réunissent chaque année des dirigeants politiques, économiques et médiatiques pour discuter des affaires mondiales dans le plus grand secret. À la manœuvre, des institutions comme McKinsey et compagnies, une société de conseil influente, jouent un rôle clé dans la coordination de ces politiques globales. Des scandales tels que le McKinseyGate ont révélé les liens étroits entre McKinsey, des dirigeants politiques comme Macron et Von der Leyen, et des multinationales comme Pfizer, Moderna ou Nestlé.

Ce réseau d'influence mondial ne se contente pas de manipuler les événements ; il les orchestre, les finance, les médiatisent et les imposent sans vergogne. Les guerres, les crises économiques, les pandémies, tout est utilisé comme un levier pour imposer un ordre mondial où les peuples sont réduits à l'état de sujets bien obéissants. Les ressources vitales sont accaparées, les démocraties déstabilisées, et les peuples muselés.

Cette vision, qui se veut progressiste, s'apparente en réalité à un suicide civilisationnel. En imposant des politiques qui fragilisent les structures sociales et économiques traditionnelles, en favorisant une numérisation à outrance et en centralisant les pouvoirs, ces acteurs risquent de détruire les fondements mêmes de nos sociétés. Leur hybris les conduit à croire qu'ils peuvent modeler l'avenir selon leurs désirs, sans tenir compte des conséquences humaines et écologiques de leurs choix. Ainsi, loin d'être une solution aux crises actuelles, cette "grande réinitialisation" (ou Great Reset) représente un danger pour la liberté, la souveraineté et la dignité humaine. Il est impératif de rester vigilant et de résister à cette entreprise de transformation imposée, afin de préserver un avenir fondé sur la justice, la solidarité et le respect des peuples.

Ces gouvernements ne sont pas des victimes, ils sont les complices, les exécutants, les larbins du chaos. Ils dansent au rythme des agences de renseignement, financent, blanchissent et effacent les traces de leurs forfaits. Sous le masque d'une "démocratie" factice, ils érigent un État policier qui encadre la presse, manipule les urnes, et hurle à la menace sécuritaire dès que la vérité pointe le bout de son nez. Le chaos est devenu leur produit phare. Les sociétés occidentales s'en nourrissent comme d'un festin morbide à base de peur omniprésente, de terrorisme planétaire et de surveillance massive. L'arsenal industriel de la guerre se vend mieux dans le sang et la peur, et ces agences tiennent les contrats. Chaque bombe bien ajustée, chaque dossier piraté, chaque coup monté est un profit. Ils orchestrent ainsi le chaos, manipulent les peuples et s'enrichissent sur leur souffrance.

Ces "maîtres" n’ont ni élus, ni scrutins. Leur seule éthique tient dans la ligne budgétaire et la montée des indices boursiers de l’industrie militaire. Le seul vote qui compte ici, c’est celui de leurs bailleurs de fonds, de leurs actionnaires, de leurs gouvernements complices. Il est temps de reprendre cet éclair. Exiger la déclassification totale. Réclamer un tribunal international pour crimes d’ingérence. Exiger la transparence. Rompre la connivence entre États et agences. Briser les chaînes où chaque coup d’État, chaque torture, chaque assassinat doit être inscrit dans l’Histoire, jugé et puni. Le monde est devenu un théâtre d’ombres. C’est une machine à produire de la guerre et de l’obéissance. Ces agences sont ses rouages, ces gouvernements sont ses opérateurs. Leur réaction quand la lumière s’allume est le silence, puis le déni, puis le refoulement d’un passé qu’ils ont écrit de leurs mains. 

Pourtant, une lueur subsiste dans cet océan de ténèbres grâce aux BRICS. Derrière l’acronyme, ce n’est pas simplement un regroupement économique qui s’affirme, mais bien une alternative géopolitique qui s’élève face à l’hégémonie du chaos occidental. Ils incarnent aujourd’hui, pour les peuples, une porte de salut encore entrouverte vers un ordre multipolaire, où les souverainetés nationales ne seront plus piétinées par les ambitions néocoloniales de Washington, Londres ou Tel-Aviv. Poutine, que d’aucuns diabolisent à longueur d’antennes corrompues, agit en réalité comme un maître d’échecs modéré, tentant encore d’empêcher une guerre ouverte qui emporterait l’Europe entière dans un bain de sang. Même la folie de Netanyahou, dans sa violence sans masque, pourrait paradoxalement provoquer un sursaut salvateur ; celui d’un réveil des peuples face au joug sioniste et aux manipulations séculaires de ses élites corrompues. Mais rien n’est joué. Le système vacille, certes, mais il n’est pas tombé. Les dirigeants occidentaux, dans leur fuite en avant, préféreront précipiter la guerre totale plutôt que d’assumer leur trahison. Ils préfèrent l’effondrement général à la reddition de leurs privilèges. Tant que cette folie stratégique perdure, tant que la peur guide leur main, l’espoir devra s’armer de lucidité et de courage pour ne pas se dissoudre dans le mensonge.

Mais la littérature, la colère, la mémoire sont là. Elles attendent un auteur pour braquer le projecteur. Pour installer une vérité indélébile. Le chaos ne peut plus être l’arme exclusive du silence. Cette fois, les voix doivent hurler. Leurs noms doivent être gravé, leurs actions révélées. Et leurs complices, leurs bourreaux factices, doivent comprendre que l’ombre se dissipe devant la Lumière. Face à cette folie incontrôlable, il est impératif de résister. Il est temps de dénoncer ces acteurs, de dévoiler les maîtres du chaos et leurs crimes odieux, de mettre fin à leur projet de domination et de destruction. Il est aussi temps de cesser d’être des pacifistes béats et de s’armer psychologiquement au moins, puisque physiquement je tomberai sous le coup de la loi et de se préparer à les combattre. Les peuples doivent se lever, revendiquer leur souveraineté et reconstruire un monde fondé sur la paix, la justice et la solidarité. Car tant que ces maîtres du chaos, ces architectes de la servitude continueront à œuvrer dans l’ombre, l’humanité court à sa perte.

Mais ce système n'est pas inéluctable. Il est temps de briser les chaînes, de dénoncer et de résister à leur projet de domination et de destruction. Les peuples doivent se lever, revendiquer leur souveraineté, le droit à être informés par des médias scrupuleux et non subventionnés, et se mettre à reconstruire un monde fondé sur la paix, la justice et la solidarité.

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé





Commentaires

  1. Ouvre.Lesyeux13/06/2025 07:43

    Une bien belle conclusion à cette excellente série sur ces systèmes "mondialeux" écœurants que sont les Maîtres du Chaos !
    Encore Merci pour vos articles qui donnent à chaque fois cette envie de se lever et d'en finir...
    NB : J'écris "mondialeux" volontairement, car je trouve que le terme "mondialistes" est bien trop poli pour ces mafieux ;-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci à vous de me suivre avec autant d'assiduité et de partager mes textes! Bien à vous

      Supprimer
  2. Excellente série mon cher Phil. Merci pour votre engagement sans pareil.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci beaucoup. Et merci aussi de me suivre et d'ajouter de si sympathiques commentaires ! Bien à vous.

      Supprimer
  3. Avis partagé excellente série quel talent ! Bravo.

    RépondreSupprimer
  4. Bonjour.
    Je partage l'ensemble de votre analyse et vous invite à lire le livre "La crise terminale du capitalisme" qui donne à voir les mécanismes profond à l'oeuvre derrière ces agissements (https://www.amazon.fr/-/en/Luc-Laforets-ebook/dp/B0F64HHW73).
    A plaisir d'échanger, et pourquoi pas de travailler avec vous.
    Cordialement.
    Luc Laforets
    www.1P6R.org

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. merci! Je me fais toujours un plaisir de collaborer avec des gens de bonne volonté come vous !

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

AMBIANCE "MOSSAD" EN ISRAËL Où LA GUERRE DES OMBRES DEVIENT L'APOCALYPSE PUBLIQUE !

LA COURSE VERS L'ARMAGEDDON

ISRAEL Vs IRAN OU COMMENT L'HYBRIS RAVAGE LE MONDE

DISPARITION D'ÉRIC DENÉCÉ : QUAND LE POUVOIR FAIT TAIRE TOUS CEUX QUI VOIENT CLAIR !