LES BABOUINS 2.0...
Bienvenue
dans le plus beau parc animalier d’Europe qu'est devenue la République Française,
modèle de diversité, de tolérance et d’expérimentation sociale grandeur nature.
Ici, pas besoin de ticket d’entrée ni de jumelles pour observer les espèces locales
puisqu'elles viennent directement à vous, en centre-ville, avec parfois un
fumigène dans une main et un téléphone volé dans l’autre. Vous
venez de pénétrer dans le parc à thème de la régression,
où les instincts dominent, où la violence est un mode d’expression, et où le progrès humain est remplacé par la
satisfaction immédiate et bruyante de pulsions tribales. Avec,
en prime, un laxisme généralisé comme filet de sécurité
pour éviter que quiconque ne se sente jugé ou stigmatisé.
Dans ce zoo
grandeur nature, on trouve un peu de tout. Des espèces en voie d’extinction,
comme les citoyens exemplaires, observables principalement tôt le
matin, quand ils vont travailler en silence ; des animaux en cages dorées et
choyés, comme les politiciens égarés, qui ont
troqué leur boussole pour un sondage IFOP ; des parasites institutionnels que
sont les lobbyistes caméléons, experts en changement de couleur selon le vent
politique et capables de sucer jusqu’à la dernière goutte de nos impôts sans
sourciller ; mais aussi des spécimens en sursis avec les journalistes complaisants qui
flairent l’odeur du buzz et évitent le fond, adeptes du copier-coller à la
chaîne, souvent pris en flagrant délit de paresse intellectuelle ; sans oublier des
chauves-souris idéologiques avec les élites culturelles soumises qui volent à
l’envers, incapables de discerner le jour de la nuit, s’abritant derrière des
concepts flous pour masquer leur inertie ; des fossiles médiatiques avec les penseurs
de plateau, aussi nombreux qu’inutiles, dont la principale
fonction est de transformer chaque émeute en sujet de société ; et également des créatures
mythologiques et espèces rares que sont les vérités officielles que l’on
prétend parfois voir, mais qui se volatilise dès que l’on gratte un peu.
Mais surtout, surtout… on y trouve des meutes bruyantes de jeunes primates
urbains, qui s’ébrouent joyeusement au moindre prétexte, qu’il
soit festif avec les victoires du PSG ou d'une quelconque équipe de Foot, qu'il soit tragique lors des bavures policières réelles
ou supposées, ou qu'il soit purement météorologique quand "il fait chaud", cela justifiant amplement les débordements de la "jeunesse". Leur
terrain de jeu favori est constitué d'avenues commerçantes et leur
passe-temps favori est de venir briser les vitrines comme exutoire existentiel
où le pillage est vu comme forme d’expression artistique. Et bien sûr, dont le
trophée ultime de ces "Hunger Games" de la honte est la paire de Nike brandie à bout de bras !
Ou plutôt, le pied gauche, puisque seul
celui-ci est généralement exposé, car le pied droit est en réserve ! Mais ça, c’est secondaire... La symbolique est là puisque de toute façon le primate moderne n’est pas venu pour marcher, mais pour signaler son
appartenance à la meute. C’est le geste qui compte. Une fois
l’unique basket fièrement brandie ou postée sur Insta', le devoir est accompli
! Le reste du zoo tremble, et le buzz est réussi…
D’aucuns diraient que ce sont des émeutiers, des sauvages, des barbares, voire des
animaux. D’autres, plus compatissants, parleront de "jeunes en souffrance". Bien que l’éventail terminologique soit vaste, aucun qualificatif de tant
de bestialité ne semble totalement satisfaisant à ce stade de compromission et
de soumission idéologique au" vivre ensemble". Car si l’on s’en tient
aux faits bruts, aux images, aux
comportements... difficiles de ne pas s'interroger sur la qualification ou la
classification de l'espèce en présence. Et comme dans toute réserve naturelle
bien gérée, les rangers, pardon, les
milices de l’ordre, sont présents, mais priés d’intervenir avec
une extrême précaution, à l'inverse d'avec les Gilets Jaunes surtout, s’ils
veulent éviter le tribunal médiatique de la "bienpensance" de 20h. On
les encourage même à "dialoguer", à "apaiser", voire à recevoir des pavés dans la face comme on leur
distribuerait des flyers… avec patience, excuses et sourire !
Des hurlements collectifs au moindre conteneur en feu, on découvre une fascination quasi-mystique pour la hiérarchie par la force brute, suivie d'une méthode de pillage qui ressemble davantage à une stratégie de chasse en meute qu’à une protestation sociale, et exacerbée par une incapacité chronique à articuler autre chose que des cris ou des slogans creux... C’est à se demander si Darwin, quelque part, ne se retourne pas dans sa tombe en hurlant : "Mais enfin, j’avais dit que l’évolution allait vers quelque chose ! "
Alors, puisqu’il faut bien tenter une explication à cet incommensurable délire doublé de déni et puisque nos sociologues en goguette ont depuis longtemps abdiqué devant le réel, permettons-nous une hypothèse un tantinet zoologique et analogique en se demandant si ce n'était pas tout simplement... des babouins ? Pas pour insulter ces primates vivants dans un environnement hostile en Afrique subsaharienne ou au sud de la péninsule arabique. Non, ce serait bien trop facile. Il s’agit ici d’une analyse éthologique comparative, autrement dit, le jargon sophistiqué que nos experts sortent quand il faut meubler leurs interventions télévisées et justifier qu’ils continuent de percevoir un salaire confortable pendant que le pays part en vrille.
Ces spécialistes de canapé, bardés de diplômes, passent leur temps à disséquer le comportement des foules comme s’ils étudiaient une tribu inconnue, sans jamais vraiment proposer la moindre solution concrète. Leur activité favorite étant de multiplier les termes savants, semer la confusion, et surtout éviter de mettre le doigt là où ça fait mal. En résumé, une grande danse de postures intellectuelles pour cacher leur impuissance et leur confortable inaction. Car enfin, en matière de structure tribale, de dominance par la violence, de gestes répétitifs et menaçants, et surtout de destructions systématiques de tout ce qui ressemble à un symbole d’ordre, le babouin est un modèle du genre. Il ne revendique rien. Il ne milite pas. Il prend, il hurle, il casse, et il recommence. Et il le fait ensemble, en groupe, selon une logique bien huilée où le chaos est une fin en soi.
Ce n’est pas de l’anthropologie, c’est du bon
sens. Ces scènes ont davantage à voir avec un remake raté de La Planète des singes qu’avec un mouvement de contestation éclairé. On y
retrouve tout : l’instinct grégaire, les démonstrations viriles de testostérone
à ciel ouvert, et ce refus absolu de toute autorité qui ne soit pas celle de la
meute. Le smartphone dans une main pour immortaliser le chaos, le cocktail
Molotov dans l’autre pour le provoquer. Certes, l’outil évolue, mais l’esprit
reste le même. Primitif, brutal et impulsif. Pas de grande stratégie, pas de
message, juste le spectacle pathétique d’une sauvagerie urbaine qui se drape
dans la modernité numérique comme on mettrait un costume avec nœud papillon à
un singe de cirque.
Et pendant
ce temps, les sociologues, eux,
continuent à voir des "revendications légitimes", de la "colère
sociale", des "formes alternatives de langage politique". On
attend encore l’analyse de la
dialectique contenue dans le jet de pavé sur un pompier, ou celle approfondie relatant le bris de vitrine ou le tag sur un mur, probablement
aussi subtile qu’une dissertation sur la beauté d’une crotte de chien.
Soyons honnêtes deux minutes, ce que nous
observons aujourd’hui ne mérite ni le titre de "révolte" ni celui de "mouvement social" éclairé. Non, c’est une régression pure et simple à l’état
tribal, un retour en arrière de l'humanité déguisé en chaos urbain. Dans cette jungle urbaine, le feu remplace le débat, la force brute devient la seule
forme de morale, et le pillage se transforme en un grotesque rite initiatique, passage obligé pour gagner ses galons de vandale. Et le plus navrant est que
ces individus ne revendiquent rien d’autre que la loi du plus fort, une
hiérarchie fondée sur la peur, le bruit et la violence. Ce n’est pas une lutte
pour un idéal, mais une joute sauvage où la déraison règne en maître. Ironie
cruelle, même les véritables babouins, avec leurs cris rauques et leurs bagarres
territoriales, ont au moins la franchise de ne pas prétendre à la civilisation.
Ils ne se cachent pas derrière de faux discours humanistes ou des slogans creux.
Alors que nous sombrons dans ce tohu-bohu, la question se pose de savoir qui
est vraiment civilisé, quand l’instinct primitif reprend ses droits en pleine
ville ?
Dans la nature, les babouins rôdent en toute
impunité. Ils s’invitent sans prévenir dans les villages, renversent les
poubelles, pillent les cultures, s’infiltrent dans les maisons, terrifient les
enfants et, pour couronner le tout, mordent les touristes, parfois même en subtilisant aussi leur portefeuille. Ce n'est pas un conte
exotique, juste la dure loi du règne animal, simple et cruelle.
Comme ce n’est pas un mythe africain mais un fait zoologique.
En France,
bien sûr, on préfère donner dans le chic. On a troqué les huttes pour des
centres commerciaux, remplacé les champs de manioc par des allées de Sephora,
et transformé les villages paisibles en zones urbaines sensibles, le tout sous
l’étiquette élégante de "quartiers prioritaires". Mais la stratégie, elle,
n’a pas bougé d’un poil, ni même d’un poil de fesse, d’ailleurs. La horde agit
selon les mêmes principes bestiaux, avec une sophistication technologique en
plus puisqu'ils ont un smartphone en poche pour immortaliser le casse sur les
réseaux, le TikTok "Live" en fond sonore, et la Sneakers dernier cri
au pied gauche, celui qui compte vraiment pour la mode, évidemment. Bref, un mauvais remake à la française d’un film
d’horreur zoologique, où la sauvagerie n’a pas pris une ride, juste un lifting
urbain.
Dès qu’un
match se termine – ou qu’un fait divers tragique, instrumentalisé ou pas, secoue Twitter –, la horde descend.
Pas toujours organisée, mais toujours déterminée. On ne parle pas ici d’individus, mais d’une énergie collective,
une sorte de flashmob de destruction,
version urbaine et sous-testostéronée. Et il ne s’agit même pas de
revendiquer quoi que ce soit. L’idée même de
"revendication" supposerait un minimum de structure intellectuelle. Non,
ici, le but est de tester
le système. Tester les alarmes des magasins, tester la résistance
des pompiers, tester les limites de la police (et si possible, la provoquer
jusqu’à la bavure), tester enfin la
tolérance d’une population à bout, soumise à la "raie-publique", qui se rêve inclusive
et se retrouve en PLS derrière une vitrine brisée et un magasin saccagé.
Le "butin", c’est un peu la caverne d’Ali Baba du grabuge avec, au mieux, une paire de
baskets (sous-entendu pied droit et gauche) volée à la va-vite, un iPhone pour alimenter le cercle vicieux des
réseaux sociaux, un pot de Nutella parce que même la casse a droit à ses douceurs,
ou parfois rien de plus qu’une simple montée d’adrénaline avec le frisson
intense d’envoyer un coup de pied dans une vitrine en hurlant "wAAAllah frère",
histoire de bien marquer le coup. Bien sûr, tout cela est savamment filmé en
direct sur TikTok, cette version 2.0 du tam-tam tribal, où chaque exploit aussi
ridicule que désespéré devient un trophée numérique, destiné à nourrir la meute
et à déclencher la prochaine vague de vandalisme, toujours plus créative en
termes de bêtise collective.
C’est une
évolution, dites-vous ? Non, plutôt une involution spectaculaire. Nos babouins d'Europe ont troqué la canopée luxuriante africaine pour le parking d'un centre commercial,
la banane juteuse pour un kebab dégoulinant, et les cris gutturaux d’autrefois
pour des hashtags vides de sens. Le décor a changé, mais la logique reste
désespérément la même : envahir, prendre, casser, repartir. Un ballet primitif
aux survet' high-tech, où le moindre effort intellectuel se résume à choisir le
filtre Instagram qui fera le plus de vues. Et pendant ce temps, le touriste républicain moyen, aussi appelé
"con-citoyen", regarde les images, entre deux factures EDF en constate
augmentation, et se demande combien cela va encore lui coûter.
Pas en termes de sécurité, non. En
termes d’impôts, de taxes, d’excuses, et de tribunes dans Libé expliquant que "le vrai problème, c’est
la stigmatisation".
Il ne s’agit pas ici de "dénoncer la
bestialité" de ces individus. Non, ce serait trop simple, trop
caricatural, et surtout risquerait d’offenser les âmes sensibles de certains
chroniqueurs bien-pensants de France Inter, toujours prêts à brandir l’étendard
de la délicatesse. Non, on ne dénonce pas. On observe, froidement, comme un
vétérinaire face à un animal erratique qui bave et mord sans raison apparente,
incapable de comprendre pourquoi. Car ces groupes ne cherchent ni justice, ni
avenir, ni révolution. Pas de discours, pas de revendication, pas même une
banderole mal écrite. Leur unique credo est de provoquer le chaos. Mais pas
n’importe lequel. Un chaos sur mesure, calibré, accessible, rapide, une sorte
d'Uber Eats de la destruction. Et bien sûr, livré avec le sourire narquois dans
un packaging festif, comme une "after-party" improvisée, au lendemain
d’un match raté ou d’une arrestation qui dérape, histoire de faire passer le
temps. Une sorte de nihilisme branché, où casser des vitrines et des abris bus est
devenu l’équivalent moderne de passer une bonne soirée.
À bien y
regarder, ce sont bien des babouins d'Europe. Mais
attention, des babouins connectés avec
une story Insta' à chaque jet de pavé, et une GoPro volée sur le torse pour filmer
leurs méfaits. En clair, ce sont des
primates qui ont découvert que le frigo était en libre-service dans les zones
commerciales et que les alarmes ne mordent pas. Et puis pourquoi
s’embêteraient-ils à bosser ou même à comprendre les règles du monde quand voler est plus rapide. Crier est plus
satisfaisant. Détruire est plus jouissif. Et surtout, c’est sans conséquence réelle,
puisque dans ce zoo inversé qu’est devenue la "raie-publique", ce ne sont plus
les cages qui protègent la société des fauves, mais les prétextes idéologiques
qui protègent les fauves de la société.
On aurait pu espérer un sursaut, une forme de
conscience de groupe, un "tiens, et si on ne brûlait pas le bus cette fois
?". Mais non. Trop
long. Trop fatiguant. Trop structuré. Mieux vaut courir torse
nu sur un capot de voiture de police en hurlant des insanités, pendant qu’un
copain filme, pendant qu’un sociologue explique, pendant que la justice
soupire, et pendant que le contribuable paie. "Darwin, sors de ta tombe ! On a perdu le fil de l’évolution..."
À croire que la fameuse sélection naturelle a été mise en pause quelque part
entre le cours d’éducation civique et la première alloc'. L’Homo sapiens
régressif est né et se nomme "Homo TikTokus", sous-espèce
hyperconnectée, hyperviolente et hyporéflexive. Un être
asocial, désaffilié et en roue libre comportementale.
Mais le plus fascinant - ou le plus
consternant, selon l’humeur du jour- dans ce mauvais remake, ce ne sont même
pas les babouins européens. Non. Le
vrai chef-d’œuvre d’absurdité, c’est le comportement des gardiens du zoo, ces
politiciens flageolants, ces ministres en costard froissé, et ces experts en blouse médiatique,
tous aussi utiles qu’un antivol sur une trottinette à Paris. Car à chaque scène
d’émeute, à chaque vitrine éventrée, à chaque pompier caillassé, le rituel recommence. Les mêmes incantations sociologico-magiques
sont récitées en boucle, comme des prières postmodernes
adressées au dieu de la déresponsabilisation totale avec des "Padamalgam…!",
ou "C’est un problème de manque d’intégration…", ou encore "Il faut
comprendre la fracture sociale…", mais aussi "C’est l’héritage du colonialisme
structurel…", et sans oublié le fameux "Ils sont en souffrance !"
Aaaah, la
souffrance… Bien sûr ! Une souffrance si intense qu’elle ne se
manifeste que quand Darty est ouvert,
et que le stock d’iPhones est plein.
Il faut croire que l’oppression postcoloniale devient particulièrement
insupportable au moment des soldes.
Et pendant que ces nouveaux babouins urbains ravagent un centre-ville comme une bande de
clients hystériques chez Zara un matin de Black Friday, - avec hurlements,
pillages et coups de pied dans les portants en prime -, nos
élites s’extasient sur leur "errance identitaire",
cette forme poétique de dire qu'ils sont perdus faute d'éducation parentale,
mais c’est la faute de la France raciste. Parce qu’il faut
toujours un coupable, et ce n’est jamais eux.
Autrefois, on appelait ça des voleurs. Point barre.
Pas besoin de diplôme en sciences sociales pour comprendre qu’on avait affaire
à des délinquants. Aujourd’hui, on a la langue bien pendue, façon manuel de
novlangue : "jeunes en rupture avec le lien symbolique de la norme
territoriale." Traduction ? Ils brûlent ta bagnole, mais attention, c’est
chargé de sens, c’est poétique, presque philosophique. C’est le grand art de
l’incendie urbain version élite intellectuelle. C'est du vandalisme, certes,
mais avec un concept ! Ça donnerait presque envie de pleurer… ou de rigoler,
selon l’humeur du jour. Et le clou du spectacle, c'est que les cages du zoo restent ouvertes.
Littéralement. Et ces "singes" font la loi pendant que les
gardiens feuillettent Libération avec des moufles. On en est là
mes amis, dans un État qui regarde ses
institutions se faire pisser dessus en s’excusant d’avoir mis des toilettes
trop loin.
Et pendant ce temps-là, la justice joue à la roulette russe des interprétations pour savoir si brûler une école est un "acte politique" ou une "expression artistique spontanée". C'est qu'il ne faudrait pas froisser un futur rappeur, hein, on pourrait gâcher son génie créatif ! Alors, les cendres refroidissent et les élèves, eux, restent à la maison en attendant que les juristes débattent de la "portée symbolique" du feu. Puis, vient la fausse compassion médiatique, cette grande messe du soir où des journalistes essorés nous expliquent, d’un ton grave, que les vitrines brisées sont le langage désespéré d’une jeunesse invisible. Invisible, vraiment ? On les voit très bien sur les vidéos TikTok, en train de se filmer avec les AirPods volés la veille et visés aux oreilles. Ce ne sont pas des fantômes, ce sont des influenceurs de la délinquance, n'influençant que les influençables sponsorisés par la mollesse républicaine.
Et enfin, en dernier recours pour sauver le
"vivre ensemble", viennent les
sociologues de canapé, ces grands prêtres de la nuance qui,
entre deux cafés dans les locaux de France Culture, trouvent des termes de plus
en plus baroques pour éviter de dire le mot "violence". Le cocktail Molotov est une "forme
d’expression urbaine marginale", mais pas pour tout le monde.
Le pillage, pratiqué que par ces hordes sauvages, mais jamais par le manifestant revendiquant
ses droits ou des comptes à l'état, est un "rejet symbolique de la société de
consommation". Le caillassage de pompiers devient même une
"tentative de reconfiguration des rapports à l’autorité". Bref,
tout sauf ce que c’est, à
savoir du vandalisme pur, gratuit, fièrement filmé et applaudi par les mêmes
qui, sur les plateaux TV, nous parlent de "territoires en quête de
reconnaissance", comme si cambrioler
un Foot Locker à dix était une nouvelle forme de diplomatie culturelle.
Et pendant
qu’on nous serre la gorge avec ces violons
sociologiques en mode lamento victimaire, les pompiers servent de punching-ball,
la justice de paillasson, et les honnêtes citoyens de figurants dociles dans ce
grand théâtre compassionnel. On compatit, on contextualise, mais surtout on ne condamne pas au cas où ce
serait trop "stigmatisant", voire "discriminant". Et
pour ceux qui osent suggérer qu’un cocktail Molotov n’est pas une expression
artistique, ils sont immédiatement désignés comme des réac' rances ou des
fachos en devenir. Car dans ce nouveau monde inversé, la lucidité est un crime, et l’excuse une vertu. Et là, le cynisme atteint des sommets himalayens. Car
pendant que nos babouins urbains s’en donnent à cœur joie, que les bennes
brûlent comme autant de cierges funéraires dédiés à la République, le vrai
prestidigitateur, lui, ne casse rien, il légifère. Sous couvert de "progrès
socialiste", il pond des lois à la chaîne, multiplie les commissions inutiles
et gomme les responsabilités derrière un vernis de "dialogue social". Toujours
plus de paroles, moins d’action, et un pays qui sombre doucement dans le grand
cirque du laxisme officiel. Car la grande magie du chaos utile, c’est qu’une
vitrine explosée ici, une école incendiée là… et hop, miracle ! Une nouvelle
loi sort du chapeau, toujours au nom de "notre bien commun". Le
socialisme, ce grand illusionniste, transforme le désordre en prétexte pour
grignoter nos libertés un peu plus chaque jour. Pendant que les flammes
dansent, les législateurs se gavent, brandissant la sécurité comme une baguette
magique pour justifier la cage dans laquelle nous sommes tous enfermés. Mais la
reconnaissance faciale, ce n'est pas pour les casseurs, ils ont déjà la cagoule
intégrée. C’est pour Mamie Jacqueline qui va au marché
et dont le crime majeur est de ne pas avoir activé l’application "StopRacailles"
avec Qr code intégré.
Mettre des drones dans les cités ? Oui, bien sûr, un jour peut-être… mais surtout
demain dans les jardins, pour
vérifier si votre barbecue respecte les normes Carbone et que vous avez bien
payée la taxe pour la piscine hors-sol et l'abri de jardin de 20m².
La banlieue devient l'excuse pour le laboratoire de l’ultra-contrôle où chaque caillou jeté par un sauvageon devient
un pavé dans la tombe de nos libertés individuelles. La banlieue est le
prétexte, le contrôle est le projet. On ne traite pas les
racines du mal, on se contente de construire une
cage plus propre. Pour nous. Mais le plus beau dans tout ça, c'est
que ce n’est même plus une stratégie cachée. On vous le dit,
droit dans les yeux : "Oui, nous renforçons la surveillance, oui, c’est
une nécessité". Sauf que la "nécessité" dont ils parlent, ce n’est pas de
retrouver Kevin avec sa barre de fer, mais
de savoir si Michel a liké un "normies" jugé offensant.
Et le citoyen, pendant ce temps-là, obéit à tout ce cirque en se disant que c’est pour sa sécurité. Il subit la double peine d'avoir d’un côté, les hordes qui crient, pillent, crachent sur notre nation, et de l’autre, l’État racketteur et tyrannique qui réagit comme s’il en était la première victime. Et quand les jeunes primates des cités, s'identifiant à des lions avec Tony Montana comme modèle, tournent en rond dans leur ennui inflammable, la démocratie, elle, se fait taser doucement par des mains gantées de bienveillance.
Bien sûr,
parfois, ces babouins sortent les drapeaux. Maroc, Algérie, Palestine, PSG – c’est selon l’humeur, le
score ou la dernière story virale. Pas
de cohérence, juste de l’opportunisme chromatique. Le rouge
pour la colère, le vert pour l’islam, le bleu pour le foot. C’est le prêt-à-porter de l’identité en crise,
une sorte de carnaval sous testostérone où les symboles flottent plus haut que
les idées - idées auxquelles ils n'adhèrent en rien par ailleurs. Aucun projet politique, évidemment. Pas une revendication claire, structurée, argumentée. On
n’est pas chez Jaurès ici, mais dans un vidéoclip flou où la rage remplace le discours.
C’est la guerre de territoire, version PlayStation, avec un keffieh ou un
drapeau du PSG en guise de bannière, et
une trottinette volée comme char d’assaut.
On croirait que le Mondial 1998, ce fameux
"black-blanc-beur" en or massif de la République inclusive, a juste pondu un œuf pourri.
L’enfant caché de la fête nationale et de la frustration identitaire. Au lieu
de produire des citoyens, il
a engendré des supporters géopolitiques, qui crient "Vive l'Algérie"
tout en saccageant la station RER la plus proche. La
tribu d’abord car pour eux, le pays n'est qu'une formalité
administrative. La démocratie est un concept flou qu’on brûle entre deux Snapschat.
La religion n'est plus celle de la
transcendance ou de la réflexion, mais celle de la posture victimaire et de
l’excuse brandie comme une arme. À force de répéter que la
France est méchante, raciste, coloniale et coupable de tout, certains ont fini par croire qu’elle méritait
ce traitement. Et ils agissent comme s’ils étaient des
résistants en terrain occupé, alors qu’ils sont juste des gamins confondant TikTok avec l’Histoire et le djihad avec un jeu de
rôle urbain. Ces symboles, censés être des emblèmes culturels, sont devenus les étendards d’une insoumission
qui se moque bien des lois. Ils flottent au-dessus des émeutes
comme des drapeaux blancs mais pas de la paix, plutôt de la reddition. Et
pendant que les élites se recroquevillent derrière leurs discours mièvres, la
société tout entière se fracture, et le zoo continue de s’emballer.
Mais voilà
le vrai spectacle grotesque se trouve chez ces dirigeants, tétanisés par la peur
d’être taxés de racisme, jouant les équilibristes sur un fil de plus en plus
tendu. Un pas de travers, un mot maladroit, et c’est la meute médiatique subventionnée
qui déchaîne ses chiens de garde. Résultat logique d'une
politique à la ramasse, figée dans une posture d’autruche paniquée enfonçant sa
tête dans le sable des normes et préférant fermer les yeux
plutôt que de nommer le problème. Pendant ce temps, les élites culturelles, ces
maîtres du politiquement correct et de la langue de coton, s’échinent à
transformer ces drapeaux brandis en totems sacrés d’une impunité nouvelle. Le
moindre acte de violence ou de vandalisme devient un "cri d’alarme",
un "acte de désespoir", ou pire, une "revendication identitaire
légitime". On a troqué la répression contre
la compassion forcée, la fermeté contre la peur de froisser, la justice contre
la soumission rhétorique.
Les délinquants récidivent, encouragés par
une impunité quasi garantie, pendant que les juges se gargarisent de mots creux
comme "contextualisation", "responsabilisation
différenciée", "mauvaises conditions socio-économiques".
En clair, on laisse filer, on explique, on justifie, on dilue la responsabilité
individuelle dans un nuage de bonnes intentions aussi hypocrites qu'indécentes.
Et que
dire la responsabilité familiale, en commençant par celle des parents de ces bêtes
féroces…? Un concept aussi flou et insaisissable que ces hordes de jeunes qui
peuplent le zoo urbain. On aime bien en parler, surtout quand il s’agit de la
refiler à l’autre, à l’État, au voisin, ou à la météo. Mais quand il s’agit de
regarder dans le miroir, c’est une autre histoire. Parce que dans ce grand
théâtre de l’absurde, les
citoyens de tous bords, origines ou religions, au mieux, assistent au spectacle
en commentateurs passifs, au pire, ferment les yeux ou s’en
lavent les mains. L’indifférence et le déni sont devenus les vrais virus
sociaux. Chacun veut sa tranquillité, son petit confort, son canapé, tout en
déplorant la déliquescence ambiante, mais refusant son inaction dans
l'éducation de ses propres enfants. On se défile, on se désengage, on délègue
tout à un État débordé qui, lui-même, joue les pompiers pyromanes.
Car pendant que les vitrines explosent et que les rues se transforment en
arènes, le Président, lui, tweete tranquillement : "Champion mon frère". Ah,
la République bananière, édition stand-up d'un mauvais spectacle où l'ironie
est la seule chose qui ne manque pas.
Et la société, la voilà morcelée en tribus
repliées sur elles-mêmes, chacune revendiquant son bout de territoire, ses
particularismes, ses rancunes, pendant que la vraie vie collective s’effrite
doucement. Le tissu social est devenu une toile
d’araignée déchirée, incapable de retenir quoi que ce soit, sauf peut-être le
venin de la défiance. Or, c’est dans ces moments là que la
responsabilité doit enfin se réveiller, pas dans de grandes déclarations
pompeuses, mais dans les actes. Dans le refus de banaliser la violence, dans la
dénonciation de la haine, dans le choix de la communauté française plutôt que
du clan, dans l’éducation au respect plutôt qu’à la peur et la défiance.
Mais ça, ça
demande du courage ! Un courage qu’on espère encore chez ceux qui veulent
vraiment sauver ce zoo en folie, avant que les "singes" ne prennent
définitivement le contrôle. La France, est devenue un grand enclos sous
tension, où les "singes" pillent sans vergogne, les experts théorisent en boucle
sans jamais proposer de solution, les politiques s’esquivent comme s’ils
jouaient à cache-cache, et les citoyens paient la note. Celle des dégâts, bien
sûr, mais aussi celle des privilèges accumulés par des générations
d’incapables.
Alors, disons merci à Macron, Hollande, Sarkozy, et surtout à Mitterand ! Merci pour ce chef-d’œuvre de gouvernance décadente. Pour cette France spectacle, cette France showbiz, où la gravité est sacrifiée sur l’autel du buzz sur X, où l’on préfère s’échanger des hashtags et des punchlines creuses, plutôt que d’assumer une seule seconde la responsabilité réelle des actes qui nous mènent droit dans l’abîme. Mais pendant ce temps, le chaos s’installe tranquillement... "Wesh frère !"
Et ainsi, le zoo continue son spectacle
grotesque laissant les singes dans leurs cris et leurs pillages, les gardiens
dans leur léthargie et leurs discours creux, et les spectateurs que sont les
individus honnêtes et éduqués, condamnés à payer le prix fort d’un système qui
a perdu toute boussole. Alors oui, bienvenue dans cette France, version globale des babouins 2.0, là où la survie est une question de buzz, et où la
décadence est devenue la norme.
Bien
entendu, cette analyse ne prétend pas offrir de solution miracle, car ce serait
trop demander à la majorité des individus de ce pays qui préfère la mollesse à
l’action, et la poésie moralisante aux faits bruts. Ici, pas de reconquête
musclée, ni de câlinothérapie sociale à la gomme. Juste un rire amer,
presque cynique, devant ce spectacle grotesque d'un pays jadis phare d'espoir
et de liberté, qui se laisse coloniser par des hordes simiesques, pendant que
ses élites de salon débitent des alexandrins humanistes pour caresser dans le
sens du poil ONG et multiculturalistes, terrorisées à l’idée d’évoquer la
moindre responsabilité.
Laissons donc ces babouins festoyer dans
leurs zones de non-droit, à détruire ce qui reste de civisme, pendant que les
puissants s’enfilent des verres de champagne et des séances d’auto-congratulation
sur fond de discours insipides. Espérons tout de même que leur insatiable
bêtise finira par les épuiser. Mais d’ici là, barricadez-vous, verrouillez les
portes, et priez pour que votre intelligence ne soit pas la prochaine victime
de cette farce tragique. Parce en plus, il paraît que certains sont encore
intelligents…
C’est vous dire
si on n'est pas sorti de l'auberge, ou en l'occurrence du zoo !
Phil BROQ.
Bienvenue dans la planète des babouins ! . Merci pour cette réalité retranscrite avec soin et humour".Das ist die messe! "= c est la foire dans ce zoo ! 🤣
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour tous vos commentaires ! Bien à vous
SupprimerBonjour.
RépondreSupprimerPour faire écho à votre réquisitoire, on peut estimer que la formation des citoyens, par une inculcation de l'idée que la liberté repose sur un véritable équilibre entre les droits et les devoirs, se joue essentiellement à l'école. Or, s'il advient que cette idée soit remise en question ou simplement négligée, n'est-il pas légitime de se demander si l'éducation fait vraiment toujours partie des priorités de l'Éducation nationale ?
Car, lorsqu'un enseignant essaye de faire respecter l'ordre dans sa classe en sanctionnant, par exemple, un comportement déviant et que cela déplait à ses parents qui vont se plaindre auprès de la hiérarchie pour faire invalider la sanction, au prétexte que leur prodige est atteint d'un handicap mental (autisme, trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité et autres joyeusetés savamment conçues et entretenues par les saltimbanque de l'univers des troubles neurodéveloppementaux…), que fait la hiérarchie (cet aréopage de « vrais prestidigitateurs » bien-pensants, experts en matière de gesticulations verbeuses, mais particulièrement rétifs à toute recherche de solutions justes et efficaces) ? Eh bien croyez-le ou non, au lieu de soutenir l'enseignant dans sa démarche qui est parfaitement légale et conforme à la morale (appliquer un règlement intérieur qui prévoit des sanctions pour les élèves perturbateurs), le supérieur ne tremble pas le moins du monde à exiger de l'enseignant de s'asseoir sur le règlement de l'école, afin d'éviter au pauvre chenapan la sanction légale.
Au diable le message éducatif inhérent à une sanction juste ! Au diable la mise en garde consistant à montrer que l'impunité est le meilleur moyen d'installer un enfant dans la toute-puissance ! Au diable l'alerte contre le chaos qu'une telle incurie peut susciter dans une classe ! Au diable l'apprentissage (car comment peut-on apprendre dans le désordre ?) Tout ce qui compte pour le hiérarque c'est de céder aux sirènes de la bien-pensance "psy" qui a perdu le bon sens de concevoir simplement l'existence d'un déficit en matière d'éducation, mais qui a décidé de ne plus jurer que par des troubles nécessitant des soins ; des soins qui n'ont jamais soigné personne, au demeurant.
Avec une telle réalité, n'est-il pas -dès lors- fondé de donner raison à ceux qui pensent que l'école publique fait aujourd'hui le lit d'une « évolution des espèces » vers le façonnement de ce « babouin » de l'ère d'Internet, dont vous faites état ?
Et pour cause : on a l'impression que le but n'est plus d'éduquer, c’est-à-dire de corriger les déviances comportementales pour garantir une société lénifiée, mais de museler les honnêtes gens en étouffant leur parler-vrai et en les empêchant de faire leur travail. Dans cette logique inversée de la morale universelle, le parler vrai est devenu une sorte de déformation professionnelle et l'excuse basée sur l'invocation d'un prétendu problème "psy" est érigée en expression intellectuelle de haut raffinement. Ce monde orwellien n'est malheureusement pas un scénario dystopique, mais une réalité bien tangible. Au fait, cui bono ?
Vous posez une question essentielle : "Cui bono ?" – à qui profite tout cela ?
SupprimerUne partie de la réponse se trouve déjà il y a plus de 2 500 ans, dans L’Art de la guerre de Sun Tzu, qui enseignait qu’avant de conquérir militairement un pays, il faut le corrompre de l’intérieur : affaiblir ses valeurs, miner sa cohésion sociale… et détruire son système éducatif. Ce principe ancestral a été parfaitement intégré et appliqué par les architectes d’un projet mondialiste bien réel : la dissolution des nations souveraines au profit d’un pouvoir technocratique globalisé.
Or, la déstructuration de l’Éducation nationale, que vous décrivez très justement, n’est pas une simple erreur ou une dérive isolée. Elle s’inscrit dans une stratégie bien plus vaste, soutenue notamment par une idéologie talmudiste mondialiste, qui vise à effacer les fondements identitaires et culturels des peuples. Former des citoyens éclairés, capables de discernement moral et politique, n’est plus l’objectif. Le but est désormais de produire des individus désorientés, culpabilisés, déconnectés de toute transmission historique ou spirituelle – faciles à manipuler, à contrôler, à soumettre.L’élève roi, l’impunité institutionnelle, la glorification des troubles psychiques comme seule grille de lecture, et le déni du mérite ou de l’autorité : tout cela n’est pas fortuit. C’est la mise en œuvre progressive d’un démantèlement civilisationnel. La confusion morale et éducative est l’arme la plus efficace pour rendre les peuples incapables de se défendre. Sun Tzu l’avait prédit. Les mondialistes l’exécutent. Et nous, nous regardons notre école sombrer, à quelques décennies du néant. Bien à vous !
Vous avez raison .Toutefois , Ce qui se passe al éducation national n est pas malheureusement le seul secteur ou domaine ou les Stratégies et tactiques basées sur l utilisation de la déception et la tromperie pour tromper l ennemi et prendre l avantage , sont utilisées. Il suffit d ouvrir les yeux .
RépondreSupprimerComme stipulé dans cet article, pour ma part les premiers fautifs et responsables sont les parents... tout commence là !
SupprimerOh Pinaise ! Vous avez tout dit avec cet article, que je trouve tellement juste ! Merci, ça soulage vraiment ;-)
RépondreSupprimerEt oui, je suis bien d'accord, le problème commence avec l'éducation à la maison !
Mais que font les parents ? C'est dingue !!!
Une bonne torgniole n'a jamais fait de mal à personne, il faut l'savoir, hein ! ;-)
Oui ! Cet excellent article fait le constat que nous faisons tous ! Il reste maintenant à se bouger pour sauver ce qu'il reste avant de sombrer complétement ! Ets vous prêt ?
SupprimerMerci de cette brillante et drôlatique évocation de notre zoo. Tout de même une remarque : en utilisant la métaphore des bbouins, vous êtes injurieux envers ette espèce naturelle, qui, elle, fait les choses de la façon la mieux calculée par ce qu'on appelle encore leur instinct, afin de réserver le terme d'intelligence à ceux qui représente le summum d'icelle dans le règne animal, dont ceux que vous décrivez. Il semble en effet que ce soit chez les seuls humains que des groupes puissent tout à coup inverser le sens du progrès et se regrouper dans des éthiques les menant à la régression. Merci de ce que vous faites pour tenter de freiner -- je n'ose dire inverser -- celle-ci. Un de vos semblables, Christian V.
SupprimerTres bien ecrit rt tres bien vu
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