Je vous l'ai inventé avec des rimes en é,
car c'est ce qui me plait si je parle des Français.
Alors rimes riches ou mots désuets, je sais,
que tout n'est qu'une question de sonorité.
Soyez gais, passez outre le son répété,
lisez, voyez, ceci n'est que ma vérité.
Pour soumettre l'humain dans ce monde altéré,
les oligarques utilisent leurs amis banquiers.
De cette fausse humanité, vantée qu'à la télé,
ou dans des médias créés pour nous isoler,
la vitalité rance des communautés,
ne saurait bien longtemps en profiter.
Des esprits sclérosés, aux valeurs galvaudées,
leurs espoirs dévoyés par les biens achetés,
ne reste qu'une race humant sa vanité,
où tout est faux et biaisé pour se rassurer.
Rien ne pourra sauver les cervelles étriquées,
familles recomposées aux enfants vaccinés.
Abjectes minorités tuant les bébés,
et esprits malsains qui ne cherchent qu'à dominer.
Vos manigance, duplicités entre initiés,
seront vite, à la face de tous, dévoilées.
La confiance accordée lors des votes truqués,
se rétablira au moment du sang versé.
Ne rendant jamais rien de ce que vous volez,
vous périrez des mains de tous les vaccinés.
Fille ainée de l'église que vous aimez violer,
De Dieu son père, vous ne serez que les jouets.
Car s'il est patient et très croyant, le Français,
c'est surtout un coeur pur qui le fait avancer.
Des méchantes envies de vos communautés,
rien ni personne, sur son sol, ne sera sauvé.
De ces âmes damnées venues pour nous tuer,
de défaites en défaites, elles seront écrasées.
Détruisant tout ce que nos ainés ont créé,
il ne restera que des cendres du brasier.
Les Gaulois réfractaires vont bientôt se lever,
insultés, maltraités et leurs droits annihilés,
le peuple a trop souffert de répression armée.
Tous pays sont cernés par des bandits banquiers.
La révolte des esprits va enfin sonner,
et le retour des valeurs va tout faire tomber.
Refusant de mourir pour des règles inventées,
les Hommes libres ne seront jamais résignés.
Ces envahisseurs, ne reculant plus devant rien,
abusant au quotidien de l'esprit chrétien,
crachant sur l'accueil qu'on leur fît un matin,
verront bien que notre peuple ne leur doit rien !
Les Gaulois, comme les Français, se sont réveillés !
Phil BROQ.
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