La presse propagandiste Française, appartenant depuis longtemps à une poignée de milliardaires ultra-subventionnés du premier cercle Macronard, n'arrive plus à manipuler les masses avec leurs mensonges quotidiens et éhontés. Et cet état de fait ne date pas seulement de l’avènement des street-journaux indépendants diffusant en live sur les plate-formes internet, bien qu'ils y aient largement contribués au moins pour la jeune génération.
Les ultra riches de l'hexagone, comprenant l'urgence de rester cachés des masses laborieuses tout en ponctionnant leurs impôts, se sont offert leurs jouets médiatiques afin de contrer et de contrôler les vérités qui les dérangent. Cette vérité est d'autant plus criante que même le très sélect et élitiste "Club Le Siècle", pourtant destiné depuis 1944 à donner la feuille de route éditoriale acceptée et validée par ces mêmes élites, n'a pas réussi à masquer plus longtemps le scandale de leur estimé ami et président pédophile Olivier Duhamel. Entrainant à la vue de tous, là aussi, cette ribambelle de bourgeois avides et hautains dans sa chute.
La presse nationale est morte, suicidée par son orgueil et son arrogance crasse. Cette réalité, qui saute à la gorge des rédactions nationales, vient surtout du réveil massif des masses populaires face à l'inacceptable. Lassées de constater l'énorme écart entre le monde réel auquel ils se confrontent tous les jours et le narratif indigeste et scrupuleusement édulcoré, lorsqu'il n'est pas savamment orienté, et qui va systématiquement dans le sens du pouvoir en place.
La duperie des journalistes actuels, en rangs serrés et aux ordres pour une poignée d'aides, n'est plus de l'ordre du délit d'opinion mais relève clairement du mensonge caractérisé. Observant à chaque manifestation populaire et massive du peuple les manipulations grossières des chiffres, les détournements malsains des revendications, les présentations biaisées des sujets traités, les explications mensongères faisant régulièrement passer les bourreaux étatiques pour des victimes, en usant et abusant de leur pouvoir pour empêcher tout jaillissement de la vérité.
Rongés par leur dandysme parisien, leur entre-soi malsain, perdu dans leurs repas mondains entre coke et caviar, ou homards si De Rugy est dans le secteur, les éditorialistes n'ont plus fréquenté le peuple depuis trop longtemps pour seulement pouvoir comprendre leurs erreurs mortifères. Incapable de se remettre en question, de visualiser le monde cru, violent et pauvre créé par leurs maîtres financiers et qu'ils ont soigneusement masqués durant tant d'année. Ils préfèrent se jeter corps et âme dans le vide qui habite leur cerveaux, garder leurs privilèges de bobos héréditaires, que de devoir reprendre la plume de la sincérité des faits qui a pourtant été la raison de leur véritable pouvoir pendant des siècles.
La presse comme les médias ont donc atteint l'os à force de ronger les foules par leurs mensonges. Ils n'ont plus aucune crédibilité aux yeux du quidam. Seuls les grabataires, les Qi inférieurs hanounatisés et peut-être quelques routiers distraits lors du déjeuner, ont encore un regard vers les titres mensongers des éditions d'un Boeuf FMtv, de Léch'ICI, et consoeur.
Tant de mensonges n'ont eu au finalement raison que de la crédibilité de ceux qui les ont commis. Qu'ils soient "journalopes"comme dirait à juste titre un Soral ou politiques surannés, l'époque vire au désastre pour ceux qui croyaient tutoyer les astres. Le paSS Sanitaire, comme toute la séquence pandémique montée de toute pièce pour préserver les avantages des riches en esclavagisant les populations, ne fera pas exception à la règle de ce réveil mondial face aux mensonges.
Les journaux papiers ou télévisés ne font plus recette, car aujourd'hui les peuples ont retrouvé toute leur tête...
Phil BROQ.
ils seront eux aussi dans le bain ---- La terre brule, la terre se noie
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