L'Homme fût créé à l'image de Dieu. Et le Livre de l'Apocalypse, écrit il y a presque 2000 ans déjà, nous révèle que le Diable avait déjà séduit le monde entier en ce temps là. Et si satan n'avait séduit que les Hommes de peu de foi, c'est parce qu'il utilise les vices non contrôlés par l'Esprit Saint de leur âmes. Ainsi, un Homme inculte et ignare ne peut en aucun cas faire partie des desseins du Divin. C'est là tout le message présenté par l'ensemble des livres Saints, pour l'humanité.
L'Homme primitif, à qui tout a été offert dès les premiers jours de la création, n'a toujours pas compris son rôle et sa fonction réelle sur cette Terre nourricière. Perdu depuis longtemps dans les méandres de ses vices, il a oublié qu'il vivait dans le véritable Paradis. Sur cette Terre offerte à ses envies, où l'eau douce et potable abondait, où l'air pur le soignait, où les fruits et les légumes croissaient sans son aide, où les rythmes des saisons lui offraient les conditions nécessaires à son épanouissement. Un lieu unique où la vie jaillissait de toute part, et où la mort elle-même offrait le terreau suffisant à l'émergence du nouveau vivant. Il a oublié que le cycle de la vie lui avait été donné complet et parfait.
Mais l'homme avait un devoir à accomplir, une seule condition pour profiter à jamais de ses bienfaits ainsi engendrés, il devait juste rendre grâce au Divin pour le bonheur qui lui était accordé. Il devait seulement comprendre qu'il n'était pas seulement chair et sang, mais bien l'esprit et l'âme de la vie protégée par cette carapace corporelle. Il fût doté de membres robustes pour se déplacer, pour prendre ce qui était à sa portée, découvrir le monde qui l'entourait et surtout d'un cerveau, pour le distinguer des animaux, apprendre, comprendre, communiquer et créer.
Oubliant les grâces lumineuses dont il était bénéficiaire, l'homme a laissé son esprit s'abaisser vers la matière. Par goût du confort immédiat, par fainéantise, par bêtise, l'homme s'est dénaturé petit à petit et irrémédiablement. Il le fit en contraignant son environnement à ses lubies, en dominant par la force et plus que de raison son prochain comme les animaux, en s'éloignant volontairement de la nature gratifiante mise à sa disposition, et ainsi de sa propre nature d'Homme.
C'est par volonté d’hybris, qui est entré par les failles de son coeur mal éduqué, que l'homme a cédé. Ce faisant, il est devenu l'esclave de ses vices, le jouet de ses propres envies, la marionnette soumise et volontaire de ses passions, l'être transgressif voulu par le malin pour lutter contre le Divin. En s'éloignant orgueilleusement et par arrogance de sa nature, l'homme n'a pas pu, ni su, rester humain. Car ce qui faisait de l'homme un humain, c'était sa propre participation au développement de la nature et non à sa contrition. Dès qu'il s'en est éloigné, il s'est perdu corps et âme dans l'abime de sa destinée.
Par son vice de progrès, dès lors que tout lui était donné, l'humain s'est contraint à se dégénérer. Excusant ses faiblesses par goût du crime contre son créateur, l'homme n'a depuis jamais cessé de maltraiter l'oeuvre du Divin. Il trouvait son absolution dans les misères qu'il se créait au quotidien. Chérissant les chaines qu'il se fabriquait pour justifier sa propre déchéance.
Ainsi, et on en constate l'aboutissement de nos jours, lorsque l'humanité s'est détournée de Dieu, elle a tout simplement laissée ouverte la porte à Satan. C'est cette idéologie mortifère, que depuis leur l'avénement les crétin nommés "philosophes des Lumières" n'eurent de cesse de clamer. Prônant que le salut de l'humanité se ferait par le développement des sciences, empêchant le droit Divin d'oeuvrer dans le bon sens, ils instituèrent l'outrage contre Dieu comme valeur cardinale d'un monde en totale errance.
Par leurs rituels sanglants, leur bêtise funeste, par leurs actes mortels, ils instaurèrent dès lors les pires des gouvernements. Depuis l'arrivée de la "Raie-publique" et le financement de tous les "ismes" qui l'accompagnent, tels le terrorisme, le communisme, le capitalisme, le communautarisme jusqu'à atteindre leur sacro-saint progressisme, les suppôts de Satan initiés à la synagogue rebelle ont plongé l'Homme dans le chaudron bouillant de ses péchés.
Phil BROQ.
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