27 septembre 2024

LE FLÉAU QUI DÉVORE LE MONDE...

Lorsqu'un système établi se dévoile comme profondément corrompu, voire à tendance fasciste, la violence inouïe émanant des profiteurs de ce système devient leur seul recours pour l'imposer de force à tous. Le scandale du siècle, en cours de dévoilement avec le Covid, est accompagné de nombreux autres scandales qui émergent, rendant compréhensible le rythme effréné des mesures liberticides émanant de l’UE pour la censure. Chaque nouvelle déclaration semble sortir d’un scénario catastrophe où les meneurs sont souvent les mêmes. Les forces fascistes, déjà à l'œuvre, dévoilent leur vrai visage à travers une violence qui est autant physique que psychologique.

Les moyens de contrôler la population sont multiples : injections, chimie, malbouffe, stress, famine, pauvreté et guerre. Ces actions visent à restreindre le droit des individus à vivre librement. Il ne faut jamais oublier que les lois actuellement en vigueur dans l’UE ne sont souvent que des textes issus de personnes déjà complètement corrompues, qui n'ont plus rien à perdre et deviennent extrêmement dangereuses. Ces lois sont déconnectées des droits naturels de chaque individu et n'ont même plus de lien avec les droits de l'Homme et du Citoyen.

Israël, après avoir mis le feu à Gaza, se tourne maintenant vers le Liban avec une audace qui rappellerait presque les meilleures pratiques américaines au Vietnam : des bombardements massifs touchant tout ce qui bouge, des civils aux militaires. Bien sûr, cette méthode ne fait qu’attiser la résistance, et chaque vie perdue semble plutôt nourrir une nouvelle génération de martyrs. Plus Israël bombarde, plus il crée des vocations, et malgré quelques succès éphémères, il devient évident qu'il s'enlise dans une guerre qu'il ne pourra pas gagner. Le monde arabe, uni comme jamais, ne fait qu'accentuer l'isolement diplomatique de la colonie sanguinaire israélite, creusant le fossé avec ses voisins et même ses anciens alliés.

Sur le plan international, l'image d'Israël s'effrite rapidement : autrefois chouchou des puissances occidentales, il est désormais perçu comme le vilain petit canard du génocide. Les frappes sur les civils provoquent des critiques de plus en plus virulentes, même de la part de ses alliés traditionnels, qui commencent à reconsidérer leur soutien. Les médias, jadis complices, s’aventurent à dénoncer la folie de la stratégie de terre brûlée de Netanyahu, qui semble conduire la région vers une confrontation totale, en dépit des appels au calme. L’escalade du conflit devient une danse macabre.

Quant aux États-Unis, coincés dans leur propre jeu électoral, ils cherchent désespérément à éviter une aggravation qui pourrait détourner l’attention des véritables enjeux nationaux et perturber leurs intérêts économiques. Maintenir le statu quo semble être la meilleure option. Mais Netanyahu, imperturbable, continue d’enflammer la situation, inquiète Washington et les capitales européennes. L'avenir de ce conflit pourrait bien dépendre de la capacité des grandes puissances à gérer cette folie, avant que cette colonie illégitime ne s’isole complètement sur la scène internationale.

Dans ce contexte, le président turc Recep Tayyip Erdogan a prononcé un discours marquant à l'Assemblée générale des Nations unies, déclarant : "TOUT COMME HITLER A ÉTÉ ARRÊTÉ PAR UNE ALLIANCE DE L'HUMANITÉ IL Y A SOIXANTE-DIX ANS, NETANYAHU ET SON RÉSEAU DE MEURTRIERS DOIVENT ÊTRE ARRÊTÉS PAR UNE ALLIANCE DE L'HUMANITÉ."

 Selon Erdogan, les valeurs du système des Nations Unies et du monde occidental sont "en train de mourir à Gaza", appelant à une mobilisation internationale pour mettre un terme aux atrocités israéliennes. Il a critiqué le Conseil de sécurité des Nations Unies, notant que ceux censés travailler pour un cessez-le-feu continuent d'envoyer des armes à Israël pour poursuivre ses massacres.

L’histoire, rappelons-le, montre que des figures comme Hitler ont été financées par des institutions telles que la Réserve Fédérale Américaine et la Banque d’Angleterre, souvent sous l’influence de groupes d'intérêts spécifiques, comme l'est aujourd'hui Israël. Un article soigneusement étudié par le Dr. Youri Rubtsov met en lumière le rôle de Wall Street dans le financement du gouvernement nazi. Cette analyse historique souligne la continuité des dynamiques de pouvoir qui se jouent actuellement.

Au Liban, la solidarité interconfessionnelle se manifeste alors que des musulmans sunnites accueillent des chrétiens libanais fuyant les bombardements israéliens. En parallèle, la communauté internationale s'inquiète de l'escalade des tensions. Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne, avertit que la région est " au bord d'une guerre totale ", tandis qu'Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU, redoute que le Liban ne devienne un "autre Gaza". L’avocat franco-libanais Elie Hatem déclare : "C'est inimaginable de laisser l'entité sioniste gagner la guerre contre les Palestiniens et de voir un afflux de réfugiés déstabiliser le Liban." Car après le Liban, ce sera au reste du monde de souffrir de leur délire mégalomaniaque et schizophrénique.

Robert F. Kennedy Jr., tout en reconnaissant l’importance d’Israël pour les États-Unis, évoque le risque que la disparition de cet État puisse avoir des conséquences cataclysmiques pour les intérêts américains. Il rappelle également que les dépenses militaires pour Israël bénéficient avant tout au complexe militaro-industriel américain pour son existence, car sans cela, le Moyen-Orient serait en paix depuis longtemps. Son engagement pour une politique étrangère équilibrée et éthique met en lumière la nécessité de ne pas ignorer les droits des peuples opprimés. La disparition d'Israël serait "cataclysmique" pour les Etats-Unis, s'est alarmé le candidat à présidence. "Israël est vital" pour les Etats-Unis. "C'est notre tête de pont au Moyen-Orient, un peu comme si nous avions un porte-avions au Moyen-Orient (…), Sans Israël, la Chine et la Russie contrôleraient 90% du pétrole mondial (…). Les dépenses militaires de Washington pour Israël bénéficient à 75% au complexe militaro-industriel US", a encore argumenté Kennedy Junior. "Tous les républicains du Congrès ont une baby-sitter de l’AIPAC"(…)  "voici ente autre, comment Israël influence et définit la politique américaine" a détaillé le neveu de John F. Kennedy.–Robert F. Kennedy -.  Bien que pro-israélien, JFK espérait modérer l'expansionnisme de l'Etat juif, et il a quand même été assassiné, selon toute probabilité, par la CIA et le Mossad.

Israël rase gratis avec l’aval des occidentaux, leur argent et surtout leurs armes ! Le délire démystifié depuis longtemps du Grand Israël (projet immobilier visant à s'accaparer des ressources pétrolières) s’accomplit au prix des vies civiles de femmes et d'enfants innocents pour l’arrivée d’un "machia'h" imaginaire, mais pour lequel ils sont prêts à tout, surtout au pire !!! Ils ne croient pas en Dieu, mais ils croient qu'Il leur a donné une Terre. Ils croient les prophètes qui ont annoncé le machia'h, mais pas lorsqu'ils ont annoncé la venue du Christ. Ils n'ont toujours pas compris qu'ils ont tué le Messie il y a 2000 ans et que Dieu les a maudits pour l'éternité, donc leur seule destination est l'enfer. Il faut vraiment les informer...

Profitez du spectacle si vous êtes Israélites, vous aurez bientôt de grandes propriétés privées construites sur les os et le sang de goys (les gentils) !! Et si nous sommes les gentils, c'est bien qu'ils sont les méchants. Exactement comme avec leur colonie sanguinaire qui s'est construite sur celle des vrais sémites. À vous de voir à présent, si il n'est pas venu le temps de quitter cette pseudo religion ou de continuer dans la folie idéologique religieuse et meurtrière qui ne vous mènera clairement pas où vous croyez, mais surement à la damnation éternelle.

Pendant ce temps, le rabbin Rav Ron Chaya, affirmant un sionisme inébranlable et arrogant, évoque un futur apocalyptique pour les européens où "le Machia'h arrive", une vision qui exacerbe encore plus les tensions lorsqu'on sait que leur bible n'est qu'un mensonge destinés à leur donner un rôle dans le livre qu'ils n'ont jamais eu dans la vie ni l'histoire, et surtout un texte volé aux sumériens, ce qui n'en fait pas un texte Divin. En revanche, ce qu'a accomplit le Christ est bien réel !

Mais le vent tourne, car des journalistes d’investigation dénoncent également le financement de réseaux islamophobes par des groupes sionistes américains, alimentant la haine contre les musulmans à travers diverses initiatives. Lorsque ce ne sont pas de fausses vidéos de propagandes fabriquées par le Mossad et qu'ils attribuent aux musulmans. La schizophrénie qui entoure ces individus étant un des grands marqueurs psychologique de nos dirigeants corrompus. Pendant ce temps, le ministère britannique de la Défense déploie des troupes à Chypre pour préparer l'évacuation de ses ressortissants, tout en continuant à fournir des armes à Israël.

Benjamin Netanyahou, Premier ministre israélien, se montre toujours aussi intransigeant avec la vie des autres (son fils se cache aux USA et fait la fête, pas la guerre !), déclarant : "Nous liquidons les terroristes et détruisons les missiles, nos moyens sont illimités." Ce sont surtout les aides des USA qui le sont, alors gare au retour de bâton… Car des centaines de colons israéliens, accompagnés de l'armée, s'introduisent sans vergogne dans des lieux sacrés, comme la mosquée Ibrahim, célébrant la venue de leur Machia'h. C'est-à-dire l'antéchrist ! Les souffrances des civils, notamment des femmes et des enfants, sont considérées comme des sacrifices destinés à leurs idoles, que sont Baal ou Lucifer et Satan, pour leurs ambitions expansionnistes d'un autre age.

Face à cette situation complexe, il est crucial de se demander jusqu'où la véritable Humanité sera prête à aller pour défendre ses valeurs et garantir un avenir pacifique face au terrorisme exercés par ces sbires du mal. La nécessité d’un engagement collectif pour restaurer les valeurs humaines et éthiques fondamentales, détruites au quotidien par cette engeance, est plus urgente que jamais. En effet, alors que les tensions mondiales s'intensifient et que des conflits se multiplient, le véritable défi consiste à établir un consensus sur ce que signifie réellement la paix et la justice.

L'histoire récente nous montre que les atrocités ne connaissent pas de frontières, et que l'indifférence face à la souffrance humaine peut conduire à des conséquences désastreuses. Les sociétés doivent s'unir pour dénoncer les abus de ces israélites fous, promouvoir la justice et soutenir ceux qui souffrent au quotidien de cette folie mégalomane. Les valeurs de compassion, d'empathie et de solidarité doivent devenir le fondement d'une réponse mondiale aux crises humanitaires. Dans cette lutte pour la dignité humaine, chaque individu a un rôle à jouer, que ce soit en sensibilisant son entourage, en s'engageant dans des actions concrètes, ou en exigeant des changements auprès de leurs gouvernements.

Israël, qui évoque encore et toujours les souffrances vécues par son peuple pendant la Shoah, dans une ironie tragique, incarne parfaitement ce modèle de violence et d’inhumanité dans un monde qui n'aspire qu'à la paix. Soixante-dix ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les réminiscences de leurs souffrances sont trop souvent utilisées pour justifier leurs actions qui, à bien des égards, reproduisent les mêmes dynamiques d'oppression, sinon pire. Les images des attaques contre des populations civiles, les expulsions de territoires d'autochtones les ayant accueillis et la destruction de vies d'enfants par milliers, semblent en effet alimenter un cycle de violence, où ceux qui ont été victimes deviennent à leur tour les pires des oppresseurs.

Dans cette optique, toutes les actions israéliennes, notamment à Gaza et maintenant au Liban, s'apparentent à des formes d'ultra- violence systémique qui rappellent les épisodes les plus sombres de l'histoire. La brutalité des opérations militaires et le traitement des populations palestiniennes soulèvent des questions éthiques et morales profondes. Comment un État, né des souffrances d'un peuple, peut-il infliger tant de douleur à un autre ? Cela met en lumière le paradoxe tragique de l'histoire : la victimisation à outrance peut parfois engendrer des cycles de violence qui se répètent, et il incombe à chacun de briser cette spirale. En commençant par faire cesser les discours de haine prononcés par tous les pro- assassins israélites qui s'épanchent sur tous les plateaux Tv.

Pourtant, la solution est simple et réside dans un engagement collectif, non seulement pour dénoncer les massacres, les injustices et la corruption systémique qu'ils entretiennent, mais aussi pour proposer des alternatives constructives. L’histoire est un témoin silencieux de ce que l'absence de compassion peut engendrer. Face aux crises actuelles, il est impératif que la communauté internationale se lève, non pas pour diviser, mais pour unir le monde et punir enfin les terroristes israélites comme il se doit. Fort heureusement, les discours de leaders comme Erdogan résonnent comme des appels à l'unité humaine, soulignant que les souffrances de Gaza et des populations opprimées doivent être entendues et prises en compte dans la quête d’une paix durable.

Il est essentiel de promouvoir un dialogue ouvert et honnête sur ces questions, en cherchant à apaiser les souffrances des autres sans minimiser ses propres douleurs historiques. Ce dialogue doit être alimenté par une volonté sincère de réconciliation, où les voix des victimes de toutes les atrocités sont écoutées et où les leçons du passé sont intégrées dans les décisions politiques actuelles. 

Finalement, il est urgent de réévaluer les priorités globales en mettant cette colonie sanguinaire au banc des nations et en jugeant les responsables. L'engagement envers les droits de l'homme, la justice sociale et la paix ne doit pas être un choix, mais une obligation morale. Chaque citoyen, chaque État, chaque organisation doit s'interroger sur son rôle dans cette quête d'un avenir pacifique. Face à la montée des suprématistes qui exploitent la peur et la division, l'humanité doit se rassembler pour défendre une vision commune de dignité et de respect pour tous. Et loin d'un délire mégalomaniaque d'un peuple qui se dit "élu" parce qu'il l'a lui même écrit dans un livre, il y a plus de 2000 ans. 

La route vers la paix est semée d'embûches, mais elle est essentielle pour éviter la répétition des erreurs du passé. Pour cela, la véritable Humanité doit apprendre à transcender ses divisions, à embrasser la diversité et à reconnaître que la véritable force réside dans l'unité et la solidarité. Seule une telle approche permettra de garantir que les souffrances passées ne soient pas vaines et que les générations futures puissent vivre dans un monde de paix, de respect et d'humanité partagée. Et loins des idéologies dévoyées à l'extrême des terroristes Talmudo-sionistes.


Phil BROQ.



26 septembre 2024

SATAN S'INVITE A TOULOUSE ou L'ÉMERGENCE DU MAL RÉVÉLÉ !

Mes amis, dérogeant à la règle du billet quotidien, je dois vous faire part de ce nouvel avertissement sur l'époque délicieuse et désolante que nous vivons ! 

Notre belle France, réputée pour être la "fille aînée de l'Église", se retrouve sous l'emprise d’une folie satanique aux ramifications si étendues qu’elles ressemblent à une pieuvre omniprésente dans une mer de ténèbres. Les agents zélés de ce culte obscur se faufilent dans notre quotidien, tels des spectres malicieux, prêts à renverser nos valeurs fondamentales mais avec les subventions issues de nos impôts. Face à cette offensive sans précédent, l'Église se dresse enfin comme un rempart, tout en mettant en lumière les dangers qui nous guettent. Ensemble, interrogeons-nous sur l'état de notre culture et sur les menaces qui l'assaillent. Des productions telles que "Les Portes des Ténèbres" ne sont rien de moins que des manœuvres pour nous plonger dans un océan de désespoir. À quoi bon célébrer des œuvres qui érodent notre capacité à rêver, à aimer, à espérer ?

Dans un ballet macabre d’intrigues, ces fervents disciples du mal s'activent à promouvoir une culture obsédée par le sombre et le ténébreux. Par l'inspiration de la peur et du Mal absolu. Leurs œuvres ne sont pas de simples productions artistiques, mais des vecteurs d’une idéologie insidieuse qui cherche à détourner nos esprits de la Lumière, à pervertir notre perception du bien et du mal, voire à l'annihiler. À chaque coin de rue, ils s’invitent dans nos vies, offrant des spectacles et des récits imprégnés d’une obscurité plus qu'inquiétante. Des productions telles que "Les Portes des Ténèbres" ne sont rien de moins que des manœuvres pour nous plonger dans un océan de désespoir. À quoi bon célébrer des œuvres qui érodent notre capacité à rêver, à aimer, à espérer ?

Chers Toulousains et amis du monde entier, cet événement monumental qui se profile à l’horizon, transformera notre belle Ville Rose en un théâtre de mystères obscurs et de créatures mythologiques ténébreuses à souhait. Du 25 au 27 octobre 2024, nous assisterons impuissants à l’opéra urbain "Le Gardien du Temple : La Porte des Ténèbres", orchestré par la Compagnie La Machine et Toulouse Métropole. Mais comme je viens de l'évoquer, derrière cet événement qui promet d’être grandiose, une ombre très inquiétante se profile. Ce n’est pas simplement un spectacle ; c’est un miroir tendu vers notre société, un appel à la vigilance face à une glorification des ténèbres et une façon de détruire la ville rose pour en faire la ville noire !

Les promoteurs de cette vision apocalyptique, disons-le, sont des agents du chaos. Armés d’une imagination débordante, dès lors qu'il faut promouvoir la laideur et l'inversion des valeurs, et d’un cynisme à toute épreuve, ils se frayent un chemin à travers nos traditions, détournant les symboles sacrés et les histoires qui devraient nous unir, afin de les pervertir sous l'excuse de l'Art. Ils célèbrent des entités mythologiques tordues, glorifient la souffrance, et jettent des ombres sur des valeurs qui ont, autrefois, éclairé notre chemin et développé notre société. Ce ne sont pas des satanistes qui ont créées les cathédrales, ni même la moindre bâtisse qui fasse la fierté de notre patrimoine architectural vecteur de touristes venus du monde entier. Et que serait notre patrimoine culturel sans ces récits porteurs d'espoir, sans ces légendes qui célèbrent le triomphe du bien sur le mal ? Mais non, ces agents zélés ont décidé que l’obscurité était à la mode, et que la mode, apparemment, est éternelle.

Et que dire alors des conséquences de cette exposition du glauque sur les esprits ? La société dans son ensemble semble se laisser emporter par cette marée de noirceur. Les jeunes, fascinés par ces récits de désespoir et de mort, finissent par croire que la tristesse et l’anxiété sont les seuls véritables compagnons de route. Désabusés, déconnectés du beau, du bon et du vrai ; soumis et abrutis par la technologie, ils ne voient plus que cela dans leur environnement proche et on comprend leur dégoût de l'avenir. Les héros de ces spectacles ne sont plus des modèles de bravoure et de dignité, mais plutôt des figures énigmatiques oscillant entre rébellion et déchéance, comme si la lutte pour la Lumière était devenue une rareté, une relique d’un passé révolu. Or, ceci n'est qu'une illusion, un leurre mais que nous laissons croitre sans réagir.

Cet opus, suite de la première édition en 2018, nous ramène au cœur d’une histoire où le spectaculaire semble supplanter le sens. Astérion, le Minotaure, et Ariane, la Grande Araignée, reviennent, mais cette fois, ils sont rejoints par Lilith, la Gardienne des Ténèbres. À travers cette nouvelle aventure, elle est chargée de conduire les âmes vers les enfers, un rôle qui questionne sur notre rapport à l’obscurité. Ce grand événement, financé par des mécènes sous prétexte de célébrer la créativité artistique, soulève une question fondamentale : jusqu’où ira cette glorification des ténèbres ?

La Porte des Ténèbres, que gardent ces gardiens du Temple (ne sont-elles pas celles du temple des francs-maçons adorateurs de Lucifer ?), se profile comme un écran de fumée, une distraction dont le véritable but est de nous plonger dans un univers où l’obscurité et le mal sont célébrés comme des héros. Astérion, avec son passé enchanteur, évoque des légendes anciennes, mais ce spectacle devient un rappel inquiétant des forces qui régissent notre existence. La présence de Lilith (l'épouse du diable) n’est pas anodine ; elle incarne les ténèbres, un archétype qui menace notre équilibre et notre identité collective. En glorifiant ces figures, nous sommes appelés à interroger notre rapport à la mythologie et à la réalité. Et en ajoutant un concours de dessins pour enfants intitulé "Dessine ta machine imaginaire", où les jeunes sont invités à exprimer leur créativité, nous nous demandons : quel message voulons-nous vraiment leur transmettre ? La normalisation d’un univers où le mal est célébré n’est pas qu’un simple détail ; c’est un choix délibéré qui pourrait façonner les esprits de demain.

S’élever contre cette tendance à glorifier l’obscurité, c’est avant tout protéger notre héritage culturel et spirituel. Au lieu de célébrer le mal, pourquoi ne pas réécrire notre histoire en mettant en avant les héros lumineux, ceux qui ont fait de notre culture un bastion d’espoir et de force. Alors que "Le Gardien du Temple : La Porte des Ténèbres" s'apprête à ouvrir ses portes, il est impératif de rester vigilants. Je vous le répète, CE N'EST PAS UN DIVERTISSEMENT ! Mais les perspicaces comprendront que c'est avant tout un appel à l'action pour toute personne qui possède encore une âme.  Que ce soit à travers les gigantesques machines qui peuplent notre centre-ville ou par les récits qui nous sont contés, il est de notre devoir de questionner et de résister à la tendance grandissante qui cherche à infiltrer notre culture avec ces éléments hautement toxiques et ténébreux. Que signifie vraiment ce spectacle sous son apparence ludique ? Une manipulation insidieuse, sans aucun doute, mais surtout une mise en plein jour de leur programme machiavélique, tissé comme une toile d'araignée et défendu avec les cornes de Satan.

Quel vent de folie s’est encore levé ! Et cette fois, ce n’est pas seulement à cause du vent d'autan qui rend fou, des dernières tendances culinaires ou des performances Rugbystiques, c’est bien plus grave et nauséabond que cela ! Les manipulateurs de l’ombre, sous couvert de spectacles grandioses, s’attaquent bel et bien à notre belle Ville Rose. Par le biais de ces événements montés de toutes pièces par des pseudos artistes ne vivant qu'au crochet de subventions, pour nous attirer dans les filets d’une culture de la désespérance et du désespoir. Mais enfin, mes amis, si même l’Église, d'habitude si placide depuis son inversion et son allégeance aux talmudistes avec le pacte de Vatican II, commence à voir à travers ce mirage, nous avons la permission de retrouver l'espoir dans la providence Divine !

Bien que je me demande encore comment une ville aussi vibrante que Toulouse peut-elle se laisser séduire par les sirènes de la noirceur ? Ne sommes-nous pas des héritiers de tant de Lumière, de tant de beauté, de tant de bonté, de tant de vérité ? Ne sommes nous pas Terre de Rugby aux valeurs viriles qui glorifient la vie ? Pourtant, la célébration des ténèbres sous toutes leurs formes semble y devenir la norme. Car ces spectacles, censés être de l'art sont en réalité de dangereux vecteurs d'une idéologie nihiliste. Les artistes se présentent eux-mêmes comme des sorciers, des enchanteurs, se moquant de notre foi et de nos valeurs. Ils prennent plaisir à nous plonger dans des histoires de souffrance et de désespoir, tandis que nous regardons, fascinés et impuissants. Tout en ruinant les impôts locaux et les aides aux étudiants.

Face à cette offensive satanique, l'Église, bien que parfois maladroite dans sa réponse, se dresse enfin comme un rempart par l'intermédiaire de Mgr de Kerimel (Archevêque de Toulouse) et de ses semblables qui ne sont plus là pour rire, mais bien pour avertir. Pour offrir un échappatoire spirituel à tout ce marasme malsain, savamment entretenu depuis des années et accéléré depuis Macron et sa clique de fanfarons aliénés aux loges obscures dans lesquelles se fomentent ces attaques. Le diocèse de Haute-Garonne voit, avec une clairvoyance troublante, que ces manifestations artistiques ne sont pas de simples spectacles de rue. Elles portent en elles une menace insidieuse, un poison lent qui pourrait faire éclore des graines de désespérance dans les cœurs les plus fragiles. Ainsi, les initiatives comme la messe du 16 octobre 2024, où chacun doit trouver le temps de participer tellement c'est important, ne sont pas non plus des cérémonies religieuses banales. Car ce sont des cris de ralliement désespérés et ultime, pour préserver notre culture et notre identité face à ces influences dévastatrices. Nous devons être légion ce jour là pour éclairer l'espoir et la vie en chassant les ténèbres.

C'est la raison pour laquelle, il faut noter dans vos agendas cette messe du 16 octobre prochain, afin de "Consacrer Toulouse et son diocèse au Sacré-Cœur de Jésus". Il faut y participer en famille et entre amis afin de marquer cet événement et dire STOP à ces agissements malsains qui nous entrainent vers l'abîme de notre destin. N’est-ce pas un acte fort, un acte de résistance ultime contre cette marée noire qui tente encore une fois d'engloutir notre Lumière ? L’Église, par son message d'espoir, cherche à raviver la flamme de la foi et de l’amour, à rappeler que la victoire sur le mal est non seulement possible, mais nécessaire. Mais cette bataille ne se limite pas à une lutte entre l’obscurité et la Lumière ; elle nécessite également une prise de conscience collective. La culture de la peur et du désespoir ne devrait plus être la norme. Et pourquoi ne pas redécouvrir les trésors oubliés de notre patrimoine, ces récits de courage, de sacrifice et de beauté, pour redonner aux générations futures des repères solides, des héros à admirer, et des valeurs à chérir ?

C’est un véritable acte de résistance ultime, un cri de ralliement pour tous ceux qui, chrétiens ou non, décident de faire quelque chose contre ceux qui veulent notre destruction, car on ne combat les ténèbres qu'avec l'Esprit Saint !  Mes amis, si nous ne prenons pas conscience de la bataille qui se livre sous nos yeux, qui le fera ? Qui sauvera l'avenir et l'esprit de nos enfants? Qui s'opposera ensuite si cela se fait dans nos rues à la vue et au su de tous ? Nous ne pouvons plus laisser ces forces obscures gouverner notre réalité. Il est grand temps d’affirmer notre identité, de célébrer nos racines, nos valeurs, et de rappeler que nous sommes les seuls bâtisseurs de notre avenir. Et il ne sera pas dans leur toile d'araignée tissée pour l'occasion. Il est temps de combattre ces démons une fois pour toute !

Toulouse, ma belle, je t’exhorte à ne pas laisser la nuit engloutir ta Lumière ! Dans un monde où les ombres semblent s’allonger et où les forces du mal tentent de s’immiscer dans nos vies, il est de notre devoir de rester vigilants et de combattre cette obscurité qui menace d’étouffer notre essence. Nous sommes ici pour nous battre, pour revendiquer notre culture, notre héritage, et pour rappeler au monde entier que la France est un pays de Lumière, de beauté et d’espoir. Et non, les Chrétiens ne sont pas pacifiques dès lors que le combat se fait contre le Mal ! C'est d'ailleurs la seule action qui nous est permise avec violence et la volonté de faire éclore la vérité du sacré.

La richesse de notre histoire, de notre culture, de notre spiritualité et de notre patrimoine, mérite d'être célébrée, non pas comme de simples reliques d'un passé révolu, mais comme des phares qui nous guident vers l'avenir. Malgré les agissements de certains de nos dirigeants, souvent corrompus et trop souvent dévoués à un système qui se nourrit de la division et du désespoir, nous devons résister à la tentation de sombrer dans l'apathie. Ce système, soutenu par des forces obscures, se présente sous un masque séduisant, prétendant apporter progrès et modernité, mais il ne fait que nourrir les ténèbres.

Toulouse, ville emblématique de la culture et de l'art, doit se lever comme un bastion de résistance. Et par elle, la France suivra et cessera son déni d'identité et sa soumission aux entités du Mal. L’enfer est pavé de bonnes intentions, dit-on. Mais en ajoutant ce concours de dessins pour enfants intitulé "Dessine ta machine imaginaire", où les jeunes sont invités à exprimer leur créativité, nous nous demandons : quel message voulons-nous vraiment leur transmettre ? La normalisation d’un univers où le mal est célébré n’est pas qu’un simple détail ; c’est un choix délibéré qui pourrait façonner les esprits de demain.

Car, Astérion, avec son passé enchanteur, évoque des légendes anciennes noires, mais ce spectacle devient un rappel inquiétant des forces qui régissent notre existence et ceci sera vissé dans le cerveau de nos enfants à jamais. L'araignée tisse sa toile, d'où les moucherons que nous sommes face à ces dirigeants devenus fous, ne sortirons pas. Ainsi, la présence de Lilith n’est bien évidemment pas un hasard, car elle incarne celle qui donne naissance aux ténèbres, un archétype qui menace clairement notre équilibre et notre identité collective.

Alors, relevons cet ultime défi ensemble, en unissant nos voix pour proclamer notre détermination à préserver notre identité et notre culture, lors de cette messe de consécration offerte par le diocèse de Toulouse. Exprimons notre fierté d'être Toulousains, Français, sains de corps et d'esprit, et surement pas dupes devant leurs manigances, nous les héritiers d'un riche passé et bâtisseurs d'un avenir lumineux. La Lumière que nous portons en nous est plus forte que toutes les ténèbres qui veulent l’éteindre. Faisons-en un étendard, un symbole d’espoir et de renaissance qui brillera loin dans leurs tentatives de noircir le monde et notre ville. Car ce n'est qu'ensemble, dans la solidarité et l'amour, que nous ferons briller à nouveau la Lumière de Toulouse.

Dans ce combat pour nos valeurs, n’oublions jamais que nous sommes les gardiens de notre culture, et que chaque action, chaque décision compte. Face à cette offensive des ténèbres, il est de notre devoir d'être les véritables porteurs de la Lumière Divine.  En cette heure de turbulence, restons ferme dans notre conviction que la beauté, la vérité et l'espoir triompheront. Ne laissons plus jamais la nuit engloutir notre Lumière !

Phil BROQ.


LE VRAI POUVOIR DE DIRE "NON !", C'EST LE BOYCOTT …

 Vous vous réveillez chaque matin, prenez votre café, et vous vous préparez à affronter une nouvelle journée dans un monde qui semble de plus en plus insensé. Vous voyez l'injustice partout, des multinationales qui exploitent sans vergogne des ressources humaines et naturelles, à des gouvernements qui semblent s'enliser dans l'inaction ou, pire, s'allier avec ceux qui détruisent la planète pour le profit. Vous voulez agir, mais face à cette machine tentaculaire, vous vous sentez impuissant, presque résigné. Pourtant, au fond de vous, une question persiste : que puis-je faire, moi, simple citoyen ? Et si je vous disais que la réponse se trouve juste là, dans votre poche, à chaque fois que vous sortez votre portefeuille ? Oui, vous avez plus de pouvoir que vous ne le pensez. Chaque achat que vous faites, chaque euro que vous dépensez, a le potentiel de soutenir ou de s'opposer à ce système. Le boycott, cet acte simple mais radical, est peut-être la clé pour reprendre un peu de contrôle sur ce monde qui semble nous échapper.

Dans un monde où l'argent est le maître incontesté, où une élite grasse et insatiable se goinfre sans la moindre vergogne, laissant les plus démunis ramasser les miettes, il devient crucial de rappeler que nous, simples citoyens, ne sommes pas sans défense. Ils veulent nous faire croire que notre pouvoir s'arrête au bulletin de vote, mais c'est un leurre bien commode. En réalité, notre véritable force réside ailleurs : dans notre portefeuille. Le boycott, voilà l'arme de choix pour ceux qui refusent de se laisser asservir par une caste de nantis, ces privilégiés qui utilisent nos propres deniers pour consolider leur domination.

Le mot "boycott" n'est pas si vieux. Né en 1880, il tire son nom d'une action orchestrée par Charles Parnell, un leader nationaliste irlandais, contre Charles Cunningham Boycott, un propriétaire terrien abusif. Le message était simple : ce type mérite une quarantaine sociale. Parnell prononça ces mots le 19 septembre 1880, exhortant la population à traiter Boycott comme un paria, un lépreux des temps modernes. Ce premier boycott était avant tout moral, une manière de manifester un dégoût collectif pour l'injustice. Au fil des décennies, le boycott a pris une dimension plus vaste, devenant un outil de résistance collective redoutable. En 1900, à Bialystok, l'Empire tsariste en fit les frais lorsque les travailleurs, révoltés par le licenciement de quarante-cinq jeunes filles, organisèrent un boycott des cigarettes Janovski. Les militants allaient jusqu'à arracher les cigarettes des mains des fumeurs pour les brûler. Le résultat ? Le fabricant céda, réintégrant les jeunes filles dans l'usine.

Et comment oublier Gandhi, ce maître incontesté de la non-violence, qui, en 1920, appela à boycotter les vêtements anglais pour dénoncer le pillage des ressources indiennes par l'Empire britannique ? Ce boycott n'était pas qu'une question de textiles, c'était un coup de poing symbolique dans le ventre d'un empire.

Le boycott, donc, est plus qu'un simple refus d'achat ; c'est un geste politique, un acte de rébellion. Prenons l'exemple du boycott des bus de Montgomery en 1955. Ce refus collectif de participer à un système ségrégationniste, déclenché par l'arrestation de Rosa Parks, a sonné le glas de la ségrégation raciale légale aux États-Unis. Comme quoi, là où la politique échoue, le boycott réussit.

Aujourd'hui, alors que les multinationales semblent hors de portée du contrôle démocratique, le boycott reste une arme efficace, capable de causer des pertes financières significatives tout en ternissant l'image publique de l'entreprise ciblée. L'économie mondialisée, hyperconnectée, permet à cette forme de protestation de se propager à une vitesse fulgurante, touchant des millions de consommateurs en un rien de temps. Les réseaux sociaux, ces nouveaux champs de bataille, sont désormais des vecteurs de boycott, où chaque like, chaque partage, peut contribuer à déstabiliser une entreprise.

Regardons ce qui se passe en France, où le boycott est souvent perçu comme une pratique marginale, voire exotique. Sous le ministère de Michèle Alliot-Marie, une circulaire incite les procureurs à réprimer fermement les actions de boycott, notamment celles ciblant les produits israéliens. Ici, le lobby sioniste a réussi à faire passer le boycott pour une provocation à la discrimination, passible d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Pourtant, l'État français appelle sans complexe à boycotter la Russie, montrant ainsi l'hypocrisie flagrante dans l'application des lois.

Le boycott, c'est la grève des consommateurs, un refus de participer à un système d'exploitation. Chaque achat que nous faisons est une caution au système en place. Chaque euro dépensé est un vote pour le monde que nous subissons. L'histoire regorge d'exemples où le boycott a infligé des coups sévères à ceux qui pensaient pouvoir agir sans conséquence. La Boston Tea Party, un acte de rébellion contre les taxes britanniques, fut le prélude à l'indépendance américaine. De même, le boycott des oranges Outspan pendant l'apartheid en Afrique du Sud a contribué à la chute de l'un des régimes les plus racistes de l'histoire moderne.

Même les multinationales les plus puissantes ne sont pas à l'abri. Harley-Davidson, Budweiser, Target... Ces géants ont vu leurs bénéfices s'effondrer après avoir tenté de surfer sur des vagues idéologiques controversées des trans-genre. Ou encore coca-cola ou Mac Donald's après leur soutien aux assassins israélites. Le boycott les a rappelés à l'ordre, montrant que les consommateurs ne sont pas dupes et qu'ils ont le pouvoir de frapper là où ça leur fait le plus mal : dans le porte-monnaie !

Dans ce monde où les valeurs culturelles et sportives sont souvent assombries par des événements dépravés ou dégradants, déconnectés du réels comme les oligarques, le boycott se dresse aussi comme une réponse puissante et nécessaire. Ces spectacles, qui ne vivent plus que grâce aux subventions d'État et à la complaisance d'un système en déroute, se nourrissent de notre indifférence. Pourquoi devrions-nous encourager des événements qui non seulement dévalorisent notre culture, mais perpétuent également des discours biaisés et des manipulations, semblables à ceux des journaux de propagande, désormais délaissés par un public éclairé ? 

En refusant d'assister à ces manifestations, en dénonçant les pratiques douteuses qui les entourent, nous pouvons envoyer un message fort : nous ne tolérerons pas que notre patrimoine soit entaché par des intérêts mercantiles et des valeurs dévoyées. Chaque place non réservée, chaque billet non acheté, devient un acte de résistance qui peut forcer les organisateurs à repenser leurs choix et à rétablir une culture digne de ce nom. Ne laissons pas ces événements dégradants prospérer dans l'ombre de notre silence ; engageons-nous ensemble à faire entendre notre voix et à revendiquer un espace culturel qui reflète nos véritables aspirations.

En France, la situation est encore plus grotesque. La TVA, présentée comme une taxe pour le bien commun, n'est en réalité qu'une escroquerie institutionnalisée. Un impôt de 20 % qui pèse lourdement sur les plus pauvres, tandis que les riches profitent de passe-droits scandaleux. La TVA est devenue un boulet pour les travailleurs, une entrave à la consommation qui ne fait qu'accroître les inégalités. Mais paradoxalement, c'est aussi la seule taxe que nous pouvons boycotter. Imaginez un instant si 10 % de la population arrêtait d'acheter des produits soumis à la TVA, se tournant vers des circuits courts, les marchés locaux, ou les producteurs directs. L'État verrait ses recettes fondre, ses petits marquis hauts fonctionnaires, ministres ou sénateurs arrêter avec leurs frasques financées par nos impôts et avec elles, l'assurance des élites qui pensent que nous ne sommes que leurs vaches à lait.

Ils nous prennent tous pour des moutons, mais c'est mal nous connaître. Même si la population Française est largement constituée de castors, de pigeons et d'autruches (les caspitruches), il reste aussi encore des Hommes.

Le boycott, c'est notre dernier rempart pacifique contre un système qui ne sert qu'une poignée de privilégiés détestables. C'est une arme silencieuse mais dévastatrice, capable de faire trembler les plus puissants, voire les faire disparaitre… Car au fond, le pouvoir n'appartient pas à ceux qui gouvernent, mais à ceux qui consomment.

À chaque fois que nous fermons notre porte-monnaie, nous envoyons un message clair : nous ne financerons pas notre propre servitude. L'histoire a prouvé que le boycott est une arme redoutable. Alors, pourquoi ne pas l'utiliser à plein régime ? Les entreprises, les gouvernements, les élites ont tout à perdre. Nous, nous avons tout à gagner.

Alors, la prochaine fois que vous faites un achat, demandez-vous : "À qui profite vraiment cet argent ?" Si la réponse vous déplaît, sachez que vous avez le pouvoir de dire NON. Le boycott est là, entre vos mains. Il est temps de l'utiliser.

Le boycott, cette arme citoyenne, peut faire trembler les géants. Il suffit d'une coordination minimale, d'un soupçon d'indignation, et la marmite des injustices commence à bouillir sous la pression collective. Oui, le boycott est la revanche des "petits" contre les "gros". En refusant de consommer un produit, on n'exerce pas seulement une révolte silencieuse ; on met en branle une machine à remords, un grain de sable dans l'engrenage bien huilé du profit.

Les entreprises, ces colosses aux pieds d'argile, se moquent bien des pétitions ou des discours enflammés sur la justice sociale. Mais touchez à leur portefeuille, et vous verrez leurs oreilles se déboucher, leurs sourcils se froncer, et la panique s'installer dans leurs conseils d'administration. Car, au fond, le boycott, c'est un peu la grève des consommateurs, une manière polie mais efficace de dire : "Pas avec mon argent !"

Le boycott, loin d’être une simple réaction de défiance, devient une arme politique à part entière. Il offre aux citoyens une voie pour exprimer leur désaccord avec un système injuste et pour construire un monde plus équitable, où l'argent ne dicte pas toutes les règles. Le boycott, c'est la grève des âmes conscientes, une démonstration que le citoyen, même seul face à son écran, peut encore faire trembler les puissants.

Alors, chers lecteurs, ne sous-estimez jamais le pouvoir de votre portefeuille. Chaque achat est un vote, chaque refus est un message. Dans ce monde où les injustices se cachent souvent derrière les vitrines étincelantes des supermarchés, le boycott reste l'une des rares armes que nous avons à notre disposition pour résister et, peut-être, changer les choses. C'est une réponse à l'impuissance, une façon de dire non à ce système qui semble invincible.

Et le boycott, c'est surtout bien plus qu'un simple acte de consommation consciente ; c'est une déclaration de guerre silencieuse contre l'injustice. C'est l'arme des opprimés, une manière de reprendre le pouvoir que l'on nous a subtilisé. Imaginez un instant si des millions de personnes décidaient, ensemble, de cesser de soutenir les entreprises qui détruisent notre planète, qui exploitent les travailleurs, ou qui alimentent les conflits. Imaginez l'impact que cela aurait. Les entreprises ne sont pas insensibles aux pertes financières ; elles y sont même vulnérables. En refusant de contribuer à leur prospérité, nous les forçons à repenser leurs stratégies, à envisager des pratiques plus éthiques, à se rendre compte que le pouvoir, finalement, ne réside pas uniquement dans les conseils d'administration, mais dans les mains de ceux qui consomment.

Le boycott, c'est la promesse d'un monde meilleur, un monde où nos choix individuels s'additionnent pour créer un changement collectif. C'est un acte de foi en notre capacité à transformer la réalité. C'est un rappel que nous ne sommes pas seulement des spectateurs passifs, mais des acteurs du changement. Et si nous sommes assez nombreux à dire "NON", ce système, qui semblait autrefois inébranlable, pourrait bien commencer à vaciller. Alors la prochaine fois que vous ouvrez votre portefeuille, souvenez-vous : 

Vous avez le pouvoir de dire oui à un monde plus juste, plus équitable, et plus respectueux des valeurs que nous partageons tous. Le boycott, c'est votre voix, votre pouvoir, et peut-être bien l'avenir que nous espérons tous.

Phil BROQ.



25 septembre 2024

L'ILLUSION DE LA BIENVEILLANCE

La philanthropie ! Ce doux nectar de générosité que nos milliardaires, ces bienfaiteurs de l’humanité en costume cravate, se plaisent à servir à la société, comme si nous étions tous des enfants de chœur. En réalité, derrière ces sourires bienveillants et des discours empreints de noblesse se cache une tambouille d’intentions obscures et machiavéliques. Bill Gates, Jeff Bezos, Warren Buffet et George Soros, nos héros contemporains, nous promettent monts et merveilles tout en gardant un œil avisé sur leurs portefeuilles. Qui aurait cru que des hommes dont la richesse dépasse celle de petits pays seraient si préoccupés par notre bien-être ?

Ces figures emblématiques de la richesse contemporaine prétendent investir dans des causes altruistes, mais leur approche ne se limite pas à la charité ; elle s’inscrit dans une stratégie calculée visant à amasser des capitaux colossaux tout en redéfinissant les fondements de nos sociétés. Et quelle belle manipulation ! Les philanthropes modernes se présentent comme des sauveurs, mais derrière le vernis scintillant de leurs initiatives se cache un projet plus sombre : transformer l’humanité en un simple objet à manipuler selon un agenda néo-malthusien et eugéniste. Un peu comme des marionnettistes, mais avec des chiffres à la place des fils.

Au cœur de cette charade se trouve le malthusianisme, une doctrine antique qui fait un retour fracassant dans le débat public, telle une chanson d’été que l’on ne peut pas oublier. Malthus, ce cher Thomas Robert, avait l’audace de prétendre que la croissance démographique dépasserait toujours la capacité des ressources à la soutenir, entraînant famine et dévastation. Voilà un homme qui savait comment mettre l’ambiance ! Aujourd'hui, nos élites, armées de leur vision éclairée, prônent la restriction des naissances comme une solution à des problèmes sociaux complexes. Mais au lieu d’aborder les véritables causes de la pauvreté — inégalités d'accès à l'éducation, défaillances des infrastructures, et iniquités économiques — ils choisissent la solution facile : réduire la population. Une vraie stratégie gagnante, n'est-ce pas ? Comme si appauvrir davantage les plus vulnérables pouvait résoudre quoi que ce soit.

Ce retour en force du malthusianisme va de pair avec une résurgence d’eugénisme, qui s’exprime à travers les discours enjoués de figures comme Malcolm et Simone Collins. Ces milliardaires, en vantant les mérites de la sélection génétique, avancent une vision selon laquelle la technologie pourrait améliorer l’espèce humaine. Qui aurait cru que nous vivions dans un épisode de Black Mirror ? Pourtant, cette arrogance teintée d’un optimisme démesuré nous rappelle les heures sombres de l'histoire où l’eugénisme justifiait des politiques de stérilisation et d'extermination. Bravo pour les leçons apprises, les amis ! Ignorer l’histoire tout en rêvant d’une humanité « améliorée » n’est qu’un saut dans l’inconnu, sans parachute.

Au-delà de la poésie, cette démarche soulève des questions éthiques fondamentales. Qui décide ce qui constitue une « amélioration » ? Leurs aspirations à une humanité « parfaite » ignorent les leçons de l'histoire, laissant de côté la diversité humaine qui est pourtant notre richesse. Dans leur quête de perfection, ils s’éloignent de l’essence même de notre humanité, prônant une vision dystopique où la nature serait soumise à un contrôle technologique total. Une version moderne du « petit dieu » qui croit que l’on peut façonner l'humanité à sa guise sans en subir les conséquences.

Et que dire du transhumanisme ? Ce doux rêve de transcender notre condition humaine grâce à la technologie, qui promet monts et merveilles comme la longévité éternelle et l’absence de souffrance. Quelle magnifique idée ! Sauf que cette quête d’immortalité technologique pourrait bien se retourner contre nous, en éradiquant ce qui fait notre essence. En promettant une longévité accrue, une amélioration des capacités cognitives, et la possibilité d'une vie sans souffrance, cette idéologie se heurte aux réalités de la nature humaine et de l'interdépendance qui caractérise notre espèce. La promesse de vivre éternellement sans les tracas de l’existence pourrait bien devenir une malédiction, menaçant la diversité et la richesse de notre monde.

Des programmes tels que le Parent Woods et les avancées en matière de transhumanisme s’inscrivent dans cette logique de transformation radicale de l’espèce humaine. Qui a besoin de la douleur ou de la tristesse, après tout ? Au lieu de chercher à comprendre et à améliorer nos conditions de vie, ces visionnaires préfèrent s’attaquer à la nature humaine, comme si elle était un logiciel à déboguer. Leurs promesses de progrès sont séduisantes, mais sous couvert d’innovation, elles risquent d’éradiquer les fondements mêmes de notre existence. La quête de l’immortalité technologique, loin d'être une bénédiction, pourrait devenir un piège mortel. Un futur où les inégalités se creusent encore plus, où les riches s’offrent une humanité « améliorée », tandis que le reste de la population est laissé à son triste sort.

Parallèlement, cette obsession pour le contrôle de la population et la sélection génétique s’accompagne d’une destruction rampante de la biodiversité. Les milliardaires, tout en prônant des idéaux écologiques en surface, s’accaparent les ressources naturelles et brevettent les espèces vivantes, souvent en toute impunité. Comme des enfants dans un magasin de bonbons, ils détruisent la diversité biologique qui constitue le fondement de nos écosystèmes, tout en mettant en danger notre environnement et, par extension, notre propre survie. La destruction des habitats naturels, justifiée par des logiques de profit et d'expansion, risque d’entraîner des crises écologiques sans précédent, dont les conséquences se feront sentir pour les générations futures.

la philanthropie, ce mot si doux à l'oreille, surtout quand il s'agit de distribuer des vaccins aux Gazaouis. Mais n'est-ce pas là un beau paradoxe ? D’un côté, on assiste à des bombardements incessants qui dévastent des vies et des communautés, et de l’autre, on nous présente la vaccination comme un acte de bienveillance, une bouffée d'air frais dans un océan de souffrance. On peut légitimement se demander : est-ce vraiment de la philanthropie ou simplement un moyen de capitaliser sur une situation tragique ? Après tout, chaque seringue plantée dans un bras est accompagnée d’une pluie de subventions internationales qui, plutôt que d'apaiser, risquent de stériliser encore davantage ce peuple déjà meurtri. Voilà un bel exemple de cynisme à son paroxysme : utiliser la détresse humaine comme une opportunité lucrative. La question se pose alors : à qui profite réellement cette "bienveillance" ? Les Gazaouis ne méritent-ils pas mieux qu'un double jeu où leur souffrance est à la fois exploité et soignée, comme des poupées de chiffon dans une pièce de théâtre tragique dont les milliardaires tirent les ficelles ?

Le rôle de l'État dans cette dynamique est également préoccupant. Sous l'égide de leaders comme Emmanuel Macron, qui se positionne en tant qu’« Economic Hit Man » au service de ces élites, la privatisation des services publics s'accélère. La transition vers un modèle de gouvernance où l'aide sociale est déléguée à des entreprises privées se fait au détriment des plus démunis et avec nos impôts. Loin de répondre aux besoins fondamentaux de la population, ces initiatives ne font que renforcer le pouvoir des grandes entreprises, transformant les citoyens en clients, et les droits sociaux en privilèges. Un vrai régal pour les actionnaires, n’est-ce pas ?

Ainsi, cette confluence d'intérêts — celle des milliardaires, des institutions financières, et des gouvernements complices — crée un système qui dévalorise la dignité humaine et remet en question les fondements mêmes de notre société. Au nom d'une philanthropie mal comprise, d'une prétendue nécessité de réduire la population, et d'une amélioration technologique de l'espèce, ces acteurs cherchent à imposer une vision déshumanisée et inégalitaire du monde. Il est grand temps de rester vigilants face à ces dérives, de dénoncer les discours qui masquent des intentions néfastes, et de défendre une humanité qui place la solidarité et la diversité au cœur de son avenir. Car c'est dans cette diversité que réside notre véritable force, et c'est en la protégeant que nous assurerons la pérennité de notre espèce.

La folie mégalomane des milliardaires de la tech, qui se présentent comme les architectes d'un avenir idéal, révèle une profonde déconnexion de la réalité et une impunité déconcertante. Sous prétexte de compenser le déclin démographique et de préserver des valeurs culturelles qu'ils jugent essentielles, ces individus n'hésitent pas à traiter les êtres humains comme de simples objets, des produits destinés à être améliorés et sélectionnés selon des critères qu'ils établissent. Leur mantra, selon lequel la sélection naturelle serait désormais inefficace, illustre cette arrogance : ils prétendent que les progrès médicaux et les conditions de vie atténuent les processus de sélection, laissant entendre qu'il leur revient de prendre les rênes de l'évolution humaine. En évoquant la nécessité d'une croissance démographique pour maintenir la stabilité des systèmes sociaux et économiques, ils justifient des pratiques eugénistes qui, en réalité, menacent l'essence même de l'humanité.

Pourtant, ces discours sont largement contestés par la communauté scientifique et les défenseurs des droits de l'homme, qui soulignent les dangers d'une telle ingérence dans la vie privée et la liberté reproductive. En affirmant que les avancées en génétique pourraient garantir des enfants plus sains et plus intelligents, ils négligent l'impact significatif des facteurs environnementaux et sociaux sur le bien-être individuel. Cette quête d'amélioration génétique, si elle peut sembler séduisante, ouvre la porte à des dérives discriminatoires et racistes, rappelant les pages sombres de l'histoire. Au fond, ces milliardaires ne cherchent pas seulement à façonner un monde à leur image, mais à éradiquer toutes nuances de l'humanité, persuadés que leur richesse leur confère le droit de décider qui mérite de naître.

En fin de compte, levons le voile sur ces actions philanthropiques qui, loin de promouvoir le bien commun, visent à renforcer un système déjà inégalitaire. Bill Gates, Jeff Bezos, Warren Buffet et George Soros, loin d’être des héros modernes, incarnent les véritables dangers de notre époque : des architectes d'un ordre mondial rétrograde et déshumanisé. En utilisant leur richesse pour influencer les politiques publiques et redéfinir nos valeurs, ils menacent la biodiversité et la dignité humaines. Dans un monde où l'impunité des puissants semble régner, où les milliardaires jonglent avec les enjeux sociaux et environnementaux comme s'il s'agissait de simples pions sur un échiquier, il devient crucial de dénoncer ces dérives et de défendre une vision alternative. Une vision qui repose non pas sur l’arrogance de quelques-uns, mais sur la charité, la diversité biologique et le respect des droits de chacun. Ces valeurs, souvent reléguées au rang de slogans publicitaires, devraient constituer le socle de notre humanité.

Dans cette perspective, il est essentiel de remettre en question les discours qui glorifient la philanthropie comme une panacée. Au lieu d’accepter passivement que des milliardaires définissent les termes de l'aide, nous devons nous interroger : qui a réellement besoin de cette aide ? Quelles sont les véritables motivations derrière ces initiatives ? En quoi répondent-elles aux besoins des communautés qu'elles prétendent servir ? En sortant nos lorgnettes, nous pouvons observer attentivement cette danse des milliardaires, qui s'efforcent de donner l'illusion d'un changement positif, tout en préservant seulement leurs propres intérêts.

Il est temps de réveiller notre esprit critique et d’exiger une responsabilité collective. Les gouvernements, trop souvent complices de ces puissances financières, doivent être tenus de rendre des comptes. Il ne suffit pas de plaquer des solutions technologiques sur des problèmes sociaux complexes ; il est impératif d'adopter des approches systématiques et inclusives qui tiennent compte des besoins des plus vulnérables.

La justice sociale doit passer au premier plan, car sans elle, toute promesse de progrès n'est qu'une façade. Lorsque les voix des opprimés sont étouffées et que les inégalités s'accroissent, nous nous dirigeons vers une société désunie, fragilisée par des tensions croissantes. Chaque geste de charité, chaque acte de résistance face aux abus de pouvoir, compte. Ce sont ces petits feux de résistance qui peuvent illuminer le chemin vers un avenir où les droits de chacun sont respectés.

En fin de compte, défendre une vision alternative n'est pas seulement une question de mots, mais d'action. Cela nécessite un engagement à long terme pour cultiver une société qui valorise la dignité humaine, où chaque individu a non seulement le droit de rêver, mais aussi les moyens de réaliser ses rêves. Ce n’est qu’en protégeant cette biodiversité et en défendant la dignité de chaque être humain que nous pourrons envisager un avenir plus juste et humain.

Car derrière le spectacle scintillant des milliardaires et leur philanthropie de vitrine se cache une réalité bien plus dangereuse, où les intérêts des plus riches prévalent souvent, sinon toujours sur le bien-être collectif. Ne nous laissons pas berner par le brillant vernis de leurs financements d'actions charitables. Ouvrons les yeux sur leurs manipulations et mensonges éhontés, unissons nos forces et travaillons ensemble pour bâtir un monde où la charité et la diversité biologique ne sont pas seulement des mots à la mode, mais des principes actifs qui guident nos choix et nos actions.

En nous mobilisant autour de ces valeurs, nous serons en mesure d’assurer non seulement notre survie, mais aussi celle des générations futures dans un monde où chacun a sa place. En attendant, pensez à boycotter leurs entreprises et vous renseigner sur vos achats, car c'est là que tout commence...

Phil BROQ.



24 septembre 2024

L’HISTOIRE SECRÈTE DE LA PLUS GRANDE SECTE DE TOUS LES TEMPS

 Nous allons l’appeler le Système. Presque tout le monde est un adepte consentant ou non de cette secte. Sans s’en rendre compte. C'est pour votre "Sécurité", peu importe que vous en perdiez votre liberté.

Dans cette secte, faire de la production de fruits et légumes bio et les revendre n’est pas autorisé, sauf évidemment si vous payez un supplément. Par contre, vous pouvez empoisonner vos aliments avec des pesticides, cela ne pose pas de problèmes. Dans le Système, pour vous soigner, vous devez utiliser « la bonne méthode ». Celle de médicaments chimiques et de chimiothérapie. Si vous utilisez des méthodes naturelles pour guérir vos patients, vous serez banni de l’Ordre des Médecins. Car vous ne fournissez pas d’argent à l’une des branches de la secte, c’est-à-dire Big Pharma, l’une des plaques tournantes du Système, aux côtés des Banques et de quelques autres.

Vous commencez à entrer dans cette secte dès le plus jeune âge, sans votre consentement. Il se crée alors ce que nous appelons « l’acte de naissance », attestant que vous êtes un nouveau venu au monde et que maintenant, vous êtes accroché au Système. À partir de là, vous aurez des « obligations ».

À partir de 5 ans, voire 3 ans, vous allez à ce que nous appelons l’école. Dans cette école, vous allez apprendre beaucoup de choses. Certaines utiles pour la vie courante et la majorité écrasante qui n’ont pas une utilité incontestable. Évidemment, vous devrez vous faire vacciner OBLIGATOIREMENT, même si vous êtes en bonne santé, sinon vous serez rejeté par le système. Car, dans le Système, les adeptes ne doivent pas être naturels. Vous apprenez à être un bon soldat du système. Quelqu’un qui va travailler sans se poser de questions jusqu’à ses 60 ans, voire plus. Non, nous n’allons pas vous apprendre ici à faire votre propre jardin de fruits et légumes, construire votre habitat, ou savoir s’alimenter soi-même en eau et en électricité. Non ! Ici, il ne s’agit pas de vous rendre autonome du système, mais de vous y rendre dépendant au maximum. Et vraiment, si vous sortez de ce système, vous serez vu comme un fou, un inadapté, un « complotiste », et toute sorte de noms dont le sens est clairement contestable.

Quand vous atteignez l’âge mûr, quand vous quittez l’école, super, vous entrez dans la vie active ! À partir de là, vous devez TRAVAILLER. Non, vous ne quittez pas le système ; vous y entrez encore plus profondément. À partir de là, vous allez travailler, non pas pour rendre service, mais pour avoir le droit de vivre. Non, non, non, vous n’avez pas le droit d’avoir un toit sur la tête, ni de manger convenablement, si vous n’avez pas de travail. Vous êtes sinon catégorisé comme un « fainéant ».

Au passage, le mot « travail » vient du latin « tripallium », qui signifie « torture ». C’était aussi un instrument de torture au Moyen Âge. Quand vous travaillez, vous recevez un « salaire » sous forme d’argent. Vous allez recevoir des « factures ». Les biens de la nature étant devenus un produit du système, vous devrez payer votre eau, vos fruits et légumes, car tout a été centralisé. Non, non, non, il ne s’agit pas de planter des arbustes fruitiers et des légumes un peu partout pour que chacun ait accès à la nourriture librement, non ! Il faut monnayer tout ça.

Donc, votre salaire va vous permettre le minimum vital, voire un petit peu plus. Sachant que pour votre employeur, s’il vous donne un salaire de 1 000 €, c’est qu’il y en a 2 000 qui partent à l’État. Pour votre propre salaire, le système va gagner plus que vous. Mais la secte n’a pas fini de vous prendre de l’argent : vous allez devoir payer de la TVA sur tout ce que vous achetez. Vous devrez payer des impôts, la taxe d’habitation, la taxe foncière. Oui, même quand vous êtes propriétaire, vous devez de l’argent au Haut de la Pyramide de la secte ! Après tout, c’est pour eux que vous travaillez.

Mais vu que vous êtes emprisonné dans le système, vous devez avoir une autorisation pour construire un habitat sur un terrain qui appartient pourtant à la Terre. Vous devez avoir un passeport pour être autorisé à aller à l’étranger. Vous devez avoir une carte d’identité pour que l’on vous identifie comme un adepte de la secte. Vous pourriez vous faire emprisonner si vous êtes un ancien adepte rebelle qui délaisse son identité. Vous devez avoir des assurances voiture obligatoires, pour continuer à nourrir le système. Si vous avez une entreprise, 50 % de vos bénéfices vont encore être donnés à la société privée République Française, qui est l’un des systèmes dans le système.

Tout ceci pour nourrir des super-riches milliardaires. Mais vous devez leur donner de l’argent. Par contre, il est tout à fait logique et accepté dans cette secte que des êtres humains meurent de faim ou soient à la rue. Les milliardaires leur portent-ils secours ? Que nenni, ils n’ont qu’à travailler ! Et sinon, tant pis pour eux, ils sont peut-être nés dans le mauvais pays, ou peut-être qu’ils n’ont simplement pas le « bon comportement ». Oui, car il y a une charte du bon comportement qui est décidée par les dirigeants du Système. On vous dit quoi faire et comment le faire. Après tout, même si des enfants meurent de faim, quelle importance ? « Ce ne sont pas les miens. » Les adeptes du système vont toujours voir leur propre personne et leur place dans le système avant celle des autres.

D’ailleurs, parlons de cette fascinante machinerie qu’est le Système, où la notion même de justice s’est métamorphosée en une farce grotesque, une parodie de ce qu’elle devrait être. La justice, autrefois garante de l’équité, a été remplacée par une police devenue milice, une armée de zélateurs aveuglés par leur loyauté à la secte. Ces agents de la "loi" ne servent plus le peuple, mais l’intérêt des puissants, au service d’un ordre établi où règnent la corruption et l’incompétence. Leur seul but ? Maintenir le statu quo, défendre les inégalités et réprimer toute dissidence avec une main de fer. Ces adeptes, souvent les plus corrompus et les moins qualifiés, se vautrent dans leurs privilèges tout en se drapant dans un uniforme qui leur confère une autorité illusoire. Ils agissent comme des chasseurs de têtes, traquant quiconque ose défier le Système, tout en fermant les yeux sur les véritables abus qui gangrènent la société. Ainsi, la justice de la secte est devenue une blague, une pièce de théâtre tragique où ceux qui devraient protéger le peuple ne font qu’enfoncer davantage les clous de l’oppression, transformant la peur en outil de contrôle.

Et que dire des politiciens ? Ah, ces marionnettes pathétiques, ces psychopathes s’enivrant de leurs vices, qui ne sont là que pour servir les maîtres de la secte ! Ils s’illuminent dans les salons dorés, se vautrent dans le luxe et la décadence, tout en faisant semblant de prêter une oreille attentive aux pleurs des opprimés. En échange de leur loyauté aveugle, ils reçoivent les miettes d’un festin qu’ils contribuent à préparer, célébrant la mascarade de la démocratie tout en piétinant le peuple qu’ils prétendent représenter. Loin de défendre l’intérêt général, ils orchestrent des spectacles déconcertants pour détourner l’attention des véritables problèmes. Dans cette danse macabre, chaque promesse électorale est un énième acte de soumission à un Système qui dévore ses propres enfants.

Si par exemple, vous voulez créer une entreprise, vous devez vous enregistrer dans le système, parce que vous donnerez la moitié de vos bénéfices au système. Pourquoi serait-il incorrect de créer une entreprise sans l’enregistrer ? Pour donner de l’argent au système, encore et encore, et être pressé comme un citron. Le système décide de ce que nous appelons la « mode », la façon de s’habiller, etc. Il va tout faire pour que vous ayez de nouveaux désirs éphémères et superficielles. Pour que vous achetiez une nouvelle voiture, une nouvelle télé... Vous devez être à la hauteur de vos amis, voire mieux quand même ! Et cela va vous procurer un plaisir quelques jours, avant de retomber.

Le système veut absolument que vous croyiez que votre bonheur est à l’extérieur de vous, dans les objets, les relations, et les divertissements de la secte. La secte se permet tout. Et vous savez la nouvelle ? Maintenant, il y a des obligations vestimentaires ! Vous devez mettre un masque dans les centres-villes des grandes villes, sinon, le système va vous punir et vous donner une amende de 135 € ! Apparemment, c’est pour « protéger les autres ». Mince, petit problème, c’est que le dioxyde de carbone que vous expulsez va entrer dans le masque. Mais bon, l’important c’est d’obéir. Tout ça pour dire que la secte n’en a que faire de vous, même pas un numéro d’identification. Vous êtes un produit du Système, rien de plus.

Il serait presque comique de voir à quel point tout cela est huilé, si ce n’était pas si tragique. Dans cette farce absurde qu’est la vie moderne, vous êtes né dans un monde où tout est décidé pour vous, où l’illusion de la liberté est aussi tangible qu’un mirage dans le désert. Chaque jour, vous vous levez pour aller à votre "travail", un labyrinthe de normes et de règles dictées par ceux qui se vautrent dans le luxe tout en prétendant vous protéger. Au final, le Système est une immense blague, et nous en sommes tous les malheureux protagonistes.

Ah, mais ne vous inquiétez pas, tout ira bien ! Tant que vous suivez les règles et que vous vous contentez de ce qu'on vous offre, vous pourrez continuer à vivre, à consommer, à sourire en vous couchant la tête pleine de rêves inaccessibles, tout en sachant que, au fond, tout cela n’est qu’un mirage.

En définitive, cette secte tentaculaire, qu’est le Système, n’est pas seulement une entité abstraite, mais une réalité omniprésente qui s’immisce dans chacune de nos vies. Chacun de nous, d'une manière ou d'une autre, est devenu complice de cette machinerie infernale, en se conformant à ses règles et en intégrant les valeurs qu'elle promeut. Au moment où vous envoyez vos enfants à l'école, n'avez-vous jamais pris un instant pour vous interroger sur les chaînes invisibles que vous leur imposez ? Ces établissements, qui prétendent les éduquer, sont en réalité des moulins à conformisme, où l'on façonne de futurs consommateurs dociles, prêts à accepter l'inacceptable.

Vous, qui travaillez sans relâche pour fournir à votre famille ce confort matériel si précieux, avez-vous pris conscience que ce que vous leur offrez en échange est bien souvent une vie soumise, où le rêve de liberté est étouffé sous le poids des attentes du Système ? Ces biens matériels, ces promesses de succès et de bonheur, ne sont-ils pas une illusion construite pour vous maintenir enchaîné à cette machine insatiable ? En sacrifiant votre âme sur l'autel du confort, que devenez-vous réellement ?

Les conséquences de vos actes résonnent dans chaque coin de cette secte. En faisant le choix de rester dans le rang, vous ne faites que renforcer les fondations d’un monde qui préfère les chiffres aux individus, l’apparence à l’authenticité. Chaque fois que vous fermez les yeux sur l’injustice, chaque fois que vous choisissez le statu quo au lieu du changement, vous alimentez cette bête vorace qui ne s'arrête jamais. Réfléchissez à cela : en jetant vos enfants dans les bras du Système, en leur faisant croire que le confort est la seule voie vers le bonheur, vous les condamnez à un avenir où leur potentiel sera engoncé par des barreaux invisibles.

Alors, à vous qui lisez ces mots : interrogez-vous. N’est-il pas temps de briser les chaînes que vous avez acceptées si docilement ? N’est-il pas temps de redonner à votre existence et à celle de vos enfants la valeur qui leur revient, en refusant de sacrifier votre âme pour quelques miettes de confort ? Car au final, c'est peut-être cette prise de conscience, cette volonté de changer, qui pourrait donner un sens à cette vie souvent réduite à un simple numéro dans le grand livre du Système.

Phil BROQ.

 


23 septembre 2024

LA TECHNOLOGIE DE LA "SÉCURITÉ" SABOTE NOTRE SANTÉ

 À l'ère où la technologie semble être un progrès inéluctable, nous devons nous interroger sur les conséquences dévastatrices que ces avancées peuvent engendrer. Les radars, omniprésents dans notre quotidien, illustrent parfaitement ce paradoxe. Si ces dispositifs de détection et de suivi sont vantés pour leurs applications militaires et civiles, leur utilisation s'accompagne de risques alarmants pour la santé publique et l'environnement. La quête incessante de sécurité à travers des systèmes militaires sophistiqués nous pousse inexorablement vers une menace plus grande : celle de notre propre santé et de notre survie. En tant que société, nous avons le devoir de remettre en question l'usage de telles technologies qui, au lieu de nous protéger, pourraient bien nous entraîner vers notre perte.


Les radars, omniprésents dans nos vies modernes, jouent un rôle crucial dans divers domaines, allant de l’aéronautique à la navigation maritime, en passant par les applications militaires et civiles. Fonctionnant grâce à des fréquences pulsées comprises entre 3 et 9 gigahertz (GHz), ces systèmes permettent de détecter et de suivre des objets à distance. Cependant, leur utilisation soulève des préoccupations de plus en plus pressantes en matière de santé publique, surtout à mesure que la technologie 5G se déploie, incorporant ces mêmes bandes de fréquence.


Depuis des décennies, les recherches alertent sur les effets néfastes des rayonnements électromagnétiques. En 1980, lors du symposium « Electromagnetic Waves and Biology », des scientifiques ont mis en lumière les effets athermiques des rayonnements émis par les radars. Des études démontrent que l'exposition néonatale aux hyperfréquences a des conséquences dramatiques sur la physiologie des animaux, affectant leur reproduction, leur capacité à s'adapter au stress, et leur système neurovégétatif. Ces résultats préoccupants ne peuvent être ignorés lorsqu'on envisage l'exposition humaine, en particulier pour les travailleurs dans des environnements à risque.


Le Bureau International du Travail (BIT) a émis des recommandations claires concernant la protection des travailleurs exposés à ces rayonnements. Les effets constatés chez les animaux, tels que les dommages oculaires, les troubles auditifs, et les impacts sur la reproduction, doivent être pris au sérieux pour prévenir des conséquences similaires chez les humains. Ce lien entre l'exposition aux hyperfréquences et les risques pour la santé humaine doit alerter les autorités et inciter à une régulation stricte.


Un rapport déclassifié sur l’attaque par hyperfréquences à l’ambassade américaine à Moscou a révélé que les employés y avaient été exposés à de faibles signaux radars pendant neuf heures par jour. Les résultats de cette exposition chronique ont été alarmants : des aberrations chromosomiques et des taux de leucémie élevés ont été constatés parmi les personnes exposées. Ce rapport met fin à la controverse autour du syndrome des micro-ondes, une condition de santé qui touche de nombreux travailleurs, notamment dans les secteurs militaire et diplomatique.


Ces révélations sur les effets des fréquences électromagnétiques ne doivent pas être considérées comme de simples anecdotes isolées. Elles mettent en lumière une réalité préoccupante qui pourrait avoir des implications profondes pour la santé publique. L'exposition à ces rayonnements, qu'ils proviennent de radars, de technologies 5G ou d'autres sources, pose des risques potentiellement graves non seulement pour la santé physique, mais également pour le bien-être mental des individus.


Des cas de cataracte, de lésions rétiniennes et d'autres problèmes oculaires ont été observés chez des personnes exposées de manière répétée aux radars et aux micro-ondes. De plus, les troubles auditifs, tels que le phénomène de Frey, où des sons ou des sensations étranges sont perçus à cause des interférences électromagnétiques, soulignent la nécessité d'une prise de conscience accrue des dangers que ces technologies représentent.


Human Rights Watch a récemment rapporté avoir vérifié l'utilisation de munitions au phosphore blanc par les forces israéliennes contre des zones résidentielles densément peuplées au Liban. Cette pratique constitue une violation flagrante des lois internationales et met gravement en danger la vie des civils, exacerbant les souffrances et contribuant à un déplacement massif de populations. Le phosphore blanc, bien connu pour ses effets dévastateurs, provoque des brûlures horribles et des souffrances prolongées, s'inscrivant dans une logique de guerre qui fait fi des principes de protection des civils.


Au-delà des attaques à l'armement classique, une autre dimension de cette guerre moderne émerge : l'utilisation des ondes électromagnétiques. Des rapports font état d'attaques ciblées utilisant des technologies sophistiquées, capables de provoquer des explosions et des interférences dans les systèmes électroniques. Cela inclut des dispositifs tels que les bippers du Hezbollah, dont les capacités de communication peuvent être gravement perturbées par des impulsions électromagnétiques.


Ces méthodes de guerre ne se contentent pas d'infliger des dommages matériels ; elles engendrent également un climat de terreur psychologique. Les populations civiles vivent dans la peur constante non seulement des bombardements, mais aussi de la menace invisible que représentent les technologies modernes. Cela soulève des questions éthiques et morales sur l'utilisation de telles armes, qui semblent transcender les conflits traditionnels et entrer dans une ère de guerre technologique.


La colonie terroriste israélienne, en se livrant à de telles pratiques, démontre un mépris évident pour les conventions internationales, notamment celles relatives à la protection des civils en temps de guerre. En intégrant des stratégies de combat qui allient armement classique et technologies avancées, elle crée un environnement de violence systémique qui touche de manière disproportionnée les populations innocentes. Cette dynamique soulève des préoccupations majeures quant à l'avenir de la région et à la protection des droits humains fondamentaux.


En somme, la combinaison de l'usage de munitions au phosphore blanc et des attaques par ondes électromagnétiques souligne la gravité de la situation en Palestine et au Liban. Cela appelle à une réaction immédiate de la communauté internationale, qui doit condamner ces violations et exiger des comptes. Il est crucial de protéger les civils et de mettre fin à cette spirale de violence, qui menace non seulement la vie de millions de personnes, mais aussi les principes fondamentaux des droits humains.


Au-delà des impacts physiques, les fréquences électromagnétiques peuvent également avoir des conséquences sur la santé mentale des individus. Des études préliminaires suggèrent un lien entre l'exposition aux micro-ondes et des symptômes tels que l'anxiété, la dépression et des troubles du sommeil. Ces effets peuvent résulter de stress physiologique lié à l'exposition à des niveaux de radiation élevés, mais aussi d'une anxiété psychologique croissante face à la montée des technologies omniprésentes.


La perception d'une menace invisible, comme celle posée par les rayonnements électromagnétiques, peut engendrer un sentiment d'impuissance et de vulnérabilité, impactant le bien-être psychologique des personnes concernées. Ce stress additionnel peut exacerber des conditions préexistantes ou en induire de nouvelles, créant ainsi un cercle vicieux de souffrance mentale et physique.


Le Liban a été victime d'attaques d'un nouveau genre de la part des terroristes israéliens. Cela a commencé par les bipeurs, puis ce fut les talkies-walkies, les téléphones portables, et divers objets connectés tels que les télévisons et les cafetières, jusqu'aux panneaux solaires Le point commun de ces divers objets : les batteries lithium-ion.  Le scénario exact qui a entraîné l’explosion de ces pagettes n’est pas encore connu, mais trois possibilités semblent émerger. 2 des 3 possibilités sont ... une surchauffe des batteries lithium-ion. Or, Les batteries au lithium sont omniprésentes au quotidien et le sont de plus en plus : soit dans des équipements portables (téléphones, tablettes, ordinateurs, outillage électroportatifs …) et des équipements de traction (vélos, trottinettes, chariots, voitures…), soit pour assurer le stockage d’énergies renouvelables (panneaux photovoltaïques …)


Face à cette situation alarmante, il est impératif d'exiger une évaluation rigoureuse et indépendante des risques liés à ces technologies. Les gouvernements, les organismes de réglementation et les chercheurs doivent collaborer pour mener des études exhaustives qui examinent les effets à long terme des fréquences électromagnétiques sur la santé humaine. Cela nécessite un financement adéquat et une transparence dans les résultats des études.


De plus, il est essentiel que les normes de sécurité soient mises à jour pour tenir compte des dernières découvertes scientifiques. Les réglementations actuelles peuvent être obsolètes et ne pas refléter la réalité des nouvelles technologies qui continuent de se développer rapidement. Les communautés doivent également être impliquées dans ces discussions, car la sensibilisation et l'éducation des citoyens sont cruciales pour garantir que les choix technologiques ne compromettent pas leur santé.


Les révélations concernant les effets des fréquences électromagnétiques vont bien au-delà d'anecdotes isolées ; elles révèlent des enjeux de santé publique qui nécessitent une attention urgente. Il est de notre responsabilité collective de demander des études approfondies et transparentes, afin de mieux comprendre les risques associés à ces technologies. Cela nous permettra non seulement de protéger la santé physique des individus, mais également de préserver leur bien-être mental dans un monde de plus en plus saturé par les technologies électromagnétiques.


L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classé les hyperfréquences et les micro-ondes dans le groupe 2B des agents cancérogènes, indiquant qu'il existe des preuves limitées de leur potentiel cancérigène. Ce classement souligne l’urgence d’une approche proactive face à l’exposition aux technologies de détection, notamment dans le cadre de la 5G. Les effets observés sont répertoriés dans la Classification Internationale des Maladies, et leur gravité ne doit pas être sous-estimée.


La Délégation Générale pour l’Armement a développé des armes électromagnétiques, telles que des fusils, canons et drones, destinées à désactiver les installations électroniques de l’ennemi. Ces technologies, bien que conçues pour des objectifs militaires, posent un danger considérable pour les civils. Les armes électromagnétiques peuvent avoir des effets perturbateurs sur les infrastructures critiques, mais elles représentent également un risque de dommages collatéraux sur la santé des populations environnantes.


Ces armes illustrent comment les fréquences électromagnétiques, bien que conçues à des fins militaires, peuvent également se transformer en instruments de destruction massive, touchant non seulement des cibles militaires, mais également des communautés entières. À première vue, ces technologies semblent être des avancées de notre époque, des outils de sécurité censés protéger. Pourtant, la réalité est bien plus inquiétante.


Prenons l'exemple de nos smartphones, omniprésents dans notre vie quotidienne. Ces appareils, qui nous connectent au monde, émettent également des ondes électromagnétiques. Chaque jour, nous sommes exposés à ces radiations sans même nous en rendre compte. Les études commencent à faire surface, établissant des liens entre l'utilisation prolongée des smartphones et divers problèmes de santé, allant des troubles neurologiques aux cancers. Si des armes de guerre, comme celles développées par la Délégation Générale pour l’Armement, peuvent désactiver les systèmes électroniques ennemis, qu'en est-il des effets de ces mêmes technologies sur notre santé à long terme ?


Alors que nous continuons à adopter ces technologies sous couvert de progrès et de sécurité, il est essentiel de remettre en question leur véritable impact. Les radars, les smartphones et les technologies associées ne sont pas de simples outils innocents ; ils portent en eux le potentiel de conséquences dévastatrices pour notre santé, notre bien-être et notre environnement. Il est impératif que nous agissions maintenant, en exigeant une évaluation rigoureuse et transparente des risques associés à ces technologies, pour protéger non seulement notre santé physique, mais aussi notre avenir collectif.


La 5G promet une connectivité accrue, mais elle soulève des inquiétudes majeures concernant les risques associés aux fréquences qu'elle utilise, qui sont très proches de celles des radars militaires et des systèmes aéronautiques. Bien que le Code des postes et des communications électroniques impose des exigences de compatibilité électromagnétique (CEM), la réalité est plus complexe. Ces fréquences, lorsqu'elles sont utilisées dans un environnement dense et technologique, peuvent engendrer des dysfonctionnements et des interférences potentiellement dangereuses.


Les implications de ces interférences sont particulièrement préoccupantes pour la sécurité des dispositifs médicaux, tels que les stimulateurs cardiaques et les pompes à médicaments. Ces technologies vitales, qui dépendent de signaux précis pour fonctionner correctement, pourraient être perturbées par les ondes émises par la 5G. Cette situation met en lumière un paradoxe alarmant : des systèmes de défense, conçus pour protéger les populations, pourraient en réalité compromettre leur santé en raison des risques d'exposition aux fréquences électromagnétiques.


La sécurité des patients doit être une priorité indiscutable. Une évaluation approfondie des risques associés à la 5G est non seulement nécessaire, mais urgente. Les effets potentiels sur la santé publique, ainsi que sur la sécurité des dispositifs médicaux, ne peuvent être sous-estimés. Alors que nous avançons vers un monde de plus en plus connecté, il est impératif de garantir que cette connectivité ne se fasse pas au détriment de notre santé et de notre bien-être. L'exposition croissante aux fréquences électromagnétiques, exacerbée par les technologies modernes, représente une menace invisible dont nous devons prendre conscience et agir pour la contrer.


La convergence des technologies militaires et civiles appelle à une réflexion urgente sur la santé et la sécurité de toutes les personnes. La réalité des dangers associés aux fréquences électromagnétiques exige une attention immédiate. Les implications sur la santé publique et la sécurité des travailleurs ne doivent pas être prises à la légère.


Il est impératif que les gouvernements et les organismes de régulation prennent des mesures concrètes pour garantir la sécurité des citoyens face à ces technologies potentiellement dangereuses. Une évaluation rigoureuse des effets à long terme des fréquences électromagnétiques est essentielle pour protéger les générations présentes et futures. En somme, il est de notre responsabilité collective de veiller à ce que l'innovation technologique ne compromette pas la santé et le bien-être des êtres humains.


En fin de compte, les technologies militaires, telles que les radars et les systèmes associés, sont des armes à double tranchant. Bien qu'elles soient présentées comme des outils de sécurité, elles engendrent des conséquences dévastatrices pour la santé humaine et l'environnement. Les preuves des dangers liés à l'exposition aux fréquences électromagnétiques ne doivent pas être ignorées. Il est impératif que les gouvernements et les organismes de régulation prennent des mesures significatives pour protéger les citoyens. Ignorer ces avertissements serait une trahison envers les générations futures. La responsabilité collective exige que nous demandions des études approfondies et transparences sur les risques associés à ces technologies. En l'absence de telles actions, nous risquons non seulement notre santé, mais aussi notre avenir en tant que société. Nous ne pouvons plus rester passifs face à cette menace ; il est temps d'agir pour préserver ce qui reste de notre bien-être et de notre sécurité.

Phil BROQ.