LE CINEMA FRANÇAIS EST UN MOTEUR DE VANITE ET DE PARASITES CULTURELS
Alors que d'autres secteurs économiques doivent sans cesse justifier de leur efficacité, de leur capacité à s'adapter et à répondre aux besoins réels de la société, l'industrie du cinéma se voit, elle, choyée par un système de financement public qui la maintient en vie, peu importe la qualité des films produits. Entre autosatisfaction et productions déconnectées des réalités du public, cette machine à clichés peine toujours plus à répondre aux attentes des spectateurs tout en se congratulant sans fin. Englué dans une combinaison de médiocrité artistique, d’entre-soi étouffant et d’une obsession des idéologies wokistes qui finit par étouffer toute forme de créativité véritable, on parle sans cesse de crise du cinéma de façon continue, alors que l'argent n'a jamais été aussi abondant pour la production de films.
Mais au-delà de la simple critique des œuvres, c'est l'ensemble du système qui soulève la question de savoir pourquoi des millions d’euros sont-ils consacrés à une industrie dont l’impact culturel et économique est de plus en plus marginal ? C'est cette réflexion qui nous amène à dénoncer une caste de producteurs et artistes qui, loin de représenter la diversité du pays, s’empresse de donner des leçons à une société qu'ils semblent pourtant mépriser.
Dans un métier où les subventions pleuvent à torrents,
où l’État n’hésite pas à investir des millions pour produire des mauvais films qui,
dans le meilleur des cas, se retrouveront dans une poignée de salles obscures
et, dans le pire, sombreront directement dans l’oubli, il y a un phénomène qui
saute aux yeux. Aucune autre profession, aucun autre secteur professionnel en
France ne s’autocongratule autant pour célébrer sa médiocrité. Les métiers du cinéma semblent croire que leur propre existence justifie une admiration aveugle, alors qu’en réalité, ils se contentent de brasser de l'air en cultivant une bulle d'autocomplaisance. Derrière le vernis de la créativité et de la grandeur du 7ème art, se cache surtout une industrie qui s’auto-célèbre plus qu’elle ne produit réellement, et cela, souvent à grand renfort de discours lénifiants. Les films français sont
devenus des produits d’entre-soi, conçus pour plaire à des jurys complices, mais
vendus comme des œuvres de génie.
C’est un véritable paradoxe. Le
cinéma français se plaît à se donner des airs d’élite culturelle, à s’admirer
dans le miroir de ses festivals et de ses prix, à croire que la reconnaissance
internationale des mêmes parasites qu’eux est une fin en soi, et que l’adhésion
du public local est un détail secondaire. Là où d’autres secteurs économiques
sont jugés sur leurs résultats, sur leur capacité à s’adapter au marché et à
répondre aux besoins réels, l’industrie cinématographique française semble
échapper à cette règle. Elle se distingue non seulement par sa productivité plus
que médiocre mais aussi par sa tendance à se glorifier pour une qualité
souvent à peine acceptable, sans la moindre remise en question, et ce, grâce à
des millions d’euros d'argent public.
Le financement public, qu’on
pourrait imaginer destiné à soutenir des projets ambitieux et novateurs, a en
réalité fini par devenir une bulle de confort pour une industrie en déclin. Ce
n’est plus un soutien à la création mais un cache-sexe pour les échecs
répétitifs d’une machine qui tourne à vide. Ces "créateurs" autoproclamés, souvent plus préoccupés par leur statut social que par la qualité de leur travail, vivent confortablement dans un système où l’argent public coule à flots, et ce, sans jamais avoir à justifier un véritable succès populaire ou artistique. Alors comment expliquer autrement qu'un
pays qui consacre des sommes colossales à la production cinématographique ne
parvienne toujours pas à offrir des films à la hauteur de ses prétentions
artistiques ? Simplement parce que les subventions servent avant tout à maintenir en vie un système
où les créateurs, ou plutôt les producteurs - car il est difficile de qualifier
de créatif un cinéma qui se cherche encore dans des registres épuisés - sont
dans une posture de victime, déplorant le manque d’intérêt du public et
l’incompréhension de la "société" à l’égard de l’art. Le but n’est plus de raconter des histoires, mais de satisfaire à un impératif moral et identitaire.
Le cinéma français, dans son ensemble, est devenu une gigantesque
machine à produire des films entre soi avec des récits destinés à flatter les
ego de ceux qui se reconnaissent dans cette production intimiste,
intellectuelle et déconnectée du monde réel. Les œuvres sont souvent des
autofictions où les mêmes figures se regardent dans le miroir, à se dire : "qu’est-ce
qu’on est brillant". Et à force d'obsession sur la "qualité artistique" des wokistes, l’industrie a oublié qu'il existe aussi un
art de toucher le public, de créer un lien. La vraie question n’est pas celle
de savoir si un film est "important" ou "réfléchi" dans les salons de Paris,
mais bien de savoir s'il parvient à captiver ceux qui payent leur place. Or,
dans cette industrie, le public est rarement pris en compte, sauf peut-être
dans les vagues discours sur la "jeunesse désenchantée" ou "les
classes populaires" qu'on accable d’un regard condescendant.
Le plus
absurde dans ce système, c’est que cette industrie, au lieu de se remettre en
question, se pavane dans une orgie de récompenses surannées, comme pour le Festival de Cannes en France. Quand une poignée de films
français réussit à être remarquée, c'est tout un cercle de producteurs,
réalisateurs, acteurs et critiques qui s’autocongratulent sans fin et à nos frais. On parle
alors de "réussite", de "brillants succès", alors que ces films ne survivent
que grâce à un marketing de niche et à des subventions qui les maintiennent à
flot. Les bons films, ceux qui devraient être le cœur battant du cinéma, se
trouvent noyés dans ce tourbillon d’auto-applaudissements. Or, ce sont
les films populaires qui touchent véritablement le public, les comédies, les
thrillers, les films d'action qui sont souvent snobés, considérés comme
vulgaires et mal écrits, car ils ne correspondent pas à la norme d’un cinéma
"haut de gamme" qu’on semble vouloir imposer à toute force.
Mais peut-être le plus scandaleux
dans ce tableau, c’est le rapport que cette industrie entretient avec l’argent
public. Loin d’être une aide ponctuelle, les subventions sont devenues un
véritable fond de commerce. Les films sont souvent réalisés pour plaire aux
institutions, aux jurys, pour briller dans un contexte très fermé, bien loin
des préoccupations de la grande majorité des spectateurs. Et là où d’autres
secteurs économiques doivent justifier de leur rentabilité et de l’intérêt
qu’ils apportent à la société, le cinéma français bénéficie d’une impunité
totale, n’ayant que faire du succès populaire tant qu’il se voit garantir des
fonds publics pour chaque nouveau projet. Les subventions sont devenues un réflexe, un filet de sécurité pour une industrie qui, à force de nourrir les mêmes têtes d'affiche, enchaîne les échecs tout en continuant à demander toujours plus. Une large portion de cette industrie ne cherche plus à satisfaire les attentes du public, mais à se maintenir dans une zone de confort où l'argent public permet de financer des films qui, dans d’autres contextes, n'auraient jamais vu le jour. Et même dans ces conditions, la qualité est souvent absente.
Cette caste prétentieuse, installée dans des appartements luxueux ou des villas exotiques, vit de manière parasitaire sur l'argent public qu'elle semble avoir droit, comme si l'État était une sorte de distributeur automatique de confort pour ceux qui se prétendent "créateurs". Elle se gave des subventions pour produire des films sans âme, déconnectés de la réalité, et ensuite, ils viennent nous expliquer comment vivre ensemble, comment penser, comme si leurs vies d’élite leur conféraient une expertise sur les réalités sociales. Mais ces gens-là, qui ont fait fortune en vendant des illusions au public, n’ont aucune idée de ce que c’est de se lever tous les matins pour bosser dur, d’être confronté à l’insécurité de l’emploi, de galérer dans des logements insalubres ou de jongler avec les fins de mois.
Non, leur "engagement", leur "lutte" se résument à des discours
édulcorés et des films pour leurs amis dans des cercles fermés, loin des
préoccupations quotidiennes des vrais travailleurs. Ils sont là, à se donner
des airs de sauveurs de l'humanité, mais en réalité, ils vivent au crochet des
contribuables, alimentant un système où le mérite est remplacé par des crédits
publics et des distinctions inutiles. Ils incarnent l’absurdité de ce modèle qui
leur permet de vivre confortablement sur les épaules de ceux qui, eux, ne
demandent qu'à être entendus, et non que l’on leur impose des leçons qu’ils
n’ont jamais vécues.
Le cinéma français semble aujourd'hui prisonnier d'une idéologie qui impose le wokisme comme condition sine qua non pour qu'un film puisse exister. Sans une représentation forcée des minorités LGBT ou une quête systématique de diversité ethnique, aucune œuvre ne semble digne de passer à l'écran. Ce n'est plus l'histoire, la créativité ou la qualité artistique qui priment, mais le respect d'une norme sociopolitique qui en impose à tout prix. Ainsi, les films ne sont plus jugés sur leur capacité à émouvoir ou à divertir, mais sur leur conformité à une grille de lecture préétablie où chaque sujet "tendance" devient une obligation narrative, quitte à sacrifier l’authenticité et la nuance.
Alors, qui sont réellement les
"parasites" ? Ce ne sont pas les spectateurs qui en ont marre de voir
des films incompréhensibles ou ennuyeux, ce ne sont pas les petites productions
qui essaient de percer en dehors du système, ce ne sont pas non plus les artistes
indépendants qui peinent à obtenir des financements, mais ce sont bien ceux qui
exploitent ce système de subventions pour produire à la chaîne des œuvres
insignifiantes, tout en se flattant d'un "art" qu’ils continuent de vendre
comme une vérité universelle, lénifiante et déconnectée des réalités de ceux
qui, pourtant, financent tout cela.
Au cœur de ce système délirant,
une caste privilégiée s’épanouit dans l'entre-soi, se complaisant dans sa tour
d'ivoire, loin des préoccupations du reste d’une population qu’ils méprisent.
Cette élite, composée de réalisateurs, d'acteurs, de producteurs et de
critiques qui s’échangent des accolades à chaque projection privée ou soirée de
gala, se permet de donner des leçons de moralité et de société, tout en étant
déconnectée de la réalité des Français. Elle se voit comme le phare de la
réflexion sociale, l'avant-garde qui doit guider la nation sur des questions
cruciales, que ce soit sur le COVID ou sur le "Vivre ensemble". Mais à force de
faire du cinéma sur des sujets qu’ils ne connaissent pas vraiment, ni dans leur
quotidien, ni dans leurs rapports avec la société, cette classe finit par
agacer plutôt que convaincre.
Le cinéma français, loin d’être
le miroir des préoccupations populaires, se transforme en un vecteur de
propagande élitiste, un instrument pour imposer des discours moralisateurs qui
sonnent faux. Prenons le COVID : plutôt que de laisser les voix des vrais
travailleurs, des gens confrontés aux réalités de cette crise sanitaire, ce
sont des réalisateurs, issus des classes sociales les plus élevées, qui se sont
permis de nous expliquer le sens du confinement ou de l'isolement, comme si
leur vision de la réalité était la seule valable. Ou encore, sur des thèmes
comme le "Vivre ensemble", où des films prétendent offrir des solutions simples
et idéalisées à des problèmes sociaux complexes, mais ne font qu’enfoncer des
portes ouvertes. Ces œuvres, souvent lénifiantes, viennent expliquer aux
Français ce qu’ils devraient penser, comment ils devraient se comporter, tout
en s’abritant derrière un prétendu humanisme universel. Cette caste, composée
de nombreux acteurs et réalisateurs qui, paradoxalement, vivent loin de
l'Hexagone, dans des endroits où la diversité ne se résume souvent qu'à une
question de décor et de discours politiquement correct, ose nous expliquer ce
que signifie réellement l'intégration, la coexistence, la solidarité. Le comble
de l'ironie, c'est que ces mêmes figures, qui se font les porte-voix de la
fraternité et de l’ouverture, résident souvent dans des quartiers à l’abri des
préoccupations sociales qu’ils prétendent comprendre et défendre.
Et que dire d'un acteur français,
millionnaire, vivant entre Los Angeles ou Ibiza, qui s'empresse de donner des
leçons sur le "Vivre ensemble" à la télévision ou sur les planches,
comme s'il avait une quelconque légitimité à comprendre les enjeux de la
diversité ou de la fracture sociale dans les banlieues françaises ? Car les
préoccupations des Français "d'en bas" ne sont que des sujets de
salons, dont on peut parler avec détachement dans un appartement parisien ou
une villa méditerranéenne. Ces figures, à travers leurs films ou leurs
discours, semblent parfois penser que la solution à la cohésion sociale passe
par des échanges platoniques sur la tolérance et le respect des différences,
comme si le vivre-ensemble était une affaire de bonnes intentions et de belles
paroles. Mais c’est oublier un peu vite que pour beaucoup de Français, les
questions de logement, d’emploi, d’éducation et d’inégalités sont bien plus
urgentes que ces propos abstraits.
Ce n’est plus de la culture, c’est une forme de féodalisme moderne avec une noblesse d’État, grassement entretenue par un impôt qui saigne les producteurs réels de valeur. On parle souvent de "culture d’exception", mais l’exception, c’est surtout de pouvoir se planter systématiquement sans jamais en payer le prix. Dans le privé, un tel niveau d’échec serait synonyme de faillite ; dans le cinéma français, c’est un ticket pour la prochaine commission de subventions. Et ne vous avisez pas de critiquer ce cirque familial sinon vous serez immédiatement accusé d’être un ennemi de l’art, un dangereux populiste, voire un fasciste culturel et évidemment un antisémite ! Voilà comment, au nom de la création, on muselle toute remise en question et on perpétue une machine à privilèges que plus rien ne justifie sinon le confort des parasites qui en vivent.
Et là où la colère gronde, c’est
que personne n’en veut plus de ces leçons de morale qui ne tiennent qu’à
distance, dans un monde feutré où l’élévation sociale est réservée à ceux qui
connaissent les bons codes et ont surtout les bons noms. Ces films sont devenus des objets de détestation
pour une grande majorité de Français, qui les perçoivent comme des produits
intouchables, destinés à une élite qui se permet de leur expliquer comment
vivre, sans jamais prendre en compte leurs réalités. Comment prôner l’ouverture
au monde quand on vit à des milliers de kilomètres de celui qu’on prétend
représenter ? Ces figures s’érigent en modèles à suivre, tout en étant les
premiers à fuir les réalités de leur propre pays, comme si leur statut d’évadé fiscal
les plaçait au-dessus des réalités sociales qu'ils prétendent comprendre. L’ironie
de tout cela, c’est que cette caste continue de s’autocongratuler et de
célébrer ses œuvres dans une bulle hermétique subventionnée par nos impôts,
convaincue que la "bien-pensance" qu’elle véhicule est la seule voie valable,
mais elle oublie un peu vite que le public, celui qui, finalement, finance tout
cela, n’en peut plus de ces discours déconnectés. Et pourtant, ces mêmes
personnes continuent à se vanter de l'impact de leur cinéma, comme si leur
vision paternaliste pouvait réellement changer quoi que ce soit. Mais il y a
longtemps que cette société ne veut plus de leurs leçons.
Chaque année, l’État français arrose le cinéma de près de 1,7 milliard d’euros pour subventionner quelque 300 films, à raison de 5,6 millions d’euros chacun en moyenne. Et pour quoi ? Pour que 98 % d’entre eux soient des échecs commerciaux. Imagine-t-on une seule entreprise privée investir sciemment dans un produit qui échoue 98 fois sur 100 ? Bien sûr que non. Mais quand il s’agit d’argent public, plus rien ne choque. Ce n’est plus du soutien à la culture, c’est une rente déguisée. Une machine à recycler l’impôt des travailleurs pour engraisser une élite culturelle hors-sol, totalement déconnectée des réalités, mais parfaitement connectée aux réseaux du pouvoir. Le cinéma subventionné n’est pas une industrie, c’est une cour de récréation idéologique pour parasites subventionnés.
Ce système est d’une hypocrisie crasse : on parle de "diversité culturelle", de "risques artistiques", mais en réalité, c’est toujours les mêmes petits cercles qui touchent les aides, les mêmes réalisateurs, les mêmes producteurs, les mêmes visages subventionnés à répétition. Le public, lui, déserte les salles, mais qu’importe : ces films n’ont jamais été faits pour être vus, encore moins pour plaire. Ils existent pour cocher des cases, flatter les egos, et surtout justifier la prochaine tournée de subventions. Pendant ce temps, les artisans, les PME, les indépendants paient la note, étranglés par les charges, pendant qu’une poignée d’initiés vit à crédit sur le dos de la nation. C’est un pillage légal, maquillé en politique culturelle.
Dans ce système, la vraie question n'est pas celle du nombre de films produits, mais celle de leur utilité. Peut-on parler d'art lorsqu'il est financé par des fonds publics sans qu'il ne parvienne à toucher un public plus large que les professionnels eux-mêmes ? Les véritables parasites ne sont pas là où on nous dit de les chercher. Ils sont dans ces grandes institutions, dans ce cercle fermé qui profite d’un système obsolète pour produire des œuvres sans âme et sans public.
Au final, le cinéma français se
révèle être une gigantesque farce où l’autocélébration des élites s’entrelace
avec une déconnexion totale des réalités du pays. Cette industrie, gavée par
les subventions, se veut le reflet de l’intelligence et de la culture
françaises, mais n’est en réalité qu’une échappatoire pour une caste
privilégiée qui vit dans un monde parallèle. Pendant que la majorité des
Français galère, que les véritables travailleurs font tourner l’économie, cette
élite se gave d’argent public, produit des films qui ne touchent personne, et
se congratule dans un cercle fermé où l’échec devient une norme à célébrer. Et
cette caste, incapable de se remettre en question, continue de régner sur un
royaume de vanité, sans jamais se rendre compte que le seul véritable ennemi du
cinéma français, c'est le système qui les nourrit.
quello italiano non ' da meno....
RépondreSupprimerPour le cinéma il y a toujours eu de l argent comme pour payer certains intermittents alors que beaucoup ont du mal à finir le mois ; 2 poids 2 mesures .
RépondreSupprimerEt oui, tout est question de caste ou d'obédience...
SupprimerTout cela on le sait déjà.
RépondreSupprimerAlors à quoi sert ce commentaire ??
SupprimerAnalyse juste . Baisse de la culture du cinéma suite pression commerciale et recherche de profit en priorité, baisse qualité film enlevant toutes réflexions, moins d éducation et initiation, diversité géographique generationnnelle avec un grand public moins exigant car moins cultivé ; la faute a qui?
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerExcellent
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