CE CONSTAT FATAL POUR L'HUMANITE

Depuis des décennies, un jeu subtil et implacable se joue derrière le rideau des institutions internationales, où les intérêts de quelques élites financières s’imposent aux peuples. La Réserve fédérale américaine (FED), la Banque centrale européenne (BCE), le fond monétaire international (FMI), l'Union Européenne (UE) et le Forum économique mondial( WEF) sont les instruments d'un projet géopolitique global soigneusement orchestré, qui a pris forme après la Seconde Guerre mondiale. Bien que ces structures se présentent comme des gardiennes de la paix et du progrès, elles n’en sont en réalité que des façades, masquant une centralisation du pouvoir sans précédent, où les souverainetés nationales sont sacrifiées au profit de dynasties financières omnipotentes. Cet équilibre mondial semble immuable, mais il repose sur un système de contrôle, de manipulation et d'exploitation des masses, dissimulé sous des discours de prospérité et d'intégration. Derrière cette illusion se cache une vérité bien plus sombre où l’Europe, à la croisée des chemins, n’est qu’un pion dans une partie d’échecs géopolitique, et l’heure est venue de lever le voile sur cette stratégie de domination.

Derrière le vernis des institutions démocratiques et des discours sur la coopération internationale, se profile une centralisation autoritaire du pouvoir entre les mains de familles influentes, aux ambitions post-nationales et au mépris froid des souverainetés populaires. Ce théâtre mondial, drapé de promesses de stabilité et de prospérité, dissimule une logique de contrôle systémique d’un capitalisme de connivence où les peuples deviennent des variables d’ajustement dans l’agenda d’une gouvernance mondiale autoproclamée.

Des dynasties, telles que les Rothschild et les Rockefeller, ne sont grandes que grâce à leurs stratégies financières et boursières, maquillées par Black rock-Vanguard et State street, qui bafouent toutes les règles éthiques et humaines pour faire du profit en détruisant l'essence même de l'humanité. À travers des manœuvres orchestrées dans l'ombre, elles ont instauré un système de chaos mondial, utilisé comme fondement à leurs ambitions de domination. Le WEF se présente aujourd'hui comme un acteur central de cet ordre mondial, façonnant les politiques qui, tout en se cachant derrière un discours progressiste et écologique, contribuent à un contrôle technocratique de plus en plus oppressant. En manipulant à la fois l'économie mondiale et les dynamiques géopolitiques, ces familles et leurs alliés poussent le monde dans un tourbillon de crises, qu'ils exploitent pour maintenir leur pouvoir et empêcher toute forme d'unité véritable, que ce soit en Europe ou ailleurs.

De plus, la Banque Centrale Européenne (BCE), loin d’être un acteur neutre ou bienveillant, incarne l’absurdité même d’un système monétaire conçu pour servir les intérêts des grandes banques et des spéculateurs financiers, tout en piétinant les besoins réels des citoyens. En imprimant de l'argent à un rythme effréné et en imposant des politiques d’austérité dans les pays les plus vulnérables de la zone euro, la BCE contribue non seulement à l’endettement exponentiel des États, mais aussi à l’aggravation des inégalités sociales et économiques. Plutôt que d’œuvrer pour une stabilité économique durable, elle nourrit une économie virtuelle, déconnectée de la réalité des populations. En l'absence de toute responsabilité démocratique, la BCE met en œuvre une politique qui ne répond qu'aux impératifs des marchés financiers, plongeant ainsi l'Europe dans un cycle perpétuel de crises financières et de récessions. 

Quant au Fonds Monétaire International (FMI), sa fonction de "sauveur" n’est en réalité qu’un prétexte pour imposer des conditions de plus en plus sévères aux nations en difficulté. Derrière son discours prétendument humanitaire, le FMI transforme des pays entiers en cobayes d’expérimentations néolibérales, imposant des privatisations massives, des coupes budgétaires et des réformes qui appauvrissent encore davantage les populations les plus fragiles. Le FMI se cache sous l’apparence d’un organisme de régulation mondiale, mais ses véritables objectifs sont de maintenir les nations sous contrôle, exploiter leurs ressources et garantir un système économique qui profite exclusivement aux grandes puissances financières. Ce modèle n'est pas simplement inéquitable, il est carrément dangereux pour la souveraineté des peuples et leur avenir.

L’Union Européenne (UE), loin d’être un simple projet d’intégration économique et politique, a été délibérément conçue pour être une souricière géopolitique, visant à empêcher toute union durable entre l’Europe et la Russie, et donc à conserver l’hégémonie américaine sur le continent européen. Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont œuvré pour contrôler le destin de l’Europe, non seulement afin de maintenir une domination économique mais aussi pour garder une suprématie politique et militaire à l'échelle mondiale. Les dirigeants américains, conscients du potentiel d'unité que pourrait représenter un rapprochement entre l'Europe et la Russie, ont mis en place l'UE comme un mécanisme de division, empêchant ainsi toute forme de coopération véritable entre ces deux puissances continentales.

L’Europe, historiquement le foyer de plusieurs grandes civilisations et puissance mondiale, a toujours été un acteur clé dans les affaires internationales. Si l’Europe et la Russie unissaient leurs forces, elles constitueraient un bloc géopolitique et économique bien plus puissant que les États-Unis, avec un accès direct à des ressources naturelles, une position stratégique en Eurasie et un marché immense. Une telle alliance risquait de bouleverser l’équilibre des pouvoirs mondiaux et de remettre en question l’hégémonie américaine. Cette perspective a inquiété les dirigeants de Washington, qui ont donc cherché à empêcher toute forme de rapprochement depuis des décennies. Au lieu de permettre une Europe unifiée, les États-Unis ont, par le biais de l’UE, créé une structure de contrôle qui aurait l'effet inverse, divisant l'Europe en entités économiques et politiques plus petites et plus faciles à manipuler.

L’idée de l’UE a germé après la seconde guerre, en grande partie grâce à des hommes politiques comme Jean Monnet et Robert Schuman, qui, bien qu'ayant des intentions de reconstruire l’Europe après le cataclysme de la guerre, étaient également influencés par des visions orientées par les États-Unis. L'OTAN et la création de structures économiques sous l’égide des États-Unis, comme la CEE (Communauté économique européenne) et plus tard l’UE, ont été perçues par les Américains comme un moyen de maîtriser l'évolution géopolitique de l'Europe. L’UE est donc, avant tout, un projet économique et militaire qui a permis aux États-Unis de mettre en place des bases stratégiques, d’avoir une influence directe sur les décisions politiques européennes, et de diviser les nations souveraines, de sorte qu’elles ne puissent jamais se coaliser efficacement contre l’influence américaine.

Les politiques économiques imposées par l’UE ont eu des effets significatifs sur les citoyens des États membres, particulièrement sur les économies fragiles du sud de l’Europe. L’austérité, appliquée dans des pays comme la Grèce, a exacerbé les inégalités économiques et sociales, réduisant les services publics et augmentant le chômage. Bien que l’UE se présente comme un espace de prospérité et de stabilité, son modèle économique a en réalité favorisé les intérêts des grandes entreprises transnationales et des investisseurs financiers au détriment des populations locales. Le marché unique européen, conçu pour faciliter la circulation des biens et des capitaux, a également facilité l’implantation de grandes multinationales qui exploitent les ressources et la main-d'œuvre européenne tout en réduisant les coûts de production et d’impôt. Cet ensemble de politiques a renforcé la dépendance de l’Europe vis-à-vis des marchés financiers mondiaux, rendant difficile la mise en place de réformes économiques qui serviraient les intérêts des peuples.

Les États-Unis, par le biais de l’UE et de l’OTAN, ont également cultivé un climat de division et de conflit constant en Europe, afin d’entretenir un état de chaos géopolitique contrôlé. En créant des tensions permanentes, notamment avec la Russie, ils ont veillé à ce que l’Europe soit constamment dans un état de crise. Cela se manifeste aujourd'hui par des politiques agressives contre la Russie, avec la mise en place de sanctions économiques, des conflits en Ukraine, et une politique de sécurisation de l'Est européen en ligne avec les intérêts américains. Ces tensions, exacerbées par les politiques de l’UE, agissent comme une cagoule de guerre froide moderne, qui permet aux États-Unis de maintenir leur domination sur le continent tout en affaiblissant les possibilités d'un rapprochement pacifique et économique entre l’Europe et la Russie.

Le Forum économique mondial (WEF) s’est imposé comme un acteur central de la gouvernance mondiale. Il agit comme un carrefour où se croisent les intérêts des grandes entreprises, des gouvernements et des institutions financières. En promouvant des initiatives telles que le "Great Reset", le WEF cherche à remodeler l’économie mondiale autour d’une gouvernance technocratique, où la surveillance des citoyens et le contrôle des données sont au cœur des politiques publiques. Bien que le WEF se présente comme un organisme œuvrant pour le bien-être global, ses réformes économiques et sociales bénéficient principalement aux élites économiques, en consolidant leur pouvoir et en accaparant les ressources mondiales. Cette concentration de pouvoir entre les mains d’une poignée de grandes dynasties bancaires et d'acteurs économiques domine désormais les politiques mondiales, mettant en péril les valeurs de démocratie et de souveraineté des nations.

Le WEF entretient des relations étroites avec les gouvernements du monde entier, souvent à travers des partenariats publics-privés. Les politiques qui émergent des rencontres annuelles du WEF sont directement intégrées dans les stratégies nationales et internationales, notamment en matière de finance, de climat et de développement social. Les grandes entreprises et les institutions financières, souvent liées aux familles bancaires les plus influentes, sont en mesure d’influencer directement les décisions politiques, ce qui permet à ces élites de maintenir leur contrôle sur l’économie. Ces dynasties ne cherchent pas simplement à maintenir le statu quo économique, mais à transformer radicalement les systèmes politiques et sociaux à l’échelle mondiale pour créer un environnement où leur pouvoir est absolu et incontesté.

Le conflit en Ukraine illustre parfaitement ce processus de maintien du chaos pour l’hégémonie américaine. Depuis l'annexion de la Crimée en 2014, les États-Unis, via l'UE, ont poussé les nations européennes à adopter une ligne dure contre la Russie, favorisant l’isolement de Moscou et contribuant à l'escalade des tensions. Cette guerre, qui dure désormais depuis plusieurs années, est le produit de cette stratégie de maintenir l'Europe dans un état de division permanente, tout en instaurant un sentiment de menace face à la Russie. Les États-Unis, tout en fournissant un soutien militaire et diplomatique à l'Ukraine, profitent du chaos pour affaiblir la Russie tout en renforçant leur emprise sur l’Europe, notamment en utilisant les ressources et les politiques économiques de l’UE pour imposer leur vision géopolitique et leurs produits.

Derrière cette guerre, derrière la politique de l’UE, se cache une volonté de maintenir l’Europe sous contrôle, à la fois économique, politique et militaire, afin de préserver l'influence américaine sur l’ensemble du continent. Les États-Unis veulent non seulement empêcher la création d’une Europe indépendante, mais aussi conserver leur position dominante face aux nouvelles puissances mondiales, telles que la Chine, l'Inde et la Russie. L’UE, telle qu’elle est construite aujourd’hui, n’est donc rien d'autre qu’un outil des États-Unis pour maintenir un ordre mondial unipolaire, avec eux-mêmes comme seule superpuissance mondiale.

La montée en puissance de la Chine et de la Russie représente un défi majeur pour l’ordre mondial unipolaire dirigé par les États-Unis et leurs alliés. La Russie, avec ses vastes ressources naturelles et ses ambitions géopolitiques, et la Chine, avec sa croissance économique rapide et son modèle alternatif de gouvernance, menacent l’hégémonie américaine. Ces deux puissances proposent une vision du monde qui ne repose pas sur la domination financière des grandes dynasties, mais sur des modèles économiques et politiques distincts et coopératifs. Cela a conduit à une réévaluation de la position de l’Europe, qui se trouve à la croisée des chemins entre l’Alliance atlantique et les alternatives proposées par Moscou et Pékin. L’UE, avec sa dépendance vis-à-vis des États-Unis, peine à trouver une position qui pourrait lui permettre de jouer un rôle plus équilibré dans un monde multipolaire. La fragmentation de l’Europe, exacerbée par des politiques comme celles de l’UE, empêche toute coopération effective avec ces nouvelles puissances mondiales, réduisant ainsi la capacité de l’Europe à défendre ses intérêts sur la scène mondiale.

En fin de compte, ce ne sont pas les Russes qui représentent la menace pour les Européens, mais bien les oligarques américains, leurs représentants au sein des grandes institutions mondiales, et leurs alliés en Europe. L’Union Européenne, loin d’être un projet d’unification pacifique, est une souricière géopolitique qui empêche une coopération véritable entre l’Europe et la Russie, et sert avant tout les intérêts américains. Pour que l’Europe retrouve sa souveraineté et sa véritable force, il est crucial que ses peuples prennent conscience de cette manipulation géopolitique, et qu’ils brisent les chaînes de cette domination imposée pour enfin créer une union véritablement libre, débarrassée de la mainmise des puissances extérieures.

Au fil des décennies, des courants souverainistes et des mouvements critiques se sont fait entendre, notamment dans des pays comme la Hongrie, la Pologne, ou encore au sein des partis politiques populistes qui dénoncent la perte de souveraineté nationale au profit de structures supranationales. Cependant, ces résistances demeurent fragmentées et peinent à s’unir contre l’influence des grandes puissances financières. Si l’Europe souhaite retrouver sa souveraineté et son indépendance, il est crucial que ses citoyens s’unissent pour remettre en question le modèle actuel, en favorisant un renouveau démocratique qui permette à chaque nation européenne de retrouver son autonomie face aux pressions externes. Ce réveil pourrait également redéfinir l’avenir de l’UE, en la transformant en une union véritablement libre, respectueuse des valeurs de justice sociale, de solidarité et de démocratie.

L’avenir de l’Europe dépendra donc de sa capacité à se libérer de la tutelle imposée par les États-Unis et les grandes dynasties financières. Car une Europe émancipée de la mainmise des puissances extérieures pourrait alors se positionner comme un pôle de résistance aux dérives technocratiques et globalisantes promues par le WEF et les grandes entreprises. Pour ce faire, il est essentiel que les citoyens européens, au-delà de leurs divergences, se rassemblent autour de valeurs communes de liberté, d’équité et de justice, et qu’ils œuvrent pour créer une Europe nouvelle, véritablement libre et respectée à l’échelle mondiale. Car l’UE actuelle n’est pas un modèle d’intégration réussie, elle est le cancer des démocraties européennes, et il est temps que cette maladie soit éradiquée une bonne fois pour toutes.

Il ne s'agit pas simplement de "sortir" de l'Union Européenne, comme si un simple divorce avec cette institution suffirait à mettre fin à la calamité qu'elle représente. Non, il faut détruire cette machine mafieuse qui, sous des airs de diplomatie et d'internationalisme, sert en réalité de moulin à vent pour des intérêts privés et des lobbies puissants. Cette institution ne se contente pas d'imposer des régulations inefficaces et d'étouffer les souverainetés nationales mais est devenue un repaire de truands, de technocrates corrompus et de politiciens à la solde des multinationales, qui siphonnent les ressources publiques pour leur propre enrichissement. L'UE ne se contente pas d'engraisser les bureaucrates et les élites bruxelloises, elle détruit les peuples en les asphyxiant économiquement, socialement et culturellement. Elle impose des mesures d'austérité aux plus vulnérables tout en accordant des privilèges immenses aux grandes corporations. 

Malgré l'ampleur de la manipulation géopolitique et économique orchestrée par ces institutions, il existe une lueur d'espoir. Les peuples européens, de plus en plus conscients des enjeux qui les concernent, commencent à s'éveiller et à remettre en question un système qui, sous des apparences de stabilité et de prospérité, n’a cessé de les appauvrir et de les diviser. En renouant avec des valeurs de solidarité, de souveraineté et de démocratie, le continent européen peut renaître, libre des chaînes imposées par des structures obsolètes et corrompues. Ce réveil serait l’opportunité de réinventer un modèle de coopération internationale où chaque nation pourra retrouver sa dignité, son autonomie et sa capacité à définir son propre avenir. L’Europe peut se libérer de la domination des grandes puissances financières et technocratiques pour redevenir un acteur respecté, un lieu où la justice sociale et l’équité primeront sur les intérêts privés et les logiques de domination. Il est encore possible, ensemble, de redonner au continent Européen son véritable rôle sur la scène mondiale avec une union de peuples souverains, dignes et libres.

Le jour où les peuples européens se réveilleront enfin pour mettre fin à cette ère d’illusion et d’asservissement, ils deviendront les architectes d’une nouvelle ère de liberté, une Europe non plus soumise aux intérêts d'une oligarchie mondiale, mais unie dans le respect. 


Phil BROQ.

Blog de l'éveillé


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