LA NORMALISATION DE LA MORT EN TETE DE FILE D’UN GENOCIDE MODERNE
L’argumentation en faveur de la légalisation de l’euthanasie, défendue sous le prisme de la compassion et du droit à mourir dans la dignité, semble à première vue répondre à un besoin humanitaire. Toutefois, cette façade bienveillante masque une réalité bien plus sombre avec un projet législatif aux implications profondément inquiétantes. Derrière ces discours de liberté individuelle se cache en réalité une tentative préméditée de meurtre en bande organisée, orchestrée par des parlementaires dont l'intégrité morale et politique est mise à mal par des intérêts financiers et idéologiques obscurs.
Le débat sur l'euthanasie dépasse
largement la question du choix personnel car il s'agit d'une dérive sociétale
qui ouvre la porte à une culture de la mort, où la fragilité humaine devient un
fardeau que l'État, prédateur et désormais assassin, semble vouloir éliminer. Derrière
les discours enjôleurs, se cache un projet législatif qui vise non pas à
soulager la souffrance humaine, mais bien à ouvrir les portes de la mort à des
individus dérangeants en tous points pour les gouvernants. Car plus qu’une
simple loi, c’est un processus aussi ignoble qu’insidieux où la dignité humaine
et la valeur de la vie sont sacrifiées sur l’autel de la rentabilité et du
contrôle social.
L'idée de supprimer les vies
humaines jugées "inutiles" ou "dérangeantes" pour la
société ne date pas d'hier puisqu’elle s'inscrit directement dans la logique
totalitaire du nazisme, où l'État se donnait le pouvoir absolu de décider qui
méritait de vivre ou non. L'initiative d'instituer l'euthanasie légale trouve
des échos inquiétants dans l'histoire sombre du Troisième Reich, où l'État nazi,
sous le prétexte d'une prétendue "hygiène raciale" et de la quête
d'une société "pure", a mis en place des programmes d'euthanasie
massifs visant les personnes handicapées, malades mentales, et autres individus
considérés comme "indignes de vivre". Aujourd'hui, les défenseurs de
l'euthanasie légalisée, bien qu'officiellement non nazis, résonnent d'une
manière similaire, en transformant la souffrance humaine en une question de
"rentabilité" et de "dignité" individuelle.
De plus, en légalisant la mort
volontaire, on glisse insidieusement vers une normalisation de l'idée qu'une
vie humaine peut être considérée comme un fardeau plutôt qu'un droit
inaliénable. Ce parallèle avec le système nazi n'est pas anodin car tout comme
le Troisième Reich a utilisé des arguments de pureté et d'efficacité pour
justifier des meurtres systématiques, aujourd'hui certains argumentent qu'une
vie souffrante, coûteuse, ou jugée "non productive" mérite de prendre
fin dans l'intérêt collectif.
Cette dérive a des racines
profondes dans une logique d'État froid et déshumanisé, où la valeur de la vie
humaine se mesure à son utilité sociale, un raisonnement qui rappelle
tragiquement celui de l'eugénisme d'État du 20ème siècle. Et Yuval Noah Harari,
bien qu'il n'ait pas explicitement déclaré que les "bouches inutiles"
doivent être éliminées, a souvent abordé la question des individus jugés
"improductifs" dans un futur dominé par la technologie. Selon lui,
l'avancée de l'intelligence artificielle et de l'automatisation pourrait
marginaliser une partie de la population, considérée comme "inutile"
économiquement. Bien que ses propos soient centrés sur des enjeux
technologiques et économiques, ils peuvent, à l'extrême, être interprétés comme
une justification implicite de politiques radicales où certains individus
seraient vus comme des fardeaux. Cette logique rejoint dangereusement les
discours qui légitiment l’euthanasie, en réduisant la valeur de la vie humaine
à son utilité sociale ou économique.
Le parallèle entre le Forum
économique mondial (WEF) et les régimes totalitaires, notamment les nazis, est
une comparaison qui peut être déroutante mais qui mérite d’être explorée,
surtout lorsqu'on considère les racines historiques et les influences familiales
de certains de ses membres. Beaucoup de figures influentes du WEF, tout comme
dans d'autres sphères de l’élite mondiale, ont des liens familiaux avec des
personnages du passé nazi. Bien que ces membres ne soient pas des nazis
eux-mêmes, leurs antécédents familiaux et leur héritage idéologique soulèvent
des questions sur la continuité de certaines mentalités d'élite, marquées par
une vision utilitariste de l'humanité.
Le WEF, en prônant une gestion de
plus en plus déshumanisée de la société et en soutenant des politiques de
réduction de la population ou de "sélection" technologique, semble
s'inscrire, à son échelle et dans un cadre global, dans cette même lignée où la
dignité humaine peut être sacrifiée au nom du progrès, de la rentabilité et du
contrôle. C’est là où le parallèle devient pertinent : ce sont les descendants
intellectuels de ces élites – certains ayant des racines familiales directes
avec les nazis – qui aujourd’hui mènent un discours sur une société où
certaines vies humaines pourraient bien être jugées moins dignes d’être vécues.
Et ces mêmes élites, souvent
liées à des héritages familiaux ou idéologiques controversés, semblent aussi
soutenir indirectement des groupes néo-nazis, notamment le régiment Azov en
Ukraine. Bien que ces groupes prétendent défendre des valeurs de souveraineté
nationale, ils sont imprégnés d’une idéologie ultra-nationaliste et fasciste,
glorifiant des symboles et des discours proches de ceux du Troisième Reich.
Curieusement, certains membres influents du WEF, ainsi que d'autres figures de
l'élite occidentale, ont exprimé leur soutien ou leur tolérance envers le
gouvernement ukrainien, tout en fermant les yeux sur la présence et les actions
de ces milices néo-nazies. Ce soutien tacite, voire direct, révèle une
continuité dans les réseaux d'influence, où la manipulation géopolitique et les
intérêts économiques surpassent les principes de dignité humaine et de justice.
Les mêmes acteurs qui légitiment la réduction de la valeur de la vie humaine
sous couvert de "progrès" sont souvent les mêmes qui ferment les yeux
sur les atrocités commises par ces groupes d'extrême droite, poussant ainsi une
logique de violence et d’oppression digne du Troisième Reich sous un
vernis de "liberté" et de "démocratie".
Ainsi, la légalisation de
l’euthanasie, loin d’être une démarche isolée ou simplement une évolution
législative "humaine", s’inscrit dans un processus plus large et
inquiétant où la société semble de plus en plus valoriser la mort et la
violence sous toutes leurs formes, allant de l’acceptation légale de la fin de
vie volontaire à des pratiques médicales de plus en plus controversées. Ce
phénomène trouve des racines profondes dans une idéologie qui cherche à
normaliser le meurtre, à le dissimuler sous un voile de compassion et de
progrès, tout en bannissant toute forme de réflexion sur les conséquences
morales, éthiques et humaines de ces pratiques.
Le premier signe de cette dérive
est la reconnaissance constitutionnelle de l’avortement, un acte qui, en
supprimant la vie d’un être humain en devenir, insinue que la vie humaine,
au-delà de certaines conditions, peut être jetée de côté sans conséquence.
Cette inscription dans la Constitution, bien qu’elle soit défendue sous l’angle
des droits des femmes, marque un point de bascule où l’on accorde un pouvoir
absolu à l’individu pour décider de la vie d’un autre, à l’encontre de
l’essence même de la protection de la vie. On passe ainsi de la "liberté
de choix" à une banalisation de la mort, où la vie elle-même devient
conditionnelle à des facteurs extérieurs comme la volonté personnelle ou le
confort sociétal.
L'euthanasie, en tant que
prolongement de cette logique, va encore plus loin en légalisant la possibilité
de mettre fin à la vie humaine, cette fois chez des individus conscients,
souvent vulnérables, qui, dans une société plus juste et plus attentive à leurs
besoins, n’auraient jamais été poussés à choisir la mort. Cette légalisation de
la fin de vie, qu'elle soit choisie ou imposée par l'environnement social,
médical et économique, ouvre la voie à une culture où la mort est perçue comme
une "solution" acceptable à la souffrance, une tragédie qui n’aurait
pas lieu d’être dans un monde véritablement respectueux de la dignité humaine.
Pire encore, ce processus
s'accompagne de pratiques médicales de plus en plus abjectes, comme
l’administration d’injections de Rivotril aux personnes âgées dans certaines
maisons de retraite, une forme de "mort douce" déguisée sous des
apparences médicales, qui évoque clairement les dérives du passé. Le Rivotril,
administré en grandes doses à des personnes âgées souvent malades et fragiles,
devient un instrument de la mort déguisée en "soulagement", une
tentative pour se débarrasser de ceux qui sont perçus comme un fardeau pour la
société. Ce n’est plus simplement une question de traitement médical, mais un
moyen insidieux de faire disparaître les "indésirables", comme si la
société en avait assez de la vieillesse et de la souffrance, et choisissait de
les éliminer plutôt que de les accompagner dignement.
Enfin, le même raisonnement est
appliqué aux pratiques vaccinales, particulièrement avec les injections
massives de vaccins administrées aux enfants, parfois dès leur naissance. Si
les vaccins, dans une intention bienveillante, cherchent à protéger contre des
maladies, l’approche globale de santé publique actuelle semble parfois plus
préoccupée par le contrôle et la gestion des vies humaines que par leur
protection. Des critiques ont émergé concernant la manière dont ces injections,
imposées à grande échelle sans suffisamment de considération pour les
conséquences à long terme, peuvent être perçues comme une forme de contrôle
social déguisé, voire de gestion "sélective" de la population. C'est
un autre aspect de cette même logique où la vie est de moins en moins vue comme
un bien précieux et inaliénable, mais comme une ressource à gérer, à optimiser,
à contrôler – même par des moyens potentiellement dangereux.
Ainsi, la loi sur l'euthanasie
s’intègre parfaitement dans cette dynamique inquiétante où la mort est non
seulement acceptée, mais même encouragée sous diverses formes. Cette
banalisation progressive du meurtre, qu'il s'agisse de l’avortement, de l'euthanasie,
des pratiques médicales douteuses envers les personnes âgées, ou encore des
injections imposées à une population infantile, marque un tournant décisif dans
l’histoire des sociétés modernes : celui où la vie humaine n’est plus
considérée comme sacrée, mais comme une variable que l’on peut manipuler et
sacrifier selon des critères d’efficacité sociale, économique ou politique.
Derrière ces réformes se cache une vision du monde où l’individu, en
particulier celui qui souffre, devient un simple outil à l’usage de la
collectivité, et où la mort n’est plus un tabou, mais une réponse acceptable,
voire nécessaire, à une "gestion" des vies humaines. Ce processus est
un danger pour l'humanité, une dérive qui mène lentement mais sûrement vers une
société où la mort ne sera plus qu'une option parmi d'autres, légitimée par la
peur de la souffrance et le désir de contrôler la vie elle-même.
La législation sur l'euthanasie
se présente comme une forme de "liberté" qui serait accordée aux
individus en fin de vie. Cependant, ce discours oublie l'essentiel : l'individu
qui choisit la mort n'est pas toujours dans une position de pleine liberté. Que
ce soit en raison de pressions sociales, familiales, économiques, ou encore de
l'abandon médical, la personne en souffrance est souvent poussée vers une
décision irréversible qui la prive de toute possibilité d'espoir. En insistant
pour légaliser l'euthanasie, les parlementaires ouvrent ainsi la voie à un
"meurtre légal" où l'argument du choix libre devient un mirage. Une
société qui en arrive à considérer que la mort est une solution acceptable à la
souffrance humaine trahit ses valeurs les plus fondamentales.
Les députés qui soutiennent cette
loi sont loin d'agir dans l'intérêt général ou pour le bien-être des citoyens.
Loin de là. Le processus législatif, avec ses allers-retours politiques, ses
discussions vides de sens et ses compromis cyniques, cache une réalité bien
plus cruelle. Ces élus, souvent mus par des intérêts financiers ou
idéologiques, tentent de dissimuler la véritable nature de la loi. Derrière
cette façade humanitaire se cache en réalité un projet plus vaste de réduction
des coûts sociaux. L'euthanasie pourrait en effet, dans une société où la
gestion de la santé publique devient de plus en plus contraignante
économiquement, se présenter comme une "solution" pour réduire les
dépenses liées aux soins de fin de vie. Qui, sinon des parlementaires
corrompus, pourrait envisager d'instaurer une politique publique favorisant la
mise à mort de personnes jugées trop coûteuses à soigner ? La décision de
mourir deviendrait alors une question de budget et non de dignité humaine.
Pourtant en droit français, la non-assistance
à personne en danger est un délit prévu par l'article 223-6 du Code Pénal. Cet
article stipule qu'il est puni d'une peine de prison et/ou d'amende toute
personne qui, par son action ou son inaction, n'a pas porté assistance à une
personne en danger alors qu’elle en avait la possibilité, sans risque pour
elle-même. Plus précisément, l'article 223-6 du Code Pénal dispose : "Quiconque,
étant témoin direct de la mise en danger de la vie d'autrui, n'a pas porté
secours à une personne en péril, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75
000 euros d'amende."
Il existe toutefois des
exceptions où la non-assistance à personne en danger ne s'applique pas si
l’intervention présente un risque grave pour la personne qui pourrait
intervenir, ni si cela contrevient à des principes éthiques ou moraux (par
exemple, une intervention dans un contexte où cela violerait des droits
fondamentaux). Mais l'idée centrale est qu'il y a une obligation morale et
légale d'intervenir si l'on est témoin d'une situation où la vie ou la santé
d'autrui est en danger, dès lors que l'on peut intervenir sans se mettre
soi-même en danger. Cela inclut des situations comme des accidents, des
noyades, des violences physiques, ou encore des menaces graves envers une
personne.
Et toujours en droit français, la
tentative de meurtre avec préméditation est une infraction particulièrement
grave, et lorsqu'elle est commise en bande organisée, elle entraîne des peines
beaucoup plus sévères. Ces infractions sont encadrées par plusieurs articles du
Code Pénal.
La tentative de meurtre est
définie à l'article 121-4 du Code Pénal, qui stipule que la tentative d'un
crime est punie de la même manière que l'exécution du crime lui-même, à
condition que l'acte incriminé soit arrêté avant le résultat prévu (dans ce cas,
le meurtre). Le meurtre est défini à l'article 221-1 du Code Pénal comme le
fait de donner volontairement la mort à autrui. Lorsque ce meurtre est commis
avec préméditation, cela implique que l'attaque a été planifiée à l'avance. La
préméditation, par nature, accentue la gravité du crime. La peine encourue pour
un meurtre avec préméditation est la "Réclusion criminelle à perpétuité" (article
221-4 du Code Pénal). Pour la tentative de meurtre avec préméditation, la peine
est moins sévère mais reste très lourde avec 15 à 20 ans de réclusion
criminelle (article 221-5 du Code Pénal).
De plus, l'aggravation par bande
organisée fait référence à l'article 132-71 du Code Pénal, qui établit des
peines plus sévères lorsque les crimes sont commis en bande organisée. Une
bande organisée est une association de plusieurs personnes en vue de la
commission d'un crime (comme un meurtre ou une tentative de meurtre). Donc pour
une tentative de meurtre en bande organisée, la peine encourue est généralement
réclusion criminelle à 20 ans, mais cela peut aller jusqu'à la perpétuité en
fonction des circonstances. Ainsi, l'aggravation par bande organisée augmente
considérablement les peines de réclusion criminelle, ce qui reflète le danger
accru et le caractère particulièrement dangereux de l’infraction.
Or, ce qui est le plus scandaleux
dans la législation sur l'euthanasie, c'est l'attaque directe portée aux plus
fragiles de nos concitoyens que sont les malades incurables, les handicapés,
les personnes âgées ou en situation de dépendance. Ces individus, déjà
confrontés à une souffrance physique et psychologique immense, se
retrouveraient poussés à choisir la mort plutôt que de continuer à vivre dans
une société qui ne les soutient pas. L'argument selon lequel l'euthanasie
offrirait un "droit de mourir dans la dignité" est un non-sens
absolu. En vérité, cette loi serait une légitimation des abandons sociaux et
médicaux. Le législateur, en votant cette loi, ne fait qu'accentuer la
stigmatisation des plus vulnérables en leur offrant une "issue"
qu'ils n'auraient pas choisie si le soutien médical, psychologique et social
leur était correctement fourni.
Il est impossible de regarder
cette question sous un autre angle que celui de la corruption systémique. Les
députés qui soutiennent cette législation, au nom de leur
"compassion", ne font que détruire l'ordre moral et juridique de la
société. En votant en faveur de l'euthanasie, ils sacrifient les principes de
respect de la vie humaine sur l'autel d'une gestion déshumanisée de la
souffrance et commettent aussi un délit grave. Ce n'est pas un hasard si des
lobbies économiques, des compagnies d'assurances, des groupes pharmaceutiques
ou des entreprises de soins palliatifs ont tout intérêt à ce que l'euthanasie
soit légalisée. Derrière le masque de la compassion, se cache un calcul
économique bien plus sordide où le coût de la souffrance et des soins est
élevé, et l'euthanasie devient alors une solution pour "éliminer" les
dépenses inutiles. Tuer plutôt que soigner !
Seuls les lâches et les tyrans,
imprégnés d'une peur viscérale de leur propre peuple, peuvent envisager
d'éliminer leurs concitoyens par tous les moyens afin de préserver leur
pouvoir. Dans l’histoire, les régimes les plus autoritaires et cruels ont toujours
été motivés par une crainte irrationnelle du peuple qu'ils gouvernent, qu'ils
perçoivent comme une menace à leur stabilité. Ces dirigeants, incapables de
faire face aux aspirations et aux révoltes populaires, cherchent à étouffer
toute forme de contestation, y compris par la suppression physique ou morale de
ceux qu'ils jugent "inutiles" ou "dangereux". L'idée de
réduire la population par l'euthanasie s'inscrit parfaitement dans cette
logique totalitaire où l’on préfère la soumission à la liberté, et où l'on
élimine les voix discordantes, les plus vulnérables ou les moins productives
pour que l'ordre établi ne soit jamais remis en question.
Ce recours à la
"sélection" des vies humaines pour préserver le pouvoir n’est rien
d'autre qu’un réflexe de lâcheté politique : plutôt que d’adresser les
problèmes sociaux, économiques ou politiques qui gangrènent le système, ces
tyrans préfèrent imposer la mort comme solution ultime. Cette volonté de
réduire à néant ceux qui dérangent est une preuve de la faiblesse de ceux qui,
incapables de répondre aux demandes de justice et de dignité, choisissent la
violence de l’élimination. Le pouvoir qu’ils cherchent à maintenir est un
pouvoir qui se nourrit de la peur et de l'oppression, un pouvoir qui ne tolère
aucune forme de rébellion, même dans la souffrance humaine.
Il est difficile de voir
autrement que comme une tentative de meurtre en bande organisée ce qui se cache
derrière cette loi. Cette "démocratisation" de l'euthanasie, poussée
par des parlementaires souvent bien loin des préoccupations des citoyens qu'ils
sont censés représenter, ne fait que rendre la mort accessible et acceptable
sous couvert de "liberté de choix". Ce qui n'est en réalité qu'une
dérive de plus, où la société abandonne ses plus fragiles au nom de la
rentabilité. Les députés, dans leur quête de pouvoir et de compromis
politiques, se transforment ainsi en véritables complices d'un crime collectif,
celui de la négation de la dignité humaine. En validant cette législation, ils
prennent part à une tentative de meurtre organisé, déguisé sous les atours de
la loi.
Ainsi, face à cette menace
directe, imminente et clairement ciblée, la seule réponse véritablement
pertinente et légitime serait de défendre sa vie avec toute la force
nécessaire. Lorsque l'on se trouve confronté à une tentative de meurtre
préméditée, surtout lorsqu'elle est orchestrée par une bande organisée, il est
non seulement moralement légitime, mais aussi juridiquement reconnu, de
recourir à la légitime défense pour se préserver. Car l'article 122-5 du Code Pénal précise que "celui qui agit pour se défendre contre une agression
injustifiée, actuelle et dangereuse, peut recourir à la force", ce qui
inclut la protection contre des attaques menées de manière coordonnée par des individus
ou des groupes, qu'ils se cachent derrière des statuts officiels ou non. Il ne
s'agit pas seulement d'un droit, mais d'un devoir envers soi-même et envers la
société de se défendre contre ceux qui, sous des apparences légales et
institutionnelles, œuvrent à l'élimination méthodique et systématique des
innocents.
Ce n’est pas non plus un acte de
rébellion impulsive, mais bien une réaction légitime face à des meurtriers de
masse déguisés en parlementaires ou en autorités publiques, qui agissent dans
l'ombre, prêts à sacrifier des vies humaines pour leurs intérêts ou ceux d'un
système corrompu. Dans un tel contexte, chaque individu a le droit et même le
devoir de se défendre, pour sa propre vie et pour la préservation de l’humanité
contre ceux qui cherchent à la détruire sous couvert de légalité.
Il est donc impératif de stopper
immédiatement cette dérive législative abjecte qui, sous couvert de
"compassion", vise à légitimer l'euthanasie et, plus largement, à
promouvoir une vision déshumanisée de la vie. Ce processus insidieux qui
banalise la mort, qui transforme l’acte de vivre en simple calcul économique,
et qui propose la fin de l’existence comme solution à la souffrance, est une
menace directe contre l’essence même de l’humanité. Cette glorification de la
mort, sans aucune considération morale ou éthique, ne doit plus être tolérée.
Car la législation qui facilite l'euthanasie est une porte ouverte à des
dérives bien plus profondes avec la dévaluation totale de la vie humaine et la
normalisation de l’élimination des "indésirables", qu'ils soient malades,
âgés ou vulnérables, et bientôt simplement opposants. Il est donc du devoir de
chacun de se lever et de refuser que cette logique mortifère s'installe dans
notre société. Nous devons impérativement agir pour punir ceux qui, au nom
d'une fausse compassion, cherchent à sacrifier la vie des plus faibles.
Il est plus qu’urgent que les
consciences s'éveillent et que des mesures fortes soient prises pour mettre un
terme à cette législation avant qu'elle ne détruise les fondements moraux et
éthiques de notre société. La défense de la vie humaine doit être notre
priorité, et ceux qui cherchent à saper cette valeur doivent être tenus
responsables de leurs actions. Nous ne pouvons plus permettre que des
dirigeants, sous prétexte de progrès, se fassent complices de ce qui pourrait
devenir un crime de masse institutionnalisé. Il est temps d'agir, de résister
et de mettre fin à cette dérive destructrice.
Phil BROQ.
Parfaitement résume ! Il faut chasser ces malfaisants du pouvoir et vite !
RépondreSupprimerLa misère, le néant, la mort...
RépondreSupprimerSeuls quelques hommes détiennent tous les pouvoirs sur cette planète.
Il y a ceux qui sont en bas de la hiérarchie (dirigeants de la quasi-totalité des nations, économistes, artistes, intellectuels, etc.) qui, généralement, ont opté pour un mondialisme « mou », c'est-à-dire un gouvernement mondial qui doit aboutir par la voie pacifique.
Puis il y a ceux qui sont à la tête de la « Pyramide » : c'est le « Gouvernement invisible ». Celui-ci vise également à l'instauration d'un « supergouvernement » mondial unique, mais en optant pour un mondialisme « dur », c'est-à-dire imposé par la force et la violence.
Les acteurs de ce « Gouvernement invisible » veulent devenir l'élite d'une future « race des seigneurs » qui gouvernera la terre (leitmotiv pluriséculaire) en réduisant les peuples en esclavage, après les avoir, au préalable, réduit en nombre en les amenant à se détruire dans une guerre totale, après les avoir dressés les uns contre les autres.
Ces « petits architectes de l'oligarchie » se servent des « adeptes » du mondialisme « mou » pour imposer, à leur insu, la première partie de leur Plan. Une fois utilisés, ces derniers seront déposés et livrés à la vindicte populaire.
Ce « Gouvernement invisible » est animé d'une volonté de puissance dévastatrice pour ne pas dire « satanique ». Aussi, dans ses rouages profonds y excellent les psychopathes.
Pour ce genre d'individu, la société c'est le malheur, c'est la misère, le néant, la mort ; ils la veulent ainsi.
Nous, nous la voulons autrement. Nous voulons la vie et tout l'épanouissement de l'être.
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