IL FAUT SAUVER LE SOLDAT JOVANOVIC !

Nous assistons en direct à la criminalisation de la pensée. À la dérive d’un État et de sa milice devenus de véritables chiens de garde de la finance gangstérisée. Ce n’est pas un roman, ce n’est pas une fiction, mais ce qui vient de se produire marque un tournant terrifiant dans notre pays, où un écrivain est ciblé par une opération de type antiterroriste, pour avoir osé écrire un livre ! Une descente nocturne, des unités d’élite mobilisées, des perquisitions illégitimes et tout cela financé avec nos impôts, pour faire taire une plume libre. C'est ce que nous apprend aujourd'hui Marcel du Media en 4-4-2.

À vous maintenant de voir, de comprendre, et d’agir contre ce qui vient de se dérouler sur le sol français et qui ne relève plus du simple abus de pouvoir, mais d'un cauchemar dystopique qui prend forme. 

Imaginez : Au cœur de la nuit, une véritable opération de commando, digne de l'antiterrorisme, est déclenchée contre… un écrivain, son domicile et sa société d'édition. Non, ce n’est pas un mauvais polar, ni une série Netflix, mais bien les agissements immondes de cette police milicienne aux ordres d’un État totalitaire en chute libre. C’est cela la France occupée, en 2025. Le pays des Lumières qui est désormais gouverné par les agents des ténèbres…

Pierre Jovanovic, journaliste indépendant libre et plume acérée, essayiste, chrétien convaincu et lanceur d’alerte, a été la cible d’une offensive policière d’une violence institutionnelle inouïe. GIPN, BAC, commissaires, pompiers, agents préfectoraux … Tout ce que l’appareil d’État compte d’unités d’intervention lourdes a été mobilisé dans ce qui aurait dû ressembler à un assaut contre Daech… (Au lieu de recevoir, en grande pompes, leur chef à l'Elysée !). Sauf qu’ici, l’ennemi public numéro 1 n’est ni un trafiquant d’armes, ni un barbu radicalisé, ni un kamikaze, ni même un forcené. Il s’agit simplement d’un écrivain, d’un intellectuel, d’un homme armé… d’un manuscrit ! Rien que ça !

En tant qu’auteur indépendant, je me dois de dénoncer avec la plus grande fermeté cette affaire qui dépasse l'entendement. Le simple fait qu’un écrivain soit la cible d’une telle répression politico-policière, simplement pour avoir révélé des vérités dérangeantes, est un affront inacceptable à la liberté d’expression et aux valeurs fondamentales sur lesquelles notre civilisation repose. Cette attaque n’est pas seulement une tentative d’intimidation à l’encontre d’un homme, mais un acte symbolique qui touche tous ceux qui, comme moi, s’opposent à cette oppression mondialiste qui cherche à détruire nos sociétés, nos identités et nos libertés. Une caste d’élites, déconnectées du peuple et au service exclusif des intérêts financiers mondiaux, fait tout pour museler ceux qui osent défier l’ordre mafieux qu'ils ont établi. Il est temps pour tous les individus de bonne volonté de prendre position et de se lever pour défendre notre monde et ses principes.

Pierre Jovanovic, lui, ne brandit ni kalachnikov ni cocktail Molotov. Il n’a pour seule arme qu’un clavier de machine à écrire, une foi inébranlable et la ténacité d’un homme libre. Et c’est précisément ce qui effraie ces pseudos puissants. Car un homme debout, éclairant les zones d’ombre, est mille fois plus dangereux pour eux qu’une armée de contestataires résignés.

Le motif officiel, invoqué pour toute cette mascarade, est qu’il s’agissait d’une intervention pour "sauver sa vie". La vérité officieuse, elle, éclate comme une évidence qu'il s'agit de l’empêcher de dire la vérité ! Car il fallait à tout prix empêcher la sortie de son livre "2008", qui est une enquête explosive sur l’escroquerie mondiale du crash financier, et sur les responsables toujours intouchables - banques centrales, Goldman Sachs, BCE, FMI - et leurs relais politiques nationaux. En tête de gondole on y trouve le junkie psychopathe Macron, PDG destructeur de la France S.A., petite marionnette zélée du cartel bancaire qui l'a mis en place.

Mais quelle vérité peut bien déranger à ce point Macron et ses commanditaires en costume-cravate ? Celle que renferme son nouveau livre, "2008", qui est une charge explosive contre le hold-up du siècle orchestré par les banques, avec la complicité active de gouvernements vendus. Ce livre n’est pas simplement un ouvrage, c’est une pièce à conviction. Or dans cette République du CAC 40, on ne laisse pas les preuves circuler librement.

La police de la pensée ne se cache même plus. Ce n’est plus du tout du maintien de l’ordre, c’est de la répression ciblée ! Ce genre d’opération mobilise des dizaines d’agents, des moyens logistiques faramineux, des véhicules blindés, des heures de travail à tarif spécial, des hélicos parfois… Et combien a coûté cette nouvelle mascarade aux contribuables ? 200 000 euros ? 300 000 ? Pour quoi ? Pour qui ? Dans quel but sécuritaire ? Juste pour tenter de terroriser un homme courageux qui dérange par ses écrits, mais dont les actes ne sont nullement répréhensibles. C’est donc cela, la nouvelle doctrine sécuritaire de la Macronie qui a transformé notre pays en Goulag. Dilapider toujours plus l’argent public, non plus seulement pour rincer ses amis et commanditaires bancaires, mais aussi pour bâillonner ceux qui lèvent le voile sur les turpitudes de ce pouvoir totalitaire devenu fou.

Et que dire du rôle du GIPN, cette "police des polices" censée garantir la sécurité nationale avec la crème des forces de l’ordre, mais qui se comporte désormais comme un service de renseignements au service exclusif de la mafia de l’Élysée et des puissances financières ? Plutôt que d’enquêter sur les violences terroristes, elle couvre, voire orchestre, des interventions politiquement orientées. Il ne s’agit plus de sécurité publique, mais de sécurité du système. Et ce système n’a qu’une seule peur  que la vérité se répande.

Que reste-t-il d’un pays où les forces spéciales, censées traquer les terroristes, se retrouvent mobilisées pour étouffer une publication ? Une démocratie de façade, un théâtre de marionnettes où le président n’est qu’un VRP zélé d’un cartel bancaire assassin. Un homme de paille au service d’un système qui ne recule devant rien (ni l’humiliation, ni le ridicule) pour préserver l’omerta sur les véritables criminels de ce monde, qui en 2008, ont pillé les peuples sous couvert de sauver les marchés.

En perquisitionnant une maison d’édition la nuit, une première qui n'avait même pas eu lieu sous Vichy et l’Occupation nazie, comme le rappelle Jovanovic avec une ironie glaçante, le pouvoir ne fait qu’officialiser sa panique. Les nazis eux-mêmes avaient au moins le cynisme de faire ça en plein jour, alors que la Raie-publique française, elle, agit comme un gangster, en silence, sous les néons de la répression nocturne. Ce faisant elle révèle enfin sa vraie nature d’un régime autoritaire sinon dictatorial, grimé en démocratie, incapable de tolérer la moindre remise en question de ses maîtres financiers.

Mais ces pantins de la répression se trompent d’époque. Ils n’ont pas compris que chaque opération d’intimidation déclenche désormais une réaction en chaîne. Que chaque abus d’autorité forge un peu plus la détermination des hommes debout. Que l’intimidation ne fait plus taire, elle amplifie. Et que le peuple français n'attend plus que l'étincelle de trop pour faire sauter le baril de poudre sur lequel sont assis les élus et les institutions archi corrompues de ce pays.

Le livre "2008" sortira donc comme prévu. Mieux encore, il est en train de devenir un objet de lutte. Car à cause de leurs agissements, 2008 n’est désormais plus seulement un livre, c’est devenu un symbole ! Celui d’une parole qu’on a tenté d’étouffer par des moyens policiers ignobles et qui désormais résonnera plus fort encore. C’est une déclaration de guerre à la mafia financière, à ses relais politiques et à tous les laquais qui pensent pouvoir faire taire la vérité à coups de bottes et de menottes. À chaque porte qu’ils défoncent, c’est un lecteur de plus qui s’éveille. À chaque mensonge d’État, une vérité qui germe. 

La presse subventionnée garde le silence ? Qu’importe. L’Histoire jugera. Et elle se souviendra qu’en 2025, en France, on utilisait les mêmes méthodes contre un écrivain que contre un poseur de bombe. Et que l’explosion attendue… était celle d’un livre. Le peuple, lui, commence à écouter. Et à lire car dans ce monde où les journalistes d’État récitent le catéchisme des puissants, où les "experts" sont choisis pour leur docilité et non leur compétence, où chaque plateau télé ressemble à un meeting du MEDEF, il ne reste plus qu’un vrai contre-pouvoir : le lecteur !

Oui, c’est vous, lecteurs, lectrices, citoyens éveillés, qui détenez aujourd’hui les armes les plus redoutées des systèmes autoritaires que sont la curiosité, l’esprit critique et le refus du prêt-à-penser. C’est vous qui, par votre simple acte d’acheter un livre, de le lire, de le partager, de le faire circuler, pulvérisez le mur de silence érigé par les puissants. Ce qu’ils ne supportent pas, ce n’est pas seulement ce que Jovanovic écrit, c’est que vous soyez encore capables de le lire…

Alors, amis lecteurs et penseurs libres, précommandez dès à présent "2008" et rendez-le inarrêtable. Faites du silence qu’ils voulaient nous imposer, un cri de rébellion, et de ce livre, qu’ils ont voulu interdire, une arme de libération.


Phil BROQ.


Image fournie par Pierre Jovanovic de l’intervention du GIPN.

Voici la 4ème de couverture de 2008 :

"L'année 2008 a été pour les banques ce que le drame de Tchernobyl a été pour le nucléaire, un révélateur de tous les mensonges et des crimes des banquiers devenus fous.

Grâce à la censure des médias, l'explosion de Wall Street le 29 septembre 2008 (avec le fameux -777,7 du Dow Jones) a été présentée comme typiquement américaine alors que cela a entraîné des dizaines de millions de licenciements et autant de faillites dans le monde entier, licenciements qui continuent encore aujourd'hui !

Dès le début de l'année 2008, dans la plus grande discrétion, les 10 plus grandes banques mondiales ont cherché à se recapitaliser afin d'éviter le désastre sans y parvenir ce qui s'est soldé par le plus odieux des chantages jamais fait à des gouvernements: "Soit vous nous sauvez, soit vous avez une révolution dans les semaines qui suivent ".

Les gouvernements n'ont pas eu le choix: ils ont volé l'argent des impôts, des hôpitaux, des routes, des services sociaux pour sauver des banques criminelles. Et c'est à ce moment que le piège s'est refermé, piège dans lequel nous nous trouvons encore aujourd'hui, raison pour laquelle il est de plus en plus question de repousser le départ à la retraite à... 70 ans !

Plus de 1.000 banques ont été fusionnées ou ont fait faillite depuis (dont les célèbres Silicon Valley Bank, Crédit Suisse, Lehman Brothers, Bear Sterns, Fortis, Dexia, ? Banco Espirito Santo, et même Banque Populaire et Caisse d’Épargne).

Ce livre se lit comme un véritable roman policier où absolument tout est vrai, avec des voleurs sans scrupules qui ont fini par gagner la partie contre le peuple, dépossédé de son travail et de sa richesse.

Au-delà du témoignage historique, ce livre vous dévoile également le futur puisque la crise de 2008 n'a toujours pas été jugulée. Et vous verrez que tout a commencé précisément à Los Angeles et que tout a volé dans les airs le jour de la fête des Anges: le 29 septembre 2008."





Commentaires

  1. La Caste doit être effrayée pour un tel déploiement d'hommes armés. Ils utilisent sans fin les vielles ficelles de la terreur, ils les maîtrisent car ce sont de minables pantins, ils n'ont pas capté que depuis 2019, des milliers de graines ont germé avec une détermination sans faille face à leur pitoyable mise en scène politique. Soutien de cœur et d'esprit à tous les éveillés et courageux du Système.

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