TROP, C'EST TROP !

La France se trouve aujourd’hui au bord de l’explosion, prise au piège d’un système où l'État, loin d’être le protecteur des citoyens, s'est transformé en un oppresseur vorace, prêt à dévorer jusqu'à la dernière goutte de ce qui fait encore sa vitalité. Les citoyens, asphyxiés par une fiscalité de plus en plus inique, un système judiciaire partial et une répression policière de plus en plus brutale, commencent à ouvrir les yeux. Un climat de révolte gronde, porté par ceux qui refusent de se soumettre à une tyrannie camouflée sous les faux-semblants d'une république dévoyée. L'heure est venue de briser ce carcan et de restaurer la liberté, en renversant ce pouvoir devenu une machine à broyer les âmes et les vies. La révolution, loin d'être une option, devient une nécessité urgente, un acte salvateur face à l’abus et à l’injustice.

L'État français sous l'ère Macron, tel un vampire dévorant sa propre chair, a métamorphosé sa mission originelle en un système de parasitisme où il n'existe plus qu'un seul but ultime de nous ponctionner jusqu'à nous détruire. Il ne se contente plus de taxer à outrance, il confisque, il rançonne. Il ne redistribue plus, il se gave outrageusement. La nation entière se retrouve engloutie dans ce piège, un piège tissé de violence légalisée, que ce soit par la brutalité policière ou l'acharnement judiciaire. Et tout ceci sous le masque d’une pseudo république qui n’a plus rien de démocratique, une mascarade tragique où les puissants, ceux qui nous écrasent, continuent pourtant de prétendre nous servir en ne faisant que nous asservir.

Il est donc grand temps de lever le voile sur l’imposture qui défigure notre pays, une imposture imposée par une caste de malfaiteurs, connus et identifiés, qui s’est accaparée frauduleusement le pouvoir avec la même délectation que des parasites se nourrissant de la sève vitale d’un arbre malade. Ce petit groupe de mafieux n’a aucun droit, aucun mandat pour nous confisquer ce qui nous appartient, pour extorquer sans vergogne l'argent de nos poches en prétextant des impératifs mensongers et des fausses urgences. Car l’impôt, rappelez-vous, repose sur le consentement du peuple ! Or, depuis des décennies, ce consentement a été systématiquement manipulé, contourné, écrasé. Le terme "taxer" est devenu obsolète, remplacé par "confisquer", car ce n’est plus un impôt juste, c’est un pillage organisé.

Aujourd’hui, la mafia cachée sous le nom d'État ne demande plus, elle se sert. Ce clan n’ose même plus feindre une quelconque forme de dialogue. Il impose à coup de 49.3, il confisque jusqu'à notre liberté d'expression, il rackette à tout va le peu d'économies qu'il nous reste. Les fonds qui devraient nourrir l’intérêt général sont engloutis dans un gouffre sans fond, utilisés pour maintenir l'influence d’une classe dirigeante déconnectée des réalités quotidiennes. L’argent des citoyens ne sert plus à construire un avenir commun, il sert à perpétuer un système où l'État est le seul à en sortir bénéficiaire. 

Les hausses abusive et ininterrompue de charges, de taxes, de cotisations ne sont plus l’apanage d’une démocratie vivante, mais le résultat d’une machination sourde et violente, arrachée de force à ceux qui créent la richesse, à ceux qui travaillent, à ceux qui, jour après jour, soulèvent le fardeau de cette société. Ces hausses de taxes, comme ces lois, ne sont pas légitimes, elles ne sont que les manifestations d’un racket, un vol organisé, une contrainte exercée par des parasites qui, tels des bandits en cols blancs, nous pressent jusqu’à la dernière goutte de sang.

Ce pouvoir fiscal, cette mainmise sur nos finances, repose sur une illusion de légitimité soigneusement entretenue par la peur et la soumission. Les gouvernants ont construit une machine de propagande qui a su manipuler l’opinion publique, faire croire que ces prélèvements incessants étaient nécessaires, inévitables, voire bénéfiques. La peur de la déstabilisation, de la chute, de l’effondrement, est cultivée sans relâche pour que le peuple accepte de se laisser dépouiller sans broncher. Et que dire de la soumission ? La machine étatique a perfectionné l’art de faire accepter l’inacceptable, de faire passer la tyrannie fiscale pour une norme, une nécessité.

Cela fait des décennies que l'illusion du consentement populaire est cultivée, manipulée, détournée, étouffée. Ce consentement dont ils se targuent n’a jamais été donné. Il a été arraché, écrasé sous des fausses élections, des informations mensongères et des tonnes de taxes illégitimes. Ces hausses constantes, ces nouveaux impôts, ne sont pas une obligation que l’on subit par devoir civique. Non, elles sont un racket organisé et imposé par un groupe malfaisant ayant transformé la France en un État tyrannique qui se drape dans des ors et des mensonges éhontés, camouflant sa soif insatiable de pouvoir et de contrôle, sous le vernis d'une démocratie en décomposition. Un parlement rempli de drogués, de délinquants sexuels ou fiscaux, bref, de truands en tous genres mis à leur place par la fraude et la falsification.

Les plus riches, les plus malins de ce pays ont déjà pris le large. Ils ont mis leur argent à l’abri, ont trouvé des routes de fuite. Lorsqu'ils ne sont pas outrageusement subventionnés ! Ceux qui restent, comme moi, ceux qui ne peuvent pas échapper à ce système faute de moyens, eux, se battent au quotidien contre une machine devenue incontrôlable, qui dans sa panique de tout perdre, aggrave la répression. Les amendes, les saisies, les blocages de comptes, les redressements fiscaux abusifs… Tout ceci n’est qu’un appel répété à la soumission, à l'esclavage. Mais la vérité éclate peu à peu tant les abus sont manifestes. 

Mais ce mensonge, longtemps masqué sous le vernis de la peur et de la propagande, est en train d’exploser. Le mur de la soumission craque, et avec lui, la réalité de ce système insidieux destiné à faire de nous les esclaves de cette engeance inutile et pourtant hautement néfaste que sont les élus. De plus en plus de citoyens, de contribuables, ouvrent enfin les yeux. Ils prennent enfin conscience que, loin de participer à un "effort national", ils sont les victimes d’une escroquerie systématique perpétrée en bande organisée, d’un système qui ne cesse de les ponctionner sous prétexte de "solidarité", de "justice", alors qu’il ne fait que servir les intérêts d’une élite autoproclamée, se vautrant dans l'entre soi, déconnectée du peuple et vivant dans une opulence abjecte, qu’elle se réserve à coup de taxes et de lois qui n’ont pour seule ambition que de la maintenir dans sa toute-puissance octroyée par une police aussi corrompue que débile.

Il n’est plus du tout question de contribuer à l'essor du pays, il est juste question de se faire racketter par une bande d'incapables et de misérables cloportes. Il est aussi question de s'entendre dire, toujours plus haut et plus fort, qu’il n’y a pas de place pour le refus, que notre argent n’est plus le nôtre, qu'il est le bien de ceux qui nous gouvernent et qui nous le prennent sans retour. Mais ces vérités, si longtemps étouffées, éclatent de plus en plus clairement dans l'esprit des citoyens qui voient leur frigo vide, leurs enfants soumis à l'insécurité croissante et à un avenir d'esclaves. Une masse critique de contribuables prend de plus en plus conscience qu’ils se font voler, qu’ils sont pris en otage par un pouvoir qui n’a plus de légitimité que celle qu’il s’accorde lui-même par la violence policière et les mensonges judiciaires.

Selon le docteur en psychopathologie, Ariane Bilheran, la terreur du choc traumatique crée une forme d'incrédulité psychologique chez les individus confrontés à des événements horribles. Cette réaction est si intense et déstabilisante qu’elle entraîne une dissociation, comme si la réalité des faits était insupportable. L’esprit, dans un mécanisme de défense, se persuade que l’atrocité vécue ne peut être réelle, qu’elle est l’invention d’une imagination traumatisée. C’est une forme de rejet de l’inconcevable qui, au lieu de permettre une prise de conscience de la gravité des événements, génère des constructions mentales fausses et délirantes. Cette dissociation permet de maintenir un semblant de normalité, mais elle empêche également l’individu de faire face à l’horreur qu’il a vécue et d'en comprendre les conséquences sur son existence.

Cette dynamique psychologique aide à comprendre pourquoi de nombreuses personnes peinent encore à voir les signes d'une dérive totalitaire en cours. La peur et la confusion nourrissent une vision déformée de la réalité, et cette incapacité à percevoir l’imminence du danger est renforcée par un système de manipulation qui distille l’illusion que l’autorité, même devenue oppressive, agit toujours pour le bien de la population. Le masque de la "démocratie" fonctionne comme un voile rassurant qui empêche de distinguer la vérité que les gouvernements, devenus des bourreaux dans leur volonté de contrôle et d’asservissement, continuent de se présenter comme protecteurs du bien-être commun. Ainsi, l’incrédulité, alimentée par cette illusion, permet à la tyrannie de se mettre en place discrètement, sous des apparences de légitimité, sans qu’une prise de conscience collective n'émerge avant qu'il ne soit trop tard.

Un système fondé sur l’abus ne peut durer que si les abus sont tolérés. Mais lorsque les victimes cessent d’accepter leur sort, lorsque la masse se réveille, le système vacille, et la tyrannie fiscale perd sa force. Ce n’est pas une question de légitimité démocratique, ni de principes économiques. C’est une question de survie pour ceux qui sont conscients qu’ils sont utilisés comme des vaches à lait. L'État, en multipliant ses abus, en dévoyant sa mission de service public pour en faire un instrument de domination, a pris le risque ultime : celui de pousser ses victimes à la révolte. Et cette révolte, lorsque le seuil de tolérance est dépassé, ne pardonne pas. Les pierres du système se mettront à trembler, car un peuple éveillé, un peuple qui refuse d’être complice de son propre écrasement, est un peuple qui ne se laisse plus manipuler, un peuple qui revendique sa liberté.

Ainsi, un peuple qui prend conscience qu'il a été floué ne se contente pas de se soumettre. Non, il résiste. Et plus cette résistance grandit, plus le système montre ses failles. Le peuple, trop longtemps bâillonné, s'éveille enfin. Mais ce réveil est brutal. Il n’y a plus de retour en arrière. Les circuits parallèles explosent, l’économie souterraine prospère. Les individus refusent de nourrir un État corrompu, un État qui ne se nourrit plus de la volonté des citoyens, mais de leur servitude. Or, en France nous n’avons plus affaire à un gouvernement qui gouverne, mais à une bête dévorante qui se nourrit de son propre peuple. Et c'est cette bête qui, lorsque son pouvoir est défié, s'effondrera dans un cri strident.

Alors, oui mes amis, c’est le moment de la révolte, de cette révolte qui devra être aussi physique que mentale. De cette révolte qui ne se contentera pas de mots ou de manifestations, mais qui exigera que les têtes tombent, que l'ordre ancien, pourri, soit balayé dans un cataclysme purificateur. Purgé des parasites et enrichi de "leur sang impur dans nos sillons". Parce qu'il n'est plus possible de négocier avec des parasites, avec ceux qui se sont arrogés notre pays à force de fraude, de violence et d'impunité.

Le peuple se soulèvera en masse quand il aura enfin compris qu'il n'a déjà plus rien à perdre. Et alors, la mafia qui se fait passer l'État ne pourra plus faire face. Ce château de cartes, construit sur le mensonge et la soumission, tombera sous son propre poids. La vérité éclatera, et les têtes rouleront. La révolution ne sera pas qu'un cri de colère, mais un acte nécessaire, salvateur. Parce qu’il n'y a pas de démocratie quand une poignée de parasites se nourrit du sang de la nation. Mais c'est à chacun de nous de prendre ses responsabilités, de dire non, Trop c'est Trop !

Il est temps de faire face à la réalité et de supprimer ces institutions qui, depuis trop longtemps, ne servent que les intérêts d'une élite déconnectée et corrompue. Le peuple est épuisé de voir ses voix ignorées, de voir les riches et les puissants se gaver pendant que nous, travailleurs, citoyens, individus nous nous battons pour survivre. Il est de notre devoir de réclamer la fin de ce système qui nous écrase. Il est de notre devoir de marcher sur l’Assemblée, d’éliminer ceux qui, dans le Sénat et ailleurs, se nourrissent de nos sacrifices en toute impunité. Un changement radical est nécessaire, un bouleversement profond. Ceux qui ont échoués, ceux qui ont trahis la confiance du peuple, doivent rendre des comptes. La révolution n’est pas une option, c’est une nécessité. 

Dans ce monde où le système traditionnel étouffe toutes les initiatives individuelles et où l'injustice économique semble régner, ceux qui refusent de se soumettre cherchent désespérément des solutions alternatives. Le travail au noir, devenu une réponse tangible aux injustices sociales, connaît une explosion sans précédent, révélateur d'une rébellion silencieuse face à l’oppression fiscale. Les circuits parallèles, loin de se limiter à une simple dérive, deviennent un véritable moyen d’émancipation pour une population en quête de liberté. Les indépendants, les PME, et les artisans, souvent pris dans l’étau d’un système rigide qui ne favorise que les grands capitaux, inventent et déploient des stratégies ingénieuses pour résister et survivre. En quête de flexibilité, ils façonnent une économie parallèle, où le contrôle se fait de manière autonome, échappant ainsi à l’ordre établi. Une révolution discrète mais percutante, où l’auto-entreprenariat devient un acte de défiance contre un modèle qui ne répond plus aux besoins du peuple.

Et pour la faire, il suffit de cesser de payer les taxes et les impôts et de sortir son argent de la banque pour ne payer qu'en liquide, sans factures et sans TVA ! Car si simplement ces rentrées fiscales s’effondrent, alors les fonctionnaires, ces petites mains pleines de merde ne sont plus payés. L’administration ne fonctionne plus. Le château de cartes se disloque sous son propre poids. Et là, le grand mensonge s’effondre car ce système fiscal, carcéral, n’a jamais été fondé sur le droit, mais bien sur la soumission. Or, dès que cette soumission disparaît, il n'en reste plus rien. Alors, réveillez vous, cesser de payer et faites comme eux, servez-vous !

Ce n’est plus le temps des illusions. C’est le temps de la révolte…

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé




Commentaires

  1. Les révoltes sont réprimées dans le sang, justifiant un état policier ; les révolutions profitent aux professionnels, au détriment du peuple ; les idiots éduqués à obéir aveuglément, ne font pas des coups d' état populaires. Seule une sécession permettrait de créer une nouvelle France, sans haine et sans violence, et en désobéissant citoyennement. A condition d' abandonner la mentalité "pyramidale" qu' il y a en chacun de nous, d' une part, et de faire du nouveau à partir de l' ancien d' autre part, comme la nature n' arrête pas de nous l' enseigner. L' évolution spirituelle humaine, gratifiée d' un taux de soumission d' environ deux tiers, rendrait difficile cette meilleure possibilité. N' étant pas encore prêts pour la "motorisation électrique" efficiente, nous nous destinerions alors à avancer "thermiquement", et à bons vieux coups d' explosions à quatre temps.

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    1. L'idée que les révoltes sont systématiquement réprimées dans le sang et que les révolutions profitent aux seuls "professionnels" est en partie juste, mais elle ne prend pas en compte les nombreuses révolutions qui ont abouti à des changements structurels bénéfiques pour une partie, voire la totalité, du peuple. Cela dit, il est vrai qu'il est difficile pour un mouvement de masse d'échapper aux dynamiques de pouvoir et à la récupération des élites. Le défi réside aussi dans l'idée de "faire du nouveau à partir de l'ancien", un processus d’innovation qui doit nécessairement se nourrir des leçons du passé tout en évitant de reproduire les mêmes schémas. La question de la "mentalité pyramidale" est cruciale. Tant que nous restons dans des logiques hiérarchiques, il est difficile de créer des sociétés véritablement horizontales et participatives. La "désobéissance citoyenne" semble alors une voie potentielle, mais elle nécessiterait une large adhésion, une éducation à l'autonomie et à la responsabilité, et surtout une conscience collective. Alors, Peut-être que ce n’est pas tant une question de révoltes violentes ou de sécession, mais plutôt un travail de long terme sur la conscience collective, pour évoluer, qu'il nous manque cruellement...

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    2. boule de flipper10/02/2025 21:16

      "Faire du neuf à partir du vieux". Voici un exemple d' application de ce principe, et sous la forme d' une devinette : "Si la structure hiérarchique pyramidale était l' "ancien", sous qu' elle "nouvelle" forme faudrait-il la faire évoluer ?". La réponse d' une "horizontalité" semblerait insuffisante, parce qu' elle ne conserverait pas la "verticalité" d' origine ; et de cette manière, la mentalité "pyramidale" en serait frustrée. Ainsi chassé, le naturel risquerait de revenir bien vite au galop, et au bénéfice d' une involution.

      Pour évoluer d' un état d' esprit en "longueur" vers un autre en "surface", à cette première dimension devrait s' ajouter une seconde, mais perpendiculairement. Autrement dit, la pensée "verticale" devrait se compléter d' une pensée "horizontale", et leur ensemble amènerait un changement paradigmatique, que l' on pourrait logiquement appeler une conscience "surfacique". Pour y arriver, il suffirait de décentraliser la structure hiérarchique pyramidale, et de la multiplier par autant de fois, qu' il y a de noeuds dans la pyramide. De cette manière, l' agressive forme pointue de l' architecture pyramidale, évoluerait alors vers la douce forme ronde d' une holostructure.

      Or, c' est ce qui semblerait être arrivé depuis l' apparition populaire du réseau internet, et où l' architecture de son pouvoir irait en se décentralisant depuis les années quatre-vingt-dix. La vraie, juste, et belle révolution sécessionniste -et directement démocratique- serait finalement déjà là. Ensemençant les esprits, fleurissant dans nos têtes, et n' attendant plus que ses futures et riches moissons.

      "la pyramide c' est la mort, l' holostructure c' est la vie".

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    3. Repenser la structure hiérarchique pyramidale comme un simple jeu de formes géométriques—"verticalité" contre "horizontalité"—frôle la superficialité. La pensée humaine et les relations de pouvoir ne peuvent être réduites à une simple opposition entre ces deux dimensions. L'évolution de nos structures sociales et politiques n'est pas une question de formes géométriques, mais de processus intangibles qui englobent des réalités beaucoup plus nuancées, profondément liées à des facteurs historiques, culturels, et psychologiques. Une horizontalité pure et illimitée pourrait bien offrir un idéal esthétique, mais ne serait-elle pas aussi, dans sa radicalité, la promesse d'une autre forme de domination, encore plus insidieuse, où l’individualisme et l’anarchie se substitueraient à l’ordre et à la cohésion? La vraie question, en somme, ne réside pas dans la forme que nous donnons à nos structures sociales, mais dans la manière dont nous transformons les rapports humains à travers ces formes. La pensée "verticale" et la pensée "horizontale" ne sont pas des opposés à réconcilier, mais deux dimensions complémentaires d’une réalité mouvante. En fait, je pense que, pour reprendre ton exemple, "la pyramide" et "l’holostructure" sont les deux faces de la même médaille: elles expriment toutes deux des tentatives humaines pour organiser ce qui, fondamentalement, échappe toujours à une organisation parfaite. Un système plus efficace que les structures pyramidales ou l’holostructure pourrait être basé sur une "réticulation organique", où les individus et les groupes sont reliés par un réseau souple et interconnecté, où chaque membre joue un rôle qui évolue selon ses compétences et les besoins collectifs, sans hiérarchie stricte ni centre de pouvoir unique. Un exemple concret de ce type de système pourrait être celui des organisations autogérées, comme les coopératives ou certaines formes de collectifs de travail. Les décisions sont prises collectivement à travers des processus démocratiques, mais chaque individu ou groupe peut intervenir selon ses compétences et son expertise, sans que des pouvoirs fixes ou des hiérarchies strictes ne limitent l’initiative. Ce modèle repose sur une interconnexion fluide, où chaque membre du réseau peut s’ajuster et collaborer selon les besoins et les défis du moment. Ainsi, l'organisation évolue en fonction de la réalité des contextes locaux tout en maintenant une cohésion globale. Cela fonctionnerait non seulement parce que les membres partagent une vision commune, mais aussi parce que le système est conçu pour être adaptable, flexible et capable de se réajuster face aux changements, sans perdre de vue les valeurs fondamentales d’égalité et de coopération. Bon, la réussite d'un tel système repose en grande partie sur la conscience et la responsabilité collective des acteurs impliqués... Et c'est pas gagné ! C'est la raison pour laquelle, la formation continue, l'éducation à la collaboration et le dialogue ouvert sont essentiels pour maintenir la dynamique et l'efficacité d'un tel modèle. C'est en cultivant cette conscience collective, à la fois individuelle et partagée, que l’on peut éviter que l’individualisme ne prenne le pas sur l’intérêt commun. Et c'est ce que j'essaie humblement de faire avec mes billets ! Bien à toi...

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  2. Tout est parfaitement dit. Bravo !

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