LA FIN DE LA FRANCE SOUS L'EMPIRE MONDIALO-SIONISTE

Sous la houlette de dirigeants successifs, de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron, la France a lentement disparue et cédé aux diktats des puissances mondialistes apatrides et sionistes. Tandis que les idéologies transnationales gagnent du terrain, l’Hexagone se trouve peu à peu entraîné dans des conflits géopolitiques qu'il n'a pas choisis. La crise ukrainienne en est un exemple frappant, où la France, au cœur de la guerre, a été manipulée au service d'intérêts étrangers. Mais cette ère de soumission semble désormais toucher à sa fin. Les fractures géopolitiques actuelles, avec l'ascension de figures comme Trump, Poutine, et Xi Jinping, annoncent un bouleversement inévitable. La France devra bientôt faire face aux conséquences de son alignement aveugle, et le monde observe une transition où la souveraineté des nations pourrait enfin prendre le dessus.

Depuis près de deux décennies, la France semble avoir délaissé sa fierté nationale pour s'aligner sur des forces mondiales de plus en plus puissantes et invisibles. Les présidents successifs, loin de défendre la souveraineté du pays, ont agi comme de simples instruments dans une mécanique géopolitique dominée par des intérêts étrangers. Cette soumission à des puissances invisibles, tant économiques que politiques, semble avoir atteint son apogée sous le mandat d'Emmanuel Macron. La France, jadis fière et indépendante, se retrouve aujourd'hui piégée dans un réseau complexe de manipulations et de compromissions, avec des conséquences dramatiques tant pour sa propre population que pour l’équilibre mondial.

Les présidents français se sont succédé à la tête de l'État avec une constance inquiétante dans leur soumission aux puissances mondiales aussi flagrantes que leur haute trahison des intérêts du pays. Sous la direction de ces "élus", la France, autrefois fière de son indépendance et de sa souveraineté, a sombré dans une sorte de servitude volontaire aux forces qui se sont discrètement imposées comme les véritables maîtres du jeu mondial : le WEF, l'OMS, les mafias juives, les oligarchies transnationales et, bien sûr, les États-Unis démocrates de Clinton, Obama et Biden. L'objectif de ces pouvoirs sombres est l'asservissement totalitaire et tyrannique des peuples. Le tout saupoudré de crises artificielles, de guerres et de pandémies fabriquées de toutes pièces, dans une logique implacable de contrôle absolu des masses grâce aux nouvelles technologies.

Les présidents français, sous Sarkozy, Hollande et Macron, ont été de très fidèles serviteurs de cet ordre mondial, agissant comme des marionnettes sous le joug de maîtres puissants. Sarkozy, le président délinquant à bradé l'or de la France et fait assassiner le rempart de l'immigration subsaharienne qu'était Kadhafi, François Hollande, avec son sourire de benêt et ses promesses de réconciliation nationale, n’a pas hésité à sacrifier la nation sur l’autel de la mondialisation avec une immigration massive et incontrôlée tout en rackettant les salaires à la source. Lors de son mandat, il a favorisé tous les accords qui ont affaibli la souveraineté de l’État français et ont permis aux puissances supranationales, représentées par des personnels bi-nationaux, d'imposer leur idéologie mortifère.

Emmanuel Macron, le coké coquet de l'Élysée, bien trop jeune et avide de reconnaissance, a repris les rênes de manière encore plus violente en éborgnant et mutilant le peuple opposé à sa folie, s'érigeant en serviteur dévoué des intérêts américains et des lobbies financiers juifs en vendant l'ensemble de notre industrie et détruisant toutes les libertés. Son ascension à la présidence, loin d'être le fruit d'une "révolution" démocratique, a été le résultat d'une grande manipulation des urnes, orchestrée par des forces sionistes qui avaient depuis longtemps décidé du sort funeste de la France. Ce jeune gérontophile, au passé d’élève médiocre mais implanté de force dans les cercles financiers et politiques par son mari pédophile et son tonton Rothschild, a vite appris à jouer le rôle de "valet" parfait, protégé par une armada de prostituées nommées forces de l'ordre, devant des maîtres comme Obama, Biden, et les autres "démocrates" qui, en coulisse, gouvernaient le monde par le chantage et la corruption, mais aussi le détournement de nos impôts à leur profit.

L’un des exemples les plus frappants de cette trahison des intérêts nationaux a été la création puis la gestion de la crise ukrainienne depuis son début par l'OTAN. La guerre en Ukraine, loin d'être le simple résultat d'une prétendue invasion russe, trouve ses racines dans les erreurs stratégiques des États-Unis et de l'Europe, soutenus par la France. Dès 2013, l'UE, poussée par l’ombre des États-Unis et BlackRock, a forcé l’Ukraine à faire un choix suicidaire de signer un accord avec l’UE ou de risquer des tensions avec la Russie. Ce fut le début d'un cataclysme qui a couté la vie de centaines de milliers d'Ukrainiens. Mais il ne faut pas oublier que, derrière cette pression européenne, se cachait un objectif bien plus vaste d'isoler la Russie et l'attirer dans une guerre qui bénéficierait à l’OTAN, au complexe militaro-industriel et pharmaceutique américain, au trafic d'organes et d'être humain, à la création de virus militaires dans les Biolabs et surtout à la volonté de contrôle mondial grâce à la manne monétaire ainsi détournées. L'Ukraine devenant une sorte de lessiveuse géante pour ces mondialo-mafieux qui en ont fait leur terrain de jeux abjects.

Deux mois à peine après l’entrée en fonction du troisième gouvernement de Merkel, les États-Unis et l’Allemagne ont organisé un coup d’État en Ukraine en février 2014, qui a fait appel à des milices fascistes pour aider un régime pro-OTAN à prendre le pouvoir. Washington et Berlin ont toutefois eu un problème. Le rôle dominant joué dans le nouveau régime par les nationalistes de droite, admirateurs du collaborateur nazi Stepan Bandera, et les milices fascistes a divisé le pays, en particulier dans l’Est, majoritairement russophone, où la perspective d’être dirigé par des ultranationalistes ukrainiens était accueillie avec horreur. La Russie, craignant pour sa base de la flotte de la mer Noire à Sébastopol, a annexé la Crimée à la suite d’un référendum. Les séparatistes soutenus par la Russie ont proclamé des républiques indépendantes à Donetsk et à Louhansk, dans l’est de l’Ukraine. Les nouveaux dirigeants de Kiev frauduleusement élus avec l'acteur Zelensky  n’ont pas été en mesure d’empêcher cela. L’armée ukrainienne s’est effondrée. Les soldats peu enclins à se sacrifier pour le nouveau régime avaient déserté en masse.

Hollande, tout comme Macron, ont joué un rôle de premier plan dans cette mascarade géopolitique destinées à faire entrer les peuples européens dans la prison numérique fabriquée par les agents du WEF. L’Accord de Minsk, censé apaiser les tensions, a été utilisé comme une simple manœuvre pour "gagner du temps" en vue d'un réarmement ukrainien, comme l’a admis Angela Merkel aux médias allemands et Hollande à 2 humoristes Russes qui l'ont piégé. Pendant ce temps, la France et l'Allemagne, en leur qualité de membre centraux de l’UE, ont joué un rôle clé dans cette entreprise de déstabilisation du continent tout entier. Mais au-delà de la guerre en Ukraine, ces événements ont montré la terrible vérité que les présidents français n'ont aucun poids à l'international et sont devenus de simples instruments dans une vaste machine de guerre géopolitique pilotée par des puissances étrangères, prête à sacrifier des millions de vies humaines pour des satisfaire leurs intérêts économiques et éventuellement stratégiques.

Les accords de Minsk, véritables trompe-l’œil, ont été un mensonge éhonté orchestré par les élites européennes, dont la France et l'Allemagne, qui se sont présentées comme garantes d'une paix durable. Ce qu'ils ont réellement fait, c’est trahir les populations du Donbass en laissant s’enliser un conflit absurde, en parfaite complicité avec les manœuvres politiques cyniques des puissances occidentales. Ces accords, loin d’être un compromis sincère, n’ont été qu'un outil pour gagner du temps, permettant à l'Ukraine de se réarmer et à l'Occident de continuer à jouer son rôle dans la déstabilisation régionale. Si le cessez-le-feu avait été respecté, si la France et l'Allemagne avaient fait preuve de la moindre volonté d'appliquer véritablement ces accords, l'autonomie du Donbass aurait pu être instaurée en 2014, apportant la stabilité tant attendue. Mais non, ils ont préféré servir les intérêts des mondialistes, ignorant la souffrance humaine et les appels à la paix.

Ce soutien hypocrite au prétendu "processus de paix" a été entériné par le Conseil de Sécurité des Nations Unies par la résolution 2202 du 17 février 2015. Une résolution qui n’aura fait que renforcer la mascarade et cimenter l’impuissance du système international face aux véritables forces de guerre. Cette hypocrisie, où la France se posait en grande défenseur de la paix tout en soutenant la guerre par des moyens détournés, est la preuve ultime de l'échec de l'UE, de sa soumission aux intérêts étrangers et de son incapacité à protéger la paix. Le Donbass, comme l’Ukraine, n’aura été qu’un terrain de jeu géopolitique, et les fauteurs de guerre européens auront à répondre de cette manipulation à l’échelle internationale.

Le rôle des banquiers sionistes ( tel Rothschild) et des élus bi-nationaux dans la chute de la France et de ses idéaux semble être une réalité sombre et impitoyable. En infiltrant les sphères décisionnelles et économiques, ces forces ont œuvré à réduire en cendres ce qui restait de la grandeur de la "fille ainée de l’Église", une nation autrefois symbole de liberté et de justice. Leur influence, notamment au travers du financement et de la manipulation des politiques migratoires et des attentats, a permis de soumettre la France aux logiques globalistes, effaçant peu à peu toutes les valeurs qui fondaient son identité. Ces pseudos élites, dévouées à des intérêts israéliens, ont non seulement contribué à l'effondrement économique du pays, mais ont aussi mis en place des politiques qui, sous couvert de modernisation et d'inclusivité, ont détruit la souveraineté nationale, la liberté d'expression et fragilisé la société en instrumentalisant le communautarisme, comme le racisme. Loin de protéger les droits humains et les libertés, ces puissants ont précipité la France dans un abîme de dépendance et de servitude technologiques, avec une rapidité qui rappelle les destructions systématiques vécues partout ailleurs dans le monde où ils sont passés, comme à Gaza. Ce qui fut autrefois un phare de liberté se trouve aujourd'hui transformé en une simple marionnette dans un jeu d’échecs mondial, où le sacrifice des peuples et des nations au profit de puissances sionistes semble devenir la norme.

Cependant, le vent est en train de tourner. Après des années d'humiliation, subies surtout par des populations soumises à la violence étatique et policière et à jouer le rôle de l’idiot utile au service de cet ordre mafieux mondial, la France, et plus largement l'Europe, doivent désormais faire face à la revanche des souverainistes. Trump, Poutine, Xi Jinping… Ces leaders, incarnant la résistance à l’impérialisme mondialiste, sont en train de redéfinir complètement les règles du jeu. Macron, ce petit valet apeuré par la perte de ses maîtres démocrates, va devoir maintenant faire face à la réalité de ses actes, qui auront évidemment des conséquences désastreuses pour notre pays. Mais au point où est tombé la France faute d'une population apte à se révolter, ce ne sera que justice.

Trump, avec sa rancune palpable et son désir de récupérer l’initiative perdue, n’hésitera sûrement pas à faire payer cher à l'Europe son ingérence, son soutien et sa trahison dans les affaires ukrainiennes, ainsi que sa soumission aveugle à l’OTAN. Le passé trouble de Macron ressurgissant, les attitudes des bellicistes des dirigeants européens et l'arrogance de la Hyène nazie non élue, qui ont ouvert la voie à la guerre en Ukraine et à l'escalade des tensions avec la Russie, pourrait bientôt leur être reproché avec une force inattendue dans le retour du boomerang. La France, autrefois fière et indépendante, est désormais en position de faiblesse, sinon d'extinction, et obligée de se soumettre, voire ramper devant les nouveaux diktats d'une annonce de paix dans cette guerre qu'elle a elle-même largement contribué à déclencher.

Les 8 présidents européens ( sur 27) comme Macron, Scholtz, la Hyène ou encore l'anglais Starmer devront désormais rendre des comptes directement à Trump qui les a convoqués à la maison blanche ce lundi 24 février 2025. Et ce n'est pas simplement une question de diplomatie. Donald Trump, un homme d'affaires à la mémoire longue et au tempérament rancunier. Les alliés traditionnels de l’Europe, qui bénéficiaient jusque-là d’une indulgence calculée, sont désormais confrontés à un Trump déterminé à faire payer ses "alliés" pour leurs erreurs géopolitiques. Ce changement de garde à Washington est un tournant majeur : fini le temps de l’obéissance tranquille, place désormais à un Trump qui attend des comptes et réclame des réparations pour les erreurs passées. Macron et Starmer, désormais nus et fautifs devant un maître impitoyable, vont devoir se confronter à des exigences bien plus lourdes que celles de leurs anciens mentors démocrates. Ils seront sûrement à la table des négociations de la Paix en Ukraine entre la Russie et les États-Unis, mais en tant que plat à partager et non en tant qu'invités.

Les souverainistes qui ont émergé sur la scène mondiale, comme Trump, Poutine, et Xi Jinping, ont pour but bien précis et avoué de détruire les fondements de l'ordre mondial décadent actuel et rétablir la souveraineté des nations. L’Union des mafias d'Europe, qui s’est soumise pendant des années à cet agenda globaliste, va devoir faire face à une réalité plus brutale avec la punition cuisante de ses dirigeants pour avoir été les instruments dociles d’une guerre permanente, du détournement des économies nationales au profit de l'idéologie  mondialiste, d'une inflation délibérée, d'un bellicisme abject et d'une pandémie manipulée pour mieux contrôler leur population par la peur et la violence.

Dans cette nouvelle configuration géopolitique, les petites manœuvres de Macron et des autres dirigeants européens présents à Paris lors du "conseil de guerre européen" perdent tout crédit. Ces hommes et femmes, guidés par la soif de pouvoir et animés par des discours guerriers, se sont longtemps crus à l'abri des conséquences de leurs actions. Cependant, avec l'effondrement de l'influence de l'Union européenne, cette clique de politiciens, dont la duplicité et les engagements méphitiques sont désormais évidents, ne pourra plus imposer sa volonté. La guerre en Ukraine et l'alignement aveugle des nations européennes sous le joug des mondialistes ne sont plus soutenus par une population européenne de plus en plus consciente des enjeux réels. Cette mascarade aura des répercussions lourdes et immédiates sur ceux qui ont orchestré ce pathétique spectacle.

La France et l’Europe, fragilisées par des années de soumission aux puissances mondialistes, se dirigent inéluctablement vers une nouvelle répartition géopolitique, un "Yalta" moderne où les peuples seront une fois de plus sacrifiés au profit des intérêts étrangers. Les sionistes, maîtres de cette vaste machination, savourent le succès de leur plan de destruction des nations souveraines, leur vision d’un monde fragmenté sous leur contrôle avançant à grands pas. Ce redécoupage mondial, orchestré dans l’ombre, consacrera la fin d’une Europe unie et libre, transformée en une simple zone d’influence, sans voix, sans pouvoir, prête à servir les intérêts d’un ordre mondial sionisé. Les peuples, pris dans l’étau de ce projet globaliste, devront bientôt affronter les conséquences dramatiques de cette trahison, et la France, autrefois fière et indépendante, se retrouvera au cœur de ce système oppressif, incapable de retrouver son identité chrétienne et sa souveraineté.

Dans les mois à venir, les véritables maîtres du monde, ceux qui œuvrent sincèrement pour la paix et la justice, commenceront à réclamer leur dû à cette caste politique désormais isolée et paniquée. La France, sous la présidence de Macron, a été l'idiot utile de cette grande machination, prête à sacrifier totalement son peuple et son avenir pour satisfaire des intérêts géopolitiques étrangers. Le pays se retrouvera à devoir payer une facture colossale pour une guerre ignoble qu’il n’aurait jamais dû soutenir. Les erreurs stratégiques et les décisions absurdes de cette caste se retourneront contre elle, marquant le début de la fin pour une Europe soumise aux volontés de puissances mondiales plus intéressées par leurs ambitions que par la paix. 


PHIL BROQ.

Blog de l'éveillé




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