LE CIRQUE DES BELLICISTES

L’Union Européenne, dirigée par une poignée de politiciens corrompus et déconnectés des réalités, semble se complaire dans une mascarade de bellicisme qui n’a ni fondement ni cohérence. Sous couvert de protéger leurs peuples de menaces extérieures, ces dirigeants, loin de se préparer à défendre le continent, semblent surtout soucieux de détourner l’attention des scandales qui les assiègent. Incapables de résoudre les crises internes qu'ils créent, de défendre les intérêts réels de leurs citoyens ou même d’assurer la stabilité économique, ces marionnettes du système s’enfoncent dans une spirale de fuites en avant, incitant à une guerre qu’ils ne sont même pas capables de mener. Et pendant ce temps, la vérité de l'UE éclate lentement, démontrant que le véritable ennemi n’est ni la Russie ni une quelconque menace extérieure, mais bien ces dirigeants, prêts à sacrifier des vies et à ruiner des nations pour simplement préserver leurs pouvoirs et leurs privilèges.

L'Union Européenne, s'étant accaparée par la fraude et le mensonge la direction de ce vieux continent qui ne sait plus quel pied mettre devant l’autre, s’aventure dans un jeu aussi stupide que grotesque qui, pour beaucoup, semble déjà perdu d’avance. Le bellicisme de façade des dirigeants européens, ces apôtres sataniques du "tout pour la guerre" en ultime recours pour garder leurs pouvoirs oppressant et privilèges abjectes sur leurs peuples, est une mascarade de plus en plus difficile à prendre au sérieux. 

Les discours pompeux sur la "résistance" face à une Russie qui, pour l'instant, n'attaque personne et la "lutte pour la démocratie" qu'ils bafouent au quotidien, masquent mal l’incompétence totale qui caractérise la gestion de la défense, comme de l'économie, par cette caste d'occidentaux complètement décérébrés. Quand les forces militaires sont réduites à peau de chagrin, que les soldats sont mal entraînés et que les institutions elles-mêmes sont gangrenées par la corruption, on peut légitimement se demander quelle chance l'Europe a-t-elle face à la Russie ?

Bien sûr, l’OTAN, ce monument obsolète de l'ère froide, est censé apporter une réponse à cette question. Ce qu'il a par ailleurs été incapable de faire depuis bientôt 3 ans en Ukraine. Alors qu’en est-il lorsque en plus, le soutien principal des États-Unis se trouve mis à mal par la politique de Trump, ayant coupé l’aide militaire et réduit les financements de 70 % ? L’Union Européenne, avec sa posture guerrière et ses leaders tout juste bons à se poser devant les caméras pour déclarer des slogans de guerre, pourrait-elle réellement espérer quoi que ce soit face à l’armada de Poutine et à ses missiles ? 

Ce n’est plus une question de stratégie militaire, ou de tragédie géopolitique, mais bien de stratégie de la fuite en avant de ces guignols qui tentent d'éviter le réveil des peuples à leur encontre. Car pendant ce temps, dans les couloirs du Parlement européen, l’inefficacité et la corruption s'étalent au grand jour. Les mêmes personnes qui, en théorie, devraient protéger leurs citoyens se retrouvent à devoir saboter leur propre sécurité pour servir uniquement leurs intérêts économiques personnels.

L’un des aspects les plus risibles de cette situation est l’attitude de ces dirigeants européens, incapables de résoudre le moindre problème à l'intérieur de leurs propres frontières, mais se disant prêts à faire la guerre à la Russie. Ils sont tellement déconnectés des réalités de terrain qu’ils semblent oublier qu'ils n’ont plus du tout les moyens de défendre ne serait-ce que leur propre territoire. L'invasion de clandestins, l'insécurité qui en découle, l'effondrement économique et industriel ont déjà ravagé chacun des pays, écrasés sous le joug de cette Union des mafias. Ces mêmes dirigeants qui, sur fond de slogans martiaux, prennent des décisions sur la guerre sans jamais s’interroger sur les capacités réelles de leurs armées, ni même le soutien de leur peuple à ce délire.

La Belgique, la France, l’Allemagne, et le Royaume-Uni se montrent fiers de leurs doctrines de défense collective, mais leur tentative d’illusion est éclatante de bêtise. De plus la cohésion politique fictive qui semblait exister entre ces nations grâce aux meRdias,  s’effondre lorsqu’on examine la réalité des divergences stratégiques, des problèmes internes, des économies exsangues, des industries absentes et des multiples faiblesses militaires. Ces pays n’ont plus rien, ni les moyens financiers, ni les infrastructures pour soutenir une guerre, même pas contre la somalie.

Si ces crapules ont mis leur destin militaire entre les mains de l'OTAN, c'est que depuis longtemps déjà leur propre armée est réduite à l'état de coquille vide. La guerre en Ukraine, plate forme mondiale de la corruption de ces Zélites de bacs à sable, qui aurait dû être un catalyseur, selon leur plan initial, a surtout conduit à un désarmement progressif de tous ces pays occidentaux. Pendant que les généraux européens se congratulent dans leurs bureaux climatisés, la réalité sur le terrain est bien plus cruelle. Les budgets militaires se sont effondrés, et les soldats, réduits à des unités mal équipées et mal formées, à peine capables de tenir un fusil et de patrouiller devant les synagogues, osent imaginer mener une guerre conventionnelle contre une puissance telle que la Russie. Et avec seulement un brin de bon sens, et on se rend vite compte qu'un affrontement avec la Russie serait une défaite aussi certaine que cuisante, et ce, avant même que les premiers coups de feu n'aient été échangés.

Car la Russie, elle, avance implacablement, avec un arsenal militaire impressionnant, des soldats sur entrainés et aptes au combat depuis déjà 3 ans et surtout, une volonté et un poids politique international intact. Les chars russes, les drones, les missiles hypersoniques ne se déplacent pas par caprice, mais ils symbolisent une armée structurée, un corps militaire endurant, et une capacité à affronter une guerre de haute intensité n'importe où et a fortiori contre l'Europe de la Hyène et du coquet de l'Élysée. Pendant que les dirigeants européens se préparent à jouer à la guerre avec leurs jouets, la Russie manœuvre avec un sens de la stratégie millénaire. Les capacités nucléaires russes, la puissance de feu de ses troupes, et sa résilience face à des sanctions n’ont pas leur égal dans le monde entier. Or, lorsqu'on est en guerre, ce n’est pas une question de "savoir qui a raison", mais une question de "savoir qui est le plus fort".

Par exemple, les missiles "Satan 2", d'une puissance de destruction aussi inimaginable qu'inégalée, ne sont pas que des instruments d’intimidation. Ils sont surtout une réponse finale à tout questionnement. Dans une guerre de cette ampleur, l’Europe entière serait balayée en quelques heures, ses capitales réduites à l’état de cendres irradiées et ses populations propulsée au moyen-âge. Le reste du monde occidental serait plongé dans un hiver nucléaire, et les survivants de ce chaos verraient leurs sociétés imploser sous le poids des retombées économiques et des conséquences géopolitiques. 

Mais les guignols qui se prennent pour des dirigeants continuent de jouer à l’apprenti sorcier, comme si une guerre de haute intensité était un combat de postures contre de gentils adversaires. Ce cynisme psychopathique, ce bellicisme ridicule, ne font qu’amplifier le sentiment de futilité de leur position. La vérité, bien plus macabre, se cache derrière leurs sourires en façade et leurs discours enflammés. Ce n’est pas une guerre qu’ils veulent, mais une distraction, un écran de fumée pour masquer leurs incompétences et, surtout, leurs affaires de corruption. Oui, vous avez bien lu. Le bellicisme européen n’est rien d’autre qu’une stratégie cynique pour détourner l’attention des peuples, pour détourner l’attention des juges qui pourraient bien un jour leur demander des comptes pour les milliards de fonds publics qu’ils ont détournés à des fins personnelles.

L'UE, avec son apparente unité qui n'est plus que médiatique, cache une petite caste de dirigeants qui trempent tous dans des affaires louches, de Paris à Berlin, de Bruxelles à Londres. Les dérives de ces politiciens sont tellement évidentes que les peuples, eux, ne peuvent plus ignorer la vérité. Mais que faire lorsqu'on est au sommet de l’État et qu'on risque, à cause des scandales financiers, d’être démis de ses fonctions et poursuivi en justice, voire finir comme Ceausescu ? Eh bien, comme tout bon politicien corrompu qui se respecte, on mise sur la guerre. Parce qu’une guerre, c’est l’occasion rêvée de dissimuler la vérité et de réduire le nombre d'opposants. Un conflit externe permet de détourner l'attention des affaires internes, de faire oublier les détournements de fonds, les contrats truqués et les intérêts mafieux.

Voilà pourquoi ces dirigeants européens, aux abois, tentent désespérément de maintenir leur emprise sur le pouvoir, même si cela signifie mettre en péril des millions de vies. Ce n’est pas de la défense nationale qu’ils se préoccupent, mais bien de leur propre survie politique et financière. Leur véritable ennemi n’est pas Poutine, mais simplement le peuple et la justice. La vraie raison de leur militarisme grotesque est qu'ils veulent que les peuples aient peur, qu’ils se concentrent sur une guerre qu’ils n’ont aucune chance de gagner, de manière à faire oublier tous les scandales qui risquent de les engloutir. Ils n’ont ni la capacité de gagner une guerre, ni la légitimité de diriger leurs pays, mais au moins, ils tentent de faire illusion.

En parallèle, un autre problème frappe de plein fouet ces pseudos leaders avec la fin de l’USAID, l’aide américaine au développement, qui constituait une partie essentielle de leur financement mafieux. L'UE, à force de dilapider les économies des peuples, s’est retrouvée dans une position précipitée lorsque l'administration Trump a décidé de couper les vivres. Le couperet est tombé. Ce réseau d'argent facile, qui permettait à certains dirigeants européens de se remplir les poches, s’est brusquement tarit. Loin de s’avouer vaincus, ces hommes et femmes politiques se sont précipités dans une nouvelle forme de "ruée vers l’or" en tentant de racketter les économies de leurs propres peuples pour masquer la fin de leur lucratif système.

En incitant à la guerre, en déstabilisant tout le continent, ils espèrent ainsi forcer la population européenne à se concentrer sur des peurs bien réelles, mais sans fondement, et à fermer les yeux sur l'ampleur et les véritables raisons de leurs malversations. Les économies nationales, déjà fragilisées par une gestion absurde et clientéliste, se retrouvent exsangues. Une Europe en guerre est une Europe où l’argent se fait rare, où les investissements sont détournés, et où les citoyens sont priés de sacrifier leur quotidien sur l’autel de la "sécurité nationale" mise à terre par leur idéologie. Tout ceci, bien entendu, est une immense farce, mais qui permet pour l'instant à ces truands de se maintenir en place.

Mais ce projet de guerre ne concerne pas l’argent, qu'ils fabriquent à coup d'imprimantes laser, il s’agit surtout d’un contrôle psychologique de la population. En détournant les fonds publics, en finançant des "programmes de guerre" fictifs et en plongeant l’Europe dans le chaos économique, ces dirigeants ont pour objectif clair d’assurer que leur autorité ne soit jamais remise en question. Par le biais de la peur, par le biais de la menace de guerre, ils espèrent faire taire toute contestation populaire légitime. Que ce soit à Paris, à Berlin ou à Bruxelles, les populations souffrent déjà d’une vie sous pression, sous un fardeau fiscal que seuls les plus puissants peuvent se permettre d’ignorer. Mais en instaurant un climat de peur de la guerre, comme ils l'ont fait avec la fausse pandémie, ces gangsters espèrent sincèrement détourner l'attention de la véritable crise qu'ils ont créée par leur incompétence structurelle, leurs scandales quotidiens, leur corruption totale et leur incapacité à résoudre les problèmes internes.

Cette Europe de l'Ouest n'est unie que par un seul et même principe, celui de la peur. Les peuples plongés dans une guerre fictive, effrayés par la Russie, pendant que leurs propres dirigeants se remplissent les poches. Au lieu de se concentrer sur des politiques sociales, sur des réformes nécessaires, les gouvernements préfèrent mettre des milliards dans l’industrie obsolète de la guerre. Et pendant ce temps, dans l’ombre de leurs milices, ces "Zélites" continuent de piller nos pays, de vendre des promesses vides et de faire fructifier leur fortune personnelle qui, au lieu de se préparer à la défense, se dirige droit vers un précipice. Car leur objectif n’est pas la victoire militaire, mais plutôt la survie de leur régime. Ils savent qu’ils risquent tous de finir jugés pour leurs crimes économiques et leurs malversations. C’est pour cela qu’ils brandissent la peur, qu’ils nous parlent de la "menace russe", tout en sachant parfaitement que leurs propres actions ont déjà condamné leurs peuples à la misère économique bien pire qu'une guerre.

Mais avec cette caste de dégénérés prêts à tout, le facteur nucléaire demeure malgré tout un élément crucial, car une guerre totale impliquerait un risque de destruction mutuelle. Dans un scénario où la Russie, par exemple, lance un missile RS-28 Sarmat (nommé "Satan 2") dans l’atmosphère au-dessus du Parlement européen, ou dans un autre scénario hypothétique où plusieurs missiles sont envoyés simultanément pour frapper les capitales de la France, de l’Allemagne, de la Belgique et du Royaume-Uni, les conséquences seraient à la fois cataclysmiques et mondiales, affectant non seulement les nations directement frappées, mais également le reste du monde. Ces attaques ne se limiteraient pas à des destructions immédiates ; elles engendreraient une chaîne de conséquences géopolitiques, environnementales, sociales et économiques qui redéfiniraient bien plus que le simple ordre mondial.

Car si le missile Satan 2 est lancé à une altitude suffisamment élevée, une explosion aéroportée dans l’atmosphère provoquerait une pulsation électromagnétique (EMP). Cette impulsion électromagnétique frapperait non seulement le Parlement européen, mais aussi des zones d'importance stratégique, paralysant les réseaux de communication et les infrastructures électroniques sur des milliers de kilomètres. Les systèmes de défense antimissile, les ordinateurs, les réseaux de télécommunication et les satellites seraient tous affectés par l'EMP, plongeant l’Europe dans un noir complet et plongeant les gouvernements dans un état d’impréparation totale. L'incapacité de communiquer efficacement ou de coordonner une réponse en temps réel entraînerait un chaos organisationnel, tant au niveau des institutions politiques qu’au niveau militaire. Et bien que la déflagration ne touche pas directement le sol, elle génère des radiations mortelles dans la zone immédiate, affectant toute personne située dans un rayon très large.

En plus de l'EMP, l'explosion aurait pour effet de propager des retombées radioactives à travers l'atmosphère. Ces particules seraient transportées par les vents dans des directions variées, affectant non seulement le pays touché, mais aussi des pays voisins. Par exemple, les retombées pourraient se diriger vers la France, les Pays-Bas, l'Allemagne, et même atteindre des régions plus éloignées de l'Europe. Dans un scénario de frappes simultanées sur Paris, Berlin, Bruxelles, et Londres, les zones entourant ces capitales seraient gravement contaminées. Le rayonnement nucléaire qui s’échapperait de ces zones contaminées, même à grande distance, rendrait l’environnement inhabitable pendant de longues années, et les villes seraient laissées pour mortes, laissant les survivants dans un environnement toxique. Le sol, l'eau et l'air deviendraient radioactifs, rendant la vie humaine, animale et végétale difficile, voire impossible. De plus, la contamination s'étendrait à toute l'Europe, rendant les régions voisines inutilisables pour des générations.

Une explosion nucléaire de cette ampleur dans l'atmosphère provoquerait probablement un changement climatique temporaire, aussi appelé hiver nucléaire. Les masses de cendres et de particules projetées dans la haute atmosphère bloqueraient une partie importante des rayons solaires, provoquant une baisse significative des températures mondiales. Cette réduction de la lumière solaire pourrait entraîner des changements dans les précipitations, affectant les récoltes à l'échelle mondiale et aggravant la pénurie alimentaire. Les destructions immédiates et à long terme seraient colossales, affectant non seulement les infrastructures et les populations locales, mais aussi l’environnement, l’économie, et l’ordre géopolitique mondial. Le monde serait plongé dans une période sombre, et l’issue d’une telle guerre nucléaire pourrait marquer la fin d’une ère pour l’humanité. La perte de vies humaines serait astronomique, et la survie dans les zones contaminées deviendrait une lutte acharnée pour les plus chanceux.

Si l'Europe venait à recevoir un missile Sarmat, il est fort probable que Donald Trump ne lèverait pas le petit doigt pour la défendre. Il considère l'Union Européenne comme un repère de corruption et de faiblesses, et ce genre de frappe pourrait même lui paraître comme une "justice", un coup de semonce contre une institution qu’il méprise profondément. Trump a toujours refusé de se soumettre à cette entité et a multiplié les attaques contre ses dirigeants, à l'instar de l'OTAN, qu’il voit comme des marionnettes de systèmes déloyaux et inefficaces. Un tel événement ne ferait que confirmer sa vision de l'UE avec un bloc sur le déclin, qu’il ne soutiendrait en aucun cas. Au contraire, il se réjouirait presque de voir l’effondrement de ce qu'il perçoit comme un lieu de pouvoir obsolète et corrompu. C’est bien plus une question de principe pour lui que de solidarité et s’il y a bien une chose qu’il veut, c’est voir l’effondrement de cette institution, et il n’hésiterait pas à se tenir à l’écart, sans remords.

Ainsi, la scène de leur réunion de crise pour s'opposer à la Russie est devenue aussi grotesque que leurs déclarations. Chaque réunion de crise, chaque sommet européen est une véritable mascarade où les dirigeants se donnent des airs de chefs de guerre, alors qu’ils n’ont même pas les moyens de revendiquer une quelconque légitimité. À défaut de défendre leurs peuples, ces "leaders de pacotille" préfèrent jouer à la guerre, gesticulant devant les caméras, affichant un bellicisme de façade, comme s’ils étaient prêts à sauver l’Europe d’une menace imminente. Quelle blague. Alors que les peuples, toujours plus désabusés, commencent enfin à comprendre que ce grand cirque n'est qu'une diversion. Ils ne cherchent pas à combattre la Russie, non. Ce que veulent ces démophobes en carton pâte, c’est mener une guerre totale contre leur propre population, une guerre pour préserver leurs places de privilégiés, pour éviter que la justice vienne réclamer les milliards qu'ils ont volés et peut-être même leur tête.

Alors, pendant qu’ils feignent de diriger, eux qui n'ont même pas la capacité de gouverner leurs propres pays, ils espèrent finir de s'enrichir sur le dos des citoyens avant de s'enfuir se cacher loin du continent, détruire ce qui reste encore debout et faire semblant d’être des héros dans cette tragédie géopolitique qui ne dupe même plus les moutons dociles. Et, plus le temps passe, plus ils s’enfoncent dans leur propre ridicule, croyant que leurs gesticulations puériles peuvent encore tromper les masses.

Mais la vérité des faits est là et personne ne croit plus leurs mensonges. Le monde entier les observe, se gaussant de leurs délires, tandis qu'hallucinés par leurs ambitions dévorantes, ils continuent leur danse psychotique dans ce grand théâtre de l'absurde. Un belle brochette de truands en panique qui a vraiment de quoi faire marrer Trump et Poutine avant leur Grande Négociation.

La guerre qu’ils mènent est bien contre nous, pas contre l’Est. Une guerre pour masquer leur incapacité à diriger, à servir les peuples qu’ils sont censés représenter et à faire autre chose que nous détrousser. Une guerre qu’ils ne gagneront jamais, parce que le vrai front, le véritable combat est déjà installé dans les rues de tous nos pays et que l'ennemi avéré des peuples comme de l'Europe, ce sont eux ! 


Phil BROQ.

Blog de l'éveillé 

Le Conseil de Guerre Totale Européen. 
(Rien que le nom m'amuse !)



Commentaires

  1. Conseil de Guerre Totale ? Ceux qui décident réellement sont totalement absent de ce conclave à deux balles . Ils sont juste là pour la galerie........

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    1. Comme toujours , ils essaient de créer une fausse réalité. Mais plus personne n'est dupe !

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  2. Merci ami Phil d’avoir à nouveau exprimé la réalité de notre situation. C’est mon premier commentaire ici. Votre billet résonne parfaitement avec ce que je ressens de cette caste dirigeante. Depuis mon plus jeune âge ou plutôt depuis la seule et unique fois où j’ai voté car je pensais devenir un adulte avec ce geste et aussi pour faire plaisir à mon père, je sais que je ne ferais que participer à ce piège soit disant démocratique et donner mon pouvoir à des gens corrompus , psychopathes et meurtriers en allant voter. J’ai toujours su qu’ils étaient Tous, ces soi-disant élites des démons avides de pouvoir et d argent . On peut le voir chaque jour qui passe en levant les yeux pour regarder notre ami le soleil où leurs épandages tentent de nous cacher sa magnifique lumière. Notre air est pollué, nos sols, notre eau, notre nourriture, les animaux, les végétaux, notre planète et nos esprits sont attaqués à chaque instant. Ils nous mentent, ils créent des peurs et des scénarios dans les seuls buts de garder leur mains mises et de nous empêcher de reprendre notre pouvoir. Notre pouvoir de vivre libre, en harmonie et unité en bonne santé et plein d’amour pour soi même et pour toutes les vies. La planète est si belle, la nature, les animaux, les plantes, les minéraux, tout a été créé par l amour, dans l amour. Comment la science peut elle nous faire croire que nous ayons douze brins d adn mais que seuls deux sont actifs et nécessaires et que les dix autres soient de l adn poubelle. Tout a une utilité. Si nous avons des poils dans le nez, des ongles au bout des doigts ou des cils et des paupières pour ne citer que cela, ça n est pas pour rien ! Ils ont menti sur tout, dans notre éducation scolaire, dans les médias, ils ont créé des films et des reportages pour nous façonner et nous faire croire à des ennemis comme avec la Russie. C’est effectivement très satanique comme manière de duper la population. Ils créent des maladies et nous font croire qu’ils nous soignent. Ils créent la misère en nous faisant croire qu’ils font de leur mieux pour nous aider. Alors oui ils sont grandement responsables de notre société d aujourd’hui et depuis très très longtemps mais ne soyons plus des victimes, nous avons tous participé à cet état de situation, bien souvent sans en avoir conscience. Nous créons nous-mêmes notre réalité par nos états d esprit, nos pensées, nos paroles et nos actes. Ceci n est pas une légende mais bel et bien quelque chose à prendre vraiment conscience. À avoir peur d une maladie ou d un accident, on se donne la possibilité que cela arrive. À exprimer de la colère, de la haine envers quelqu’un, on se donne un retour de boomerang avec des intérêts qui comme vous l aurez tous compris ce ne seront pas des intérêts bienveillants. Il n’y a pas de hasard ou de chance ou malchance, nous ne sommes pas des victimes, ce que chacun vit c’est sa propre création. Alors continuons nous avec ces états d esprit de peur, de colère, de haine, de division etc ou enfin reprenons notre pouvoir de création dans l amour , la liberté et l harmonie ? C’est je crois, à chacun de travailler en lui-même, à chaque instant, de surveiller ses pensées, ses paroles, ses actes et de toujours considérer les conséquences sur autrui et sur soi-même. Voulons nous que ces conséquences soient lumineuses ou sombres ? Moi je sais ce que je veux et ainsi je vous envoie cher Phil et chers lecteurs, lectrices beaucoup d amour…

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    1. Merci cher anonyme pour ton partage sincère et profond. C'est un message puissant, rempli de vérités essentielles sur la manière dont nous créons notre réalité. Oui, chaque pensée, chaque acte a son impact, et c’est en changeant notre regard, notre état d’esprit, que nous pouvons changer le monde autour de nous. Merci pour ta lumière et tes réflexions. Beaucoup d’amour à toi aussi !

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