LA VIE ET LA LIBERTE !
Dans ce monde où l'apparence de confort et de progrès masque une réalité suicidaire, un dernier appel vibrant à la conscience collective s'élève contre l'apathie généralisée et l'oppression systémique. Je vous dresse un dernier constat acerbe de la société moderne, dépeignant une époque où l’éthique et la dignité se sont effacés au profit de mécanismes de contrôle puissants, alimentés par des élites corrompues, des institutions oppressives et un déni total des peuples. Ultime cri d’alarme face à l’effritement des valeurs fondamentales et à la soumission silencieuse des individus, qui, enfermés dans un confort illusoire, ont perdu peu à peu la capacité de se révolter, de lutter pour leur liberté et leur survie.
La
société moderne, en dépit des progrès technologiques et des améliorations
apparentes de notre niveau de vie, traverse une époque où l’éthique,
l’intégrité et la dignité semblent avoir été sacrifiés avec délectation sur
l’autel de la convenance. Mais plus encore, elle s'enlise dans une passivité
collective qui frôle désormais l’autodestruction. Alors que les peuples,
humiliés et rackettés par leurs gouvernants, saturés de confort illusoire et de
distractions numériques, restent figés dans un sommeil profond, les forces
obscures du mondialisme se déploient, plus implacables et voraces que jamais,
dans un monde où le sens même de la démocratie semble avoir tout perdu.
Loin
d'être un accident de parcours, cette situation, inacceptable pour un esprit
libre, est le fruit d'une mécanique trop bien huilée, orchestrée depuis des siècles
par des industriels puissants et des politiciens véreux prêts à tout vendre, y
compris leur âme, pour un peu de pouvoir et beaucoup d’argent. Loin de protéger
leurs citoyens, qu’ils méprisent au plus haut niveau, ces élites auto-proclamées
et héritières sans honneurs, sont devenues des outils de la haute trahison,
instrumentalisée par des mafias bancaires juives. Elles s'entrelacent avec les
multinationales oligarchiques et les organisations supranationales illégitimes,
tous unis dans cette même cause de la consolidation d'une domination sans
partage. Un pacte tyrannique implicite qui, tout en garantissant la paix
sociale par une somme d'illusions confortables et assénées au quotidien par
leurs médias de propagande, permet à ce petit nombre d'individus malsains, invisibles
mais omnipotents, de régner sur les masses abruties par les écrans et écrasées
par les taxes.
Les
peuples du XXIème siècle, dans leur apathie désespérante à vouloir assumer leur
propre vie sur cette Terre, sont devenus des spectateurs hypnotisés de leur
propre déclin. Incapables désormais de se soulever, par peur des sanctions et
habitués à la soumission, enfermés dans un confort factice qui leur est offert
comme une récompense d'une productivité aveugle, ils sont devenus de simples
rouages interchangeables dans un système qui ne cherche plus qu'à les exploiter
et les ruiner jusqu’à ce que mort s’en suive. Les travailleurs, les citoyens, les
individus eux-mêmes, sont réduits à être de simples consommateurs dociles,
obsédés par des objets futiles et des divertissements éphémères, incapables de
voir que tout cela n’est qu’une supercherie dont ils sont les victimes
consentantes. Mieux ! Ce sont eux-mêmes qu’ils se mettent les chaines aux
pieds, qu’ils ont même payées avec leurs deniers. Comme ils paient les salaires
et privilèges des "gens d’armes" qui les maltraitent, des juges qui
les enferment et des politiciens qui les humilient.
Ce
confort que nous croyons posséder, alors que c’est l’inverse qui se produit, cette
tranquillité apparente après une journée de labeurs mal récompensés, n’est en
réalité qu’un piège bien ficelé par des manœuvres toxiques de banquiers
apatrides, nous donnant l’illusion d’une sécurité dans un monde où, sous la
surface, tout est en train de se désagréger. Leurs maisons modernes, leurs
voitures dernier cri, leurs écrans lumineux et leurs vacances exotiques ne sont
rien de plus que des chaînes dorées, achetées souvent à crédit, qui les
maintiennent dociles mois après mois, puisqu’ils sont, grâce à l’éducation
nationale républicaine, incapables dorénavant de penser juste un peu au-delà
de leur petite bulle personnelle. C’est ce confort à crédit, cette facilité à
vivre dans une illusion médiatique orchestrée de toute pièce, qui les empêche
de voir la vérité sur la vacuité de leur vie. Et la vérité que ceux qui
détiennent le pouvoir, ceux qui ont su manipuler ces mécanismes sociaux, ne
visent rien de moins que l’éradication des dernières formes de résistance.
La
censure imposée par l'Union Européenne, dans son rôle d'organisation
tyrannique, est l'un des instruments les plus pernicieux utilisés pour
maintenir les peuples dans l'ignorance et la soumission. En prétendant protéger
la société de "fausses informations" ou de "discours
haineux", qu’elle propage sans cesse, l'UE ne fait que verrouiller l'accès
à des vérités dérangeantes, celles qui permettraient aux citoyens de se
réapproprier leur vie et de prendre conscience de l'ampleur de la corruption
systémique qui gangrène le monde moderne et détruit leur vie comme l’avenir de
leurs enfants.
Sous
couvert de "réguler" l'information, c’est-à-dire celle qui n’émane
de leurs cerveaux malades, cette machine bureaucratique issue du nazisme verrouille
l'espace public, effaçant tout ce qui pourrait perturber l'ordre mafieux établi
depuis des décennies de chantages et de corruption, celui où une caste
d'individus malfaisants, bien protégée par des intérêts économiques et
politiques colossaux, se permet de régner dans un entre-soi sans partage. Loin
de servir les peuples, l'UE a progressivement instauré un climat de censure et
de répression de la pensée pour mieux les asservir, où seuls les récits agréés
par les puissants et distillés par des prostituées journalistiques ont droit de
cité. L'individu lambda, totalement privé d'une information objective et
diversifiée, formaté par des enseignements hideux, voire pornographiques
désormais, est ainsi maintenu dans cette forme de servitude silencieuse basée
sur la technologie de surveillance, ignorant tout des véritables enjeux du
monde nouveau dans lequel il vit. Un monde qui, paradoxalement, n’a jamais été
aussi riche et aussi corrompu, mais que l'UE se charge de dissimuler derrière
une façade lisse et acceptable, tout en érigeant des murs invisibles pour
interdire à chacun de briser le silence imposé par la violence policière.
Les
politiciens de tous bords, particulièrement en France, eux, n’ont plus aucun
scrupule. Une fois élus, plus ou moins frauduleusement et toujours en dépit du bon
sens ou de la logique méritocratique, leur pouvoir est utilisé pour servir des
intérêts personnels et corporatifs de cette ploutocratie meurtrière. Ces
individus, autrefois censés représenter le peuple, ont sombré dans une compromission
sans retour. Leur rôle quotidien, dans cette mascarade mondialiste, est de
vendre la souveraineté nationale pour quelques miettes de pouvoir et de privilèges
sans aucune dignité. Une fois leurs lois délétères imposées aux peuples, ils
s’en vont, dans l’impunité la plus totale, siéger dans les conseils
d’administration des multinationales qu’ils ont favorisées, récupérer les dividendes
de leurs forfaitures, là où les véritables décisions concernant l’avenir du
monde se prennent de nos jours. Les frontières sont devenues obsolètes, dans ce
grand marché mondial basé sur la collusion entre la mafia des héritiers et le
détournement d’argent public qui l’alimente, où l’intérêt privé a écrasé tout
principe de justice et d’éthique morale.
Et
cette trahison n’a même pas lieu dans l’ombre, puisqu’elle est commise sous nos
yeux. Observez juste comment ils dépensent 500 milliards de dollars pour une
intelligence artificielle inutile à la première coupure électrique, mais préfèrent
donner des crédits pour enseigner l’art de la levrette à des enfants maintenus
stupides, par manque de professeurs et d’éducation. La façade de la "démocratie" ne servant qu’à diviser pour mieux régner, dans cette grande farce de fraude électorale,
n'est qu'un simulacre avoué par l’UE (voir l’exemple actuel de la Roumanie).
Les
élections ne sont plus qu’un rite destiné à donner l’illusion d’un choix aux
idiots utiles, parmi des candidats clonés sans aucune envergure, tandis que les
mêmes grandes familles et les mêmes intérêts bancaires dominent toujours derrière
le rideau. Les masses décérébrées, bien entendu, participent très activement à
cette mise en scène grotesque, croyant encore qu'un jour elles seront écoutées,
qu'un jour le changement viendra, qu’un jour un sauveur viendra... Mais ce jour
ne viendra jamais ! L'ensemble du système est verrouillé, et ceux qui
détiennent le pouvoir ont su mettre leurs alliés dans toutes les institutions
qui, supposées protéger la société, la mettent sous contrôle, tout en leur
garantissant une impunité totale.
L’une
des raisons principales, à mon sens, de cette inertie collective réside dans le
phénomène de la soumission généralisée basée certes sur la peur instillée par
les forces de l’ordre violentes, mais aussi sur le vice, auquel s’abandonne quotidiennement
chacun de ces esclaves modernes, induit par le divertissement outrancier. La
peur de la rupture d’une société pourtant malade à en crever, la crainte de
perdre ces miettes de confort illusoire, le manque de responsabilisation et de
conscience de ce qu’est la vie, empêchent la moindre rébellion de ces cerveaux
sclérosés depuis trop longtemps.
Ces
révoltes contre le suicide collectif programmé, pourtant légitimes pour tout
être humain digne, sont balayées sous le tapis des crises orchestrées par des
gouvernements qui agissent comme des courtiers en armes et en informations.
L’utilisation abusive de cette police ennemie du peuple pour maintenir l’ordre,
bien plus répressif que protecteur, est un outil abject qui joue un rôle
central dans cette dynamique tyrannique. La répression, autrefois vue comme un
recours temporaire ou exceptionnel, est aujourd'hui devenue une norme, une
structure systématique qui imprègne la gestion des affaires publiques. Au fil
du temps, la violence d’État a pris une ampleur inquiétante, et l'impuissance
des citoyens face à celle-ci n'est plus un phénomène marginal, mais une réalité
quotidienne vécue par de larges pans de la population. Ce phénomène s'inscrit
dans un contexte où les autorités, au lieu de protéger et de garantir la
sécurité de leurs concitoyens, font usage de la violence comme principal
instrument de contrôle et de maintien de l'ordre.
Les
forces de répression, qui se disaient au service de la paix et de l’ordre, sont
désormais des outils de domination politique. Elles ne sont plus là pour
défendre les droits fondamentaux des individus, ni le pays contre l’agression
extérieure des clandestins, mais pour écraser toute forme d'opposition, qu’elle
soit pacifique ou contestataire. Ce n’est plus la loi qui gouverne, mais la
force brute, l’intimidation et la terreur. Ces milices, qui ne répondent plus
qu’à l'autorité de l’État, bafouant leur rôle comme les lois, agissent comme
des bras armés d'un pouvoir qui a compris que sa survie dépendait de la
capacité à maintenir la peur et la soumission parmi la population. Elles
incarnent un pouvoir autoritaire qui ne tolère aucune forme de résistance,
écrasant toutes les voix dissidentes sous un silence imposé par la violence.
Les
politiciens, dans ce système, sont devenus les complices actifs de cette
entreprise géante de pillage et d'exploitation des Hommes comme de la Terre.
Les scandales de corruption ne cessent de surgir, mais ils ne font plus que des
vagues passagères, car une fois l'affaire oubliée, les responsables poursuivent
leur carrière sans aucune honte, ni même punition. C’est un cercle vicieux où
la malhonnêteté et la traîtrise sont non seulement tolérées, mais encouragées.
La justice, quant à elle, est totalement impuissante et corrompue, engluée dans
un système qui protège plus qu’il ne sanctionne les traîtres, où les plus
riches et les plus puissants se réfugient derrière leurs avocats et leur
influence.
Les
peuples européens, eux aussi, assistent à ce spectacle dans une indifférence
glaciale. Les appels à la prise de conscience, à l’action, à la révolte,
tombent dans le vide, noyés par une culture de la passivité et du déni amenant jusqu’au
sacrifice de leurs propres enfants. La crainte de l'inconnu, la peur du
changement, l’habitude de leur prison, font de chacun un spectateur devenu impuissant.
Dans cette masse grouillante d’eunuques lobotomisés, le déni et la lâcheté sont
devenus la norme d’une large partie du peuple français. Au lieu de se battre,
la majorité se contente alors de continuer à se laisser bercer par cette illusion
d’un confort éphémère, d’une sécurité si fragile qu’elle n’existe plus que dans
leurs rêves les plus aveugles et d’une soumission si totale qu’ils attendent même
leur mort future sur un front de l’Est, sans imaginer pouvoir commencer à utiliser
leur vie pour renverser ce pouvoir illégitime.
La
révolution n’aura pas lieu, car il n’y a plus de conscience collective dans ce
pays ruiné, désindustrialisé, abêti et abruti, hypnotisé par des rêves de "futur
technologique" asservissants. Plus personne n’est prêt à sacrifier sa petite
existence tranquille pour un combat, pourtant vital, mais qui leur semble perdu
d’avance. Et pourtant, c’est cette même indifférence qui scelle leur destin.
Les
générations futures paieront probablement le prix fort pour cette indifférence
généralisée à laquelle ils participent avec ardeur. Les conséquences des choix,
pacifiques à l’encontre des fautifs, que nous faisons aujourd'hui, ne sont plus
seulement immédiates, elles se jouent sur des décennies. Les ressources de la
planète sont épuisées par des multinationales, les inégalités explosent faute d’humanité,
les démocraties se vident de leur substance par manque de combat des individus,
et l’idée même de solidarité humaine disparaît derrière l’égoïsme individuel
érigé en quintessence du progrès. La dette écologique, économique, industrielle
et sociale s’accumule, mais rien ne change. L’État, autrefois garant du
bien-être commun, est devenu un simple gestionnaire, un rouage de transmission
de nos économies vers des intérêts privés, une marionnette dont les ficelles
sont tirées par ceux qui ne craignent plus aucune remise en question.
Et
si la révolte devait éclater, que pourrait-elle espérer face à un système aussi
profondément enraciné et protégé par ses propres outils de contrôle ? La
répression sera immédiate, l’arsenal technologique et policier à disposition
des autorités ne faisant que se renforcer, et les individus, déjà enchaînés par
leur confort dérisoire, n’auront ni la force ni la volonté de résister. À la
fin de cette partie, les peuples, aveuglés par leur propre apathie, seront finalement
les artisans de leur propre chute, les complices volontaires d’un système
qu'ils n’auront jamais cherché à comprendre ni à combattre.
La
lâcheté des peuples avachis dans leur vie illusoire, c’est avant tout une
histoire de renoncement. Renoncement à l’autonomie, à la dignité, à la
responsabilité et à l’espoir d’un monde meilleur. Cette lâcheté est alimentée
par l’illusion d’un contrôle que nous croyons avoir sur nos vies, mais qui nous
échappe peu à peu, comme du sable entre les doigts. Les peuples sont donc condamnés
à regarder le système qui les écrase et qu’ils financent se renforcer chaque
jour davantage, sans jamais trouver le moindre courage de le défier. Un suicide
programmé, voulu par ceux-là mêmes qui sont censés protéger leurs intérêts de
citoyens, mais qui, en réalité, les vendent à des puissances bien plus sombres
et destructrices. Et tant que cette dynamique du déni et de la futilité restera
en place, nous ne verrons jamais de véritables changements. Nous sommes en
train de disparaître dans un monde où la survie de l’humanité elle-même semble
plus incertaine que jamais.
Cependant,
cette situation ne saurait durer indéfiniment. La domination par la peur, bien
qu’efficace à court terme, finit toujours par générer des résistances. Du moins, je le crois et le crie dans mes billets. La mise en place d’un tel système, où
l'État se repose sur sa capacité à réprimer plutôt que sur le consentement,
rend la société malade, déséquilibrée et profondément divisée. Les aspirations
légitimes des individus à vivre dans un environnement de paix, de liberté et de
justice sont étouffées par la brutalité de cet État devenu l’ennemi de tous. Et
bien que ce système semble parfois invincible, il porte déjà en lui-même les
germes de sa propre destruction. Et il le sait ! C’est la raison pour
laquelle il veut dorénavant nous entrainer dans sa guerre en Ukraine. Ce pays
qui est la plaque tournante de la corruption, la lessiveuse des milliards que l’on
nous vole et qui font la puissance de cet état mafieux.
Il
est donc impératif de se débarrasser coûte que coûte de cette machine
répressive, non seulement parce qu’elle est moralement et éthiquement
injustifiable, mais aussi parce qu’elle est néfaste pour l’avenir du pays comme
de nos enfants. Chaque jour qui passe sous son joug est un jour où l’espoir et
la possibilité d’un avenir plus juste se distendent un peu plus. Se défaire de
cette caste et de sa milice n'est pas qu'une nécessité politique, c'est une
exigence morale, afin de redonner au peuple sa dignité, sa voix, et son pouvoir
de décision. Si l’on souhaite recouvrer une forme de vie humaine et digne dans
ce pays, il est crucial de détruire cette structure oppressive et de restaurer
un ordre basé sur la liberté, la justice et le respect des droits fondamentaux.
Mais pour cela, il faut combattre…
Le
changement radical, aussi difficile soit-il, devient la seule voie possible
pour renouer avec un avenir où la violence d'État ne soit plus qu'un triste
souvenir du passé. Les actions de Trump aux Etats-Unis nous montrent la voie. Dans
cette grande machination, les entreprises multinationales ne sont pas en reste
puisque ce sont elles qui absorbent nos finances et nos libertés. Leurs
intérêts économiques surpassent largement les considérations humaines, et ce
n’est pas un secret qu’elles sont prêtes à écraser tout sur leur passage pour
maximiser leurs profits. Les géants de la technologie, les industries
pharmaceutiques, les géants de l’alimentation, tous ces acteurs mondiaux ont
mis en place un système qui, tout en donnant l’illusion de la prospérité,
creuse chaque jour un peu plus le fossé des inégalités. L’ONU, l’OTAN, l’OMS,
le FMI, le WEF, l’UE, etc., sont autant de structures devenues aussi illégitimes
qu’infâmes. Sous couvert de progrès et de solutions innovantes, ils dissimulent
leur rapacité, leur capacité à manipuler les marchés, leur mépris pour la vie,
l’humanité et l’éthique, autant que pour les gouvernements ou les individus
eux-mêmes.
L'heure
de l'éveil est visiblement passée. J'ai fait ma part depuis les cinq dernières
années et le mensonge pandémique, jeté des pierres dans l'étang de l'ignorance
à travers ces billets quotidiens, ces livres proposés chaque année, mais
aujourd'hui, je ne peux que constater, impuissant et désabusé, la fuite en
avant. Les âmes captives se sont si résignées, confortées dans leur sommeil
hypnotique, bercées par l'illusion d'une liberté qu'ils n'ont jamais eue. Les
convaincus d'un monde meilleur sont devenus des échos dans le vide, et les
autres, ces "cons vaincus", ceux-là, n'ont même plus la capacité de
se rebeller, perdus dans la douce torpeur d'une existence sans conscience, où
chaque instant leur est volé sans même qu'ils ne s'en aperçoivent. La vérité
n'atteint plus que des murs, des consciences d’ores et déjà condamnées à la
passivité.
Ce
n'est pas une révolution qui viendra, ni un réveil soudain. Non, ce sera le
silence de la soumission, un abattement collectif dans l'acceptation de ce qui
est, jusqu'à ce que notre chute soit inéluctable. Le système, cette machine
implacable, a triomphé dans sa capacité à détruire l'esprit critique, et ceux
qui auraient pu renverser le cours des choses ont laissé le poison de l'apathie
se propager. À force de bercer les peuples européens de promesses de confort et
de tranquillité, ils ont été rendus aveugles, incapables de voir que ces
"cadeaux" ne sont que des chaînes, et qu'eux-mêmes ont
payé le prix de leur propre asservissement. La punition qu'ils recevront n'est
pas une simple vengeance, mais le fruit logique de leur inaction et de leur
soumission volontaire à une machine dont ils ont oublié la véritable nature.
Ainsi,
les années passent, les consciences s'éteignent, et la fin de l’espoir se
profile, inévitablement. Que dire, si ce n'est que ceux qui se sont résignés à leur
sort récolteront exactement ce qu'ils ont semé. C’est-à-dire une vie sans
combat, sans relief, sans vie ! Une existence réduite à une lente agonie et
dans l'indifférence quasi générale. Et le pire, c’est que la plupart d’entre-deux
ne s’en rendront même pas compte. Ils n’ont jamais voulu se réveiller, et
désormais, il est sûrement trop tard pour changer quoi que ce soit à cette
chute inéluctable.
L’Histoire
s’écrit désormais sans eux, nous écrasant tous, et dans les coulisses, les mêmes
puissants, les mêmes salopards héritiers du mal et de l’immoralité, poursuivent
leur œuvre de domination, implacables et invisibles, comme toujours. Alors dorénavant, je prendrai du
recul par rapport à cette situation, préférant observer les événements de loin,
depuis la sérénité de mes montagnes. Là, je contemple le paysage, attendant que
le temps fasse son œuvre et que les missiles Russes viennent faire table rase
de cette fourmilière d’inutiles qu’est devenu ce peuple français. Accablé par
ce que je perçois de ce pays qui semble se perdre avec un volontarisme forcené et,
face à cela, je doute de l'efficacité de pouvoir encore aider qui que ce soit
par l'information. Je n'y vois plus la lumière d'un avenir prometteur, et c'est
avec un sentiment de distance nécessaire et de mépris que je considère dorénavant
cette cruelle réalité.
Pour ceux qui désirent encore me suivre, ils pourront continuer à acheter mes livres (ici : https://www.thebookedition.com/fr/34715_philippe-broquere) et à s'engager dans ce que j'ai à leur offrir. Quant à ceux qui n'ont pas su profiter de mes billets gratuits, qu'ils aillent désormais au diable (qui les attend...), car s'ils n'ont pas eu de respect pour la création divine, ils n'en ont pas plus pour mon travail ni pour la dignité humaine. Chacun choisit sa route, et je n'ai plus l'envie de mettre mon énergie à convaincre ceux qui sont fermés à l'essentiel...
La Vie et la Liberté !
Phil BROQ.
Bonjour,
RépondreSupprimerJe pense que vous avez raison d’arrêter d’essayer d’éveiller les gens. Vous en devenez amer et cela n’est pas bon pour vous.
Voilà qui devrait vous faire du bien https://odysee.com/@JeanDominiqueMichel:e/comment-rester-sain-d'esprit-dans-un:4
Nous sommes au moment du choix spirituel et chacun n’est responsable que de lui-même.
Amicalement
Tout à fait, Jean Dominique Michel nous aide tous à garder le moral. Voir son nouveau programme 'haut les cœurs'
SupprimerJe suis tout à fait en accord avec toi et je m'éloigne de plus en plus de l'égocentrisme de l'hypocrisie et du mensonge qui gangrènent de plus en plus vite de plus en plus de on
RépondreSupprimerMerci cher Phil pour ce partage d analyses et de vos sentiments. Suivez votre cœur et vos intuitions, c’est à chacun maintenant de redécouvrir sa propre divinité , conscience et au retour à l amour inconditionnel. Chacun est face à ses propres pensées, paroles et actes. Courage cher ami . Je prie pour vous , pour toutes les âmes et pour notre magnifique terre. Amen
RépondreSupprimerCette civilisation tout entière est malade. Ceux qui nous tiennent en laisse nous rendent tous plus stupides, plus malades, plus méchants, plus cruels. Moins créatifs. Moins astucieux. Moins attentionnés. Moins perspicaces. Ils empoisonnent nos esprits et transforment nos cœurs en merde. Vous avez raison de prendre cette décision mon cher Phil et personne ne pourra vous en tenir rigueur et certainement pas moi . Je suis comme vous, je vais observer l'inéluctable et profiter de ce qui me reste à vivre pour me libérer autant que possible l'esprit de toutes les horreurs de ce monde et ne prêter attention qu'à l'essentiel. Prenez bien soin de vous et merci du plus profond de mon cœur et de mon âme pour ce partage . Que Dieu vous garde !
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