COMMENT L'ELITE MONDIALISTE PERD SON MOTEUR...
Depuis plusieurs années, une sensation de malaise profond s’installe lentement dans l’air, une sorte de délitement progressif de ce que nous croyions être des certitudes. À chaque événement majeur, une nouvelle couche de manipulation semble se superposer, et ce qui semblait être des vérités immuables commence à se fissurer sous le poids de l’opacité, des secrets d’État et des mensonges distillés par ceux qui détiennent le pouvoir. Ces vérités, ou plutôt ce qui en reste, sont désormais couvertes par une marée de manipulations mondiales qui viennent d’en haut, orchestrées par une élite insensible, agissant dans l’ombre pour étouffer toute forme de dissidence.
Mais aujourd’hui,
un homme, Robert F. Kennedy Jr., a brisé ce silence, levant enfin le voile sur
un aspect sombre et bien plus sinistre de l’histoire contemporaine. Il a révélé
l’implication directe de l’USAID dans le déclenchement et la gestion de la
pandémie de COVID-19, un rôle bien plus complexe et machiavélique qu’on aurait
pu l’imaginer au départ. Ce que l’on croyait être une simple pandémie mondiale destinée
à enrichir les actionnaires des laboratoires pharmaceutiques, n’est en réalité
qu’un rouage dans une toile d’araignée bien plus vaste et intriquée, reliant
des gouvernements, des agences internationales, des puissances financières, et des
médias subordonnés. Tous ces acteurs ont travaillé ensemble, non pas pour
sauver des vies, mais pour manipuler l’opinion publique et maintenir leur
contrôle malsain sur l'ensemble de la planète.
Ce qu’il nous
révèle dépasse de loin tout ce que nous pouvions envisager. Et pourtant, nous avons
l'imagination fertile. Ainsi, L’USAID, loin d’être l’agence humanitaire américaine
sympathique qu’on nous avait présentée, n’était en réalité qu’un instrument
dans un jeu mondial de manipulation et de détournement de fonds des
travailleurs afin de subventionner les milliardaires et leurs projets
eugénistes. Loin de se limiter à une simple aide aux pays en développement,
cette agence a aussi financé des laboratoires biologiques risqués, opérant dans
une opacité totale, en injectant des millions, voire des milliards de dollars
dans des projets de recherche officiellement liés à la pandémie, mais surtout
liés à la destruction du monde tel que nous le connaissions grâce à des ONG et
des fondations toutes liées au WEF. Ces investissements n’étaient pas destinés
à améliorer la santé publique mondiale, mais à manipuler la situation à leur
avantage, créant un chaos contrôlé qui leur permettait de consolider leur
pouvoir. L'USAID finançait plus de 6 200 journalistes dans 707 médias et 279 ONG médiatiques, dont neuf médias sur dix en Ukraine.
Il s'agit là de la
démonstration pure et simple de la capacité de l'élite à réécrire la réalité, à
façonner des individus, à manipuler l'Histoire et à contraindre des populations
entières à accepter une version fabriquée de la vérité. Un gouvernement
socialo-centriste qui, loin de chercher à redresser la France de son coma
économique, préfère jouer la carte de la diversion. Pour lui, il suffit de
répéter inlassablement : "Circulez, il n’y a rien à voir !" Le déni des
réalités devient alors une signature de nos gouvernants, qui se prétendent "responsables" tout en se cachant derrière leur inaction. La situation est
claire : la communauté du renseignement français, les intermédiaires du pouvoir
au sein de l’Union Européenne et les élites financières mondialistes sont dans
un état de panique palpable. À mesure que les preuves de leurs manipulations et
de leur corruption s’accumulent, ils se battent pour limiter les dégâts avant
qu'ils ne fassent tomber l’ensemble de leur empire. La vérité, qui fuit de plus
en plus, menace de faire s’effondrer ce château de cartes sur lequel repose
leur domination. Les manœuvres s’intensifient pour étouffer cette vérité, mais
la question demeure : pourront-ils enterrer cette réalité avant qu'elle ne
détruise tout ce qu'ils ont mis des décennies à bâtir ?
L'élite, autrefois omnipotente et omnisciente, perd peu à peu son emprise. L’ère numérique, avec ses canaux d’informations incontrôlables, a radicalement changé la donne. Dévoyer l’information n’est plus une option, et les fuites deviennent de plus en plus fréquentes. L’ancien monopole de l’information, en grande partie détenu par les médias traditionnels, s'effrite. Les chercheurs indépendants, audacieux et déterminés, découvrent de nouvelles façons de dévoiler la vérité, de démasquer les manipulations, de briser le silence imposé par les puissances en place. Le pouvoir mondialiste, conscient du péril, tente de fermer les portes de cette vérité grandissante, mais sera-t-il assez rapide pour stopper l'effet boule de neige qu’elle provoque ? Difficile de dire si l’élite parviendra à maintenir son contrôle, ou si cet afflux de résonances véritables marquera la fin de leur domination. Ce que nous savons, c'est que quelque chose de monumental est en train de se défaire, un processus qui se déroule aux plus hauts niveaux de la structure du pouvoir mondial, et le gouvernement français se trouve bel et bien en son centre, sous des relents de pédocriminalité.
Macron, tel un pion dans cette partie d’échecs géopolitique, a
été installé par la même élite financière qui a orchestré des programmes
d’ingénierie sociale à travers le monde. L'Agenda 2030 et le Nouvel Ordre
Mondial ne seraient alors qu'une partie d'un plan plus vaste, soutenu par des
groupes secrets comme la Trilatérale ou Bilderberg, des organisations qui
promeuvent des idéologies qui défient la moralité et l’ordre traditionnel,
telles que l’avortement généralisé et la sexualité débridée. Ces structures
secrètes et leurs agendas mondiaux sont la pierre angulaire d’une manipulation
psychologique orchestrée à l’échelle globale.
On ne doit pas se
limiter pas à dénoncer la corruption d’une élite mondiale, car il s'agit
également d’un appel à la conscience collective. La vérité que nous découvrons,
bien qu’inquiétante, n’est pas seulement une nouvelle à digérer ; elle doit
nous inciter à une réflexion collective sur la direction que prend notre
société et le contrôle que ces forces étatiques, ces institutions légales comme
ces politiciens véreux que l'on voit sur la scène médiatique depuis des
décennies, exercent sur nos vies. Car derrière la fausse pandémie, derrière
l’USAID et d’autres agences comme elles disséminées partout dans le monde, se
cache un système global maléfique, un réseau de chantage et de corruption qui
cherche systématiquement à étouffer la vérité, à manipuler les masses et à
détruire toute forme de résistance.
La déontologie
journalistique en France, si elle existe encore sous une forme dégradée, est
désormais à peu près l’équivalent des droits de l’homme en Corée du Nord. Dans
ce pays où la liberté d’expression a longtemps été un pilier fondamental, il
n’est plus un secret pour personne que les journalistes, loin de pouvoir
exercer leur métier en toute indépendance, sont souvent contraints, moyennant finances et subventions, de se
soumettre aux diktats des puissances économiques et politiques qui tirent les
ficelles. Une vérité dérangeante qui se reflète dans la soumission des médias
traditionnels, qui sont devenus les relais obéissants des narratifs imposés par
l’élite dirigeante. L’indépendance journalistique, jadis garante de l’équilibre
démocratique, s’est transformée en une illusion bien entretenue, mais de plus
en plus démentie par la réalité. Comme dans un état de censure totalitaire, les
vérités qui dérangent sont étouffées, les voix dissidentes muselées, et le rôle
des médias est désormais réduit à celui de propagandistes obéissants. Cette manipulation
de l'information est subtilement orchestrée, mais aussi redoutablement
efficace.
En parallèle, le monde entier assiste à la criminalisation systématique de la dissidence. La liberté d’expression, autrefois sacrosainte, est de plus en plus perçue comme une menace à éliminer. Les gouvernements du monde entier, sous prétexte de protéger la société, ont trouvé en les entreprises technologiques des alliées précieuses pour mener leur guerre contre les idées dissidentes. Le Digital Services Act, un projet législatif adopté par l'Union Européenne, donne ainsi aux gouvernements un pouvoir sans précédent pour fermer, censurer, et manipuler les contenus en ligne qu'ils jugent indésirables. Mais ce phénomène ne se limite pas aux seules frontières européennes. Le Center for Countering Digital Hate (CCDH), un groupe financé par des intérêts liés aux services de renseignement britanniques, a été l’une des forces motrices de cette censure mondiale, exerçant une pression sur les entreprises pour qu'elles censurent les discours jugés "haineux" ou "dangereux". Mais qui juge ?
Un véritable complot mondial se dessine ainsi, visant à juger,
réprimer, et criminaliser la liberté d’expression, un complot qui implique un
engagement bilatéral avec plus de 20 pays et qui est soigneusement coordonné
par des institutions telles que l’OTAN et le G7. Derrière ce projet global de
répression, c'est la volonté de maintenir le contrôle sur l’opinion publique et
de faire taire toute voix discordante qui s’exprime sur les plateformes
numériques. Un contrôle sans précédent sur les idées, les informations, et, en
fin de compte, sur la réalité elle-même.
À l’échelle nationale,
un phénomène similaire se joue depuis maintenant un quart de siècle. La France,
autrefois pilier économique de l’Europe, s’est peu à peu laissée engloutir par
des réformes successives et des décisions politiques qui, loin d’améliorer les
conditions de vie des citoyens, ont contribué à une lente dégradation du tissu
social, économique et même moral. Ce processus a été orchestré par des
dirigeants corrompus tels que Sarkozy, Hollande ou Macron et bien avant eux
l'immonde Mitterrand, qui, qu’ils soient de droite ou de gauche, ont laissé la
place à un système technocratique usurier, malfaisant et déconnecté de la
réalité du peuple. Ces réformes, présentées sous un faux prétexte de
modernisation ou de nécessité, ont en réalité progressivement sapé tous les
fondements du modèle Français, de la souveraineté à la possibilité
d'entreprendre, fragilisant les acquis sociaux par une immigration invasive et
détruisant des pans entiers de notre économie avec des règles absurdes issues
de la mafia Européiste.
Les services publics, censés être le socle de l’État, se sont tous effondrés sous l’effet d’une politique d’austérité acharnée, accompagnée de privatisations et de fermetures massives d’infrastructures. Sauf la CAF qui permet, à l'instar de l'USAID aux Etats-Unis, de mieux voler les économies des Français pour les verser aux envahisseurs clandestins amenés en masse par des ONG subventionnées. Les inégalités se sont creusées à un rythme effarant, et l’ascenseur social, jadis un moteur de la mobilité sociale, a été totalement anéanti. Le tout dans un contexte où la justice et la démocratie, censées être les garantes de notre liberté, sont devenues des outils de manipulation au service de puissances invisibles, qui œuvrent dans l’ombre et utilisent la milice, nommée encore par certains idiots aveugles "police", pour maintenir leur emprise sur le pays tout en nous dépouillant de nos biens pour financer ces "fonctionnaires" traîtres. D'ailleurs, l'impôt sur le revenu a été créé pour répondre aux besoins de financement dus à la Première Guerre mondiale et pour améliorer la fiscalité en général. Et c'est en 1917 que des lois ont été mises en place pour augmenter le rendement de l'impôt sur le revenu.
En réalité, les
politiciens de ces dernières décennies, qu'ils soient socialistes, républicains
ou centristes, ont tous été complices de cette grande destruction, menant la
France à un point de non-retour. Ils ont systématiquement privilégié des
intérêts étrangers et des impératifs économiques globaux, tout en s'éloignant
des besoins fondamentaux d'un peuple jadis puissant et souverain. Ces réformes,
loin d'être des avancées pour la nation, ont surtout agi comme un poison lent,
rendant le pays toujours plus dépendant de ces forces extérieures, américano-anglos-sionistes,
au détriment de son autonomie et de sa souveraineté.
Sous l’influence successive
de présidents pratiquant la haute trahison avec délectation, toujours plus soumis
aux diktats du Deep State anglo-américain et des lobbies financiers, la France
a vu son pouvoir se concentrer entre les mains d’une pseudo élite
technocratique aussi déconnectée que dégénérée. Les syndicats ont été
affaiblis, les partis traditionnels déstabilisés, et les mouvements sociaux ont
été soigneusement étouffés par une série de lois répressives, appuyées par une
violence policière inouïe et une justice corrompue. Dans ce contexte, ces
politiciens nauséabonds ont placé le destin du pays entre les mains de truands en cols blancs,
bien plus préoccupés par les directives européennes et les grandes manœuvres
économiques mondiales que par les besoins réels des citoyens Français pour
créer les conditions d'un avenir viable.
Ce processus de
déconstruction économique et sociale, qui trouve son origine dans les années
1980, a vu la compétitivité de la France se dégrader lentement, mais inexorablement.
Les industries ont été délocalisées vers des pays à bas coût, tandis que les
usines se fermaient et que les emplois industriels disparaissaient, et le chômage
augmentait pour faire baisser les salaires. Le pays, autrefois fier de son
savoir-faire manufacturier, est devenu de plus en plus dépendant du secteur des
services et du tertiaire, avec toutes les conséquences que cela implique en
termes de précarité et de dépendance économique. Les chiffres le confirment et
la France, qui se vantait il y a 30 ans d’être le moteur économique de l’Europe,
n’est plus qu’une ombre de ce qu’elle était.
Pourtant, dans ce marasme
et alors que la situation mondiale semble de plus en plus complexe et
menaçante, avec l'opposition frontale de Trump aux mondialistes, un tournant se
profile à l’horizon. En effet, le retour de Donald Trump au pouvoir aux
États-Unis pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère. Trump, un homme
en dehors du système traditionnel, est en train de mener une bataille sans
merci contre toutes ces institutions corrompues qui régissent son pays et, par
extension, le monde. Ses efforts pour démasquer la corruption, notamment à
travers la dénonciation du rôle central joué par des agences comme l’USAID,
montrent qu’il est déterminé à mettre un terme à cette oligarchie mondiale qui
manipule et orchestre les événements les plus terribles à son avantage.
Cette réévaluation
du rôle de l’USAID dans la pandémie de COVID-19 est loin d’être un accident. La CIA, la DARPA, Soros ou Bill Gates, le WEF ou la famille Clinton, tous en ont croqué... En plus de cela,
de nombreuses ONG françaises, censées être indépendantes, ont aussi été
financées par l’USAID, comme l'AFP ! Confirmant l’infiltration de la France par
des forces extérieures, dont les intérêts ne coïncident en rien avec ceux du
peuple Français.
Au cœur de ce
système mondialiste, un homme (je crois !), Macron, se distingue comme
l'instrument privilégié de cette élite financière et mondiale adoubée par son "parrain" Rothschild. Son ascension politique outrageuse, loin d’être le fruit du
hasard, s’inscrit dans un plan mondialiste de corruption et de chantage bien
plus vaste. La montée en puissance de Macron n’a rien de providentiel puisqu'elle
résulte d’une série de manœuvres orchestrées par des acteurs comme le WEF, les Rothschild et les géants de la Silicon Valley, qui ont
tout mis en œuvre pour placer un homme docile à la tête de notre pays, symbole
de liberté et de prestige il y a encore peu de temps.
Mais derrière
Macron, il y a encore plus sombre. Le cas de Jean-Brigel, dont l’identité
aurait été modifiée frauduleusement par toute une cohorte de fonctionnaires
ayant produit des faux documents, est emblématique de la manipulation qui a eu
lieu pour asseoir son pouvoir. Des documents d’État civil auraient été
falsifiés pour effacer toute trace de son passé, et une opération d’urgence
mise en place par la DGSI, codée "Projet VERTIGO", aurait été lancée début
janvier 2025 pour effacer absolument toutes les preuves. Cette manipulation
dépasse le cadre politique et touche directement la réécriture de notre réalité
et de notre Histoire. Car ce sont donc des usurpateurs à la tête de notre Etat, soumis au chantage de leurs
délires sexuels, qui ont bradés notre pays et ses industries stratégiques en
toute illégalité.
On peut aussi légitimement
se poser la question à la suite des 49.3 de Bayrou, comme le soulignait Jacques Darricarrère, « à quoi
servent vraiment les 577 députés et les 348 sénateurs qui nous coûtent un
pognon de dingue, si un seul homme peut faire la pluie et le beau temps ? »
Cette interrogation met en lumière l’absurdité d’un système politique censé
être démocratique, mais qui semble de plus en plus déconnecté des attentes des
citoyens. En effet, le fait qu’un seul individu puisse concentrer autant de
pouvoirs entre ses mains, au détriment de l’ensemble des représentants élus par
le peuple, révèle une dérive autoritaire déguisée en démocratie. La question
sous-jacente est de savoir si la fonction législative n’est pas devenue une
simple façade, une sorte de théâtre politique où des députés et des sénateurs
jouent des rôles prédéterminés, tandis que les véritables décisions sont prises
ailleurs, dans l’ombre. L'illusion de l'efficacité, créée par cette apparente
diversité institutionnelle, sert en réalité à maintenir un statu quo où le pouvoir
est concentré dans les mains d’une poignée d'individus, laissant la majorité de
la population dans l'ignorance de son propre devenir.
Face à cette prise
de conscience collective qui se répand lentement mais sûrement, il devient
évident que le système mafieux des mondialistes est en train de se fissurer. Les
révélations abondent, les fuites se multiplient, et les voix dissidentes se
font de plus en plus entendre. Le peuple commence à prendre conscience de la
manipulation géante dans laquelle il a été pris pendant des décennies. La
question qui se pose désormais est de savoir jusqu’où nous laisserons cette
élite manipuler nos vies dorénavant ? Alors, dans ce contexte, il faut savoir que ce système est insoutenable, et combien de temps
encore nous allons tolérer qu’il continue de nous exploiter sans vergogne et
que cette milice ait toujours le pouvoir de nous infliger des sanctions, alors
qu'elle est illégitime et ne fait plus son travail depuis longtemps ! Il va
falloir clairement nettoyer, sinon vraiment purger le pays de TOUS les
parasites qui sont identifiés et par extension, de tous ceux qui sont venus s'y
greffer.
Le réveil est inévitable, et il est maintenant crucial que
cette prise de conscience se transforme donc en action afin de reprendre les rennes
du pouvoir que l'on nous a volé par la fraude et la violence. La vérité,
désormais, ne peut plus être cachée. Il est essentiel que nous, les individus
libres et francs, ne nous contentions pas seulement de savoir qui et comment
nous a détroussés de notre pays comme de notre avenir. Il faut désormais
refuser de nous soumettre à financer et accepter encore les règles de ce
système corrompu qui se développe grâce à nos impôts. Et avec les preuves qui arrivent tous les jours, les sommes
dévoyées, les acteurs clés identifiés, la véritable bataille pour la liberté,
pour la vérité et pour la justice est à portée de main, et c'est donc à nous de
décider du futur.
Alors, oui, la lutte pour la vérité ne fait que commencer, mais la victoire ne dépend plus seulement de notre capacité à résister passivement ou à refuser. Il est désormais clair que face à cette élite manipulatrice et à la corruption systémique de l’État, la seule voie qui nous reste pour sortir de ce guêpier est celle de la résistance active et non plus seulement pacifique.
Nous serons surement contraints de prendre les armes, non seulement symboliquement, mais aussi véritablement, pour renverser l'ensemble de la structure de ce système qui nous opprime depuis trop longtemps. Nos ennemis ne sont pas lointains car ils sont ici, dans les couloirs des ministères, dans les bureaux des fonctionnaires corrompus, au sein de nos institutions de santé, d’éducation, de justice, et de police. Ces forces inférieures, inutiles et complices qui nous coûtent très cher en impôts, incarnent la véritable oppression systématique qui cherche à écraser notre liberté et notre souveraineté.
Ils ne lâcheront pas le pouvoir aussi facilement. Nous devons donc nous préparer à nous dresser contre eux, avec force et détermination, pour récupérer ce qui nous a été volé et rétablir la justice populaire, et leur laisser se débrouiller avec la justice divine.
Le temps est venu de faire entendre nos voix, non seulement dans les rues, mais aussi dans l’action directe (et surement pas pacifique...). On ne parle plus ici de désobéissance civile mais bien de combat pour retrouver notre souveraineté comme notre vie. Il est temps de serrer les rangs et de compter nos bataillons. Car la vérité, bien qu’elle soit désormais sur le point d’éclater, ne pourra s'imposer et nous délivrer que si nous sommes aussi prêts à la défendre, coûte que coûte…
à bons entendeurs…
Phil BROQ.
Encore un magnifique billet sur notre dépendance à ce système d'une perversité absolue et que seul notre intelligence et notre action est en mesure de combattre. Nous sommes peu nombreux mais peu importe car seul la liberté de notre esprit peut nous mener à la délivrance. Et comme vous le dites si bien, à bon entendeurs.......
RépondreSupprimerMerci à vous !
SupprimerPour être tout à fait honnête avec moi même, je n'ai aucun respect pour les gens qui rampent aux pieds de la plus puissante structure de pouvoir de la planète au lieu d'apprendre à se comporter dans la vie en tant qu'individus libres de penser. Des gens qui abdiquent leur responsabilité de déterminer ce qui est vrai et juste et comment le monde devrait être, et laissent toutes ces élites et leurs seuls intérêts décider d'absolument tout à notre place. Ils ont choisi de rester des enfants baveux dans leur esprit au lieu de grandir. Ils ont perdu leur temps sur cette planète.
RépondreSupprimerLe vrai problème n'est pas qu'ils perdent leur temps, mais qu'ils nous fassent aussi perdre le notre… Leur masse nous oblige a trouver sans cesse d'autres chemins !
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