DE L'INFLUENCE A LA DECHEANCE DES INSTITUTIONS

En moins d’une semaine, une série de révélations explosives a secoué les institutions internationales et leurs figures de proue. L’Union Européenne, l’OTAN, l’USAID, le Forum Economique Mondial (WEF), l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ainsi que des personnalités telles que Macron, Loiseau, Breton, Soros et Gates, se retrouvent dans une panique totale. Ces acteurs, autrefois omnipotents, voient leur domination mondiale vaciller sous les coups d’une prise de conscience générale, mettant en lumière la corruption systémique et les manipulations au sommet du pouvoir corrompu depuis trop longtemps.

Les institutions qui façonnent l'ordre mondial actuel et leur cohorte de dirigeants mondialistes, sont en train de se désintégrer sous nos yeux, comme des carcasses d'organismes aussi  moribonds qu'obsolètes. Leurs actions et manipulations, menées tambour battant par une Hyène hystérique, un Macron cherchant n'importe quoi pour détourner l'attention des sujets français sur ses interminables forfaitures, ne visent plus qu'à maintenir un pouvoir discrédité et leurs privilèges en place. Et dans cet univers de corruption, des figures comme Mme Loiseau ou Thierry Breton sont devenues des symboles d’un système devenu obsolète, une oligarchie déconnectée des réalités des citoyens. Ils continueront leurs manigances jusqu'à ce que mort s'en suive, au détriment de la démocratie, de la souveraineté nationale et surtout de l'avenir des peuples qu'ils détestent profondément. La réalité qui émerge aujourd'hui est donc d'une clarté stupéfiante avec la mise en lumière des pratiques tyranniques, sinon mafieuses, de ces géants qui ont fait leur temps, et dont la chute est désormais inéluctable.

L'UE, affaiblie, déchirée par des divergences de plus en plus visibles, tente de jouer l’autruche et renforce sa propagande médiatique absurde et surannée face aux révélations sur sa gestion chaotique et corrompue depuis sa création et accélérée depuis l'arrivée de la Hyène non élue. Vue le nombre de dossiers qu'elle traine, il ne lui restera bientôt plus que la Lune pour aller se réfugier, en compagnie de son mari subventionné et de son fils Directeur McKinsey (quelle famille) - et surement aussi de Bourlat et Fauci après les auditions du congrès et la mise en place de R.Kennedy Jr , de Kash Patel et de Musk. 

Cette déliquescence des institutions européennes est désormais palpable, et ses dirigeants, plongés dans une panique visible, transpirent la peur. L'exemple le plus frappant de cette chute vertigineuse est celui de Nathalie Loiseau, Députée européenne financée par Soros et membre du Conseil d’administration de l'ECFR, l’organisation de Soros qui se cache derrière des façades de recherche indépendante, mais qui est en réalité un lobby enregistré auprès de l’Union Européenne. Cette Députée européenne centriste avait été nommée Ministre chargée des Affaires européennes dans le second gouvernement d'Édouard Philippe de 2017 à 2019, mais avait aussi travaillé pendant 26 ans au Ministère des Affaires étrangères en tant que diplomate et fut également chargée de diriger l'École nationale d'administration (ENA) de 2012 à 2017.  Moulée exactement à l'image d'un Thierry Breton, ayant ruiné toutes les entreprises où il est passé et tentant de museler le réseau "X" de Musk, sans aucune légitimité je vous le rappelle ! C'est vous dire le parcours que suivent ces cancrelats !

Ce symbole féminin de la corruption institutionnalisée, participe activement à une opération d’influence et d’ingérence dirigée par Soros, dont l'objectif est de maîtriser à distance les décisions politiques européennes, loin des regards des citoyens. Avec une arrogance déconcertante, cette lobbyiste de haut vol notoirement hostile à l’administration Trump, ose prôner l’envoi de troupes militaires européennes au Groenland, tout en étant rémunérée avec nos fonds publics. Sa tentative de museler la voix du peuple à travers une mascarade de vote, dénoncée par Virginie Jaudron au sein même de l’UE, illustre à quel point elle méprise la démocratie et est prête à se soumettre, moyennant finances, à des intérêts étrangers au détriment des citoyens européens. Comme si le mépris des citoyens et la soumission à des intérêts étrangers pouvaient encore passer inaperçus malgré les tentatives de censure des réseaux par le truand français à la nationalité sénégalaise, Thierry Breton, recasé récemment chez Bank Of America.

Il est d'ailleurs crucial de comprendre que Bank of America, l'un des piliers du secteur bancaire américain, joue également un rôle central dans le portefeuille d'investissements de Soros Fund Management, géré par l'Open Society Foundations (OSF). Selon des informations datant de juin 2023, Bank of America Corporation (NYSE : BAC) figure parmi les actifs de Soros et présente un potentiel de hausse de 10,4%. Toutefois, il convient de noter que depuis décembre 2022, Soros a cédé la gestion de Soros Fund Management et de l'OSF à son fils, Alexander Soros.

Mais ce n’est pas tout. Depuis plusieurs décennies, l'Open Society Foundations de George Soros, en partenariat avec l'USAID (l'Agence des États-Unis pour le Développement International), s'illustre dans des opérations géopolitiques visant à influer sur les nations, notamment à travers des programmes de "démocratisation" et le soutien aux révolutions de couleur. Dès 1993, l'USAID collaborait avec Soros pour former des professionnels dans les pays de l'Est, une coopération qui n'a cessé de croître. Un exemple frappant de cette alliance est la "Révolution orange" en Ukraine, où Soros et l'USAID ont injecté des millions de dollars pour favoriser leur agenda mondialiste.

Cette stratégie ne s'est pas limitée à l'Europe de l'Est. En Amérique latine, des fonds considérables ont été alloués pour soutenir des mouvements radicaux de gauche, souvent en collaboration avec l'USAID. Entre 2015 et 2018, l'OSF aurait dépensé 100 millions de dollars pour alimenter des troubles dans la région. Même en 2016, l'USAID finançait des campagnes supervisées par des institutions liées à Soros en Albanie. En 2024, Joe Biden demandait près de 30 milliards de dollars pour financer l'USAID, illustrant l’ampleur des ressources déployées pour étendre l’influence de Soros à l’échelle mondiale. Ces alliances entre les puissances occidentales et le réseau de Soros soulignent l'ampleur de son emprise sur les affaires internationales, mettant en lumière son rôle incontournable dans la mise en œuvre des politiques mondialistes.

Ces manœuvres géopolitiques, soutenues par Soros et l’USAID, illustrent l’influence croissante des puissances occidentales, qui semble bien loin de se limiter à l'Amérique Latine ou à l'Europe de l'Est. Elles s’inscrivent dans un cadre plus vaste de dynamiques géopolitiques qui façonnent l'avenir de l'UE, une région déjà profondément en crise. C’est dans ce contexte que le rapport alarmant de Mario Draghi sur l’avenir du Vieux Continent prend tout son sens. De la perte de compétitivité technologique à la dépendance énergétique, l’ancien président de la BCE met en lumière les défis auxquels l'UE doit faire face pour éviter une dérive fatale. 

Pour y répondre, il propose un plan de 800 milliards d’euros à venir racketter dans nos poches, pour tenter de sauver cette mafia de l’UE, mais l’avenir semble incertain. Entre immobilisme, réformes radicales et le risque d’éclatement. L’UE se trouve à la croisée des chemins, confrontée à un dilemme stratégique majeur l'obligeant à soit renouer avec la Russie pour résoudre la crise énergétique, soit faire face à l’augmentation des prix du gaz tuant nos industries et à une réalité de plus en plus insoutenable, ou encore céder à la folie politique de dirigeants prêts à risquer une confrontation militaire en Ukraine, aveuglés par leur corruption liée à des intérêts géopolitiques qui ne profitent qu’à une élite technocratique et à des puissances extérieures.

À ce tableau déjà désastreux s’ajoute la débâcle totale de l’OTAN. Dont le fiasco géopolitique est d'une ampleur rare avec un centre de commandement de l'OTAN basé à Odessa, un lieu de manœuvres soi-disant secrètes, qui a été pulvérisé par la Russie, balayant d’un coup toute la façade de l’interventionnisme occidental minable en Ukraine. La destruction de l'Hôtel Bristol, un centre nerveux de l'OTAN, a donc mis en lumière l'incapacité de ces institutions à se protéger, à organiser une défense cohérente ou même à protéger leurs agents sur le terrain. 

Pendant que la Russie ne se contente pas de répondre aux provocations, l'OTAN est incapable de réagir de manière efficace avec des dirigeants occidentaux se vautrant dans des querelles internes et des manœuvres politiques risquées. Et l'implication totale de la France dans les opérations clandestines sur le sol ukrainien a été mise à jour, exposant non seulement la France, mais aussi l'OTAN dans toute sa splendeur de magouilles géopolitiques. Pourtant, ce qui est le plus choquant, c’est le silence complice de l'UE face à ces manipulations. Le "centre de commandement" occidental, censé être le pilier de l'ordre mondial, est devenu une farce diplomatique, sa légitimité s’effondrant au fur et à mesure que les révélations s'accumulent.

Tout comme il est incapable d’agir efficacement sur le front militaire, Macron montre une défaillance totale lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts économiques français, que ce soit en Ukraine ou partout ailleurs dans le monde. Cette incapacité à maitriser ses sujets n’est plus un secret pour personne, il suffit de voir ce qui sort sur son "couple" à travers la planète entière dont il est devenu la risée. Parallèlement, dans un contexte économique de plus en plus instable, les banques françaises détournent chaque centime, même sur des comptes courants, pour alimenter la dette fictive créée par Le Maire, en pariant sur les marchés financiers, et en utilisant votre argent pour jouer au casino à la Bourse. Une stratégie risquée qui expose une fois de plus les citoyens à des conséquences dramatiques, tout en servant les intérêts d’une élite économique dont son parrain est Rothschild. 

Car les récentes hausses des taux d’intérêt sur les livrets A, PEL et LEP suscitent des interrogations légitimes. À mon avis, cette manœuvre semble orchestrée pour gonfler artificiellement les rendements, avant de pouvoir les récupérer au moment où l’État, déjà techniquement en faillite et sous tutelle de l'UE, sera officiellement déclaré en défaut de paiement. Une stratégie qui laisse présager des temps économiques de plus en plus difficiles pour tous les citoyens ayant des économies.

Et que dire de l'absurdité de la situation au Groenland, où la réalité s'invite à la table des discussions entre Trump et les dirigeants européens. La colère de Trump face à une Europe moribonde qui hésite entre servir ses intérêts géopolitiques et sauver la face montre bien la profondeur du fossé entre l'Amérique et une Europe paralysée par son élite mondialiste. Les États-Unis affirment clairement leurs priorités, sans crainte de bousculer le statu quo. Pendant ce temps, l'UE semble s'enfoncer dans une défense faiblarde de ses intérêts, se retrouvant incapable de contrer des revendications territoriales aussi triviales que cruciales pour sa survie géopolitique. Mais où Loiseau (encore elle) veut envoyer des militaires issus d'une armée européenne aussi fantasmée qu'illusoire.

De plus, dans une interview accordée à l'agence de presse américaine Associated Press, le Président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a exprimé des doutes concernant l'utilisation des fonds d'aide militaire fournis par les États-Unis. Selon lui, son pays n'aurait reçu qu'environ 75 milliards de dollars, bien loin des 200 milliards souvent évoqués par Washington. Zelensky a ainsi remis en question les chiffres avancés par l'administration américaine, suggérant qu'il y avait un écart significatif entre les promesses et la réalité des financements. En parallèle, cette déclaration intervient alors que le Président américain Donald Trump avait affirmé, le 21 janvier dernier, que les États-Unis avaient dépensé bien plus que les autres pays de l'OTAN pour soutenir l'Ukraine. Toutefois, Zelensky a rétorqué, précisant que son pays n'avait jamais reçu la totalité des fonds promis, créant ainsi un flou qui laisse place à de nombreuses interrogations sur la gestion de cette aide internationale.

Dans le même temps, alors que certains estiment que Trump pourrait se préparer à faire front aux côtés de Netanyahou, il ne faut pas sous-estimer les tensions qui pourraient émerger avec le Congrès américain, un Congrès résolument pro-israélien. La récente visite de Netanyahou à Washington, où il a reçu 56 ovations de la part des législateurs, a mis en lumière l'immense influence du lobby israélien sur la politique américaine. Si Trump devait remettre en question ce statu quo, il s'exposerait à une confrontation de grande ampleur, notamment avec un Congrès qui reste fermement aligné sur la politique de soutien inconditionnel à Israël. Le timing de ces événements semble stratégique, Trump étant déterminé à relancer son projet de rendre l'Amérique "Great Again", tout en devant naviguer dans un environnement politique extrêmement complexe et influencé par des puissances extérieures.

Dans ce chaos, Trump semble l’un des rares à vouloir rétablir un ordre, à chercher à inverser les logiques suicidaires des mondialistes qui n'a profité qu'à quelques-uns. Mais, il faut comprendre que sa lutte contre l’establishment américain, contre les lobbys sionistes puissants, et des structures mondiales défaillantes, sinon noyées par leur propre corruption, est loin d’être gagnée. Face à une opposition interne aussi redoutable que le Congrès sioniste ou le complexe militaro-industriel et pharmaceutique dirigé exclusivement par des juifs, Trump devra faire preuve de plus qu’un simple leadership politique pour s'en sortir. Car ce marasme géopolitique est un piège tendu à ceux qui osent s’attaquer aux fondements de l’Ordre Mondial actuel. 

Or, en même temps qu'elle dénonce la mascarade du couple Macron, Candace Owens a révélé des informations chocs lors d’un Space sur X, risquant sa vie pour aborder des sujets extrêmement tabous aux USA en déclarant que "nous vivons dans une nation occupée par les sionistes" et où parler de ces sujets peut être aussi mortel qu'en France. Des sujets interdits, des vérités cachées, des responsables mis en accusation, elle brise le silence sur sa chaine, tout en étant protégée par Trump. Ainsi, elle est le fer de lance qui perforera le voile du mensonge pour permettre à la nouvelle équipe de "négocier". Elle évoque non seulement la gangrène du sionisme talmudiste, qui a corrompu tout le pays, voire le monde entier (à ne pas confondre avec le judaïsme de la Torah). Elle aborde également l’assassinat de JFK par le Mossad, l’USS Liberty et d’autres sujets sur lesquels il est quasiment interdit de poser des questions comme sur l'origine du couple Macron. Candace Owens critique l’inaction des hommes et affirme qu’elle est prête à être la première femme à porter ce combat, même au risque de mourir sur le champ de bataille, pour dénoncer la pédophilie, normalisée par l’influence nauséabonde talmudo-sioniste, dont les élites juives et pas seulement de notre pays, baignent quasiment toutes dedans. 

Cette inversion de la réalité historique ne résulte pas d’une simple erreur ou d’une quelconque incompétence, mais bien d’un travail méticuleux orchestré par la CIA. L’agence américaine a déployé tous les moyens nécessaires pour infiltrer les milieux politiques et médiatiques, tout en finançant à grande échelle une industrie hollywoodienne toujours plus puissante. Ce processus a accompagné la diabolisation des Russes, une campagne qui se poursuit avec ferveur à ce jour. Ce qui est particulièrement perturbant, c'est de constater que cette propagande reste efficace, alors même que de nombreuses publications, accessibles dans les bibliothèques municipales ou en ligne, décryptent cette supercherie. Les films hollywoodiens, avec leur vision idéalisée du débarquement américain en Normandie, continuent de façonner une perception erronée de l’Histoire, au détriment de la réalité des sacrifices russes.

L’image du monde qui émerge actuellement est donc celle d’une Europe agonisante, contrainte de choisir entre l’alignement sur un Washington débridé et la tentative de renouer avec la Russie. La division intérieure au sein de l’UE qui est de plus en plus évidente, avec certains pays prêts à relancer des relations énergétiques avec Moscou, tandis que d’autres, comme la France, continuent de s’enfoncer dans des jeux d’alliance de corruption visible et désastreux. Une Roumanie et une Allemagne refusant d'être décapitées sur l'autel de cette mafia. Et la divulgation au compte goutte des absurdités et malversations commises lors de la pandémie ne vont rien arranger. Ainsi, cette lutte pour maintenir une façade de cohésion, tout en déchirant de l’intérieur l’unité européenne, met en lumière l’incapacité de cette institution à résoudre les crises qu'elles ont elles-mêmes contribué à engendrer.

Il est pourtant intéressant de noter que, malgré l'omniprésence de cette propagande, la réalité historique était bien perçue à l'époque, comme le prouve un sondage qui démontre que la bataille de Stalingrad a été un tournant décisif dans la Seconde Guerre mondiale. Les pertes humaines massives des deux côtés témoignent de l’ampleur du sacrifice des russes dans la lutte contre les nazis, un aspect souvent minimisé. Cependant, certains agents de la CIA persistent à maintenir cette version déformée de l’Histoire, à travers des moyens toujours aussi puissants. Mais face à ce phénomène, Donald Trump semble vouloir s'attaquer à ce marasme, prêt à renverser cette dynamique et à remettre en question les récits officiels qui ont longtemps façonnés l'opinion publique mondiale.

La chute des institutions européennes, de l'OTAN, de l'USAID, de Bank of America, des fondations de Soros et de Gates n'est plus une question de "si", mais de "quand". Et les révélations sur les liens entre certains acteurs et des services secrets, comme la CIA ou le Mossad, se multiplient et deviennent de plus en plus difficiles à ignorer. Les intrigues fomentées par des figures telles que Bill Gates ou George Soros sont désormais mises à nu, tout comme leurs agents, dont Loiseau, Breton ou Buzyn, qui se retrouvent directement liés à la Fondation Bill&Melinda Gates (oui, vous avez bien lu !). Ces révélations font tomber le masque des puissants, exposant les véritables acteurs qui tirent les ficelles dans cette toile complexe, tissée d'intérêts inavouables.

Dans ce contexte, il devient impératif que les peuples prennent en main leur destin, afin de mettre un terme à l'hégémonie de ces mafias technocratiques et globalistes désormais en pleine lumière. Le moment est venu de renverser la table, de rétablir la démocratie et de reprendre le pouvoir qui nous a été subtilisé. L’Europe agonise sous la domination de technocrates étrangers, mais nous pouvons choisir un autre chemin, un chemin où les peuples et les nations retrouvent leur souveraineté et leur dignité.

Pourtant, cette lutte ne doit pas être celle d'un seul peuple ou d'un seul pays. Elle doit devenir une solidarité internationale. Les forces du globalisme cherchent à diviser et à isoler, mais l'avenir doit passer par l'unité des peuples du monde, unis par un même désir de justice, de liberté et de prospérité partagée. Nous devons rejeter les formes de contrôle imposées par des acteurs comme Soros et Gates, et au contraire, remettre le pouvoir dans les mains des citoyens et des nations souveraines. Cela passe par une nouvelle vision des relations internationales, où les nations se respectent et collaborent sans se soumettre à des ordres extérieurs.

Nous devons donc d'abord nous réapproprier nos institutions, reprendre leur pouvoir à ces institutions dévoyées, renforcer l'autonomie économique et créer des systèmes politiques réellement démocratiques, non corrompus par l'influence des grandes puissances financières et des lobbys étrangers. L'heure est à la résistance, mais aussi à la reconstruction. Car la lutte pour la souveraineté des peuples ne fait que commencer, et chaque action, chaque révélation compte dans cette guerre pour notre avenir. 

Face à l'effondrement de ces institutions vieillissantes, une nouvelle ère est en marche. Ensemble, nous pourrons faire tomber l'édifice des puissants et reconstruire un monde plus juste, plus équitable, et surtout, bien plus humain…

Phil BROQ.

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