LES CAVES SE REBIFFENT...

Cette année, pour les fêtes de la nativité du Christ, vous auriez pu croire que ce gouvernement nous laisserait tranquilles en compagnie de nos  sempiternels films de fêtes ? Eh bien, détrompez-vous ! Le retour de Bayrou nous a encore proposé une minable série B située entre "Le Retour des Morts-Vivants", "La Grande Vadrouille" et "Les Pieds Nickelés". Mais attention, à y regarder de plus près, le scénario est finalement le même ! Avec des planqués, des idiots, des combines, et des figures qu’on aimerait pas croiser dans la vraie vie. Donc au final, ce sera une version putride avec "Des Caves se Rebiffent" qui débarquent sur nos écrans, comme une mise en scène bien huilée où le gouvernement a profité de la distraction des fêtes pour nous glisser un gouvernement anti-France sous le nez. C'est certain, on aurait dû se rebeller depuis longtemps, mais là, c’est plus d'actualité. On y est, les gars, et personne n'a vu venir la supercherie euro-mondialiste se glisser entre le sapin et la buche.

Dans le grand théâtre de la politique française, il y a des acteurs qui savent bien jouer de la comédie pour mieux nous rouler dans la farine. Mais ces "caves" modernes, habillés en sauveurs de la nation, ne sont que des figurants de séries B et n'ont de français que l'apparence, tandis que derrière les rideaux, ils vendent la nation aux puissances extérieures et aux multinationales. Chacun a sa petite part dans ce cirque politico-dramatique où les intérêts privés priment sur l’intérêt général, et où la promesse de défendre la France ne sert qu’à masquer une trahison en règle. Un univers où la politique se fait à coups de magouilles, de renoncements et de faux-semblants. C’est bien simple, quand ces "caves" s’activent, c’est toujours nous qui payons l'addition.

Les voilà, les nouveaux "caves" de Macron. Ces petits génies du coup fourré, ces perfides manipulateurs de l’ombre qui, à force de jeux de coulisses et de fourberies, ont bien réussi à faire en sorte que notre pays devienne une vache à lait pour les puissances extérieures. Car c’est bien de cela dont il s’agit ici, des ministres sortis des placards poussiéreux qui, sous couvert de défendre la Raie-publique, n’ont fait que la trahir sur l’autel des lobbys européens et des grandes multinationales. Quelle farce ! Ces mecs-là, ils sont comme des saltimbanques politiques, mais leur art, ce n’est pas de faire sourire les gens, c’est de te planter un couteau dans le dos pendant que tu regardes ailleurs, et de te dire "merci" pour l’opportunité.

Alors qu'on pourrait penser qu’il y a encore des ministres intègres pour défendre la nation, eh bien non ! Ce sont des serviteurs zélés des puissances extérieures, des larbins à la solde des multinationales et des technocrates bruxellois. En un clin d’œil, la France s’est retrouvée avec ses services publics dépecés, son industrie noyée sous des réformes qui n’ont de réformes que le nom, et une souveraineté nationale vendue à l’encan. Le pire, c’est qu’ils se pavanent toujours sur leurs fauteuils ministériels, gavés par nos impôts, tout fiers de leur œuvre de destruction. Et vous les connaissez tous, ces "caves", ces types ratés qui, dans l’ombre de la République, se sont arrangés pour vendre tout ce qui faisait jadis notre renommée. Je vais vous les présenter, un par un. Et vous verrez, le tableau est bien plus sombre qu’il n’y paraît.

François Bayrou : L’architecte de la soumission nationale. Lui, c’est l'archétype du "cave" dans toute sa splendeur, celui qui te sourit en te poignardant dans le dos. Bayrou, le père du MoDem, est un homme qui a mis toute son énergie à ouvrir grand les portes de la France à l'Europe, sans même se demander si le pays allait y rester ou non. Le gars, depuis qu’il a mis un pied à l’Assemblée, a fait la danse du ventre pour Bruxelles, prônant l’abolition des frontières, et tout ça sous prétexte de "l’unité ". Mais qui se fait avoir, hein ? C’est bien nous, les Français. Il nous a vendu à la découpe : privatisation des services publics, dérégulation des secteurs essentiels, et tout ça, bien sûr, dans un grand sourire d'idiot bègue du Béarn. Aujourd'hui, il nous regarde de son poste ministériel, arraché de force par le chantage, pour une place au soleil à vie avec chauffeur et gardes du corps, et surtout avec ses petites complicités, pendant que la France se fait dévorer par les multinationales qu’il sert si bien.

Élisabeth Borne"stein" : la technocrate tyrannique au service de Bruxelles. Elle, c’est la reine des "caves" en costume de ministre. Son job ? Balancer des réformes à la pelle sans jamais se demander si elles vont tenir debout. C’est elle, la dame du déni démocratique au 49.3. Mise là uniquement pour défendre les intérêts de Bruxelles, pas ceux des Français. Quand il s’agit de défendre l’Europe à tout prix, elle n’hésite pas une seconde. Cette "technocrasse" qui ne sait pas ce qu’est un peuple, a l’âme d’un robot, mais un robot qui veut ta peau ! La réforme des retraites, l'abus du 49.3 ? C’est elle, la marionnette qui dégainait plus vite que son ombre pour faire passer des réformes destructrices sans même se poser une seconde la question : "Et le peuple, là-dedans, il en pense quoi ?" Pas une once d’humanité, rien. Elle a tout donné pour Bruxelles, tout sacrifié sur l’autel de l’Europe, et à la fin, ce sont les Français qui se retrouvent avec des miettes. Les gens dans la rue, elle s’en fiche. Elle préfère défendre les directives de l'UE, quitte à laisser le peuple dans la misère. Elle se fout bien du monde, cette "cave", tant que ça passe à Bruxelles et qu'elle reçoit son salaire.

Manuel Valls : L’austérité incarnée au service d'Israël. C’est le sale type, le roi de l’austérité. Un bon larbin des sionistes, celui-là. Le genre de type qui, tout sourire, te serre la main avant de te planter un couteau dans le dos avec une courtoisie de garçon vacher, juste avant de te féliciter pour ta souffrance. Ce qu’il voulait, c'était plaire à ceux qui ont de l’argent, les grandes entreprises et les puissants en kippa, et pour lui, le peuple français, c’était juste un détail de l'histoire… Son héritage ? Une loi El Khomri qui a mis en lambeaux les droits des travailleurs et flexibilisé tout ce qui peut l’être. Valls, c’est le grand défenseur des intérêts des patrons et des financiers, juifs sionistes de préférence, toujours à plaider pour plus de "réformes" qui en fait ne servent qu’à nous plumer. Il a servi l’austérité sur un plateau d’argent à ceux qui n’ont jamais rien demandé. Pour lui, la France, c’est une question de chiffres, de courbes, et de bien-être des grandes entreprises. Pour nous, les citoyens ? C’est la galère, à tout jamais.

Gérald Darmanin : Le bras armé de la répression. Lui, c’est le "cave" arrogant qui préfère la matraque à la parole. Ministre de l’Intérieur, il a montré à tous que la répression était la réponse à toute forme de contestation.  Son programme ? "Quand le peuple gueule, écrasons-le." C'est l’ordre républicain, à coup de gaz lacrymo et de matraques. Les violences policières ? Il s’en fout.  Darmanin, c’est l’archétype du "cave" qui use de sa position pour des faveurs sexuelles mais à la solde de ceux qui veulent garder le contrôle. Un soldat bien obéissant qui, pour une poignée de pouvoir, est prêt à vendre son âme. Une sacrée pépite dans le genre fourbe et mesquin, mais ça fait partie du job. Tant que ça calme les "populistes" et les "perturbateurs" qui réfléchissent trop. Cette méthode à la Staline imposée en France, c’est lui et le préfet Lallemand. C’est un bon petit exécutant de l’ordre établi, sans cœur, sans conviction, un vrai "cave" prêt à vendre son honneur pour la tranquillité des élites.

Bruno Retailleau : Le serviteur des puissances européennes. C’est le type qui préfère s’agenouiller devant Bruxelles que de défendre les intérêts de la France. À la tête des Républicains au Sénat, il a servi le projet européen à coups de réformes ultra-libérales qui ont fragilisé l’économie du pays. Chaque décision qu’il a prise n’a été que le prolongement d’une politique qui sacrifie les petites entreprises françaises au profit des multinationales. Lui et ses amis, ils se sont bien arrangés pour que la France devienne une simple annexe de l’Europe. Mais qu’est-ce qu’on y gagne ? Rien. À part un pays qui se vide de ses forces vives. Il a servi l’Europe sur un plateau, tout en détruisant un peu plus l’économie nationale. Et ce sont les multinationales, qui se frottent les mains pendant que Retailleau fait le boulot. Voilà un "cave" qui a choisi son camp, et ce n’est pas celui de la France.

Catherine Vautrin : la technocrate déconnectée des réalités sociales. Alors elle, c’est la ministre qui a bien montré qu’elle n’avait aucune idée de ce que c’était que d’avoir une famille, une maison, un salaire. Elle a pris le système de santé à bras-le-corps pendant la pandémie et, qu’a-t-elle fait ? Rien. Ou plutôt si, elle a joué à la technocrate sans âme, sans jamais se demander ce que ça signifiait, pour les Français, de se retrouver sans soins ou de voir leur système de santé se dégrader. Elle a géré avec un manque total d’humanité. Les plus vulnérables ? Elle ne les voit pas. La gestion des crises sanitaires ? Une blague. Et l’hôpital, qui crie à l’aide, elle préfère détourner le regard, concentrée sur ses réformes et ses chiffres truqués. Elle est plutôt la ministre des absents.  Pas une once de compassion. Une "cave" déconnectée de la réalité, prête à tout sacrifier pour plaire aux mondialistes.

Amélie de Montchalin : L’architecte des privatisations. Elle, c’est la championne des ventes aux copains. Sous son aile, les services publics se sont fait dépecer. L’État, qui devrait être un bouclier pour les citoyens, est devenu une coquille vide. elle a transformé les services publics en objets à vendre. Les secteurs essentiels comme l’énergie et les transports ?  Tout a été privatisé sous nos yeux, et tout ça au nom du "libéralisme". Si ça peut faire plaisir à la grande entreprise, alors tout va bien, n’est-ce pas ? Tant pis pour le peuple, pour les petits, pour ceux qui souffrent. L’idéologie libérale, c’est ça qu’elle défend, coûte que coûte. Mais le peuple, qu’en fait-elle ? Elle s'en moque. Les petites entreprises ? Les familles ? Elles n’ont rien à faire dans ses équations. Montchalin, c’est la championne du démantèlement, la "cave" qui préfère un monde où l’on vend tout, même l’avenir de la France...

Sébastien Lecornu : Un ministre des Armées au service de l’OTAN. C’est celui qui a sacrifié une partie de notre indépendance militaire au profit de l’OTAN. En bon "cave" de la mondialisation, il a fait de la France un simple rouage de la machine impérialiste américaine. Sous sa direction, nos capacités de défense ont été diluées dans un système atlantiste, oubliant le rôle primordial que devrait jouer la France sur la scène mondiale en matière de sécurité.  Pour Lecornu, la France doit se soumettre, sans broncher. Pas de place pour l’indépendance militaire ici, non. Au contraire, il a sacrifié notre souveraineté en préférant plaire aux États-Unis et à l’OTAN. La France, sous sa direction, est devenue une marionnette, prête à obéir sans broncher. Lecornu, c’est le "cave" de la soumission, celui qui vend notre défense pour une poignée de dollars.

Éric Lombard : Le ministre des intérêts financiers. Ministre de l’Économie, c’est le parfait exemple du technocrate corrompu déconnecté des réalités économiques du peuple. Son seul objectif ? Prouver que la finance mondiale a plus de pouvoir que la France. En favorisant les grandes entreprises, il a creusé un peu plus le fossé entre les riches et les pauvres. Sa politique fiscale ? Un cadeau pour les plus privilégiés, pendant que les petites entreprises se noient dans les taxes et la paperasse. Lombard, c’est le "cave" qui préfère les chiffres des marchés financiers à ceux des Français.

François Rebsamen : L’urbanisateur au détriment des périphéries. Ce ministre de l’Aménagement du territoire a concentré tous ses efforts sur les grandes métropoles, négligeant volontairement les périphéries. Au lieu de promouvoir un aménagement équilibré du territoire, il a alimenté la fracture entre les villes et la campagne, favorisant les grandes zones urbaines au détriment des territoires périphériques. Sa politique ? "On favorise Paris, et les autres peuvent crever." Et ce sont les grandes métropoles qui ont tout raflé. Une politique centralisatrice qui a laissé le pays se vider de ses ressources et de ses habitants. Un "cave" des territoires oubliés, prêt à vendre notre pays au profit de la centralisation et des grandes métropoles.

Rachida Dati : La répression pour la forme. L'ex-ministre de la Justice a incarné la répression sécuritaire à tout-va, sans jamais se soucier des causes profondes de l’insécurité. Elle a renforcé un système pénal qui préfère la sanction à la prévention, une politique d’apparence qui n’a fait qu’alimenter le sentiment d’insécurité sans jamais s’attaquer aux racines du problème. Son "action" ? Un grand show médiatique pour donner l'illusion d’une société sous contrôle, sans jamais remettre en question les vrais dysfonctionnements du système judiciaire. C’est une gogo danseuse des grands discours et des solutions de façade. Elle ne l’a jamais regardée de près. Non, ce qui comptait, c’était de briller dans les médias avec des discours qui sonnaient bien, mais qui n’avaient aucun fond. Une "cave" du spectacle, une ministre de la com' sans fondement.

Agnès Pannier-Runacher : Une ministre au service des géants de l’énergie. La ministre de la Transition écologique, c’est l’exemple type de la ministre qui soutient les grandes entreprises du secteur énergétique, tout en prétendant défendre la planète. Elle a fait passer des politiques qui favorisent les intérêts des géants pétroliers et gaziers, tout en se targuant de prendre des mesures pour le climat. Sous son mandat, les engagements climatiques de la France ont été mis sous silence, et les lobbies de l’énergie ont continué à dominer le paysage. Pendant qu’elle souriait à la caméra, les géants du pétrole et du gaz continuaient à polluer en toute tranquillité. Une "catin" des multinationales énergétiques qui préfère vendre son âme plutôt que de défendre les véritables intérêts écologiques de la France.

Jean-Noël Barrot : L’homme de Bruxelles. Ce ministre des Affaires Européennes est celui qui, chaque jour, travaille à affaiblir la souveraineté de la France en faveur de l’Union européenne. Il défend l’idéologie européenne avec une ferveur qui frôle la soumission. Plutôt que de défendre les intérêts de la France au sein de l’UE, il s’est fait le porte-voix des politiques européennes qui, dans bien des cas, sont contraires aux besoins et aux aspirations des citoyens français. C’est un second couteau au service d’une Europe fédérale qui engloutit peu à peu nos spécificités nationales au profit d’une technocratie déconnectée des réalités populaires. Il a été un des plus fidèles soldats des politiques européennes qui ne servent ni notre culture ni notre peuple. Un "cave" qui s'est vendu corps et âme à la bureaucratie bruxelloise.

Laurent Marc-Angeli : Un bureaucrate centralisateur. Ce ministre de l’Action publique est celui qui a œuvré pour renforcer la centralisation du pouvoir en France. Plutôt que de promouvoir une décentralisation qui redonnerait du pouvoir aux territoires et aux citoyens, il a fait le choix d’une administration de plus en plus concentrée entre les mains de l'État central. Un petit capo hargneux. Loin de renforcer la démocratie locale, a préféré renforcer l'emprise du gouvernement sur les collectivités, accentuant encore la distance entre les citoyens et leurs représentants politiques. Un "cave" qui n’a eu qu’une seule idée en tête : renforcer l'emprise du gouvernement.

Annie Genevard : La ministre des grandes surfaces. L'ancienne ministre de l’Agriculture a fait le choix de favoriser les grandes surfaces et les multinationales de l’agroalimentaire, au détriment des petits producteurs locaux. Ses réformes ont contribué à la concentration du secteur, fragilisant l’agriculture familiale au profit de grandes entreprises qui dictent leurs conditions. Dans son sillage, les consommateurs se sont retrouvés avec des produits de moins en moins diversifiés et de plus en plus standardisés, pendant que les petits agriculteurs disparaissent un à un. Une "cave" qui a sacrifié l’agriculture de qualité sur l’autel du profit.

Marie Barsacq : Une ministre déconnectée du monde sportif. Cette ministre des Sports, qui n'a jamais du faire un simple footing, a concentré son action sur des événements sportifs internationaux, tout en ignorant les besoins réels du sport de proximité. Son objectif ? Briller sur la scène internationale, sans jamais s'attaquer aux problèmes de fond du sport en France, notamment les inégalités d'accès dans les quartiers populaires. Elle a montré une indifférence totale pour les réalités sociales, préférant promouvoir une image de la France sportive qui n’est qu’un mirage. Une "cave" qui, en cherchant à "briller", a abandonné les jeunes et les clubs locaux.

Aurore Bergé : Une ministre de façade. Cette creuse ministre, chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, s’est illustrée par une absence totale d’action concrète pour améliorer la condition des femmes. Ses discours sonnaient bien, mais ses réformes étaient en réalité futiles et sans impact réel. Bergé incarne ces ministres de façades, qui préfèrent jouer la carte de la communication plutôt que de s’attaquer aux véritables inégalités de genre. Elle est devenue le symbole d’une politique sans substance, qui profite à ceux qui veulent maintenir le statu quo tout en donnant l’illusion d’agir.

Philippe Baptiste : L’enseignant technocrate. Ce ministre de l’Enseignement supérieur a voulu imposer un modèle éducatif strictement technocratique, visant à aligner notre système éducatif sur les normes internationales. Résultat ? Un affaiblissement de l’enseignement public et une précarisation des établissements d’enseignement supérieur. Sa "méritocratie" a exacerbé les inégalités sociales et territoriales, mettant de côté l’égalité des chances. Un "cave" qui préfère les normes mondiales aux valeurs républicaines d’un enseignement pour tous.

Franck Riester : Un ministre des Arts au service des multinationales culturelles. Ce ministre de la Culture a servi les intérêts des grandes industries culturelles mondialisées, au détriment de la diversité culturelle française. En soutenant les grands projets commerciaux, il a écarté les artistes locaux et les initiatives culturelles indépendantes. Ce qu’il appelle "la culture", c’est avant tout un marché où les géants du secteur culturel peuvent imposer leur monopole. Il a sacrifié l’art au profit du commerce. Un ministre "cave" de la mondialisation culturelle, bien loin des valeurs traditionnelles de la culture française.

Laurent Wauquiez : le Volfoni des républicains. Le grand patron des Républicains a renoncé à toute forme de résistance face à l’Union européenne. Lui qui se disait un défenseur des identités locales et de la souveraineté nationale, n’a fait que renforcer les politiques européennes au détriment des intérêts de la France. Un "cave" qui a tout sacrifié sur l’autel du néolibéralisme.

Mais bien entendu, la liste des voleurs de grisbi ne s'arrête pas là, mes amis. Il y avait aussi "les tontons flingueurs" de la France, qui ont fait le travail préliminaire ! C’est une véritable armée de minables technocrates et de politicards véreux prêts à tout pour vendre leur pays à des forces extérieures, qu’elles soient financières ou idéologiques. N'oublions pas ces autres "grands" noms qui ont réussi à élever l'art de trahir à un niveau insoupçonné. En voilà du lourd ! Tout ce que les français détestent, se sont réunis sous la gouvernance de Bayrou.  Attachez vos ceintures, car 2025 va secouer !

On ne peut pas oublier de citer le nom du "Parrain des bacs à sable" qu'est Macron, bien sûr. "Le patron" comme il aime à se faire appeler, ou plutôt, le roi des "caves modernes". L'acteur de série B qui nous a fait croire qu’il allait "réconcilier" la France avec ses élites, mais n’a fait qu’agrandir le fossé entre les riches et les pauvres. Le type qui parle d’une "république en marche" mais qui, a facilité la fuite de tous les capitaux et gavé les paradis fiscaux tout en détruisant les services publics. Il se pavane avec des discours sur l’innovation et la modernité, mais derrière, il détruit le tissu social et fait rentrer des multinationales par la grande porte. Macron, c’est le "cave" par excellence, celui qui a su habiller sa politique libérale sous des costumes progressistes, mais au final, n’a eu de cesse que de vendre la France aux plus offrants. Des discours sur l'innovation et la modernité ? Un vrai numéro de magicien ! Mais au final, c’est la destruction des services publics et la "privatisation" de la France qui se jouait dans l’ombre. Du grand art, mais pour les mauvais artistes.

Les "caves" se rebiffent, je vous dit ! Et les tontons flingueurs ont du plomb dans l'aile. Nous sommes dans un polar à papa mais où il manque un Gabin ou un Ventura pour mettre de l'ordre dans cette cours des miracles et au pas ces petits gangsters. Pas un seul n’a eu l’honneur de défendre le pays a grand coups de taloches dans la gueule. Les vrais "caves", ce sont eux. Tous ces ministres de l'entre-soi qui ont sacrifié la souveraineté de la France pour des intérêts étrangers, n’ont eu qu’un seul but de servir les grandes puissances et de faire plaisir aux technocrates de Bruxelles et aux multinationales qui se nourrissent des ressources de notre pays. Ils nous ont tous trahis, un par un, non seulement leurs fonctions, mais surtout leur peuple. Ces "caves" ont vendu la France aux plus méchants et même pas aux plus offrants, et eux, ils s’en sortent toujours indemnes. Ils devraient pourtant être au minimum pendus haut et court et pour certains passés par les armes d'un peloton, si armée nous avions !! 

Chaque nom de cette liste, comme vous le constaterez, sera une défaite pour la France, un coup supplémentaire porté à la Raie-publique. Ces ministres, qu’ils aient été au service de l’austérité, de l’Europe ou de la répression, ont tous contribué au même objectif de démanteler la France, la vendre aux plus offrants, et oublier les plus vulnérables. La politique de ces "caves", c’est une politique de destruction, d’injustice et de soumission aux puissants. Ils vont tous, à leur manière, trahir la nation.

Cette bande de traîtres déconnectés des réalités de la France, prêts à vendre leur corps comme des catins du Bois de Boulogne, car leur âme appartient déjà à Satan, comme la souveraineté du pays, juste pour une poignée de dollars et quelques avantages personnels. Ce sont eux, les véritables responsables de la déchéance de notre nation. En voilà, une belle brochette de "caves" à la sauce Audiard ! Des types qui jouent les grands réformateurs, mais qui ne sont que des marionnettes soumises aux diktats des puissants.

La France, elle, reste sous perfusion, avec ses services publics en lambeaux, ses inégalités en hausse, et sa souveraineté écrasée sous le poids des directives européennes. Ces ministres, à la solde de puissances extérieures, n’ont cessé de vendre la France morceau par morceau, à des intérêts étrangers. 

Et les Français restent avachis, hypnotisés et concentrés sur leurs prochaines vacances. Ils ont sacrifié l’avenir des générations futures, passées sur l’autel des multinationales, des lobbies européens et des technocrates fous. Par leurs réformes destructrices et leur soumission, ces caves ont trahi la nation, l'ont laissée vulnérable, en ouvrant la voie à un système mondial où les intérêts de ces pseudo-élites de bas étages prévalent sur ceux d'un peuple, toujours aux abonnés absents…

Phil BROQ. 



Commentaires

  1. Avec 675 milliards annuels de "gaspillages et manques à gagner" les pouvoirs pourraient acheter combien de drogue par an et cela lui permettrait d'en attribuer quelle quantité, moyenne, aux consommateurs avérés (ils sont combien?).
    L’époque est aux déballages en tous genres
    https://wp.me/p4Im0Q-6uh - Le Brayou de po n’en a pas et cela nous gave les « petites-mains ». RdV, ici, au 28/12 pour déballer ses K-do

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    1. Notre pays est sous la coupe d'une caste de cancrelats, mais visiblement le peuple aime ça ! Que faire lorsqu'on est plus qu'une minorité, dans notre propre nation à vouloir le défendre ??? J'avoue ne plus avoir de solutions à proposer , sinon de nettoyer physiquement toutes ces ordures…. Mais Joyeux Noël quand même !

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  2. rien à rajouter, tout est dit...

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  3. Je partage en totalité votre billet mon cher Phil et j'avoue que je suis très inquiet pour 2025. Sans révolution nous sommes , pour la plupart,condamnés au pire du pire ! Il va falloir renverser la table au plus vite , sinon.....

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    1. Et oui, c'est le but de mes billets, d'assayer de motiver les derniers hommes libres de ce pays pour tenter de la renverser cette table, mais il semble que l'avachissement de la masse soit constant !!! La mafia sioniste à verrouillée tout ce qui pouvait l'être jusqu'aux esprits… Et je crois, finalement, que l'honneur, le courage et le panache ont définitivement quitté notre contrée...

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  4. Comme ils ont pris soin d'annoncer la liste maudite avant Noël (histoire que ça passe inaperçu), nous avons donc moins d'une semaine pour réagir (avant le Nouvel An) !!!
    Les français saisiront-ils cette opportunité ? J'ai bien peur que non, malheureusement...

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    1. Et oui, les sagouins en kippa sont fiers de montrer leur domination en tous points sur la "fille ainée de l'église" , la France c'est le futur Gaza...

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  5. Youpi! les re-voilà tous réunis nos compères sarkocon-patibles et autres andouilles macronistes hystériques, tailleurs de pipeaux puants, banqueroutiers tenaces, vendeurs de seaux troués dans les Supermarchés du grand capital international... Notre ripoublique qui rassemble maintenant une des plus incroyables collections du monde de baudruches pourries en voie de disparition depuis la la conquête de l'Amérique, ressemble désormais à un zoo aménagé pour une Foire du Trône ringarde en mode europétainiste (défaitiste)... L'ouverture de la chasse aux cafards ministériels, me souffle-t-on dans l'oreillette, est annoncée après la trêve des confiseurs.

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