LE DEEP STATE N'EST PLUS A LA FETE !
Le monde ancien, tenu par une caste de malfrats installée à la tête des pays et des institutions mondiales vacille, fragmenté par des crises internationales qui semblent spontanées, mais qui, en réalité, révèlent une orchestration savamment dissimulée depuis des décennies. Les récents événements, de la Corée du Sud à la Syrie, en passant par la Roumanie et la Russie, brossent le portrait inquiétant d’une stratégie globale de déstabilisation. Derrière ce chaos apparent se cache une cabale d’élites politiques, économiques et financières exploitant les conflits pour asseoir leur domination mondiale. Ce système, qui prospère sur les guerres, les manipulations médiatiques et la corruption politique, plonge les nations dans des luttes intestines, tout en consolidant le pouvoir d’un réseau international insidieux.
Le récent tollé géopolitique entre les États-Unis, la Corée du Sud et la Russie illustre parfaitement la mécanique de ces manipulations. Tout commence avec une campagne de désinformation massive. Les États-Unis et la Corée du Sud accusent, sans fournir de preuves tangibles, la Corée du Nord de soutenir militairement la Russie en Ukraine. Ces allégations, largement diffusées dans les médias internationaux, justifient des mesures radicales : le Président sud-coréen instaure la loi martiale, un acte qui exacerbe les tensions dans une région déjà fragile. Mais cette provocation n’est pas isolée. Elle sert de prétexte pour légitimer l’envoi de missiles longue portée américains à l’Ukraine, alimentant l’escalade militaire contre la Russie. Le but ultime étant d'empêcher l'unification du continent européen. La riposte de Moscou ne se fait pas attendre, car en déployant son missile hypersonique Oreshnik, Vladimir Poutine envoie un message clair et radical à ce groupe de fous de guerre qui se vautre dans l'impunité.
Mais ce jeu dangereux ne fait qu’attiser les tensions mondiales. Incapables de faire plier la Russie par la force militaire directe, les puissances occidentales déplacent alors leur théâtre d’opération vers d’autres foyers stratégiques, notamment la Syrie. Depuis des années, ce pays est le théâtre d’un jeu d’influences complexe. Récemment, les États-Unis ont intensifié leur soutien au groupe Hayat Tahrir al-Sham (HTS), une faction islamiste désignée comme terroriste par la communauté internationale, mais paradoxalement financée et armée par Washington et Ankara. Et dorénavant présentée comme "rebelles modérés" dans leurs médias de propagande. Ce double jeu a des ramifications profondes. La Turquie, membre de l’OTAN, poursuit aussi un agenda expansionniste dangereux en cherchant à influencer le nord de la Syrie et à asseoir son contrôle sur Damas. Ce soutien aux forces d’opposition syriennes ajoute une couche supplémentaire de chaos dans un conflit qui a déjà coûté des centaines de milliers de vies.
Face à cette ingérence, une alliance s’organisa. L’Iran, allié historique de la Syrie, renforça son soutien militaire au régime de Bachar al-Assad, tandis que la Russie redoublait ses efforts sur le terrain. La nomination du Colonel Général Alexandre Tchaïko, figure clé de la libération d’Alep à l'époque, marquait alors un tournant décisif dans le conflit. Ensemble, les forces syriennes et russes avaient lancé une contre-offensive majeure, éliminant des milliers de terroristes et reprenant des territoires cruciaux. Malgré ces victoires, la guerre médiatique bat son plein. Les récits diffusés par les groupes armés, amplifiés par leurs alliés occidentaux, brouillent la perception des progrès réalisés. La désinformation devient une arme aussi redoutable que les missiles sur le terrain. Car ce sont avant tout les médias qui font les guerres dans l'opinion publique et les banques qui les financent en attendant le retour sur investissement par la dette qu'elles créent.
Alors que la Syrie demeure sous les projecteurs, la Roumanie se retrouve à son tour dans l’œil du cyclone politique. Le récent coup d’État électoral orchestré par des forces externes illustre l’influence directe des élites occidentales sur les affaires souveraines des États. Le contexte est limpide puisque si l’élection présidentielle roumaine est remportée par un candidat anti-interventionniste, Georgescu qui promet de fermer le pipeline d’armes reliant le Pakistan à l’Ukraine via la Roumanie, les vendeurs d'armes et les banquiers font banqueroute. Ce corridor logistique est vital pour l’OTAN et toute la mafia qui les supportent, devenant la cible de toutes les attentions. Les résultats de l’élection Roumaine sont alors annulés sous des prétextes fallacieux, par les truands qui ont créée l'Union Européenne (des mafias), plongeant le pays dans une crise politique majeure. La souveraineté de la Roumanie est sacrifiée sans ambages sur l’autel des ambitions géopolitiques de Washington et Bruxelles. Cet épisode met en lumière l’ampleur des moyens, dignes du grand banditisme, déployés par les puissances occidentales pour contrôler ces pays considérés comme stratégiques.
Au cœur de cette stratégie de déstabilisation, on retrouve l'acteur central de tous les maux de la planète, à savoir la cabale bancaire internationale. Pourtant, longtemps reléguée au rang de théorie conspirationniste, l’idée que des banques financent secrètement les conflits pour en tirer profit est aujourd’hui avérée. Ainsi, avec la découverte récente de palettes entières de billets en Syrie, marquées de codes QR renvoyant à la Federal Reserve Bank de New York (Sic...), constitue une preuve irréfutable de ce système meurtrier et nauséabond qui est au cœur du "Deep State".
Ces fonds inouïs, marqués du sceau de la FED et distribués discrètement, servent à armer des milices, renverser des régimes et prolonger des guerres à l'infini. C'est la preuve ultime que les élites financières ne sont pas de simples spectateurs. Elles orchestrent et tirent profit de la destruction et de la reconstruction des nations. La CIA est dorénavant cernée de toutes parts avec les preuves de ces agissement dans les trafics d'enfants, les Bio-labs, les guerres et les assassinats politiques. Ce modèle d’économie de guerre alimente un cercle vicieux où les conflits, loin d’être des anomalies, deviennent des opportunités lucratives qu'ils créent de toutes pièces. Et où l'humanité est saccagée pour de simples profits financiers.
Du conflit syrien à l’annulation des élections roumaines, en passant par les manipulations en Corée du Sud et la guerre économique mondiale, une chose devient claire : les élites exploitent et amplifient les crises pour maintenir leur pouvoir. Pourtant, la résistance s’organise. Des nations comme la Russie, l’Iran ou encore la Syrie montrent qu’il est possible de contrer ces dynamiques destructrices. La lutte pour la souveraineté, bien que difficile, incarne un espoir face à ces forces oppressives.
Les élites politiques jouent depuis toujours un rôle déterminant dans cette dynamique mondiale. L’affaire de Benghazi en 2011 illustrait déjà et de manière flagrante la collusion entre intérêts personnels et agendas internationaux. Sous la présidence d’Obama, Hillary Clinton, alors Secrétaire d’État, avait couvert entre autre un trafic d’armes massif. Et les missiles Stinger, fournis à des groupes terroristes en Libye, ont été utilisés contre les forces américaines, révélant une chaîne de décisions imprudentes et motivées par des intérêts cachés et l'appât du gain. Cette trahison montre que les élites ne reculent devant rien pour atteindre leurs objectifs, quitte à mettre en danger leur propre peuple. Dans ce contexte, la vigilance citoyenne est plus cruciale que jamais. En remettant en question les récits officiels et en exigeant transparence et justice, les peuples du monde peuvent renverser cet ordre établi. Car si la vérité est souvent étouffée, elle demeure la plus puissante arme contre les manipulateurs de l’ombre.
Le monde ancien se désintègre devant nous sous le poids des manipulations des élites financières, politiques, et industrielles. À travers une toile complexe d’intérêts croisés entre le secteur bancaire, les multinationales, et les pouvoirs étatiques, se dessine une stratégie globale de contrôle et de domination. De la Syrie à l’Europe, en passant par les sphères médicales avec Big Pharma et la fausse pandémie mise en lumière, cette cabale opérait jusque là dans l’ombre pour préserver un système où le chantage et la corruption sont la base. Pourtant, un contre-mouvement mondial s’organise pour mettre au grand jour ces agissements et démanteler ce qu’on appelle le Deep State. Où comme le dit Trump : Le marais !
Le rôle de Big Pharma et de ses acteurs, allant de Fauci aux directeurs juifs des laboratoires, en passant par une chaine de commandements partant de la DARPA au CDC (ou la HAS en France), dépasse largement le simple domaine médical. Ces multinationales pharmaceutiques, en collusion avec les gouvernements, les banques centrales et les organisations internationales, exploitent les crises sanitaires pour asseoir leur pouvoir. L’exemple le plus frappant reste la fausse pandémie de COVID-19, orchestrée et coordonnée mondialement par ces malfrats, a révélé des pratiques plus que troublantes. Là aussi depuis la manipulation des données aux contrats opaques avec les États (les SMS entre Von der la Hyène et le vétérinaire de Pfizer, A.Bourlat, vont bientôt sortir) et les pressions iniques sur la population pour imposer des produits à l’efficacité contestée, sont dévoilées partout dans le monde sauf en France.
En France, les révélations sur les accords entre l’État et les géants pharmaceutiques, comme Pfizer et Moderna, classés "Secret défense" soulèvent des questions sur l’influence de ces entreprises sur des décisions politiques. Macron, Président progressiste, est perçu par beaucoup comme un petit serviteur zélé de ces intérêts globaux, tenu par l'histoire de "la Bite à Brigitte" mais aussi par la dissimulation de sa fortune depuis sa sortie de la Banque Rothschild. Sous son mandat, la France a renforcé sa dépendance aux lobbies pharmaceutiques, tout en ignorant les alertes sur les effets secondaires et les scandales liés à la gestion de la crise sanitaire. Mais Big Pharma ne s’arrête pas là. Derrière les milliards générés par les vaccins, se cache une volonté plus large d'établir un contrôle biopolitique des populations, grâce à des outils comme les passeports sanitaires ou la collecte massive de données médicales. Ces instruments, déguisés en mesures de sécurité, servent un agenda mondial de surveillance et de soumission des populations où qu'elles soient.
Macron incarne une figure clé dans le système mondialiste comme l'a souligné Schwab. Ancien banquier d’affaires chez Rothschild, il est l’exemple parfait de la fusion malsaine entre politique et finance. Sa présidence a été marquée par des politiques successives de haute trahison, la désindustrialisation forcenée et la vente des fleurons à des étrangers qui favorisent les grandes entreprises et les intérêts des élites internationales, au détriment de la souveraineté nationale. Et sous prétexte de réformes économiques et de modernisation, Macron a privatisé des secteurs stratégiques, affaibli les droits sociaux, et centralisé le pouvoir. Ses liens étroits avec des organisations, comme le Forum Économique Mondial de Davos, illustrent sa participation à un agenda plus vaste visant a transformé les nations en simples rouages d’un système global, dirigé par une poignée d’élites malfaisantes. Cependant, le mécontentement grandissant en France – incarné par des mouvements comme les agriculteurs, les retraités ou les gilets jaunes – montre que la population résiste malgré l'écrasante pression des milices aux ordres. Les révélations sur des pratiques opaques, notamment pendant la pandémie, remettent en question sa légitimité à incarner l’intérêt général.
De plus, Breizh Info vient de révéler que 1 003 milliard d’euros ont été arrachés aux contribuables en 2022, 2023 et 2024 pour arroser 1 472 associations pro-immigration. Coallia, par exemple, a englouti 148 millions d’euros en un an, et ce malgré un rapport de la Cour des Comptes dénonçant sa gestion catastrophique. Et à cela s'ajoute les sommes versées aux ONG spécialisées dorénavant dans l'esclavage. Sans oublier les centaines milliards offerts à l'Ukraine et les 155 milliards de dépenses en post-it et stylo des ministères. Le "pognon de dingue" qu'engloutissent ces scélérats va surement faire déborder un vase déjà bien rempli. La seule richesse que nous avons, nous la produisons et c’est le travail de tous les Français. Cette richesse est de 2 800 milliards d’euros par an. C’est le PIB. Et l’État en prélève 1 500 milliards en charges et en impôts.
Aux États-Unis, l’élection de Donald Trump a marqué un tournant dans la lutte contre le Deep State. Sa politique, souvent décriée, s’inscrivait dans une volonté de dénoncer et de démanteler cette structure parallèle. Des enquêtes, comme celles sur le financement de groupes terroristes ou les pratiques illégales des agences de renseignement, commencent à mettre au jour des décennies d’agissements occultes. Le concept de Deep State (ou État Profond) a longtemps été qualifié de théorie conspirationniste. Pourtant, les événements récents tendent à confirmer l’existence d’un réseau mondial de pouvoirs occultes qui influence les gouvernements sans passer par les canaux démocratiques. Ce réseau regroupe des bureaucrates, des services de renseignement, des lobbies industriels et des acteurs financiers qui poursuivent des agendas de moins en moins cachés.
En parallèle, des scandales émergent dans d’autres régions du monde. En Europe, des documents fuités dévoilent des manipulations des gouvernements par des intérêts étrangers, tandis qu’en Asie, des figures politiques tombent suite à des révélations sur des accords secrets. Ce fameux Deep State, constitué de banquiers apatrides affiliés à la FED et qui semblait intouchable, commence à s’effondrer sous le poids des enquêtes et des résistances populaires.
Les révélations sur les agissements des élites bancaires, politiques, et industrielles deviennent de plus en plus difficiles à cacher. Le rôle de la cabale bancaire internationale, déjà dénoncé dans des affaires comme celle des Panama Papers, Pandora papers, Clearstream, etc., est encore une fois mis en lumière. Les conflits internationaux, loin d’être des événements accidentels, sont déclenchés et financés par des acteurs connus qui tirent systématiquement profit du chaos qu'ils créent. Les preuves, comme les vaccins créés par la DARPA ou encore ces fameuses palettes de billets retrouvées en Syrie et liées à la FED, montrent que la guerre est devenue un business très lucratif pour ces élites.
Parallèlement, les scandales impliquant des figures politiques comme les Clinton, ou des organisations comme l’OTAN, illustrent comment ces structures exploitent les nations. Si des figures comme Macron et d’autres dirigeants sont discréditées, le contre-pouvoir devra proposer une alternative crédible pour éviter que le vide laissé par les anciennes élites ne soit comblé par d’autres acteurs tout aussi corrompus.
Les citoyens du monde, de plus en plus conscients des manipulations globales, ont un rôle clé à jouer dans cette transformation. Les mouvements populaires, les lanceurs d’alerte et les enquêtes journalistiques indépendantes sont aujourd’hui les meilleurs remparts contre un retour à la domination par l’ombre.
Face à ce constat accablant, une question demeure : le démantèlement en cours de ce Deep State marquera-t-il une véritable libération des peuples, ou laissera-t-il place à un nouveau système de contrôle ? Nous le saurons très bientôt !
Affaire à suivre...
Phil BROQ.
Merci Phil pour ce billet percutant, et qui dissèque avec précision les mécanismes en action depuis bien longtemps. Charge aux peuples à réagir le plus rapidement possible sous peine de finir complètement lobotomisés.
RépondreSupprimerMerci à vous de me lire !
SupprimerJe ne manquerais pas, dans les minutes qui suivent de relayer votre article "magistral" sur "Désobéissance civile". Un bilan éclairé, une analyse sans faille et sans compromission. Sachez que je me sens un peu moins seul depuis que, par un de ces hasards (ou plutôt une de ces coïncidences mystérieuses selon Karl Jung), j'ai découvert votre site en naviguant par ci-par là au gré des courants - de plus en plus dirigés et occultés - sur la toile-océanique. Tant de journaux alternatifs ne font plus, malgré leur bonne volonté de changer l'ordre des choses, leur sincérité doublée d'une audience indispensable, que de se répéter les uns les autres. Vous, vous faites "tâche d'huile" sur le bitume de l'information. Vous ne vous contentez pas d'analyser des situations inextricables, vous forcez les passages interdits pour aller au fond des causes, et je suis d'autant plus conscient des risques que vous prenez que moi-même j'ai été ces dernières années ostracisé dans le domaine qui est le mien (la poésie, ç ne pas le croire, non? dont les enjeux sont profondément politiques...). Plusieurs éditeurs désireux de me publier ont, au dernier moment, annulés leurs promesses, sans me donner de raisons valables. A vrai dire, je m'en foutrais royalement s'ils ne dressaient quelques uns mes amis poètes que je leur avais adressé et qu'ils publient quelques mois plus tard. Dans quel monde vivons-nous si nous ne pouvons plus faire confiance à la parole donnée, la parole première sans laquelle toute humanité n'a plus aucun sens. Voici le lien de Désobéissance civile: https://libertesconquises.blogspot.com/ et je vous souhaite bons vents, cher Philippe. Il faudrait d'urgence organiser un front de solidarité, en dehors des partis prix, unissant les vrais "révolutionnaires" qui oeuvrent non pour eux-mêmes mais pour le bien commun et l'amitié sans frontières des êtres humains, pour un Eden terrestre ici et maintenant. Je vous salue très fraternellement, André
RépondreSupprimerMerci infiniment pour ce commentaire qui me touche particulièrement . Bien à vous
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