LA FINALITE DES ELITES...

Le monde contemporain en déclin, est le théâtre d'une domination implacable orchestrée par une élite déconnectée des réalités des peuples. Derrière chaque crise, qu'elle soit économique, sanitaire ou géopolitique, se cache une opportunité pour une poignée d'individus puissants de renforcer leur emprise sur le monde. À travers des mécanismes de contrôle économique, médiatique et numérique, ces magnats exploitent toutes les souffrances collectives pour accroître leur richesse et leur pouvoir. Ce système, loin d'être le fruit du hasard, est en réalité le résultat d'une organisation planifiée, destinée à maintenir l'humanité sous leur joug.

Le monde d’aujourd’hui est un immense théâtre, où une poignée d’individus, héritiers d’un pouvoir ancien omniprésent, comme de fortunes inouïes souvent bâties sur le meurtre et la spoliation, joue une pièce macabre, implacable et sans remords. Les acteurs ? Des magnats anti-chrétiens, des financiers apatrides et des oligarques aux mains d’acier, animés par un délire d’hybris sans limite. Leur objectif ? Une domination totale, un contrôle sans partage, où chaque crise, chaque catastrophe, devient une opportunité en or pour renforcer leur emprise écrasante sur le monde. À l’heure où les peuples souffrent sous le fardeau des pandémies, des guerres, des crises climatiques et des écroulements économiques, une question demeure : est-ce là un enchaînement de malheurs fortuits, ou une conspiration, cachée à ciel ouvert, que les élites orchestrent pour diriger l’humanité vers sa perdition ?

Depuis des décennies, les preuves sont là, tangibles, et pourtant, dissimulées sous des couches de manipulation médiatique et de désinformation. Les faits sont bruts et inaltérés. Les chiffres sont frappants, mais ignorés ou déformés par ceux qui en tirent profit. D’après un nouveau rapport publié en 2023 par Oxfam, les 1 % les plus riches ont accaparé près des deux tiers (63 %) des 42 000 milliards de dollars de nouvelles richesses créées depuis 2020, soit près de deux fois plus que les 99 % restant. Au cours des dix dernières années, ces mêmes 1 % avaient déjà accaparé environ la moitié des nouvelles richesses. Les pandémies, les crises économiques, tout ce qui plonge la grande majorité dans la souffrance et la misère, sont devenus des tremplins permettant à une élite de s’enrichir de façon aussi exponentielle qu'abjecte. Alors que des millions d’êtres humains se battent pour leur survie face à des crises financières, à des loyers inaccessibles et à des systèmes de santé à bout de souffle, les fortunes des milliardaires croissent systématiquement.

Ce n'est pas une fatalité. Non, tout ceci est l’œuvre d’un système soigneusement élaboré, où des acteurs comme BlackRock, Vanguard et State Street détiennent des parts dans tous les secteurs-clés de l’économie mondiale : l’énergie, la technologie, l’alimentation. Leur domination n'est pas le fruit de la "compétition" économique, mais celui d’une organisation systémique de la domination. Ces puissants acteurs organisent, manipulent, et contrôlent l’économie mondiale depuis des positions d'influence incontestée. Leur terrain de jeu sont les paradis fiscaux, où des milliards d'argent échappent à la fiscalité sans qu’aucune instance ne les inquiète. Pendant ce temps, le peuple, ignorant ou contraint, paie le prix fort, écrasé sous le poids des taxes et des hausses de prix que ceux qui détiennent le pouvoir imposent sans remords. Ainsi, les crises qui secouent le monde ne sont pas le fruit du hasard mais des opportunités soigneusement exploitées par les élites pour renforcer leur pouvoir et affermir leur domination.

Prenons un exemple frappant avec la fausse pandémie de COVID-19. Ce cataclysme fabriqué par la DARPA, qui a dévasté des millions de vies humaines et désorganisé les sociétés à travers le monde, n’a pas seulement été un choc pour les systèmes de santé. C'était aussi un tremplin inique pour les géants de l’industrie pharmaceutique. Pfizer, Moderna, et d’autres ont vu leurs profits exploser, alimentés par des financements massifs de la part des gouvernements, c’est-à-dire, des fonds publics mais aussi des acteurs privés trop bien connus pour leurs malversations tel que Bill Gates. Dans ce jeu de dupes, McKinsey, ce cabinet de conseil omniprésent auprès des Young Leaders, n'a pas seulement conseillé les gouvernements sur la gestion de la crise sanitaire, il a surtout travaillé de concert avec l’industrie pharmaceutique, ce qui a mené à de graves conflits d’intérêts. Ce n'est pas une coïncidence, mais un calcul implacable où les véritables gagnants ne sont jamais les citoyens, mais les multinationales pharmaceutiques qui, après avoir profité des fonds publics, ont laissé les hôpitaux se débattre avec un manque cruel de ressources.

Autre exemple, la guerre en Ukraine. Des milliers de vies humaines sont sacrifiées sur l'autel des ambitions géopolitiques pour sauver un OTAN moribond. Pendant ce temps, des entreprises comme Lockheed Martin et Raytheon, les géants de l'industrie de l’armement, voient leurs profits exploser. La guerre n’est pas un malheur, elle est une aubaine. Les crises géopolitiques servent systématiquement de prétexte pour renforcer la domination des élites qui contrôlent les ressources énergétiques mondiales. Ces conflits ne sont pas seulement des combats pour le pouvoir, mais des batailles pour la répartition des ressources stratégiques comme le gaz et le pétrole. Le cas actuel de la Syrie, ou pire celui d'Israël, avec le passage des pipelines américains reste une horreur où le profit vaut plus que des vies d'enfants. Mais, le chaos généré par ces guerres, qu'ils financent, est une opportunité pour les puissants de reconfigurer le monde toujours plus à leur avantage. Mais qu'en est-il des populations locales ? Elles sont sacrifiées sans remords sur l’autel des intérêts financiers des oligarques qui, eux, rient jusqu’à la banque.

La crise climatique artificielle est également utilisée comme un levier pour renforcer encore l'emprise des élites. En apparence, des solutions "vertes" sont mises en avant, mais derrière ces promesses se cache une nouvelle forme de domination. La transition énergétique, plutôt que d’être un processus démocratique visant à sauver la planète, est accaparée par des multinationales qui privatisent des technologies censées être l’avenir de l'humanité : les voitures électriques, les énergies renouvelables, etc. Ces entreprises ne se contentent pas de rendre les solutions accessibles à tous ; elles imposent des prix exorbitants et concentrent tout le pouvoir dans leurs mains. Elles transforment ainsi la crise climatique en une autre occasion de renforcer leur domination. L’objectif n’est pas de résoudre la crise, mais de rendre encore plus dépendantes les masses des solutions imposées par les élites.

Ces élites ne se contentent pas d’exploiter les crises, elles contrôlent aussi l’information et répriment toute forme de résistance.

Les médias traditionnels, dans une large mesure, sont sous le contrôle d’une poignée de milliardaires. Des noms comme Jeff Bezos (propriétaire de The Washington Post) ou Rupert Murdoch (propriétaire de Fox News) font partie des têtes pensantes qui façonnent la narration mondiale. Ces médias sont devenus des instruments de propagande, servant des intérêts qui ne sont en rien ceux des masses. Tout discours dissident est immédiatement ridiculisé, marginalisé, et qualifié de "complotiste", de "populiste", ou de "dangereux". Les vérités gênantes sont étouffées, et l’ordre établi est maintenu coûte que coûte. Le pouvoir démocratique, la liberté d’expression, sont des illusions, des façades destinées à masquer la mainmise des puissants sur le monde.

Sous prétexte de lutter contre la "désinformation", des plateformes numériques censurent les voix dissidentes et les lanceurs d’alerte. La censure numérique est devenue un outil de contrôle impitoyable. Des figures comme Julian Assange et Edward Snowden, qui ont révélé des vérités gênantes sur le système mondial, sont aujourd’hui réduites au silence, persécutées, emprisonnées, tout comme pour Reiner Fuellmich. La surveillance, quant à elle, est omniprésente, sous couvert de lois sur la cybersécurité. Ces lois, qui devraient protéger les citoyens, sont utilisées pour contrôler et réprimer toute forme de rébellion.

Cette caste, dans un déchaînement d'hybris, mène l'humanité à sa perte. Derrière chaque crise, une main invisible orchestre les fils du pouvoir, et derrière chaque recul de liberté, une stratégie bien pensée vise à maintenir cet ordre du monde, au détriment des masses. L’humanité se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins : choisir un avenir fait de servitude numérique et d’exploitation systématique, ou se lever, se révolter, et briser les chaînes qui l’étouffent. Mais combien de temps faudra-t-il avant que les masses prennent conscience que leur liberté a été volée sous leurs yeux ?

Le système qui régit notre monde n’est en aucun cas le fruit du hasard, ni une simple conjonction de malheurs ou de coïncidences. Il est l’œuvre d’une élite dominante, une petite caste d’individus profondément déconnectés de la réalité quotidienne de la majorité des peuples. Cette élite ne vit pas dans le même monde que le reste de l’humanité. Elle habite dans des bulles hermétiques, protégées des tumultes et des souffrances qui affectent la grande masse. Leur déconnexion n’est pas seulement géographique, mais surtout sociale et psychologique : ces personnes, souvent héritières d’un pouvoir qu'elles n'ont jamais gagné par elles-mêmes, ont oublié les principes fondamentaux de la solidarité, de la justice et de l’empathie. Elles n’ont plus aucune conscience de ce que vivent les autres, voire un mépris total pour ceux qu’elles considèrent comme des "petites gens", dont elles ont fait un outil pour parvenir à leurs fins.

Ce qui caractérise cette élite, ce n’est pas seulement la richesse qu’elle accumule, mais sa soif de contrôle. Elle ne se contente pas de dominer les secteurs économiques, mais cherche à régir chaque aspect de la société : de l’éducation à la politique, en passant par les technologies, l’information, et même les comportements individuels. Ce n’est pas un hasard si de grands groupes technologiques, financiers et médiatiques sont entre les mains de quelques individus ou familles, capables de modeler l’opinion publique et d’influencer les décisions politiques mondiales. Leur objectif ? Façonner un monde où leur pouvoir est absolu et incontesté, où ils règnent non seulement sur les ressources économiques, mais aussi sur la pensée et les actions des individus.

Pour ce faire, ces élites ont investi dans des mécanismes de surveillance de plus en plus sophistiqués et intrusifs, qu’ils utilisent sous couvert de "sécurité" ou de "protection des libertés individuelles". De la collecte massive de données personnelles à la surveillance en temps réel des comportements sociaux, chaque aspect de la vie humaine est devenu un terrain d’expérimentation pour ces élites, qui analysent et anticipent les réactions de la population, grace à l'IA, pour mieux l’orienter selon leurs désirs.

Ce contrôle n’est pas une fin en soi mais il sert à une quête infinie d’accumulation de pouvoir et d’influence. Pour cette élite, il ne s’agit pas simplement d’être riche, il s’agit d’être indispensable. Ils ne veulent pas seulement que leur richesse soit protégée, mais qu’elle soit légitimée par une domination totale. Leur modèle de gouvernance repose sur la création de systèmes économiques et politiques où ils sont les seuls à tirer profit, où les règles du jeu sont truquées, et où la compétition est éliminée au fur et à mesure.

L’accaparement des biens communs – des ressources naturelles comme l’eau, l’air, l’énergie ou même l’espace – est un exemple parfait de cette logique. Ces ressources, qui devraient être partagées et gérées collectivement pour le bien de tous, sont aujourd’hui entre les mains de multinationales qui les privatisent, les contrôlent, et les utilisent pour extraire une rente maximum, tout en laissant les populations dépendantes et vulnérables. Chaque crise, qu’elle soit économique, climatique, sanitaire ou géopolitique, devient ainsi une opportunité de renforcer leur position dominante, en rachetant des actifs à bas prix, en soudoyant des politiciens, ou en imposant des solutions qui, sous couvert de "réformes", servent uniquement à cimenter leur pouvoir.

Le plus frappant dans cette élite, c’est sa déconnexion totale de la réalité. Leur vision du monde est une vision abstraite, construite autour de leurs propres besoins et de leur propre vision de l’avenir. Dans leur tour d’ivoire, ils ne ressentent pas les effets de l’inflation, des augmentations de prix des biens de consommation, des pénuries alimentaires ou énergétiques, ni même des bouleversements sociaux ou des émeutes qui peuvent éclater dans les pays où l'inégalité a atteint des proportions insoutenables. Ils se déplacent dans des jets privés, achètent des îles entières, investissent dans des technologies futuristes comme l’intelligence artificielle ou la conquête spatiale, sans aucune prise en compte des défis pressants et vitaux auxquels l’humanité fait face aujourd’hui.

Cette déconnexion est également renforcée par leur isolation sociale. Ils ne côtoient plus que leurs semblables : d’autres milliardaires, des technocrates, des politiciens à leur service, des experts qui justifient leurs choix et actions contre rétributions. L’espace public, les rues, les écoles, les hôpitaux, sont devenus des univers parallèles pour eux, des endroits où leur pouvoir n’existe pas. Ils vivent dans un monde à part, où leurs décisions ont des conséquences sur des vies humaines qu’ils ne verront jamais. Mais cette déconnexion n’est pas qu’une question de confort matériel ou social, elle est une stratégie. En étant coupés des réalités quotidiennes, ils peuvent mener leurs affaires sans scrupules, sans être freinés par des préoccupations morales ou éthiques.

Cette élite ne se contente pas d’accumuler le pouvoir économique, elle cherche également à manipuler la narration de ce pouvoir. Par le contrôle des médias, de l’éducation, et des plateformes numériques, elle crée un discours unique qui légitime ses actions et ses décisions. en un mot, elle réécrit l'Histoire à sa convenance. Chaque crise est recontextualisée à travers une lentille qui minimise ses effets pour la majorité, et dépeint la "solution" comme une nécessité imposée par des raisons supérieures. C’est ainsi que les inégalités sont souvent justifiées par des récits de "mérite" ou de "compétition", quand elles ne sont pas présentées comme un "accident du marché".

Les critiques à l’égard de ce système sont rapidement marginalisées, ridiculisées, et étiquetées de "complotistes" ou de "populistes". Toute forme d’opposition devient une menace à neutraliser par tous les moyens, qu’il s’agisse de censure, de dénigrement, ou de répression directe. La liberté d’expression et les droits démocratiques sont devenus des concepts malmenés, utilisés comme des slogans pour détourner l’attention de la véritable dynamique de pouvoir qui existe en coulisse. Le but ultime est d'empêcher toute forme de soulèvement ou de résistance, en installant une surveillance de masse et une censure technologique de plus en plus poussée.

Vous le constatez, le système qui régit notre monde est loin d’être une simple dérive ou un accident. Il est le produit d’une élite déconnectée, obsédée par la domination, l’accumulation de richesses, et le contrôle de tous les aspects de la vie humaine. Cette élite a appris à jouer sur les faiblesses du système, à manipuler les crises et à faire en sorte que tout ce qui se passe dans le monde lui profite. Leur pouvoir est implacable, mais il n’est pas invincible.

À mesure que la réalité de cette domination se dévoile, la résistance s’organise, et peut-être, à force de vigilance et de solidarité, les masses se réapproprieront-elles un pouvoir que cette élite a voulu confisquer. Mais, pour cela, il faudra d’abord comprendre que ce pouvoir n’est pas naturel. Il est le produit d’une déconstruction délibérée, et c’est à cette déconstruction que nous devons résister.

Phil BROQ.



 

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