DE L'INAUGURATION DE NOTRE-DAME DE PARIS A UN ATTENTAT SOUS FAUX DRAPEAU .
La scène qui se profile à l'horizon est presque trop bien préparée. Paris, cité des Lumières, se pare de ses habits de fête en ce 7 décembre 2024 pour la réouverture tant attendue de Notre-Dame de Paris, joyau de l’art gothique et pilier de notre histoire nationale, ayant brulé le lundi de Pâques, 15 avril 2019, sous les fous rires d'un Président et de son 1er Ministre, E.Macron et E.Philippe.
Mais derrière les voûtes resplendissantes, et les vitrages flamboyants récemment rénovés, décorées et illuminées à l'image d'un casino de Las Vegas appartenant à Ligne Rosée, l’ombre d’un scénario bien macabre semble planer, à la croisée de manipulations politiques, d’intérêts internationaux et d’une logique implacable de déconstruction nationale. Car sous les atours festifs de cette défiguration, un attentat sous faux drapeaux reste une hypothèse hautement plausible lors de l'inauguration de ce nouveau Temple dédié au "pognon de dingue".
Comme pour le Bataclan ou Charlie Hebdo en 2015, qui a sauvé la popularité d'Hollande en son temps, ou encore celui de Nice, où Cazeneuve alors ministre de l'intérieur était venu lui-même effacer les bandes vidéos de surveillance policière pour couvrir ses forfaits .
Imaginez donc un attentat sous faux drapeau, attribué à un prétendu islamiste radical "isolé", qui pourrait être l’arme fatale pour sortir de l’ornière politique cette caste de malfaisants qui officient depuis une décennie, tout en accélérant la dissolution de la souveraineté française dans les rouages de l’Union Européenne.
Ainsi, et selon toute vraisemblance au vu des agissements de celui qui hait "les gens qui ne sont rien" autant que les chrétiens, Macron, sous pression politique et populaire, encore planqué à l'autre bout de l'Arabie Saoudite plus vite que Le Maire en Suisse, alors que la défiance est à son comble et que la motion de censure de son gouvernement ne saurait tarder, pourrait bien s’engager dans un coup de poker ultime. Telle une dernière "grenade lancée entre les jambes" de la France, si cyniquement évoquée par le passé lors de la dissolution de l'Assemblée cet été.
Depuis son accession à l’Élysée en 2017, Macron a suivi une trajectoire ambivalente mais linéaire vers l'abîme qui va engloutir une nation séculaire devenue exsangue, croulant sous les taxes et détruisant tout le tissu économique et social. En se présentant comme le champion d’une modernité sans attaches, le "Mozart de la finance", qui joue un Requiem aux 3 300 milliards de dette, n'a séduit qu'une élite mondialisée, mais a surtout laissé derrière lui une France fracturée, méprisée et saignée à blanc.
Les mouvements populaires tels que les Gilets Jaunes, les grèves massives et les manifestations récurrentes contre ses réformes, violemment réprimées par sa milice décérébrée et une magistrature abjecte, témoignent d’un divorce abyssal entre ce Président imposé par fraude et son peuple toujours plus avachi et hypnotisé dans son canapé bon marché.
En ce mois de décembre 2024 donc, tous les signes d’une tempête politique ravageuse sont omniprésents. La colère gronde dans les rues, alimentée par les réformes impopulaires et les scandales successifs. Les agriculteurs sont ressortis de leurs champs contre le Mercosur. Les fonctionnaires attendent leur tour après un budget 2025 qui ne sera jamais bouclé, mais les verra pointer à Pole emploi dès le début de l'année. Et une motion de censure menaçant son gouvernement et donc aussi une éventuelle démission que les plus naïfs croient encore possible.
Dans ce contexte, Macron, fidèle à sa réputation de mauvais joueur de poker politique, n'ayant plus aucune crédibilité sur la scène internationale après avoir enflammé les DOM-TOM, mais aussi la Polynésie et perdu tous nos appuis stratégiques en Afrique, semble prêt à utiliser tous les moyens pour reprendre un peu la main médiatique. Puisqu'après tout, les crises, réelles et fictives ou fabriquées en hauts lieux, se sont toujours avérées être des outils politiques extrêmement efficaces pour ceux qui savent les exploiter. Et rien n'est plus insupportable au petit poudré de l'Elysée que d'être vu comme le dernier de la classe.
La restauration de la Cathédrale Notre-Dame, après l’incendie, a suscité de nombreuses controverses. Les choix architecturaux et symboliques, perçus par tous les observateurs avertis comme étant une transformation détournant un haut lieu chrétien et séculaire en un "temple maçonnique" à la sauce Disneyland, ont suscité une vague d’indignation parmi tous les défenseurs du patrimoine et surtout les croyants du monde entier. Ajouté à cela, l’absence de représentants religieux majeurs, tels que le Pape François - pouvoir spirituel - ou le Roi Charles III - pouvoir temporel du Droit Divin - à la cérémonie d’inauguration, souligne encore plus l’éloignement complet entre les élites gouvernantes et les racines spirituelles de la France.
Comme nous l'avons constaté récemment où en lieu et place d’une célébration nationale unitaire, l’événement de la réouverture est devenu une nouvelle ligne de fracture après les cérémonies pornographiques des J.O.2024 mises en scène par Thomas Joly, et encore plus récemment avec le spectacle satanique offert aux habitants Toulousains.
Dans ce contexte explosif, où la Spiritualité, le Bon, le Beau et le Vrai sont systématiquement inversés, l’hypothèse d’un attentat sous faux drapeau prend une dimension troublante sinon largement plausible de la part des sbires de Lucifer œuvrant au quotidien au délabrement de notre pays.
Ainsi, une attaque à haut rendement médiatique, orchestrée dans l’ombre par les services franco-sionistes, mais attribuée à un "islamiste radical" (qui sera abattu, comme à chaque fois, pour éliminer les preuves et prouver l'efficacité de la police), frappant au cœur de Paris lors d’un événement suivi mondialement est plus que probable, vues les capacités scénaristiques des mondialistes de chez McKinsey.
Le symbole serait au-delà de puissant, il serait dévastateur ! Notre-Dame de Paris, déjà perçue comme profanée par ses rénovations controversées, deviendrait alors aussi le théâtre sanglant d’un acte de violence extrême, une sorte de rituel sacrificiel à Moloch'. Tout en réactivant les blessures spirituelles d'une France envahie de clandestins amenés par des ONG subventionnées, son rapport conflictuel avec la religion de ces ancêtres et l’identité nationale mise à mal par la Gôooche qui rêve de dictature marxo-communiste à l'instar de Schwab.
Ceci n'est pas si fou si l'on prend en compte l’histoire récente de notre pays, qui regorge d’exemples où des événements tragiques ont été utilisés pour manipuler l’opinion publique et resserrer les rangs autour des gouvernements en difficulté. Les attentats de 2015, bien qu'officiellement attribués à des groupes terroristes identifiés, ont souvent été cités comme des moments où l’unité nationale n'a été exploitée qu'à des fins politiques par Hollande. Sarkozy nous avait fait la même chose avec Merah en 2012 et pour les mêmes raisons. Macron, en connaisseur pervers et en roue libre totale de ces dynamiques, pourrait bien chercher à reproduire ce type de schéma dans un contexte encore plus dramatique. Connaissant son goût pour le théâtre et les postures ridicules de ce chef de guerre qui n'a jamais fait l'armée, mais adorant les costumes !
De fait, en orchestrant ou en permettant un attentat lors cette inauguration, plusieurs objectifs stratégiques majeurs, pour cet énergumène oscillant entre hybris et machiavélisme, pourraient être atteints :
1. Détourner l’attention des scandales politiques, financiers et conjugaux, en plus de la colère sociale, qui seraient éclipsés par ce drame national aux relents mondiaux, amplifiés par les médias venus du monde entier pour l'occasion et mobilisant, sinon figeant, les esprits et les émotions autour de sa petite personne.
2. Renforcer le pouvoir exécutif puisque sous prétexte de protéger la Raie-publique contre de nouvelles menaces, des mesures autoritaires pires que lors de la tentative ratée du Covid, pourraient alors être imposées, limitant davantage les libertés individuelles et augmentant la surveillance déjà inique d'un peuple sous emprise. Caméras, QR codes, et Pass en tous genres verraient alors le jour et leur installation définitive.
3. Diviser le peuple, dans la lignée du "diviser pour mieux régner". Car une attaque attribuée à un islamiste pourrait enfin exacerber les tensions communautaires tant désirées par les talmudo-sionistes à l'arrogance insupportable et détourner la colère populaire vers d’autres cibles choisies par ces derniers.
De plus, l’implication supposée d’acteurs internationaux déjà trop bien implantés en France, notamment le Mossad et des entreprises israéliennes opérant en toute illégalité depuis des années, ajoute une couche supplémentaire de complexité à ce scénario. L’histoire a montré que les services de renseignement israéliens sont parmi les plus actifs et efficaces au monde, capables d’infiltrer des réseaux et de mener des opérations justifiant toujours plus d'immunité pour ces pseudos juifs, se cachant derrière une souffrance qu'ils n'ont jamais connue mais surtout infligée, comme pour Gaza. Dans ce scénario, leur rôle pourrait être interprété comme celui d’un catalyseur, agissant dans l’intérêt de leurs alliés stratégiques tout en se cachant continuellement derrière une façade de lutte contre le terrorisme qu'ils alimentent eux-mêmes. N'oublions pas que le Hamas, comme Isis, sont financés par Israël et la CIA.
Et les relations étroites entre Macron et certains milieux d’influence internationaux, souvent associés à des intérêts financiers et politiques transnationaux, pourraient fournir le contexte nécessaire pour une collaboration tacite. La France, en tant que nation souveraine, pourrait ainsi être sacrifiée sur l’autel des intérêts globalistes, par ce dernier coup de massue porté à son indépendance.
L’éventuelle présence de Donald Trump, haït pas les membres de la CIA qu'il veut démonter, à cette inauguration offre donc une opportunité unique à la fois pour amplifier l’impact de cet attentat et le sortir du jeu politique US qu'il bouleverse comme un chien dans un jeu de quilles. Figure polarisante et sous menace constante, Trump représente bien plus qu’un ancien Président américain. Il incarne une vision nationaliste et souverainiste diamétralement opposée à celle défendue par Macron et ses alliés européens. Nonobstant l'OTAN qu'il a aussi dans sa ligne de mire. Tout est réuni pour qu'une attaque le visant, directement ou indirectement, puisse créer un séisme diplomatique, permettant de réorienter tout le discours public et de polariser davantage les débats autour des agissements ignobles que mènent ses détracteurs, vendeurs de guerre et fabricants de virus en bio-labs financés par le fils Biden récemment sauvé par son papa pas si sénile, tout autour du globe.
On le constate donc, l’éclatement d’un tel événement pourrait radicalement accélérer une trajectoire déjà alarmante vers une guerre civile larvée et réengager celle perdue en Ukraine. Et des forces puissantes pourraient alors trouver un intérêt stratégique à la destruction de la France, qu’il s’agisse de la liquider en tant que puissance mondiale ou de l’intégrer pleinement dans un système supranational comme l'Union Européenne, tenue par le gangster Van der "la hyéne", où elle perdrait toute autonomie.
Parallèlement à cette guerre interne contre la joie et la convivialité, les gouvernants européens poursuivraient leurs tentatives désespérées de déclencher une guerre ouverte contre la Russie. Après les sanctions, les menaces et les livraisons de matériel militaire, l’envoi de troupes sur le terrain représenterait une escalade irréversible. Alors que la majorité des citoyens européens réclament la paix, leurs dirigeants semblent déterminés à poursuivre une logique belliqueuse, quitte à sacrifier la vie et les intérêts de leurs propres peuples.
Sur notre sol, les ingrédients d’une guerre civile sont déjà présents et sans cesse amplifiés par les agissements de Macron avec les fractures sociales et la paupérisation de la population, les tensions communautaires exacerbées par l'afflux massif de clandestins tueurs aussi voleurs que violeurs, la méfiance envers les institutions archi-corrompues et la polarisation politique malgré une absence totale d'opposition. Vous comprenez bien qu'un attentat, lors d’un événement aussi emblématique, pourrait être l’étincelle nécessaire, sinon très utile à cette caste de voyous sanguinaires, pour enflammer un pays déjà à bout de souffle.
Si ce scénario venait à se réaliser, les conséquences seraient aussi dévastatrices qu'irrémédiables. La France, déjà affaiblie par des décennies de politiques contradictoires et de crises répétées, entrerait alors dans une spirale de chaos où nul ne sait où elle nous mènera, mais sonnera le glas d'une nation déjà à genoux. L’unité nationale serait brisée, les libertés sacrifiées sur l’autel de la sécurité, et la souveraineté nationale dissoute dans une Union Européenne de plus en plus centralisée.
Certes, pour Macron, ce serait une victoire, bien sûr à la Pyrrhus, mais marquerait le dernier acte d’une présidence symbolisée par le mépris, la division et la destruction. Pour la France séculaire, ce serait une tragédie historique, spirituelle, industrielle et sociale, un tournant irréversible dans sa longue quête de liberté, d’égalité et de fraternité jamais atteintes depuis 1789.
Dans ce contexte de tensions croissantes et d’un scénario de crise savamment orchestré, la suppression des marchés de Noël apparaitrait aussi comme un geste cynique mais très symbolique, visant à éteindre toute étincelle de joie et de convivialité en cette période festive. Et marquant la victoire des forces sionistes sur la "Fille ainée de l'église" qui refuse de se coucher devant les circoncis de tous bords. Ces marchés ancestraux, lieux de rassemblements familiaux où les Français se retrouvent pour partager un moment de joie et de chaleur humaine, représentent bien évidemment plus qu’un simple rendez-vous commercial, puisqu'ils incarnent à la fois une tradition ancestrale, un espace de résilience face aux adversités de l’époque et un moment de soulagement dans cette entreprise de gestion par la peur des masses. Les supprimer équivaudrait à effacer une part importante de l’âme collective du pays.
Ainsi, les gouvernants, à commencer par des figures comme Macron et ses soutiens européens et oligarchiques, justifieraient facilement cette décision par des "raisons sécuritaires" liées à une menace terroriste ou à un prétendu "état d'urgence". Cependant, l’objectif véritable serait bien plus sombre et viserait à imposer encore une fois la peur comme émotion dominante, annihiler l’esprit de Noël et priver les citoyens d’un moment de répit face à des années de crises successives orchestrées par ces mêmes racailles en cols blancs. M.Barnier, entre autres figures du pouvoir, incarnerait enfin son rôle avec cette posture technocratique et froide, où la gestion de la peur primerait sur la célébration de la vie et où le budget serait relégué au rang d'anecdote.
Sous couvert d’une réponse "proportionnée" à un attentat potentiel, la mise en place d’un couvre-feu pendant la période des fêtes viserait à restreindre non seulement les déplacements, mais également les libertés fondamentales des Français, qu'ils ne retrouveront plus jamais. Ce serait une nouvelle étape dans une stratégie de contrôle social, de surveillance de masse accrue qui, sous prétexte de sécurité, enfermerait davantage les citoyens dans un climat d’angoisse et définitivement chez eux en cas de couvre-feu. Les festivités de la nativité, perçues comme des moments de communion, de célébration chrétienne et de partage, deviendraient alors des espaces interdits, laissant place à une atmosphère de méfiance et de solitude dans le cœur des chrétiens, mais d'allégresse totale dans celui des membres de la mafia sioniste incrustée en France, qui se cache faussement derrière leurs Kippas depuis trop longtemps. Sachant que ce climat de peur n’est pas un effet secondaire de ces mesures mais bien leur but principal. Les responsables politiques, en particulier ceux proches des cercles de pouvoir mondialistes, cherchant à plonger la population dans un état d’angoisse permanente en passant de la fausse pandémie aux fausses pénuries, puis de la guerre en Ukraine à celle en Israël pour finir écrasés par la Russie.
Cette peur sans cesse orchestrée est un outil puissant pour paralyser la réflexion, diviser les communautés, et détourner l’attention des véritables enjeux comme de leurs responsables, toujours impunis malgré toutes les preuves de leur culpabilité. Dans cette configuration, les clivages religieux et culturels sur le sol français seraient également exacerbés. Un faux drapeau, attribué à un islamiste, ne ferait qu’attiser les tensions entre communautés chrétiennes et musulmanes, un objectif poursuivi par les groupes extrémistes et messianiques. Le but ultime serait de transformer la France en un champ de bataille spirituel et identitaire, où chaque affrontement affaiblirait davantage la cohésion nationale. Alors que les Français auraient dû célébrer Noël, ils seraient contraints de vivre dans une atmosphère de suspicion et de contrôle, où chaque rassemblement deviendrait une menace potentielle.
Cette stratégie servirait donc parfaitement ce gouvernement de truands en bande organisée, mais surtout les intérêts d’un "clan sioniste", qui, selon cette hypothèse, chercherait à opposer les communautés afin de réaliser leurs objectifs messianiques. Comme nous l'annoncent leurs rabbins décérébrés à longueur de vidéos sur YouTube, bien cachés dans leurs colonies israélites. En orchestrant des divisions internes et en alimentant les conflits religieux, ces acteurs parachèveraient leur vision d’un monde régi par la peur et le chaos, où les idéaux de fraternité et de solidarité seraient écrasés, au profit d'un groupe de parasites mondiaux et apatrides ne rêvant que de sacrifice et de sang pour établir une troisième fois un temple à la gloire de leur démon.
Ainsi, les élites gouvernantes chercheraient à remodeler les pensées et les comportements des Français, écrasant toutes formes de rebellion et les rendant encore plus dociles face à des projets politiques et géopolitiques qui les dépassent, annihilant toute liberté et souveraineté. La France, dans cette vision sombre, ne serait alors plus qu’un champ d’expérimentation pour des forces cherchant à asseoir leur pouvoir sur les ruines de la démocratie et de la joie populaire. Détruisant histoire, industrie et avenir du même coup.
En ce théâtre grotesque de manipulations et d'intérêts dissimulés, la France vacille entre un passé glorieux et un avenir sacrifié sur l’autel des ambitions mondialistes. Notre-Dame de Paris, joyau profané, devient alors le symbole d’une nation saignée par ses élites et réduite à un pion sur l’échiquier des crises fabriquées. Attentats sous faux drapeaux, contrôle des masses, suppression des traditions, et c'est tout l’arsenal du pouvoir qui est cyniquement déployé pour écraser un peuple. Si le chaos est leur dessein, la France agonisera dans l'ombre d'une tragédie programmée, où la manipulation règne et l’espoir s’éteint.
Ce scénario apocalyptique, bien qu'hypothétique, reste réaliste dans la mesure où il repose sur une analyse des dynamiques politiques, sociales et géopolitiques actuelles. Il ne s’agit pas seulement d’un exercice intellectuel de ma part, mais bien d’un avertissement face aux dangers réels d’un système où les manipulations et les intérêts cachés priment sur le bien commun.
Face à ces menaces, n'oubliez pas chers lecteurs que la vigilance, l'information et la mise en lumière des rouages en action, ainsi que l’unité nécessaire du peuple français dans son ensemble, restent les derniers remparts contre une tragédie annoncée.
Phil BROQ.
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