2025 : ULTIMATUM POUR L'HUMANITE
L'année 2025 se profile comme une année charnière pour l'humanité, alors que les tensions géopolitiques, économiques et sociales atteignent des niveaux sans précédent. Les conflits militaires se multiplient, de l'Ukraine au Moyen-Orient, tandis que la montée des BRICS et l'isolement croissant de l'Occident redéfinissent l'ordre mondial. Dans ce contexte, les puissances mondiales, confrontées à des crises internes et à des luttes de pouvoir, s'engagent dans des stratégies de dominations technologiques intrusives au détriment des libertés individuelles. Les technologies de surveillance, l'escalade des menaces nucléaires et la militarisation des sociétés dessinent un avenir où toute mise en place de résistance pourrait bien devenir impossible. L'humanité se trouve donc face au choix aussi crucial que vital de devoir se soumettre à un nouvel ordre mondial dirigé par des psychopathes n'ayant aucun respect pour la vie, ou de résister - peut-être jusqu'à la mort - avant qu'il ne soit trop tard pour pouvoir sauver les générations futures.
Il ne faut pas être devin pour constater qu'à l'aube de cette nouvelle année, le monde entier se trouve plongé dans une époque de turbulences géopolitiques et économiques d’une ampleur inédite par la faute de banquiers apatrides qui financent tous les maux qui nous assaillent. Les conflits militaires, les guerres économiques, la montée des tensions internationales, la manipulation des informations et la surveillance de masse prennent une dimension qui dépasse largement les frontières traditionnelles des confrontations classiques. Ce tableau incertain est d'autant plus perturbant que les enjeux qui en découlent menacent de redéfinir le monde tel que nous le connaissions, allant jusqu'à mettre en péril l'avenir de l'humanité elle-même.
La Troisième Guerre mondiale a déjà commencé, mais ses champs de bataille ne se situent plus dans les tranchées. Ce sont désormais les marchés financiers, les devises, et les flux d’informations qui dictent les affrontements. L’affrontement entre les États-Unis et la Chine dans le cadre de la dédollarisation symbolise cette lutte pour l’hégémonie économique. Les sanctions économiques se multiplient, les alliances se redéfinissent, et le monde s'enfonce dans un chaos croissant, avec des flambées de prix, des pénuries, et des instabilités sociales qui affectent tous les continents. À l’arrière-plan de cette guerre économique, les élites mondiales, rassemblées autour du Forum de Davos et du projet du "Great Reset", attisent les fractures mondiales. Leur agenda de refondation, loin d’apaiser les tensions, accentue une colère populaire qui menace de tout engloutir. Et dans cette guerre totale, il y a également un nouveau champ de bataille qu'est le cyberespace. Les cyberattaques, l’espionnage numérique et la manipulation de l'information deviennent des armes essentielles dans l’affrontement global qui se déroule sous nos yeux ébahis. Mais le véritable danger pour la France, comme pour les autres pays occidentaux dirigés par les Young Leaders dégénérés pourrait bien venir de l’intérieur. À mesure que les fractures sociales et économiques se creusent dans les nations, des révoltes éclatent, et l’ordre mondial maintenu par la violence policière et la corruption juridique vacille sous la pression grandissante d’une colère populaire prête à exploser.
Au cœur de ces crises se trouvent toujours les mêmes têtes politiques et économiques mondiales, dont l'objectif semble de plus en plus orienté vers une domination totale et tyrannique, au détriment de tous les principes démocratiques et de la souveraineté des nations. Le projet mondialiste, soutenu par les puissances occidentales dirigées d'une main de fer par les Young Leaders du WEF, fait malgré tout face à une résistance croissante, alors que les nations émergentes et les blocs alternatifs, comme les BRICS, s'affirment comme de nouvelles puissances. Cependant, cette lutte pour l’hégémonie globale pourrait bien conduire à une fragmentation du monde, sinon à sa destruction, avec des conséquences potentiellement catastrophiques pour un avenir de plus en plus incertain en termes de viabilité.
Ainsi, le conflit en Ukraine, qui, au départ en 2014, semblait être une crise régionale isolée, s’est rapidement métamorphosé, sous les subventions de Soros et de l'Union Européenne - et motivée par un OTAN moribond mais agressif - en un affrontement abject et d’une ampleur inédite, en tentant de redéfinir les rapports de force à l’échelle mondiale. Ce qui aurait pu et dû rester une guerre locale est devenu un terrain de confrontation direct entre les grandes puissances bancaires qui financent depuis toujours le terrorisme occidental à l'encontre de la Russie, exacerbé par des livraisons d’armements massives, une alliance de plus en plus resserrée autour de l'OTAN, et des tensions économiques croissantes afin d'empêcher l'union de la véritable Europe, allant de la France à la Russie, bête noire de l'hégémonie américaine et anglo-saxonne depuis des décennies.
L'Ukraine n’est désormais plus seulement un territoire disputé, mais un véritable laboratoire de guerre technologique, où drones, systèmes d’intelligence artificielle, bio-virus militaires et armements futuristes transforment toutes les règles de l’engagement militaire, où tous les coups bas sont permis. Si les pertes humaines continuent de se multiplier, l'automatisation des combats a également éloigné les décideurs des horreurs tangibles de la guerre (les banquiers et généraux restent toujours bien à l'abri mais les soldats-recrutés de force meurent par centaines de milliers désormais) créant une désincarnation du conflit, presque inhumaine. Mais cette guerre ne se limite pas aux frontières de l’Europe de l'Est.
À des milliers de kilomètres de là, dans le Pacifique, un nouveau foyer de tensions est en train de prendre forme. La montée des hostilités entre la Corée du Nord, le Japon et les puissances occidentales menace de déclencher un embrasement mondial. Pyongyang, en poursuivant son programme nucléaire et de missiles intercontinentaux, défie ouvertement l'Occident et ses alliés. Tandis que Tokyo, confronté à l’agression croissante de la Chine et au danger nord-coréen, engage un réarmement sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale. Ce climat d’escalade mondiale n’est que l’expression d’une dynamique plus large, où les États-Unis et ses alliés cherchent à préserver à tout prix leur hégémonie vacillante, en multipliant les confrontations ignobles et les alliances contre-nature financées par la CIA et la FED. À l'image des agissements de Tsahal, dont les ignobles actions et crimes de guerre quotidiens, où les meurtres d'enfants et les bombardements d'hôpitaux et d'écoles sont filmés et mis en ligne sur Youtube, vont jusqu'à l'écœurement vomitif tant ils sont immondes. Le tout saupoudré d'une arrogance et d'un mépris qui a fait tomber les masques de ces assassins sanguinaires en kippa.
Le conflit israélo-palestinien, loin d'être une simple querelle territoriale, entre des colons d'Europe centrale et des véritables sémites défendant leur patrie, a pris une dimension géopolitique cruciale dans le cadre des tensions mondiales actuelles pour simplement préserver l'hégémonie et donc le pétrole vital pour les USA. Le projet colonialiste de l'État d'Israël, avec son plan du "Grand Israël", basé sur des mensonges éhontés d'une vision suprémaciste, vise à étendre ses frontières au détriment de ses voisins arabes. Leur "messianisme" affairiste et pseudo biblique est ramené à un simple vol à main armée de terres stratégiques en s'intensifiant sous la forme d'une répression brutale et d'un génocide systématique à Gaza, comme dorénavant dans la région tout entière. Car les colonies d'Israël n'existeraient pas si elles n'étaient pas soutenu par les puissances occidentales, notamment les États-Unis et l’Union Européenne, qui offrent une légitimité médiatique et surtout des ressources militaires pour maintenir cette agression depuis plus de 100 ans (Balfour-1917). Le massacre de civils, la destruction systématique des infrastructures et l'effacement de l’identité palestinienne dans Gaza et en Cisjordanie sont des éléments clés d'une stratégie d'extermination et de déplacement forcé visant à s'accaparer par la force des biens d'autrui.
Cette politique de terre brûlée, dans laquelle Israël, avec le soutien des puissances impérialistes, cherche à imposer son ordre mondial par la violence et la domination, reflète aussi une volonté délibérée de mettre en échec l'ascension d'une nouvelle multipolarité, incarnée par l’émergence des BRICS et la montée en puissance de Vladimir Poutine, mais aussi in fine, de contrer les ambitions hégémoniques américaines. Or, cette dynamique géopolitique ne se résume pas simplement à une quête de puissance géostratégique, mais à une volonté de destruction totale de l'ordre ancien.
Les forces mondialisées, menées par des élites occidentales, ne cherchent plus à gagner des guerres, mais à anéantir toutes traces de la civilisation telle qu'elle existe, pour imposer un nouvel ordre mondial fondé sur la surveillance technologique et un contrôle absolu des populations. Ce processus de démantèlement du monde ancien, par le recours à la guerre totale, le bombardement des sites archéologiques, l'effacement d'ethnies séculaires, la désinformation et la manipulation des consciences, est destiné à rendre toute forme de résistance impossible, mettant ainsi en place une ère de domination totale où les libertés individuelles, les racines généalogiques et historiques sont éradiquées au profit d'un système technocratique de surveillance et de contrôle global.
Et dans ce contexte mondial, un autre spectre rôde dangereusement avec la tentative d'un cataclysme nucléaire. L'OTAN et les USA, acculés et déterminés à affirmer leur puissance, face à la Russie, la Chine et la Corée du Nord, dans une logique de provocations continues, semblent renoncer à la dissuasion pour entrer dans une logique de surenchère militaire, où les russes ont pourtant démontrés à maintes reprises leur supériorité écrasante. Ainsi, chaque nouvelle démonstration de force de cet axe du mal occidental, chaque erreur de calcul, chaque provocation commise ouvertement depuis plus de 3 ans à présent, rapproche un peu plus l’humanité du chaos final. La question qui se pose alors aujourd'hui est celle du prêt-à-tout. Car nous les peuples, pris en otages par ces forces bancaires apatrides et ces tueurs ivres d'hybris, sommes-nous prêts à faire face à cette réalité destructrice et à nous insurger contre nos dirigeants, ou persisterons-nous à fermer les yeux sur cette menace grandissante où se joue non seulement notre avenir mais la vie de nos enfants ?
Simultanément, l’ascension des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) marque un tournant vers un monde multipolaire, où des puissances émergentes redéfinissent les règles du jeu économique et politique. Les tensions croissantes entre les États-Unis et leurs alliés européens révèlent un désalignement stratégique, affaiblissant l’unité du bloc occidental face à des adversaires déterminés à exploiter ces fractures. Il est certain que la réélection de Vladimir Poutine en 2024 a marqué un tournant crucial pour la Russie et l’équilibre géopolitique mondial, privant les acteurs habituels de leur arrogance. Fort d'un soutien populaire apparent et d'une participation record, Poutine se présente comme le leader d'une Russie capable de répondre d'égal à égal à une confrontation ouverte avec l'Occident dégénéré, à mettre au pli les folies des grandeurs de BlackRock et de l'Otan, et à démontrer sa puissance sereine en particulier dans le cadre de la guerre en Ukraine. Car plus les contre-offensives ukrainiennes échouent, plus BlackRock perd de l'argent, l'Otan perd de légitimité, nos dirigeants européens sont vus pour ce qu'ils sont, et bien entendu le gouvernement mafieux de Zelensky s'affaiblit tout en consolidant la position de la Russie. L'Ukraine, épuisée par le conflit, devient alors un terrain symbolique qui met en lumière et éclabousse les vrais chefs d'orchestres de tous les désordres mondiaux dans une guerre aux enjeux qui vont bien au-delà de ses frontières.
Dans ce contexte de bouleversements globaux, d'autres événements retiennent l'attention avec l'arrestation de Pavel Durov, créateur de Telegram, la tentative de museler "X" d'Elon Musk par l'Union Européenne, l'interdiction de médias étrangers tels que RT ou Sputnik, la garde à vue de "lanceurs d'alertes" en France et le contrôle du net par Google, sont autant de preuves d'une panique de ces dirigeants incapables de mener leur politique nauséabonde sans la peur et la coercition. Ces arrestations symbolisent un durcissement des régimes autoritaires dans le monde entier, cherchant à contrôler tous les récits de l’information, aussi cruciaux que les territoires eux-mêmes, car la divulgation de la vérité sur leurs agissements représente une menace directe pour les élites politiques mondiales. C’est surtout un avertissement répressif à tous ceux qui contestent le narratif officiel de cette caste sanguinaire. À l’heure où la désinformation étatique et la surveillance omniprésente façonnent notre réalité, il devient donc essentiel de s’interroger sur l’objectif réel derrière ce contrôle des informations. S’agit-il simplement d’imposer une domination totale sur les consciences et les libertés, ou bien veulent-ils surtout empêcher les preuves de leurs méfaits de sortir au grand jour, les menant inéluctablement devant des pelotons d'exécution comme pour Ceausescu ?
Et le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, engendrant une panique visible dans cette caste de mondialistes prêts a tout pour rester dans l'ombre, pourrait encore aggraver cette situation et nous mener vers une décision de politique de la terre brulée en sacrifiant le monde entier s'ils ne peuvent le contrôler. Car ce rééquilibrage redessine non seulement les alliances mondiales, en renforçant l’échec économique et stratégique pour l’Europe dorénavant prise entre deux pôles aux ambitions contradictoires, mais elle met aussi à nue les rouages et les acteurs qui ont façonnés notre monde moderne depuis plus de 200 ans.
Ainsi, la prédiction selon laquelle "la prochaine guerre sera nucléaire" semble de moins en moins relever de la science-fiction et de plus en plus de la réalité. Le monde vacille sur le fil du rasoir, et chaque démonstration de force, qu’il s’agisse des eaux de Taïwan, des plaines d’Ukraine, ou des tensions au Golfe Persique, rapproche un peu plus le moment où la dissuasion cèdera la place à la destruction pure. Et leurs conséquences dévastatrices sur les populations et les infrastructures, démontrent que la guerre nucléaire ne se résumera pas à l’Armageddon hollywoodien, mais à une transformation brutale de nos vies. C'est la raison pour laquelle, face à cette menace, la préparation est primordiale et des solutions concrètes pour limiter les risques, telles que des abris anti-radiations, des réserves alimentaires ou des stratégies de survie sont à envisager sérieusement. Mais là aussi, nous contenterons-nous de constater que la dissuasion a échoué, ou sommes-nous prêts à prendre des mesures pour éviter la guerre nucléaire en pendant haut et court les responsables connus de ce fiasco d'humanité sous des relents messianiques ?
En France, la centralisation du pouvoir et la dérive autoritaire incarnée par l’utilisation possible de l’article 16 par Macron, les réformes économiques destinées à déstabiliser les bases du pays et les projets de fragmentation territoriale, font écho à un mouvement mondial de remise en cause des États-nations. Cette logique de destruction des structures démocratiques et de contrôle absolu prépare le terrain à l’imposition d’un système technocratique mondialisé où la résistance deviendra presque impossible. Et dans ce contexte chaotique qui signe le début de l'année 2025, des pays comme la France, mais aussi tous ceux participants à cette Union Européenne mafieuse, se trouvent à un carrefour décisif, confrontés à des décisions qui érodent peu à peu leur souveraineté et qui ont ruinés leur économie pour se soumettre aux Etats-Unis, comme sous l'égide d'un Macron dont l'illégitimité ne fait plus aucun doute.
Les récentes initiatives, comme les décrets autorisant la cession de parts publiques à des entités opaques, les classements "secret défense", les trop nombreux 49-3, révèlent une stratégie dissimulée sous des airs de légalité, mais visant à affaiblir toujours plus l’indépendance nationale. Les projets d'institutions comme "France Travail" ou "l'Agence Française de Développement" alimentent une dynamique de dépendance, tandis que des mouvements séparatistes, comme en Savoie, en Corse ou dans les territoires d'Outre-mer remettent clairement en question la souveraineté territoriale. Ces éléments témoignent tous d'un agenda mondialiste, anti-français et anti-chrétien, visant à imposer un pouvoir supranational aussi illégitime que carnassier.
En 2024, le monde n'était plus seulement un champ de bataille militaire ou diplomatique, il est devenu un champ de bataille informationnel, économique et cybernétique, où chaque décision, chaque mouvement, chaque interaction peut avoir des conséquences radicales sur l'avenir de l'humanité. Face à cette menace existentielle, une résistance citoyenne tente de s’organiser, mais se heurte à une machine médiatique corrompue et alignée sur les discours officiels, comme à une police devenue une milice de tyrans arrogants. La désinformation, la manipulation des faits, et la marginalisation des voix dissidentes deviennent autant d'obstacles à la reconquête de notre souveraineté et à notre liberté. Pourtant, la prise de conscience collective demeure un levier crucial pour empêcher cette déconstruction programmée.
L'année 2025 se profile donc à l’horizon comme un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité, où les tensions géopolitiques, les luttes de pouvoirs internes et les menaces existentialistes convergent pour former un tableau des plus sombres. Notre civilisation est au bord du gouffre, plongée dans une guerre économique, informationnelle, climatique et militaire sans précédent, où les superpuissances s’affrontent sur tous les fronts pour garantir leur main mise sur notre avenir. L’Ukraine, le Moyen-Orient, la montée en puissance de la Chine, l’intrusion de puissances financières dans les processus internes des États, et la radicalisation des politiques israéliennes ignobles témoignent d’un monde de plus en plus fracturé, où l’humanité ne semble plus chercher la paix, mais bien la destruction de notre socle civilisationnel. Le spectre d’une guerre nucléaire, de crises écologiques et économiques mondiales, et d'affrontements internes dans les sociétés sur fond de fractures sociales aggrave encore la situation.
Au centre de cette tourmente se dessine un futur dystopique où la souveraineté des nations et les libertés individuelles sont réduites à néant. La question est de savoir si l’humanité pourra résister à cette machine infernale de domination, ou si elle se laissera engloutir par un processus irréversible de déshumanisation. En somme, 2025 s’annonce sous les pires auspices que l’humanité n’ait jamais connus. C’est un moment crucial où les choix de l’humanité détermineront si nous sombrons dans un chaos total, ou si nous parviendrons à redresser la barre.
Le temps presse et, face à cette menace, il est désormais impératif de choisir entre la soumission ou la résistance. Mais sera-t-il encore possible de lutter contre cette dérive en emprisonnant les dirigeants et les responsables de cette folie avant qu’il ne soit trop tard ?
Phil BROQ.
Je partage en totalité ce billet. Je crains pour ma part que nous nous dirigeons, malheureusement, vers le pire des scénarios, malgré les résistances qui s'accumulent. Seule une destruction totale de ce système archi corrompu et diabolique pourra peut être amener l'humanité ou ce qu'il en restera à créer un nouveau paradigme.
RépondreSupprimerMerci !
Supprimerune devez pas la vérité est là: aucune chance de sortir vivants de ce chaos. il y a trop longtemps qu'il se prépare. depuis plus de 3000 ans!
RépondreSupprimernous avons abandonné la philosophie , la poésie , le coeur de l'humanité que , maintenant que ce vide abyssal se fait sentir, il est trop tard pour le combler . c'est la fin de l'être humain; il a vouluJOUER au plus fort avec la Terre, ou Dieu,J e ne sais, dépassé par sa bêtise ou son huerais, qu'il va en "payer" les conséquences. Sauf qu'il n'y aura pas d'exception à ce règlement de compte.....
SupprimerA quoi bon continuer ?
http://the-key-and-the-bridge.net/what-s-the-point-in-continuing.html
Il est essentiel de continuer, car tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir… Et c'est justement cet espoir qui pourra faire naitre une humanité nouvelle sur les cendres de l'ancien monde ! Qui, avouons -le, est totalement gangréné par la corruption du matérialisme…. Ainsi va la vie !
SupprimerBonne année Phil. Notre société est aussi malade que vous le pensez.
SupprimerNous nous trouvons dans une dystopie contrôlée par l'esprit où nous pensons, parlons, votons, travaillons, achetons, dépensons et nous comportons plus ou moins exactement de la manière dont les riches et les puissants le souhaitent, tout en croyant que nous sommes libres parce que les mécanismes de contrôle nous sont cachés. Alors que nous entrons dans une nouvelle année, c’est sur cela que nous devrions tous travailler pour aider l’humanité à trouver son chemin vers un avenir meilleur.
Pour qu'il soit crédible de continuer, il faut commencer par :
Supprimer1) Revoir la Constitution : https://www.le-message.org/?lang=fr / https://www.chouard.org/
Puis définir :
2) Une nouvelle véritable démocratie : https://lavraiedemocratie.fr/
Et enfin :
3) Faire le ménage : https://pardem.org/les-dix-points-cles-du-programme-du-pardem
Une fois que tout ceci sera fait on pourra peut être reconstruire sur des bases solides.
Mais pour être tout à fait honnête, il va falloir bien plus que des messages et des paroles, il va falloir une REVOLUTION comme on n’en a jamais connu.
Autant dire attendre un MIRACLE !
Le but est d'anéantir toute spiritualité qui reste encore sur terre, en vaccinant pratiquement la terre entière, nous pouvons dire qu'ils sont arrivés à leurs fins, maintenant il en sont à une autre phase tuer tout les autres qui ne le sont pas, ensuite par le nucléaire ils détruiront la mémoire de l'humanité, ce qui leurs permettra d'écrire eux même un nouveau chapitre à notre nouvelle histoire ils maintiendront ensuite les rescapés dans l'esclavage, par leurs mensonges.
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