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La "DDF" ou QUAND LE DEVOIR DE MEMOIRE SE VEND EN SOLDE ET GAZA EN PROMO...

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Dans la France post-démocratique du XXIe siècle, les mots ont perdu leur poids et ne sont plus que des coquilles creuses, des talismans répétés machinalement pour conjurer l’effondrement du réel. "État de droit", disent-ils, comme on récite une formule magique, alors même que la justice n’est plus qu’un département annexe de l’exécutif, un théâtre d’ombres où la séparation des pouvoirs a été dissoute dans l’acide de la connivence. Tandis que le gouvernement foule aux pieds les principes qui furent jadis l’âme de la France, un nouveau moment de vérité, ou plutôt un nouvel épisode de cette interminable déchéance, a jeté une lumière crue sur la nudité obscène du régime Macronien. Nous vivons la "Diplomatie Du Fiasco". Le tout mis en scène, encadré, promu par une entité démoniaque qu’il faut bien nommer : la Diaspora Defense Forces (DDF). D’un nom martial et mystificateur, elle se rêve bras armé d’une identité en pseudo péril, mais agissant surtout comme levier d’intimi...

UN SLOGAN NOMME "PAIX"

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La scène mondiale est désormais un théâtre grotesque, où les puissants, comme des marionnettes, s'agitent sans vergogne, mais où personne ne semble réellement vouloir jouer le rôle du héros. Ici, le grand metteur en scène est Trump, personnage ambigu s’il en est, capable de mener une guerre sans véritable ennemi, tout en arborant fièrement son masque de pacificateur. Et à ses côtés, Netanyahou, figure éclatante d’hypocrisie, dont la posture victimaire frôle le ridicule quand on prend la peine d’observer l’ampleur de ses propres crimes. Derrière la façade diplomatique, la scène est tout autre, une scène où les masques tombent et où l’inhumanité s’affiche dans toute sa splendeur. Au moment où j’écris ces lignes, personne ne présager de l’avenir, mais je vais pourtant tenter de vous exprimer ici, et le plus clairement possible, mon ressenti. Et évidemment, je vous préviens de suite qu'il faudra bien plus que 240 caractères d'un Tweet… L’histoire ne commence pas, elle se répè...

QUAND LA DÉMOCRATIE MEURT SOUS LE POIDS DES BOMBES

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Il y a des jours où l’Histoire bégaie avec un cynisme si épais qu’il suffirait d’un réveil collectif pour le dissiper. Mais rien ne vient. Ni réveil, ni même sursaut dans le sommeil profond des consciences. Juste un silence obstiné des peuples hypnotisés, la torpeur d’un déni massif dans une Europe désormais soumise non à ses citoyens, mais à la volonté glacée de figures non élues, dont le vernis démocratique s’effrite au fil des scandales. Ursula von der "La Hyène", impératrice sans trône mais toute-puissante, assistée par Macron et quelques autres chefs des prédateurs affamés des libertés publiques et des droits des peuples, récidive et s'attaque, comme toujours, à la carcasse déjà mutilée de la démocratie européenne. Cette Union Européenne, censée être l’ultime rempart de la paix mondiale, se transforme désormais en usine de guerre et d’endettement. D’un côté, on nous parle de solidarité, de l’autre on déclenche un programme financier pour soutenir l’industrie de la mo...

LES FUCK-CHECKEURS

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Voltaire, depuis son siècle poussiéreux, ricane. "Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités."   Il savait. Il avait deviné ce que devient une société qui remplace la pensée par la procédure. Ce que devient un peuple qui délègue sa raison à des organismes subventionnés. Et de nos jours, dans l’arrière-boutique aseptisée du monde médiatique moderne, allant de la télévision de propagande aux journaux subventionnés, la vérité se vend désormais sous cellophane estampillé "Fact-Chekée". Elle a des sponsors, des chartes graphiques et surtout un service juridique en lien direct avec les magistrats de la 17ème chambre correctionnelle. Ce n’est plus un idéal, c’est une marque déposée. Sur les plateaux télé, dans les colonnes des journaux papiers ou numériques, elle se décline en slogans, en vignettes, en pastilles de confort cognitif. Et à ceux qui se demandent encore qui tient la bride de cette nouvelle "vérité standa...