15 septembre 2021

DU PROFIT DES GUERRES A LA GUERRE DES PROFITS

     Si essentiellement les conflits des époques allant de l'Antiquité au Siècle des Lumières eurent pour origines des différends territoriaux ou dynastiques, voire des causes religieuses, le développement des empires coloniaux, comme celui de l'Angleterre et du commerce international devenu mondialiste et non mondialisé, amenèrent les calculs affairistes à jouer un rôle de plus en plus important dans les relations internationales. S'immisçant chaque jour un peu plus dans notre quotidien grâce à leurs organes de propagande médiatique et totalement corrompue que sont les télévisions, les journaux, les radios et aujourd'hui les smartphones. Les banquiers, alors cachés sous le nom de complexes militaro-industriels, ont toujours été l'origine de ces malheurs, au point de parfois en devenir des "casus belli" entre nations en tant que motivation occulte ou déclarée des belligérants et de groupes d'intérêts agissant toujours dans l'ombre. De nos jours l'industrie pharmaceutique, cachée sous la pseudo éthique mondialiste de "la santé pour tous", est devenue un des organes prédominant dans cette guerre contre les peuples que mènent depuis toujours ces groupes à notre encontre.

     Si les activités des "profiteurs de guerre" ne sont pas toujours, à proprement parler, considérées comme illégales par les États, elles n'en sont pas moins ordinairement contraires à l'éthique pour l'opinion publique, ou de ce que l'on peut encore nommer comme étant ce qu'il reste de la morale humaine. Et les acteurs économiques, plus ou moins occultes, qui offrent leurs services lors d'une guerre ou d'un conflit et indistinctement, qu'ils soient alliés ou adversaires du moment qu'ils rémunèrent bien, furent très actifs depuis les deux derniers siècles pour massacrer les populations, pacifistes de prime abord et ce, pour leur plus grand bénéfice. Cependant, leurs bénéfices peuvent revêtir bien des formes différentes et dont, malgré la croyance populaire établie, le coté financier reste le moindre d'entre eux, car le "profit de guerre" peut présenter différents aspects. Il peut générer de nombreux autres avantages soit légalement, socialement, politiquement. Et que ces énormes avantages qu'ils en retirent soient moralement admissibles ou non, ils peuvent aussi avoir de très différentes origines. Qu'elles soient abusives voire délictueuses ou au contraire, légales et financées par les impôts des travailleurs pour leur plus grand malheur.

 En effet, qu'ils soient directement fauteurs de guerre ou qu'ils fournissent des biens, et tout particulièrement des armes à tous les belligérants, ces assassins par procuration qui ont pignon sur rue, ont dès les débuts du XXIème siècle été remplacés par de nouveaux tueurs de masse, par d'autres vautours que l'on nommera "profiteurs de crises". Et ce sont ces derniers qui sont devenus particulièrement virulents, autant que sur-médiatisés, dans nos temps de situation économique orchestrées pour être de plus en plus difficile. Et si pour beaucoup de travailleurs la crise du Covid est vite devenue une catastrophe à tous points de vue, en revanche pour d’autres, et des personnes bien identifiés cette fois-ci, c'est une véritable opportunité d'enrichissements dont on pourrait légitimement se demander s'ils n'ont pas créée cette énième crise de toutes pièces, pour en tirer autant de bénéfices financiers que d'avantages sociaux... Dans les deux cas, qu'ils vendent des armes, des solutions à sens unique pour eux-même ou des injections létales, ce sont les grands bénéficiaire de la mort sur commande, ou sur ordonnance en l'occurence, qui ont le haut du pavé actuellement.

    On se souvient facilement du rôle joué par la banque Rotschild, à l'origine du financement du nazisme, du communisme, du capitalisme, du mondialisme comme du communautarisme. Jouant sans cesse sur les deux tableaux afin de générer et d'amplifier les conflits meurtriers. Mais aussi de son rôle essentiel dans le vol de sa terre à la Palestine au profit des sionistes. On se rappelle encore celui de Ford, d'IBM, de Dupont, de Bayer, et de Prescott Bush pour aider le IIIème Reich à s'installer et à prospérer en Europe. Plus récemment c'est le cas du pseudo-philosophe des bacs à sables, le cocaïnomane "Béchamel", qui faisait en direct au journal télévisé, avec ses amis défenseurs d’Israël farouchement pro-sionistes et d’anciens membres de l’administration Bush, la promotion de la guerre en Ukraine, en Irak, en Iran, en Libye et partout où il le pouvait. On se souvient qu'il trainait sa carcasse d’arbalète cachée sous sa chemise blanche, au beau milieu de cette ronde de bellicistes assoiffés de guerre et de faucons avides de proies faciles. Toutes ailes déployées, le roitelet du tout-Paris cherchait inexorablement de nouvelles batailles, de nouvelles destructions, de nouvelles effusions de sang, pourvu que ce ne soit pas du sang Juif. C’est lui-même qui avait déclaré en novembre 2011 que "c’est en tant que juif" qu’il avait "participé à l’aventure politique en Libye". Et d’ajouter "J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël".    

    Et comme on se souviendra aussi de cette phrase du premier grand assassin Français, vendant du sang contaminé à qui en voulait, le coupable mais pas responsable juif du nom de Fabius. Lui qui scandait "qu'Al-Nosra faisait du bon boulot". Celui-là même en tant que président du conseil constitutionnel qui vient de décréter la constitution française illégale au regard des bénéfices engrangés par ses amis les propriétaires des Laboratoires pharmaceutiques. Et que ces propriétaires soient tous juifs n'est encore qu'une coïncidence évidemment. Que ce soit son propre fils qui soit mandaté par un gouvernement de traitres pour gérer cette affaire est tout aussi fortuit. Tout comme le fait que cette affiliation religieuse se retrouve aussi avec l'ancienne ministre de la santé, Agnès Buzyn, qui a interdit les soins aux malades, retrouvant par là-même un poste d'émissaire en Suisse fournit par l'autre "être de lumière" Bill Gates, immédiatement après sa démission et sa forfaiture à l'encontre du peuple Français, n'est que pur hasard. Et si l'on veut aller plus loin encore, que même son propre mari, Levy, soit à l'origine du developpement du laboratoire de Wuhan d'où est arrivé cette "crise". Ou encore que Salomon, arrière petit-fils haineux et revanchard de Dreyfus, soit celui qui a "géré" cette affaire pour notre plus grand malheur, n'est surement que coïncidence aussi.

    Tout ceci, pour simplement démontrer que, non pas que les véritables juifs aient une responsabilité quelconque dans cela car ils souffrent aussi du sionisme assassin dans leur propre pays avec cette fausse pandémie, mais que les profiteurs de crise d'aujourd'hui sont regroupé dans un certain groupe d'appartenance identifiable, comme les profiteurs de guerre d'hier, et sont tous de mèche, si je puis dire sans mauvais jeu de mot, pour faire exploser notre monde par leurs délires messianistes mortifères. Car il faut bien le noter qu'au-delà de l’allégeance politique, l’appartenance religieuse n’est pas anodine chez ces individus. Il n'est pas question ici non plus de faire de l'antisémitisme primaire, d'autant qu'ils viennent tous essentiellement d'Europe centrale et n'ont aucune filiation avec les sémites, mais bien de démontrer les liens et la connivence entre tous ces belligérants et meurtriers de masse, mus par l'appât du gain issu du commerce de la mort. Hier, ils tuaient les hommes avec des bombes et des fusils pour réaliser des profits, aujourd'hui ils nous assassinent avec de la chimie. Mais le résultat pour le peuple est toujours le même... Ruine, malheurs, souffrance et mort. Et tirer des profits déraisonnables de quelques guerres que ce soient, est déjà largement considéré comme contraire à l'éthique humaine et constituant dans tous les cas un acte profondément répréhensible.  

     Développés en un temps record et bénéficiant d’une demande à la fois mondiale et immédiate, les thérapies géniques expérimentales nommées vaccin contre le Covid-19 vont rapporter gros aux laboratoires pharmaceutiques. Assurant que la rentabilité est immédiate et que le gâteau est à l’échelle de la population mondiale. En termes économiques, c’est une très bonne affaire. En termes de mortalité, c'est une toute autre affaire. Et le public n’ayant accès ni aux montants des investissements publics et privés, ni aux coûts de fabrication, ni aux nombres réels d'accidents post-injection ou de morts, ni même aux termes des contrats, il lui est difficile de trancher et de se faire une idée juste et précise du coût réel de cette guerre qui nous est menée tambours battants par ces profiteurs patentés.

    Le pire dans cela, c'est que ces manipulateurs et profiteurs de crise, couplés aux excès de l'affairisme corrompu du mondialisme, reçoivent malheureusement un très large soutien politique et même populaire en temps de guerre ou de crise. Car, la population souvent inerte, informée uniquement par la propagande d'état et n'ayant que peu de possibilité de comprendre les tenants et aboutissants des crises qu'elles vivent, sont toujours enclins à chercher la protection plutôt que la raison. De plus, il est fréquent que les tentatives de législation permettent à des cas douteux de "profits de guerre ou de crises" abusifs de rester impunis tandis, qu'elles frappent les revenus de toutes les autres entreprises. Dans le cas présent, les laboratoires sont carrément protégés par la législation en cas de problèmes et de mort après la vaccination. Ainsi, l'image publique du "profiteur" sous-entend la capacité d'user de son influence et de ses pouvoirs pour provoquer une guerre ou une crise sanitaire pour s'enrichir plutôt que de simplement en tirer profit passivement. Ce qui en soi est déjà une folie. Bien que très souvent dans le passé, même des hommes politiques ayant reçu, ou simplement soupçonnés d'avoir reçu, des pots-de-vin et des faveurs de sociétés ayant contribué à la production de guerre ont également été étiquetés comme "profiteurs de guerre" et en ont subit les sanctions.

    Or de nos jours, ils sont félicités et mis en avant dans leur groupe des Young leader mondialistes. Plus ils créent le chaos, plus ils sèment la mort, plus ils détruisent les nations et les peuples qui vont avec et plus ils sont encensés. Les conflits d’intérêts sont devenus la norme pour diriger, les casiers judiciaires des élus sont plus remplis qu'un formulaire de la sécu, mais ils restent tous à leurs postes et font la Une des journaux télévisés pour venir défendre leurs façons de nous faire mourir. Ils s'engraissent sur le dos des travailleurs, ils s'empiffrent de bénéfices et d'avantages distribués comme autant de dividendes, ils se goinfrent comme jamais en ruinant les pays pour des générations entières, car leur seul but est de réaliser du profit. Ils profitent des crises et des guerres et nous font la guerre pour leur seul profit. 

    Il est grand temps d'ouvrir les yeux et les deux, sur cette caste de tueurs, sur cette mafia mondialiste recrutée et formée chez les "Young leaders" pour les dirigeants et dans les cercles privés des loges et clubs affairistes comme à Davos pour les autres, sur ces êtres dépourvus de toute humanité dès lors qu'il y a des gains à miroiter et à accaparer. Il faut mettre en lumière leurs agissements, leurs réseaux, leurs liens et filiations pour faire cesser cette tuerie de masse. Puisque le conflit d’intérêts n’est pas, en droit français, un délit civil ou un délit pénal, mais que ce sont le trafic d'influence et la prise illégale d'intérêts qui peuvent en découler qui sont délictueux, il nous faut en faire la preuve rapidement et constamment. Il faut jamais cesser de condamner ces pratiques, ni de dénoncer les acteurs de ces sacrifices humains qui n'ont qu'un seul but malsain, leurs Gains !

    Pour avoir une chance infime de survivre à leurs manigances mortifères, il faut de suite faire taire la guerre des profits pour qu'il n'y ait plus de profits de guerres.


Phil BROQ.




13 septembre 2021

CORRUPTION HYDROPONIQUE Vs CONNECTION TELLURIQUE

      L’hydroponie, ou culture hydroponique (ou agriculture hors-sol), du grec πονος (ponos, "le travail" ou "l’effort") et ὕδωρ (hudōr, "l’eau"), est la culture de légumes par l'action d'un liquide enrichi. Cette culture de légumes est réalisée sur un substrat neutre et inerte, irrigué d’un courant de solution liquide qui apporte des sels minéraux et des nutriments essentiels. Alors que la culture hors-sol comprenait toutes les cultures hors "terre-pleine" dont les cultures en pot, mais toujours avec de la terre, l'hydroponie, proche de la culture hors-sol, est cependant plus restreinte et sous serre, afin d'éviter les désagréments du climat changeant, les intempéries et les parasites. La terre est ici remplacée par un substrat inerte nourri au goutte à goutte de substances de substitution et contrôlée techniquement. Cette technique alternative de culture des végétaux peut être mise en place dans n'importe quel endroit du globe et peut permettre d’accélérer le processus de maturation des légumes. Elle est également très utilisée en milieu urbain, pour produire localement et pour peupler (végétaliser) l'environnement urbain relativement stérile. Des variantes de cette technique de culture se sont développées au cours des dernières années, telles que l’aéroponie.

    Dans la nature, c’est le sol qui joue le rôle de réservoir de sels nutritifs et les plantes possèdent un métabolisme qui est capable d’assimiler des aliments et de les éliminer sous forme de déchets, comme bon nombre d’êtres du règne du vivant. L'intérêt de l'hydroponie est de mieux contrôler les conditions de développement. Les cultures se déroulant sans terre mais avec un substrat que l'on choisit en fonction de ses objectifs et que l'on dispose selon l'espace dévolu à la culture, une solution liquide que l'on maîtrise, et que l'on peut recycler, et des dispositifs technologiques pour pouvoir contrôler tous les autres paramètres. De la culture naturelle, nous sommes donc passés à celle "hors-sol", corrompue par la chimie et la technologie, puis à celle hydropique pour voir germer et se developper de gros légumes, car il suffit alors d'y injecter du liquide technologiquement traité. 

    Les "gros légumes" ce sont aussi, et la comparaison est très aisée, comme cela que l'on nomme ces personnes ayant un pouvoir social supérieur ou ayant de l’influence sur tout et sur tous. Ceux que l'on affublait péjorativement de ce qualificatif de "gros légumes", étaient à l'origine des notables, membre de la "nomenklatura" (terme russe, passé dans les langues des autres pays pour désigner l'élite du Parti communiste de l'ex Union soviétique, tels que les hauts gradés de l'armée, les troupes d'élite, les membres des polices politiques, les dirigeants de la bureaucratie, etc.). On y retrouvait aussi le terme "d'apparatchik", qui désigne aujourd'hui par extension, toute personne qui profite de son rang, de sa situation au sein d'un groupe politique pour renforcer sa légitimité, son ascendant, son prestige, sa fortune, sa carrière. Mais lorsqu'on parle des "notables de l'Occident", on évoquait plutôt le nom "d'Establishment", pour nommer cette racaille et ces meurtriers en col blanc qui détient l'essentiel des pouvoirs privés (médias, finances, commerce, industrie) et qui cherche à influencer les pouvoirs publics (État et institutions) par la corruption active. Pardon, par le lobbying ! Bref, de nos jours, on dit simplement "la Mafia" mondialiste, car leurs méthodes de racket, de corruption, de chantage et de hiérarchie, sont identiques à celles qu'utilise les assassins venus d'Italie du Sud. Et c'est donc aussi par le biais de cette technique agricole qui fait pousser de "gros légumes" hors de leur sol natif, en les arrosant copieusement de liquide corrompu et saturé, que nous sommes aussi arrivés à cette forme dévoyée de gouvernance de nos pays, mais pas seulement. 

    Ainsi décrochés de leur sol natif et déconnectés des réalités quotidiennes, les responsables de ces instances institutionnelles ou politiques, ces "gros légumes"mafieux, se persuadent entre-eux qu'ils ont toujours raison, et ceci lors de longues réunions opaques aux frais du contribuable, et qu'il faut réussir à en convaincre les gens du "sol" national, qui se sentent à juste titre trahis par les leurs, abandonnés à leur sort miséreux et incompris dans leurs préoccupations premières. C'est ainsi aussi que depuis toujours, le peuple détroussé et opprimé faisait que les grandes manifestations éclataient. Elles permettaient de temps en temps de faire taire l'écho des bavardages à sens unique de ces truands en cols blancs, dès lors qu'ils leur arrivaient aux oreilles les bruits de la foule en colère, et de les faire redescendre un peu sur la terre naturelle. Mais ce temps là aussi est révolu, comme celui de l'agriculture classique, car ils n'entendent même plus les cris du peuple. Les "gros légumes" qui accaparent toutes les ressources et sélectionnés à partir de graines déjà connues pour leur rendements, sont éloignés dès le départ du substrat naturel et mis en production à l'abri dans des serres spéciales. 

    Ayant corrompu tout l'appareil gouvernemental, comme la terre nourricière, depuis bien longtemps, ces groupes mafieux bien à l'abri dans leurs "serres" à croissance rapide que sont les parlements et les forums internationaux ou encore leurs loges pour les plus provinciaux d'entre-eux, ils ne craignent absolument plus rien du mauvais temps qu'il pourrait faire dehors. Ils ont mis à leur service toute une panoplie de protections, entièrement payées par le peuple même en colère. Car c'est toute une armada de petites mains armées et assermentées, violentes et incultes, créant l'injustice et le dégout parmi les hommes et capable de les protéger d'à peu près tous les dangers de l’extérieur. Les juges et les magistrats, qui forment une belle part de cette "serre", sont d'ailleurs souvent perçus comme étant la frange des fonctionnaires la plus corrompue à travers toute la planète, après les hommes politiques, bien entendu. Les citoyens, conscients du monde qui les entoure, pensent qu’ils sont "tous" ou "la plupart d’entre eux" impliqués dans les affaires de corruption en tous genre, qui vont du trafic d'influence au détournement de biens communs. Ils sont suivis dans cette catégorie par les policiers/gendarmes et enfin les agents de impôts (ces hauts fonctionnaires issus de l'ENA). Ce sont ces personnes, toutes grassement payées par les impôts des travailleurs, qui assurent l'impossibilité aux manifestants de revendiquer leurs droits comme leurs dus. On constate alors que ces catégories là, sont aussi élevées "hors-sol", puisqu'elles pratiquent leurs méfaits toujours contre le peuple et jamais contre les gros légumes, loin de leur terre native, sans cesse en mutation ou en déplacement. Tout en reconnaissant malgré tout, la présence sporadique de quelques magistrats sérieux au sein de l’appareil judiciaire, mais si rares...

   Et lorsqu'on sait que la justice est la colonne vertébrale d’un pays et qu'un système judiciaire corrompu qui ignore la voix de l’innocent, permet au coupable d’agir en toute impunité, on comprend mieux d'où vient la scoliose qui à tordu notre pays et le regroupement inouï et inédit des pires criminels et truands au sommet de notre propre gouvernement. Car si le peuple ne l'est plus depuis longtemps, la corruption en revanche est bien la souveraine, dans la République Française et européenne. C'est d'ailleurs devenu LA valeur républicaine par excellence. Elle est plus essentielle à cette République que n'importe quelle espèce de Cathédrale. Et la corruption, à y regarder de plus près, c'est une très vielle affaire chez les élites françaises. Ça ne commence malheureusement pas avec la cinquième République. Déjà dans "Les Luttes de classes" publié en France en 1848, Karl Marx, en historien ou chroniqueur de son temps, décrivait un Etat français hautement et fondamentalement corrompu par ses élites bourgeoises et aristocrates. Il expliquait que "le pillage de l'État en grand, tel qu'il se pratiquait au moyen des emprunts (la fameuse dette), se renouvelait en détail dans les travaux publics.Il rajoutait: "De même que les dépenses publiques en général et les emprunts publics, la classe dominante exploitait aussi les constructions de lignes de chemin de fer. Les Chambres en rejetaient sur l'État les principales charges et assuraient à l'aristocratie financière spéculatrice la manne dorée. On se souvient des scandales qui éclatèrent à la Chambre des députés lorsqu'on découvrit, par hasard, que tous les membres de la majorité, y compris une partie des ministres, étaient actionnaires des entreprises mêmes de voies ferrées, à qui ils confiaient ensuite, à titre de législateurs, l'exécution de lignes de chemins de fer pour le compte de l'État." Et tout ceci fut permis parce que la justice n'a jamais remplit sa fonction et n'a jamais été à la hauteur de son rôle. De nos jours, on retrouve aussi, comme à cette époque, toujours les memes types de personnes dans les conseils d'administration. Rien n'a changé, tout s'est empiré, mais revenons à nos "légumes".

    Et si la France n'est pas encore le pays le plus corrompu ou corrupteur au monde, malgré sa classe dirigeante et politique, sa voisine Suisse peut quant à elle prétendre largement au titre. Et même si l'ancien président Français, François Hollande, avait déclaré :"Mon ennemi, c'est la Finance" (Macron) afin d'essayer d'attirer encore les électeurs les plus naïfs de l'époque, nous avons appris grâce aux confidences de la "cocue" par l'actrice, que les réels ennemis depuis toujours de Hollande étaient en réalité les "sans-dents"... Ces gens pour qui l'Etat dépense "charitablement" un pognon de dingue qu'il leur a pourtant totalement et préalablement extorqué sous forme de taxes diverses. Et que dire de notre pays depuis l'arrivée du petit banquier poudré mégalomane, ce petit légume hors-sol issu directement des serres Rotschild ? Car le facteur commun des grandes "serres" de prédilection, pour tous les gros légumes cultivés en hydroponie, c'est à dire alimentés par du liquide à outrance venu de la haute finance, sont essentiellement basées en Suisse. Ce tout petit pays, enclavé entre les montagnes, profite allègrement de tous les malheurs de la Terre, comme de tous les criminels de ce bas monde avec ces installations financières incontrôlables. Bien que ce pays confetti n'ait jamais été classé par de "pays le plus corrupteur au monde", il héberge les principales organisations internationales créatrices et complices de tous nos maux. 

    Ce pays n'a jamais fait fuir les investisseurs et c'est même tout le contraire. Il attire tout le beau monde de la corruption internationale et de tous les continents ! Tous les plus gros légumes du monde ont un pied-à-terre là-bas et donc les plus grandes "serres" hydroponiques mondialistes aussi... En quarante ans, le nombre de milliardaires a explosé dans le monde. En 1980, la planète en comptait 120 contre plus de 2500 aujourd’hui. Et ils se retrouvent tous à Davos au moins une fois par an ! Tous ces gens ont aussi en point commun le fait de vivre hors-sol, d'être des "gros légumes" héréditaires et élevés en hydroponie par les liquidités douteuses et souvent issues de la corruption systématique des membres des états, qui leurs confèrent leur volume hors norme dans un monde en perdition. Leur pouvoir financier de ces moins de 1% (et encore lorsqu'on compte large) est tel qu'il équivaut à plus de la moitié de toutes les richesses présentes sur Terre et que se partagent les 7 milliards de personnes restantes accrochées à leur sol. Ces êtres ne sont pas issus de terroirs, ils n'ont aucune saveur véritable, ils ne sont pas non plus connectés à la terre nourricière mais bien nourris sur des substrats inertes gavés d'éléments nutritionnels. 

    Et ce sont les fossoyeurs du monde actuel, ces pollueurs patentés qui mazoutent les océans avec leur pétrole autant que les cieux avec leurs jets privés, qui osent nous parler d'écologie. Ce sont ces patrons d'entreprises les plus néfastes à tout écosystème qui viennent nous expliquer, dans leurs jets privés, ce qu'est le "green concept". Ils détruisent tout ce qui est naturel pour imposer leur monde artificiel. Ce sont ces légumes développés exclusivement en hors-sol, qui nous font la morale sur la façon de gérer notre Terre. Notre monde marche à l'envers, parce que ceux qui le dirige n'en font plus partie. Ils n'ont plus ni racines, ni ramures connectées avec le réel, Ils ne savent plus d'où ils viennent, ni quelles sont leurs attaches naturelles. Ils sont comme gonflés aux vitamines technologiques supportées par des liquidités loin d'être claires comme de l'eau de roche. Et leur seule force réside dans leur capacité financière illusoire et artificielle. Elle est en leur capacité à venir déraciner tout un chacun de son sol natif, par leur corruption ou par leur chantage, pour en faire un véritable légume sans attache, un produit parfaitement calibré et conforme à leurs exigences, mais qui ne sera jamais aussi gros qu'eux, ni reproduit, mais jeté au sol et mis à mal par leurs piétinements une fois utilisé, afin de faire disparaitre à jamais ce que la véritable Terre lui avait apporté pour en arriver jusque-là.

    Tout être humain normalement constitué sait que plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses. Nous devons sortir des créations et des développements hors-sol et repenser en profondeur notre rapport au monde et à nous-mêmes. C’est ce que dans le langage habituel on appelle "avoir les pieds sur Terre".  Etre connecté à la terre, c’est aussi se souvenir de son statut de passager temporaire. Rien ici-bas ne nous appartient, nous n'en sommes que le garant temporaire afin de le transmettre aux futures générations. Or, dans notre société hors-sol, tout lien à la terre s’est vu progressivement et systématiquement démantelé par cette bande de gros légumes immondes. Depuis plusieurs siècles de modernisme puis de rationalité sans conscience, nous transformons peu à peu notre monde originellement fourmillant de vie en une serre recouverte de plastique et toute sèche. Et nos enfants sont éduqués entre les murs cimentés d’écoles-prisons de 2 à 25 ans à grand coups de matières académiques abstraites, les maladies sont soignées par des molécules chimiques qui n'ont plus rien à voir avec les plantes d'où elles étaient extraites, et le nombre de micro-organismes nourriciers et nécessaires dans les terres de nos champs a été divisé par 10 voire 100 selon les zones. Les herbes folles qui poussent, à d’autres endroits que ceux qui leur ont été strictement assignés, sont traitées comme des êtres indignes de vivre. Tout est calibré selon la folie des promoteurs du hors-sol. Même la police quitte le sol, à grand renfort de drones et d’hélicoptères.

  Il n’est plus temps de chercher à comprendre comment nous en sommes arrivés à ce point aussi extrême de rupture de la connexion avec notre sol. Car dans cette folie nommée à tord "progressisme," tout devient chaque jour un peu plus incertain sinon chaotique, et où le retour à l’enracinement nouveau devient la plus sûre des immunités individuelles et collectives face aux risques de dérives de notre société (totalitaires, identitaires, climatiques, etc). Depuis des millénaires, l'Homme s'est toujours connecté à la terre en tant qu'être vivant et permettait ainsi, à l'énergie tellurique de s'élever dans le corps afin de le renforcer, voire de le régénérer. Encore aujourd’hui, on peut vivre et expérimenter la connexion à la terre simplement en étant assis, debout ou en marchant pieds nus sur le sol à l'extérieur. C'est un pouvoir de guérison remarquable. Cela montre bien que les êtres humains ont perdu leurs racines, ce courant électrique qui vient du coeur de notre monde, pour ainsi dire. Paradoxalement, en ce connectant à internet, les Hommes se sont déconnectés, et cette déconnexion peut être une des grandes causes négligées de la douleur et de l'inconfort humain. Tout comme elle joue sur l'incidence croissante des maladies chroniques, mentales comme physiques, dans le monde entier.

   Lorsqu'il nous est impossible de nous connecter directement avec la nature, parce que nous vivons dans une structure urbaine ou que notre environnement est sur-pollué, ou lorsque l'on souhaite prolonger le contact avec la terre pour bénéficier de ses innombrables avantages, il est possible d'utiliser différentes méthodes simples et douces, pour retrouver notre énergie naturelle et nous débarrasser de cette emprise technologique néfaste. En premier lieu, il faut couper les appareils électriques et les connexions artificielles que sont les ordinateurs, les smartphones et les télés. Débranchez-vous pour mieux vous reconnecter ! Car la Terre a une légère charge négative, et lorsque vous vous tenez sur le sable pieds nus, les électrons venant de la Terre affluent dans votre corps, vous procurant ainsi une  "transfusion" virtuelle de son pouvoir guérisseur. La Terre est une source naturelle d’électrons et de courants électriques subtils qui sont essentiels à un fonctionnement correct des systèmes immunitaires, circulatoires, de la synchronisation des biorythmes et d’autres processus physiologiques, et peut se révéler en tant qu’antioxydant,  le plus efficace, le plus essentiel, le moins cher et le plus facile à utiliser.  

    La première clé est celle qui se retrouve dans toutes les pratiques : la respiration, évidemment. Lorsqu'on inspire en conscience profondément par les narines, en dosant le débit entrant et le débit sortant par la bouche, on revient automatiquement au présent. La présence nous reconnecte naturellement à l’espace immédiat qui nous environne, et à notre corps. Par le souffle, ce processus de vie qui relie tous les vivants, et qui constitue une des étapes clés des grands cycles biogéologiques de notre corps. On se souvient alors que nous sommes tous interconnectés par le même air et la même eau partout sur le globe. On laisse alors entrer de l’air et on se souvient qui l’a fabriqué en amont. On laisse sortir l’air, et on se souvient à qui il va servir plus tard.   

     La deuxième clé réside dans nos amis les arbres ou les plantes (et non pas les légumes). Parfois, il suffit de regarder quelques minutes un arbre pour se souvenir qu’il est à la fois connecté au ciel (photosynthèse, appel de la lumière, récupération de la pluie) et à la terre, avec des racines qui sont souvent plus importantes encore que la partie aérienne. Lorsqu'on regarde un arbre, on se souvient que nous aussi, nous avons besoin du sol et que nous avons des racines qui renforcent notre recentrage personnel. Cela renforce notre conscience d’être humain faisant partie d'un tout et nous éloigne de cet environnement créé technologiquement pour nous déraciner. Aussi, il est important de comprendre que l’inflammation du corps comme de l'esprit est un état qui peut être réduit ou évité en mettant votre corps au contact de la Terre, de la même façon qu’ont fait tous nos ancêtres depuis des centaines sinon des milliers de générations.    

    La troisième clé réside dans l'attitude personnelle. Cela marche encore mieux si on se met pieds nus et que les pieds sont effectivement posés sur un sol non artificiel comme de la terre (au sens du terreau), du sable, de la mousse, de l’herbe, des rochers... Mais même si les pieds sont enfermés dans des chaussures en plastique au vingtième étage d’une tour de banlieue, on peut tout de même visualiser que cette énergie se dissipe dans le sol en mettant toute notre conscience dans la partie basse de notre corps, et surtout dans la sensation de notre poids sur les plantes de pied. Quand vous vous placez sur la terre riche en électrons, un meilleur équilibre du système nerveux sympathique et parasympathique se produit. Le corps humain a évolué en contact constant avec la Terre, et votre corps a besoin de cet échange vital et continuel d’énergie pour fonctionner correctement.    

  Avec cette pratique régulière, simple, rapide mais extrêmement efficace, vous pourrez revenir à un monde sain et naturel dès que vous le souhaiterez. Car le stress dû aux radicaux libres liés à l’exposition au mercure, aux cigarettes, aux insecticides, pesticides, graisses, wifi et radiations, et beaucoup d’autres facteurs, réduit continuellement les électrons de votre corps. Toucher la Terre aide à neutraliser les charges positives des radicaux libres dommageables pour votre corps. Clint Ober, spécialiste du "Earthing" indique que ce manque de connexion à la Terre semble être un fil conducteur sous-jacent dans la plupart des maladies chroniques, c'est un phénomène qu’il nomme "le syndrome de déficience électrique". Il a redécouvert avec études à l’appui cette sagesse simple et millénaire, que l’être humain est issu de la Nature et a besoin d’un contact soutenu avec Elle pour son équilibre et sa santé. Pour sa croissance et son developpement sain. C'est à dire tout l'inverse de ce que les Gros légumes mondialistes nous obligent à faire. Il savait que le corps humain est conducteur et donc traversé par de nombreux courants électriques. C’est la raison pour laquelle ceux qui travaillent dans l’industrie électronique se branchent eux-mêmes à la terre afin d’éviter de "griller les circuits". Ce qui était nouveau toutefois avec Clint Ober, c’était le lien qu’il faisait entre notre charge électrique corporelle et notre santé.

   La majorité du temps, nous sommes séparés de la Terre par le béton, le tapis, du caoutchouc, ce qui empêche le corps de se décharger et de s’équilibrer électriquement. À l’image d’une maison qu’il faut mettre à la terre pour éviter les "parasites électriques", Clint Ober tabla sur l’importance que l’être humain soit, lui aussi, en contacte avec la Terre. Cette question est d’autant plus pertinente en raison de notre mode de vie moderne qui nous prive la plupart du temps d’un contact avec la Terre alors que nous sommes de plus en plus entourés et bombardés par toute sorte de champs électromagnétiques issus d’appareils électroménagers, de téléviseurs, d’ordinateurs, de téléphones portables, etc. La recherche a démontré que cela ne prend environ que 80 minutes aux électrons libres de la Terre pour atteindre votre système circulatoire et transformer vos cellules sanguines. Enfin et surtout, lorsque vous êtes connecté à la Terre, les électrons chargés négativement que vous recevez augmentent la structure de l’eau de vos cellules, tout comme la structure de l’eau augmente quand une charge négative est introduite par une électrode. Tout comme une batterie, cette eau peut contenir de l’énergie et peut fournir de l’énergie également. En substance, quand vous vous ancrez, quand vous vous enracinez de nouveau, vous chargez chacune de vos cellules d’une énergie que votre corps peut utiliser pour se soigner lui-même.

    Alors, pour empêcher leur "progressisme hydroponique" et la corruption qui en découle, reconnectez-vous, recentrez-vous, aidez-vous à aller de mieux en mieux, chaque jour, simplement en respirant et en marchant pieds nus. Vous éviterez la corruption de votre corps, celle de votre environnement et les gros légumes seront certainement et très rapidement bien seuls enfermés dans leurs serres artificielles. La corruption systémique comme celle de votre mental n'auront plus aucun effet sur votre vie et cette méthode simple pourrait changer notre futur à tous... Pensez-y, mais surtout faites-le... 

    La solution est encore une fois en vous, et uniquement là...

Phil BROQ.



09 septembre 2021

DEPUIS "LA COMPAGNIE DE JESUS" JUSQU'A VATICAN II

     Le Vatican est à présent clairement sous l’influence de Satan et surtout depuis l'avénement du très controversé Concile nommé "Vatican II". Concile qui n'a depuis jamais cessé de créer toutes sortes de groupes anti-chrétiens pour lutter contre l’Evangile et avec pour seule ambition de dominer le monde. Cela s’est fait, de prime abord, par l’intermédiaire de "La Compagnie de Jésus" (en latin : Societas Jesus). C'est une congrégation catholique, masculine, dont les membres sont des clercs réguliers appelés "Jésuites". La première Compagnie fut fondée par Saint Ignace de Loyola, Saint François Xavier, Saint Pierre Favre et les premiers Compagnons en 1539, et elle fut approuvée en 1540 par le Pape Paul III. Dissoute en 1773, elle sera rétablie dans ses prérogatives en 1814 par le Pape Pie VII. La vocation première et avouée des Jésuites est de se mettre au service de l'Église catholique. Cela les a conduits à s'engager dans la Contre-Réforme post-tridentine et à orienter leurs activités vers l'évangélisation, la justice sociale et l'éducation. Du moins l'éducation qui va dans le sens de leurs desseins mondialistes.

    Ignace de Loyola était un juif marrane, c’est-à-dire juif séfarade converti au catholicisme. Et sous des apparences louables et très religieuses, il mène un combat féroce pour imposer une doctrine et des actions plus ou moins subversives basées sur l’infiltration, la manipulation, et aux ordres exclusifs du Pape. Ce sont par ailleurs les Jésuites qui ont le plus fourni d’énergie lors des six siècles d’Inquisition contre les "incroyants". A côté d’eux, les Dominicains passeraient presque pour des enfants de chœur… L’Ordre des Jésuites a donc été créé pour être une armée au service de Rome, et non au service de l’Eglise catholique, qui devint très vite leur outil de conquête. Il s’agissait ni plus ni moins d’une milice pour convertir les peuples et ramener les grandes religions mondiales dans le sein de Rome à travers l’œcuménisme. Aucune révolution, aucune guerre n’ont été déclenchées sans eux. Et en quatre siècles, ils ont été bannis 73 fois d’à peu près tous les pays, tant ils causaient de désordres et de problèmes politiques partout où ils étaient.     

    Sous l’Ancien Régime, les Jésuites s’étaient octroyé le monopole de la confession des princes et des rois catholiques de l’Europe. C’est ainsi, par le truchement et la trahison des secrets de la confession, qu’ils arrivaient sans mal à les dresser les uns contre les autres jusqu’à ce que, excédés par leurs manigances, les princes les expulsent de leur pays respectif. Il faut aussi savoir que les Illuminés de Bavière, ceux que l’on nomme "Illuminati", ont été fondés le 1er mai 1776 par Adam Weishaupt, qui était aussi Jésuite et professeur de Droit canon de l’Université d’Ingolstadt en Bavière. Mais cette "Confrérie des illuminés" avait été déjà  imaginée en 1773 lors d’une réunion des personnalités européennes les plus influentes, dont Amschel Mayer, fondateur de la dynastie financière qui se fera appeler Rothschild, signifiant "bouclier rouge" car c'était l’enseigne de la maison de change d’Amschel. Et cette réunion secrète avait pour but de mettre en place, pour les siècles à venir, un plan visant l’instauration d’un gouvernement mondial invisible. A l’instar des Jésuites qui ont masqué leur organisation secrète sous l’apparence d’un ordre religieux, les "Illuminés" feront de la franc-maçonnerie moderne naissante leur paravent, en créant dans toute l’Europe des Loges remplies par des êtres ne visant que le pouvoir.

    Toutes les loges ou fraternités secrètes contemporaines sont organisées sur le modèle des Illuminés de Bavière, lui-même calqué sur l’ordre intérieur de la Compagnie de Jésus. Les membres ne pénètrent pas ces structures secrètes par chance ni par volonté personnelle. Le recrutement se fait exclusivement par cooptation, puis les membres reçoivent un parcours initiatique basé sur l’idée maçonnique de développer l’être jusqu’à son sommet. C'est à dire au-dessus de Dieu ! L’initié doit démontrer qu’il peut servir au maximum de ses possibilités la structure pyramidale du pouvoir synarchique, afin d’en gravir les échelons. C'est ainsi que l'on retrouve de nombreux francs-maçons dans toutes les strates décisionnelles du monde actuel. Les francs-maçons, forts de leurs représentants/pions placés partout, ont ensuite eux-mêmes créé toutes sortes de groupuscules anti-chrétiens tels que les Mormons, les Témoins de Jéhovah, les Théosophes, etc. Bien que créés de prime abord par Rockefeller, leur principal soutien financier actuel et assumé est sans conteste la famille Rothschild. Ils avancent toujours cachés derrière des paravents religieux, c'est ainsi qu'au XIXe siècle, les Jésuites lancèrent le "concept " d’antisémitisme, afin de rejeter la responsabilité de leurs turpitudes sur les juifs. Les écrits antisémites de l’époque, dont les fameux "Protocoles des Sages de Sion" furent d'ailleurs rédigés et mis en circulation par les Jésuites afin de détourner l’attention et de faire des juifs le bouc émissaire idéal pour l'époque. Mais il ne faut pas confondre les "vrais" juifs de souche certaine et les milices sionistes politiques justifiées par Théodore Hertzl.  

    Les Illuminés de Bavière ne sont que l’une des résurgences occultes des Jésuites, dont l’ordre fut dissout par le Pape Clément XIV en 1773. L’ordre des Illuminés est d’ailleurs bâti sur la même structure que les Jésuites dont il reprend la discipline morale rigide et le culte du secret. Ce type de structure deviendra par ailleurs la "structure-type" des véritables sociétés secrètes occidentales anciennes comme actuelles. Par la suite ce groupe de Jésuites ainsi masqués sous des noms divers, dont son supérieur général actuel est Arturo Sosa, a créé les loges francs-maçonnes.  Et sachez que le Pape actuel, François 1er élu en mars 2013 suite à la démission de Benoit XVI, est aussi le premier Pape Jésuite de l'histoire. On peut signaler aussi, afin de tisser les liens de cette trame malsaine, que le Cardinal Dulles, décédé le 12 décembre 2008, Jésuite de son état et petit-fils du fondateur de la CIA Allan Dulles, était le responsable assumé au Vatican des contacts avec la CIA. Il fut nommé Cardinal de l'Église catholique par Jean-Paul II  le 21 février 2001. Or, par la règle introduite par Jean XXIII, il aurait dû recevoir l'ordination épiscopale avant d'être élevé au cardinalat. Seulement le Pape Jean-Paul II accéda à sa demande spéciale de déroger à cette règle sans sourciller. Et il recevra le 19 avril 2008 la visite du Pape Benoît XVI, qui lors de sa visite aux États-Unis, se déplacera spécialement à Fordham pour le rencontrer. C'est dire la connivence qu'il y a entre la CIA, et le Vatican. 

    Dans les années 1970 en Italie, un homme, Licio Gelli, a pris la tête d’une loge maçonnique regroupant les personnes les plus influentes du pays. En quelques années, cet homme a quasiment réussi à créer un Etat dans l’Etat. Cette loge du nom de "P2", pour "Propaganda Due", dépendait du Grand Orient d’Italie, la plus ancienne obédience maçonnique du pays. En 1976, le Grand Orient suspend cette loge P2 qui enfreint les règles de la franc-maçonnerie. Devenue secrète et donc illégale, la loge P2 a laissé planer son ombre dans de nombreuses affaires qui ont secoué la société italienne des années 70 : la mort de Jean Paul 1er, la faillite de la Banque Ambrosiano, l’attentat de la gare Bologne ou encore l’assassinat d’Aldo Moro. Mais l’histoire de cette loge P2, c’est aussi l’histoire d’un homme qui se considérait comme le grand marionnettiste : Licio Gelli. Sur le chemin de cet homme qu’on a surnommé Belphégor, nous croiserons Franco, Mussolini, la mafia, la CIA, le Vatican, les banques suisses… C'est donc sans réelle surprise, pour ceux qui suivent cette trame malsaine des maîtres du monde, que l'on apprend que le Vatican conclut une "alliance mondiale" avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation. L’initiative mondialiste, appelée "Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican" (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer "des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives". Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement "Les Gardiens" (The Guardians), se qualifie lui-même de "collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du Pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon".

    Cela vient après que le Forum économique mondial, les Nations Unies et d’autres institutions ont récemment appelé à une "grande réinitialisation" pour réorganiser le système capitaliste mondial en un ordre mondial trans-humaniste socialiste qui éliminerait la propriété privée et la monnaie. Dans la liste des "Gardiens", en plus du Pape François, figurent les PDG de Visa, Mastercard, Bank of America, Dupont, The Estée Lauder Companies, Johnson & Johnson et British Petroleum, ainsi que le secrétaire général de l’OCDE, le président de la Fondation Ford Darren Walker, le président de la Fondation Rockefeller Rajiv Shah et l’envoyé spécial des Nations Unies pour le climat, Mark Carney. Il faut rappeler qu'à la fin du XIXe siècle, les grands capitalistes libéraux (Rothschild, Carnegie, Rockefeller, etc.) ont soutenu la réforme sociale comme un moyen d’apaiser les classes ouvrières rétives et, finalement, de les placer sous leur contrôle. La Société Fabienne était l’organisation clé mise en place à cet effet. Nous allons en reparler plus loin. Et Lord Nathan Mayer Rothschild fut l’un des premiers partenaires de Sidney et Beatrice Webb à financer leurs projets subversifs.   

    Lorsqu'on sait que la fortune inestimable des Jésuites, issue notamment des trafics fomentés par la CIA, est aussi en grande partie redevable aux trafics de drogue et de chair humaine grâce aux liens entretenus avec les mafias italo-colombiennes, on peut craindre le pire de cette alliance. Bien que l’implication grandissante de la CIA et sa responsabilité dans le trafic de drogue mondial soit un sujet tabou dans les cercles politiques, les campagnes électorales, et les médias de masse. Le journaliste Alfred McCoy s’est impliqué plus que quiconque pour faire prendre connaissance au public de la responsabilité de la CIA dans le trafic de drogue au sein des zones de guerres états- uniennes, écrit que "l’opium émergea comme une force stratégique dans le milieu politique afghan durant la guerre secrète de la CIA contre les Soviétiques", et il ajoute que cette dernière "fut le catalyseur qui transforma la frontière pakistano-afghane en la plus importante région productrice d’héroïne au monde". McCoy démontre clairement que l’État Afghan d'Hamid Karzai est un narco-État corrompu ! Et on comprend mieux les ressorts actuels qui agitent les médias. De plus, pour Peter Dale Scott, universitaire canadien et professeur émérite de littérature anglaise à l’université de Berkeley, il ne sert à rien de se lamenter sur le développement de la culture des drogues en Afghanistan et sur l’épidémie d’héroïne en mondiale. Il faut tirer des conclusions des faits établis : les Talibans avaient éradiqué le pavot, l’OTAN en a favorisé la culture. L’héroïne afghane est la connexion mondiale de la drogue de la CIA. Les liens sont si étroits entre ces structures mondialistes et la pourriture du monde, qu'il faudrait être aveugle, sourd et stupide pour ne pas voir les raisons de leurs fonctions.

    On peut légitimement se demander pourquoi une telle société, qui s’affiche comme religieuse, peut ainsi poursuivre des desseins si opposés au christianisme. Rien de plus simple. C’est parce qu'en faisant le "bien", on arrive à séduire et à tromper le quidam. Satan singe toujours Dieu pour induire en erreur les Hommes. C'est ainsi que les pires milliardaires, qui pillent, polluent et tuent pour accaparer nos ressources, se font aussi appeler "Philanthropes". Et le meilleur des camouflages aux yeux du public depuis toujours, c’est le masque de la religion. Les bons sentiments, l’humanitarisme, le progrès scientifique et social sont les armes les plus efficaces, face à un public endormi. Car lorsqu’on suit les actions des Jésuites de près, on ne rencontre que des larmes, du sang, depuis le massacre des Indiens d’Amérique (cf. le célèbre film "Mission" de R. Joffé), jusqu’aux atroces boucheries de Pol Pot au Cambodge, les purges de Staline, les révolutions bolchéviques et les massacres de la "révolution culturelle" de Mao Tsé Tong... Mais tout cela est fait, selon leur devise "Pour la plus grande gloire de Dieu" car, toujours selon leur idéologie, "la fin justifie les moyens". 

    Il existe par la suite une autre "confrérie" issue toujours des Jésuites, et qui prit la relève des "illuminés", c'est "La Fabian Society" (la Société Fabien). Elle fut fondée à Londres en 1884. D’essence communiste, elle doit son nom au fameux chef de guerre romain Fabius Maximus Quintus, dit Cunctator, le "Temporisateur", en raison de sa tactique marquée par la patience. Lors de la deuxième guerre punique (218 à 202 av. J.C.) au cours de laquelle il combattit Hannibal, le Général romain pratiqua une forme de guérilla, ne brusquant jamais les évènements afin de vaincre son ennemi par l’usure. C’est ce type de méthode qui est employée par la Fabian Society pour imposer ses vues au monde entier. Les "fabiens" défendent le principe d’une société sans classes qui serait la synthèse du socialisme (l’Etat Providence) et du capitalisme (lois du marché), le tout devant aboutir à la mise en place d’une économie mondiale. Pour parvenir à leurs fins, ils préconisent la solution du "gradualisme". "L’influence de cette société est d’autant plus importante qu’elle est à l’origine de la création de la London School of Economics, qui voit le jour en 1895 et qui inculquera l’esprit "fabien" à des générations d’étudiants de toute la planète, lesquels deviendront, pour nombre d’entre eux, des acteurs majeurs de la vie politique et économique de leurs pays."( Source : Abraxas cité par C.R.O.M-Centre de Recherche sur l’Ordre Mondial).  

    Depuis sa création, la Société Fabien entretient des objectifs ténébreux et diaboliques. Beatrice Potter Webb admirait le fondateur de l’eugénisme, Francis Galton. Elle poussa son époux Sidney Webb à adhérer à la Société eugénique à partir de 1890. Et l’un des quatre fondateurs principaux de la Société Fabien, George Bernard Shaw, admirait le chef du parti national-socialiste, Adolf Hitler, et son programme génocidaire. Il disait explicitement :"Vous connaissez presque tous au moins une demi-douzaine de personnes qui ne sont d’aucune utilité dans ce monde. Qui sont plus de problèmes que ce qu’ils valent. Il suffit de les mettre là et de dire, Monsieur ou Madame, allez-vous maintenant avoir la gentillesse de justifier votre existence ? Si vous ne pouvez pas justifier votre existence, si vous ne tirez pas votre poids dans le bateau social, si vous ne produisez pas autant que vous consommez ou peut-être un peu plus, alors, clairement, nous ne pouvons pas utiliser la grande organisation de notre société dans le but de vous garder en vie. Parce que votre vie ne nous profite pas et qu’elle ne peut pas vous être très utile." Là, se concrétise l'idée de ses injections létales ou stérilisantes expérimentales appelées "vaccinations", que nous subissons actuellement.    

    Pour insister sur le rôle sous-jacent de ces êtres obscurs, les Jésuites initiés doivent prononcer un Serment dénommé "Le Grand Serment des Fils d’Ignace", et le pratiquer. Car, Loyola avait appris à contrôler ses "énergies" démoniaques pour les sublimer, et c'est ce qui est à la base même de tous les enseignements de l’occultisme moderne, et notamment le Reiki. Et les hauts initiés Jésuites détiennent de puissants secrets contenus notamment dans les "fameux exercices spirituels" que Loyola mit au point, et qui furent approuvés par le Pape Paul III en 1548. Ces exercices ne sont rien de moins que des mantras déguisés sous un vernis religieux et n’ont rien de biblique, mais sont bien plutôt de nature psychique, basés sur la culpabilité et l’auto-justification. Telles que nous les observons tous les jours concernant la séquence COVID. Ils culpabilisent le public et justifient ainsi leurs méfaits. Ce serment, qui ressemble à s’y méprendre à un rite maçonnique, et pour cause, fait de ceux qui le prononcent, des agents du Mal au service de leur "pape", Arturo Sosa (de son nom complet Arturo Marcelino Sosa Abascal). Surnommé "le Pape Noir" et qui en réalité dirige le Vatican d’une main de fer, et comme toujours pour "la plus grande gloire de leur Dieu." Ce serment des Jésuites se termine d'ailleurs par la phrase : "Alors, va partout dans le monde, et prend possession de toutes les terres au nom du Pape. Celui qui ne l’acceptera pas en tant que Vicaire de Jésus et de son Vice-Régent sur terre, qu’il soit maudit et exterminé."

   Le 31 mai 2017, dans un entretien accordé au quotidien espagnol El Mundo, Arturo Sosa rompt avec la tradition Jésuite et la doctrine de l'Église catholique en affirmant croire que le diable n'est "qu'un symbole ". Il dira : "de mon point de vue, le mal fait partie du mystère de la liberté. Si l'être humain est libre, il peut choisir entre le bien et le mal. Nous, les chrétiens, nous croyons que nous sommes faits à l'image et à la ressemblance de Dieu, parce que Dieu est libre, mais Dieu choisit toujours de faire le bien parce qu'il est toute bonté. Nous avons créé des figures symboliques, comme le diable, pour exprimer le mal". Alors que, dans le même temps, le Pape François regrette qu'on ait fait croire que le Diable est un mythe, une image, l'idée du mal, le supérieur Jésuite créera aussi une grande agitation au sein de l'Église catholique. Le Vatican joue ainsi le rôle du grand ennemi contrôlant tous les autres. Cependant, cette théorie ne résiste pas vraiment à l’analyse historique. Certes, les Jésuites ont combattu le protestantisme, car ils pensaient que les protestants s’opposaient à l’Evangile, mais on ne peut pas réduire leur rôle à cela. L’Eglise catholique enseigne comme un dogme, qui fut appelé "dogme parfaitement connu" par Pie IX, qu’il n’y a pas de salut hors de l’Eglise. Le Concile affirme la proposition exactement contradictoire au dogme catholique, à savoir qu’il y a un salut hors de l’Eglise catholique, que ces religions non-catholiques peuvent procurer le salut à leurs adhérents, et sont en effet le moyen par lequel ceux-ci sont sauvés.    

    Bien que la papauté ait toujours considéré les francs-maçons comme des adversaires et la réciproque était souvent vraie, et d'ailleurs historiquement et en façade, la franc-maçonnerie a été une des institutions qui a le plus lutté contre l’Eglise romaine et son influence, particulièrement en Europe, tout ceci n'est que manipulation. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard, si les papes non corrompus par les jésuites ont affirmé à plusieurs reprises qu’il n’était pas possible d’être catholique romain et franc-maçon. Lisez à ce sujet l'encyclique "Humanum Genius". C'est ainsi que Don Luigi Villa, fils spirituel de Padre Pio et ancien agent de renseignement du Vatican, dénonçait l'influence satanique des "papes" depuis "Vatican II". Vatican II est un concile qui se déroula de 1962 à 1965. Il fut convoqué par Jean XXIII, et solennellement promulgué et confirmé par Paul VI le 8 décembre 1965. Ce faux concile, initié par les jésuites infiltrés, constitua une véritable révolution contre deux mille ans d'enseignements et de traditions catholiques. Il contient de nombreuses hérésies qui furent directement condamnées par les papes et les conciles infaillibles du passé. Et il tenta de donner, aux catholiques, une nouvelle religion. Tout catholique honnête qui a vécu avant le concile, et qui compare ce qu'il a connu avec la religion dans les diocèses d'aujourd'hui, peut témoigner du fait que Vatican II a inauguré une nouvelle religion aux antipodes de celle qu'ils ont pratiqué jusque-là. Ces suppôts de Satan utilisent le même verbe que le concile de Florence pour enseigner exactement le contraire. Car le concile de Florence a dogmatiquement défini que tout individu ayant une opinion contraire à la doctrine de l'Église catholique sur Notre-Seigneur Jésus-Christ ou la Trinité, ou n’importe quelle autre vérité au sujet de Notre-Seigneur ou de la Trinité, est rejeté par Dieu.   

    La première hérésie de Vatican II est l’oecuménisme. Le document Unitatis Redintegratio, ou Décret sur l’Oecuménisme, contient une hérésie flagrante contre le dogme catholique qui enseigne que hors de l’Eglise il n’y pas de Salut. Alors que ce Concile affirme : "En conséquence, ces Églises et communautés séparées, bien que nous croyions qu’elles souffrent de déficiences, ne sont nullement dépourvues de signification et de valeur dans le mystère du Salut. L’Esprit du Christ, en effet, ne refuse pas de se servir d’elles comme de moyens de Salut, dont la vertu dérive de la plénitude de grâce et de vérité qui a été confiée à l’Église catholique. (Unitatis Redintegratio, n. 3)."  

     La deuxième hérésie de Vatican II est dans la liberté religieuse. L’Eglise catholique, qui professe être la vraie et unique Eglise fondée par Jésus-Christ et en dehors de laquelle il n’y a pas de Salut, comprend la liberté religieuse comme étant la liberté de l’Eglise catholique d’accomplir sa mission dans le monde entier, de s’établir partout, et de fonctionner librement comme une entité distincte de l’Etat. Elle revendique aussi la liberté de ses adhérents de professer et d’exercer leur foi catholique sans harcèlement ni persécution. Mais, la liberté est le pouvoir de choisir le bien. La licence est la liberté faussement accordée à la volonté de choisir le mal. Afin qu’il y ait exercice de la vraie liberté, il est nécessaire qu’elle n’empiète sur aucun devoir. Car la liberté n’existe pas pour le mal, mais pour le bien. Par conséquent, à chaque fois que l’homme abuse de sa liberté dans le but de commettre le mal, on ne devrait pas parler de liberté, mais de licence. Ainsi, la liberté religieuse, telle qu’elle est enseignée par Vatican II, est en effet une hérésie. Elle fut d'ailleurs solennellement condamnée par le Pape Pie IX comme étant contre les Ecritures Saintes.

    La troisième hérésie de Vatican II, c'est la nouvelle ecclésiologie. Par ecclésiologie, on veut désigner la doctrine de l’Eglise concernant sa propre nature, c’est-à-dire, son essence et ses caractéristiques. Vatican II enseigne une ecclésiologie hérétique, contenue dans Lumen Gentium. Vatican II a modifié cette doctrine afin d’introduire les autres dénominations chrétiennes dans l’Eglise du Christ, en disant que l’Eglise du Christ, en tant que corps organisé, "subsiste" dans l’Eglise catholique. En appliquant cela à l’ecclésiologie, si l’Eglise du Christ ne subsiste pas en elle-même, mais doit subsister dans une autre chose, cela signifie que l’Eglise du Christ est réellement distincte de ce en quoi elle subsiste, c’est-à-dire que ce sont là deux choses différentes par nature. Cela signifie que l’Eglise du Christ n’est pas l’Eglise catholique, et que l’Eglise catholique n’est pas l’Eglise du Christ. C'est de l'inversion pure et dure. Si elles n’étaient pas deux choses de nature différente, alors elles seraient la même chose, et l’on devrait dire que l’Eglise du Christ est l’Eglise catholique, ce qui est précisément le dogme de l’Eglise catholique.

    La quatrième hérésie de Vatican II, c'est la collégialité. Cette doctrine, également contenue dans Lumen Gentium, soutient que le sujet (le possesseur) du pouvoir suprême dans l’Eglise est le Collège des évêques. Voyez ce que dit le Concile : "L’ordre des évêques, qui succède au collège apostolique dans le magistère et le gouvernement pastoral, bien mieux dans lequel le corps apostolique se perpétue sans interruption constitue, lui aussi, en union avec le Pontife romain, son chef, et jamais en dehors de ce chef, le sujet du pouvoir suprême et plénier sur toute l’Église, pouvoir cependant qui ne peut s’exercer qu’avec le consentement du Pontife romain." Or, le Pape Pie VI a fermement condamné la doctrine suivante : "Les évêques tous ensemble et en un seul corps gouvernent la même Eglise, chacun avec pouvoir plénier." Mais certains membres corrompus par les jésuites franc-maçons essaient même de sauver Vatican II de l’hérésie en disant que le Concile affirme que le Pape est la tête de ce Collège, qui ne peut agir sans lui. Mais cela ne sauve pas le Concile de l’hérésie, parce que le Pape ne devient dans ce cas qu’un simple membre du Collège des évêques, et uniquement une condition de leur pouvoir, et non la source de leur pouvoir. Aucune organisation ne peut avoir deux têtes, deux législateurs suprêmes. Par exemple, il est impossible que le Roi et le parlement soient simultanément le législateur suprême. L’un d’eux doit avoir le dernier mot, auquel l’autre est subalterne. Le dogme traditionnel de l’Eglise catholique est qu’elle, et elle seule, est la vraie et unique Eglise du Christ, et par conséquent que toute entité hors d’elle est une fausse religion. 

    De plus, s'il fallait démonter encore que ce qui se passe est proprement contraire à la religion catholique, sachez qu'au moment de ce Concile, en 1963, des prélats catholiques intronisèrent directement Satan au Vatican.  On apprend dans le mensuel "Chiesa Viva" (fondé par le Père Luigi Villa) que : "L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963, date idéale pour la promesse historique qui allait s’accomplir. Comme le savaient très bien les principaux agents de ce Cérémonial, la tradition sataniste a depuis toujours prédit que le Temps du Prince serait inauguré au moment où un Pape prendrait le nom de l’Apôtre Paul. À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Évènement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince de la matière que celle de la fête des Saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique". Et encore selon le mensuel "Chiesa Viva", le but immédiat de chaque Cérémonial était de vénérer "l’abomination de la désolation". Mais le véritable but ultime et spirituellement malsain était d’assurer que s’accomplisse "la Montée du Prince dans la Citadelle comme une force irrésistible." En clair, ils voulaient placer Satan à la tête de l'Eglise. Et dans le livre "Morals and Dogma" publié en 1871, Albert Pike, un des "pères" de la Franc-maçonnerie, atteste que "la religion devrait être, pour nous tous, initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu." 

    Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient "Pape" sous le nom de Paul VI. Quatre années plus tard, en 1967, Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou "La Vilaine Lulu", un album de bandes dessinées qui énumère les pratiques criminelles des sectes sataniques. L’ouvrage du célèbre couturier français porte en introduction la mention : "toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels". Or, "Lulu", l’incarnation du mal dessinée par Yves Saint Laurent, parvient au sommet de l’Église. C’est précisément ce que des prêtres catholiques dénoncent en ces termes: "L’intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963", soit une semaine après le couronnement du Pape. Les célébrations du 15ème anniversaire de "Pontificat" de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Et six ans plus tard, en 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur "la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église". (...)"Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape !"

    La Franc-maçonnerie, elle-aussi, connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, "Nubius", Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel "pape" fut Paul VI, le "Pape qui changea l’Église". Et toujours selon le mensuel Chiesa : "La décision d’élire Pape le cardinal Roncalli (Jean XXIII) fut prise par la Franc-maçonnerie. (...)L’élection du Cardinal Montini comme Pape (Paul VI) est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith. (...)Le choix du Cardinal  Karol Wojtyla (Jean-Paul II) comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon Cardinal König." On constate que les Jésuites, les Fabiens, la Franc-maçonnerie, le Sionisme, l'Eugénisme, et toutes les formes de Satanisme, sont liés entre eux par ces acteurs ténébreux. Et pour couronner le tout, le Dr Cecilia Gatto Trocchi, anthropologue, ajoute qu'en quelques décennies, la société jésuite a évolué d'une logique matérialiste et communiste vers une spiritualité satanique et maçonnique. Déjà en 1900, le grand mage Aleister Crowley, initié au 33ème degrés, avouait dans son livre "Magick in theory and practice", le sacrifice de cent cinquante enfants par an, entre 1912 et 1928. Et en 1998, des squelettes d'enfants seront découverts sous la maison londonienne de Benjamin Franklin, rédacteur de la Constitution américaine, Franc-maçon et adepte du Hell Fire Club. Si on ajoute à cela que des ossements d'enfants ont été retrouvés dans l’immense parc de l’ambassade du Vatican en Italie, qui furent exhumés au cours de travaux de restauration dans une annexe de la nonciature apostolique, ayant relancé l’enquête sur deux affaires de disparition d’adolescentes en 1983... On ne peut qu'accréditer la thèse de l'infiltration satanique de cette secte "jésuito-judéo-fabiano-maçonnique" au coeur même du Vatican. L'accumulation de preuves font que le pédo-satanisme serait donc une pratique partagée par une élite maçonnique transmettant le pouvoir à des politiciens et des financiers ayant les mêmes valeurs occultes, autant qu'aux élites Vaticanes.    

    On découvre donc que la Franc-maçonnerie, à la base de rites pédo-sataniques et de rituels adorant Lucifer, a aussi élu le Pontife. C'est d'ailleurs prouvé par la lettre du Cardinal Baggio écrite au Grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI. Dans cette missive, il lui offrait ses services tout en lui rappelant aussi la promesse de "le faire Pape". Il y a aussi toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre aussi l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans le monde. Et puisque Satan ou Lucifer est le "dieu" de la Franc-maçonnerie, puisque son orgueil le pousse à se substituer en tout à Jésus-Christ et à singer Dieu. Sans oublier que Bill Schnoebelen, ancien haut-représentant de l'Église de Satan, affirme que la Franc-maçonnerie pratique le pédo-satanisme comme rite initiatique du 33ème degrés du Rite écossais ancien et accepté. Ceci n'est même pas un secret, ni même du conspirationisme de bas étage, mais un fait avéré et sourcé depuis des décennies. Car il est temps de comprendre où sont les véritables ennemis de l'humanité afin de s'en débarrasser une bonne fois pour toute.

    Et si l'Apocalypse est le moment de la révélation au monde des choses cachées, il semblerait en effet, que ce soit ce qu'il se passe en tout état de cause au moins pour ses sectes anti-christiques qui oeuvrent dans l'ombre des loges et des palais gouvernementaux depuis trop longtemps. Ceux sont eux les responsables de tous nos maux, ce sont eux les gestionnaires de la peur et du désespoir qui s'emparent du monde. Ils empoisonnent notre planète comme nos têtes, ils empêchent notre élévation spirituelle autant que le bonheur de vivre sur cette Terre par leurs agissements contre nature. Ils imposent leurs agents du mal à la tête de toutes les institutions comme à présent à la tête du Vatican. Et pas seulement pour de l'argent ou pour du pouvoir, mais pour promouvoir le monde voulu par leur faux dieu, c'est à dire l'Enfer ! Dorénavant, vous savez, vous connaissez la trame et les noms de ces gens-là, vous connaissez leurs sectes et leurs façons de faire, vous avez les preuves tous les jours qui s'étalent dans les journaux. Alors ouvrez les yeux, forgez vos consciences et cessez de croire qu'il s'agit seulement de rumeurs. 

    C'est sous cet éclairage que vous comprendrez mieux comment ce faux pape, qu'est le sieur Bergoglio alias "François 1er", promeut le vaccin pour tous, éloigne les fidèles et les croyants du chemin tracé par le Christ, et fournit à la masse des incrédules et des incultes des arguments pour faire de Satan le nouveau prince de ce monde. Mais la masse n'a jamais construit la raison, mais c'est plutôt la raison qui a toujours guidé la masse !Et comme le disait le Père Garrigou-Lagrange :

"Mille idiots ne valent pas un génie."

Phil BROQ.









05 septembre 2021

IL ETAIT UNE FOIS... L' ÂNE DE BURIDAN !

     S'il est un cas d'école de dilemme poussé à l'absurde, c'est bien celui du paradoxe de "l’âne de Buridan". Un cas d'étude basique sur le libre-arbitre en philosophie. Cette parabole, selon laquelle, un âne, revenant d'un long voyage avait autant soif que faim. On plaça alors l'animal à égale distance d'un seau d'avoine et d'un seau d'eau. L'animal, ne sachant déterminer s'il avait plus faim que soif, ne fut pas capable de décider s'il devait d'abord manger ou boire en premier. Il resta indifférent à l'alimentation proposée et mourut de faim (ou de soif, la fable ne le précise pas !). L’âne meurt donc de faim ou de soif parce qu’il hésite entre ses deux désirs, alors que dans le cas d'un homme normalement constitué intellectuellement et placé dans la même situation, il serait à priori en capacité de choisir arbitrairement le plus grand bien pour lui. 

    L'âne, n'ayant pas été informé ou éduqué, n'a pas de libre-arbitre et ne peut donc pas atteindre la vérité, il est déterminé pour choisir le mieux pour lui sans le savoir. Ainsi, sachant que la soif est un plus grand danger que la faim, l'homme instruit choisirait de se désaltérer avant d'aller se restaurer. Mais Spinoza estimait que sur ce point, il n'y a pas de différence entre l'homme et l'animal, par ignorance ou par embarras, même l'homme déjà à son époque, ne sachant choisir par manque d'éducation, serait aussi mort de faim et de soif. Ou peut-être est-il tout simplement mort d'idiotie, empêtré dans sa propre bêtise. Car ce qui fait de "l’âne de Buridan", un âne, ce n’est pas qu’il pense mal ou de façon tordue, c’est qu’il se met à penser. Il pense quand justement il devrait agir !

    Il y a des moments où, en effet, la pensée surtout lorsqu'elle n'est pas éduquée ou informée correctement, doit être mise de côté pour laisser s'exprimer l'instinct. Simplement parce que si elle n'est pas éclairée, elle entrave, parce qu’elle se substitue à l’action, elle l’empêche, elle la diffère, voire dans certains cas qu’elle est prétexte pour ne pas agir. Voilà un exemple à ne pas suivre, car nous devons tous prendre des décisions au quotidien et en souhaitant évidemment qu’elles soient les bonnes. Et en ce qui concerne le processus de la prise de décision et son exécution, il est très intéressant de se référer à la méthode d’Ignace de Loyola, qu’aucun manuel de management ne saurait ignorer. Et le management est, dit-on, "l’art de prendre des décisions imparfaites sur la foi d’informations incomplètes".

    Chacun a le désir de prendre des décisions reposant sur le bon sens et l’objectivité des situations mais trop souvent c’est l’intuition qui l’emporte, simplement parce que le cerveau n’est pas vraiment entraîné à raisonner de façon construite et logique. Ignace de Loyola dispose alors d’une espèce de technique, à propos d’un supposé signe de Dieu. Elle constitue, en tous cas, un vrai processus clairement énoncé dès le milieu du XVIe siècle et toujours en vigueur. Il l’expose dans ses ouvrages, "Les Constitutions, Correspondance" et surtout dans "Exercices spirituels". Car, pour lui, la prise de décision passe par quatre phases principales :

1. La phase d’information : Le responsable et ses conseillers ordinaires, ses amis, prennent connaissance de l’historique de l’affaire, qui aura été préparé de la façon la plus simple possible. Cet historique peut encore être éclairci par la consultation de personnes compétentes. Ou de nos jours, par des articles, des écrits émis par de vrais spécialistes de la question.

2. La phase de délibération : C’est l’examen des avantages et des inconvénients dans l’adoption ou le refus du projet. C'est peser le pour et le contre, et commencer à sortir une trame générale de l'histoire.

3. La phase de la consultation à Dieu, à travers la prière : Le responsable et chacun de ses conseillers prient pour tenter de percevoir, avec une totale pureté intérieure et sans intérêt personnel, là où l’Esprit Saint les conduit. C'est l'intuition qui domine l'instinct, mais guidé par une sagesse.

4. La phase de décision : Les conseillers donnent alors leur opinion. Celui qui assume la responsabilité du groupe les écoute, confronte ces opinions avec la sienne, les soupèse devant Dieu, et quelle que soit l’opinion majoritaire des conseillers, il prend seul sa décision.

    Maintenant, faisons abstraction de Dieu, qui intervient rarement de nos jours dans les décisions et remplaçons-le par l'éducation, l'information, la réflexion, la recherche de connaissances et de savoir, et nous ne garderons que la séquence et les ingrédients d’une décision rationnelle, à l'inverse d'une décision émotionnelle, mue que par l'instant, et selon nos capacités. Il est évident que chacun de nous a le désir de prendre des décisions reposant sur le bon sens et l’objectivité des situations, mais trop souvent c’est l’émotion qui l’emporte. C'est l'intuition mal construite et non soumise à des préceptes élevés, tels que ceux qu'offre le Divin, qui l'emporte, simplement parce que le cerveau n’est plus vraiment entraîné à raisonner de façon construite et logique. Bien au contraire, il est soumis perpétuellement à l'émotion par écrans interposés. Et c'est là que l'Humanité actuelle est comparable à l'âne de Buridan !

    Lorsque nous refusons de nous informer par nous-même, nous ne sommes pas poussés par plus de raisons dans un sens que dans l’autre, nous ne sommes pas déterminés à faire ceci plus que cela. Nous sommes soumis volontairement, et par paresse, à un jugement émotionnel et non plus rationnel. Sans doute faut-il alors qu’arbitrairement nous décidions de pencher nos réflexions ou actions plus d’un côté que de l’autre. Ainsi, informés uniquement pas des médias débilisants et propagandistes, les hommes de notre époque suivent ce que leurs réflexions, construites à partir de ces faits dévoyés et hautement émotionnants, leurs inspire de faire. Sans aucune base juste ou étayée par les vérités acquises lors de lectures ou de recherches plus poussées. Comme nous le vivons tous les jours depuis plus de 18 mois avec cette fausse pandémie, comme avec ce faux vaccin. 

    C'est ainsi, de cette population mal éduquée, que nous voyons toujours plus de personnes porter des masques en toutes circonstances et des plus saugrenues, alors qu'il est écrit sur la boite elle-même qu'ils ne protègent en rien d'un quelconque virus. Qu'ils attendent un nouveau confinement, alors que les deux premiers n'ont servi strictement à rien. Que l'on constate aussi leur stupidité suicidaire d'aller se faire injecter plusieurs doses d'un poison, issu d'une expérimentation génique en phase 3, et dont on sait qu'il devient mortel et entraine des variants au vue des chiffres. Qu'ils demandent un pass sanitaire partout (preuve ultime de leur soumission sans restrictions) pour étancher leur égoïsme primaire d'aller au restaurant, au ciné ou en vacances, alors qu'il n'est pas nécéssaire pour les politiques et la police qui les défends. Qu'ils accusent les non-vaccinés de propager une maladie, dont on n'a toujours pas prouvé l'existence ni la surmortalité, et  pour laquelle ils sont censés être prémunis... C'est à cause de ces ânes que nous en sommes là !

    Convaincus d'avoir raison en écoutant les menteurs patentés qui passent à la télé, ils s'enfoncent dans leur bêtise sans jamais chercher à connaitre les faits et les véritables chiffres. Leur ignorance les poussant toujours plus dans l'esprit grégaire. Préférant utiliser les arguments d'un présentateur ou d'un chroniqueur halluciné que ceux d'un virologue de renom ou d'un Prix Nobel de médecine. Leur troupeau s'agrandit de jours en jours, mais à la différence de l'âne, eux, ils se croient instruits ! Et l’indifférence peut être acceptée par ceux qui se cultivent et s'instruisent, et donc ne se font pas injecter ce poison et refusent catégoriquement ce pass Nazitaire. En revanche, ses partisans ont cependant été aveugles au fait qu’elle ne se rencontre pas seulement dans les cas  où l’on est comme l’âne de Buridan, mais universellement dans tous leurs actes à l'heure actuelle. Et dans toutes leurs décisions depuis lors, y compris lorsque ils ont devant les yeux une évidente raison d’incliner d’un côté plutôt que de l’autre.

 C'est comme cela que ce troupeau d'ânes préfère volontairement, et non consciemment car ils n'ont plus aucune conscience tant ils sont hypnotisés par leur bêtise, se faire soumettre, insulter, maltraiter, piquer, museler par un pouvoir devenu fou mais omniprésent sur leurs écrans, que de se rendre à la raison que cette pandémie n'en est pas une, que les médicaments existent et ne nécessitent  pas de vaccin, que leur injection expérimentale a des conséquences plus désastreuses encore que la maladie au point même d'être mortelle dans de nombreux cas. Ils refusent de voir la vérité, ils éludent sciemment tout argument, toute preuve de leur bêtise, et font le choix de la mort par injection, par non réflexion, par ânerie assumée !   

    Ce monde est devenu complètement fou par son ignorance volontaire, par sa crétinerie veule, par son refus de comprendre et de connaitre les faits, par peur et lâcheté de s'assumer. Il n'existe plus dès lors que des zombies lobotomisés par leur télé, rassurés par leur nombre et incapables de construire une société, tant ils sont infantilisés. Réfugiés derrière leurs faux arguments, leurs axiomes lancés à l'emporte pièce par les gouvernants, ils contribuent tous les jours à leur propre destruction comme à celle de leur progéniture. La carotte, qui normalement et jusque-là les faisaient avancer, a été mise dans leur fondement et bien profond. Lorsque l'expression populaire disait qu'ils étaient bête à manger de l'avoine, on peut même avouer de nos jours qu'ils sont cons à ne bouffer que du son !

    Abreuvés que de paroles, ils ont tout perdu de leur vie comme de leurs acquis, ils ont assassiné leurs parents, stérilisés leur enfants, verrouillé et contrôlé chaque acte de  la société, mais ils persistent et signent en groupe, dans leur absolue aberration d'animal d’abattoir, dont le cri que l'on croyait être le bêlement du mouton, mais qui est en fait le braiment de l'âne. Car en réalité, ce ne sont plus des moutons, ni des pigeons, ce ne sont que des troupeaux assumés d'ânes de Buridan. Ils se sont donc destinés à mourir vite, par bêtise et par ignorance, par inaction et mauvaises réflexions, sacrifiés par leurs maîtres banquiers...     

 ...au rythme des injections imposées !

Phil BROQ.



    

    

    

    

    


03 septembre 2021

QUAND LA PIEUVRE DE LA MAFIA SE PREND POUR LA BÊTE DE L' APOCALYPSE

     Un groupe quasi occulte de personnes qui se soutiennent dans leurs intérêts par toutes sortes de moyen, est à l'oeuvre dans notre monde moderne, pour la mise en esclavage de l'ensemble de l'Humanité tout en s'accaparant la totalité des ressources vitales de notre espèce. Cette bande ou association relativement secrète de malfaiteurs est de moins en moins occulte, car dans sa prétention et dans sa toute puissance relative, elle ne se cache pratiquement plus. Les noms de leurs entreprises publiques de destruction et de soumission sont à présent connus de toutes les personnes ayant la capacité de réfléchir et de se connecter à internet. Je parle des clubs comme celui de Davos, Bilderberg, OMS, OMC, FMI etc. Mais aussi du Parlement Européen, de l'OTAN, en bref, de l'ensemble des organisations mondialistes tenues par des personnes non élues et dont la seule force réside dans sa capacité à mobiliser des capitaux créés artificiellement et à réunir autour d'elle des forces armées, pour contraindre par la force les peuples à se soumettre à leur délire totalitariste et numérique.

    La définition de Wikipedia dit ceci: "Une mafia est une organisation criminelle dont les activités sont soumises à une direction collégiale occulte et qui repose sur une stratégie d’infiltration de la société civile et des institutions. On parle également de système mafieux. Les membres sont appelés  "mafieux" sans distinction de nombre, ou parfois "mafiosi", d’après le nom italien (au singulier : mafioso)". Nous pouvons constater que cela colle parfaitement à la définition de ces personnages hallucinés et milliardaires qui se cooptent afin de diriger le monde selon leurs désirs mortifères et eugénistes, en plus d'êtres avides de nos ressources. Le terme de mafia est polysémique, ainsi au sens large il désigne toute forme de crime organisé n'importe où sur la planète, c'est ainsi qu'on parle des mafias américaine, russe, irlandaise, italienne, juive...mais le sens premier désigne surtout l'organisation du crime sicilienne. La Sicile est donc le berceau convenu de la mafia.

    Elle apparaît dans la seconde moitié du XIXème siècle. Dans la première moitié du XIXème siècle, l'aristocratie a laissé de plus en plus de place à la bourgeoisie dans la gestion des terres. D'une manière générale, les taxes ont augmenté, les terres réservées autrefois aux pauvres ont été confisquées et privatisées. Avec le rattachement à l'Italie en 1861, de nouvelles taxes imposées par le Nord s'ajoutent, rendant alors la situation intenable. C'est dans ce contexte d'extrême pauvreté du peuple de base que la mafia surgit. Le mafieux est d'abord un misérable, chassé de ses terres, contraint à l'errance, mendiant, brigand, louant ses services au plus offrant, rackettant... Mais il y a un autre type de mafieux : le riche, le possédant qui expulse les pauvres et qui rémunère les gros bras qui les expulsent, récoltent les taxes, extorquent les fonds sous la menace de l'arme, sans jamais passer par les tribunaux. De nos jours, cette mafia a directement placé ses hommes de main à la tête des tribunaux comme des états. Avec la mafia, la notion d’omerta est scellée. Tout "homme d'honneur" selon leurs critères malsains, doit tenir sa langue, il doit préférer le silence à la dénonciation, l'action à la parole. L’omerta, c'est l'homme (omu) et l'humilité (umiltà), l'homme humble, respectable, en façade mais corrompu, qui se tait et qui agit pour le compte de ses maîtres. C'est indéniablement toujours dans un contexte d'extrême pauvreté que se développe la mafia, car sans conditions extrêmes, les hommes de main sont difficiles à recruter, et sans homme de main prêt à exécuter les ordres pour quelques poignées d'argent sale, il n'y a pas d'organisation supérieure. Ainsi, ce sont les hommes d'en bas qui font le pouvoir de ceux d'en haut.

    Bien que de nos jours, les salaires de ces hommes de mains aient augmenté considérablement, nous sommes exactement  dans le même cas de figure qu'à cette époque pas si lointaine où la pauvreté fut créée de toutes pièces afin de soumettre les populations aux plus basses besognes. Et la mafia actuelle ne s'est pas contentée de rester dans l'immobilier ou la drogue, elle a imposé son emprise sur tous les secteurs de notre vie et aussi variés que l'industrie pétrolière, l'armement, l'agro-alimentaire, les nouvelles technologies et surtout le pharmaceutique. Elle s'est surtout appuyée sur un réseau de politiques archi-corrompus, formés dans leurs universités prestigieuses, prêts a vendre père et mère pour un peu de pouvoir, et qui dirigent les "gens d'armes". Ce constat est à la portée de n'importe qui ayant un cerveau. Et si cette mafia mondialiste s'est développée à ce point , c'est bien parce que des hommes sans scrupules, sans foi ni loi, s'y sont prêtés de bonne grâce. C'est bien parce que leur éducation les a conduit à être des "anti-humanité libre", ils ne sont que des singes savants en attente de récompenses, des abrutis avides d'argent et de pouvoir, ne voyant pas plus loin que le bout de leurs intérêts pour agir contre le bon sens et la morale du commun. Il suffit de voir qui compose les gouvernements, qui vote les lois et qui les faits respecter à l'heure actuelle, pour s'en convaincre. 

    Certains agissent bêtement pour de l'argent, d'autres pour le pouvoir, d'autres encore pour des idéaux messianistes et dogmatiques désuets, mais tous cherchent uniquement l'expression de leur propre pouvoir et la promotion de leur propre personne, quoi qu'il en coûte au reste du monde et même à leurs descendants. Leur égo surdimensionné les poussent à détruire le bien des autres, afin de se constituer une emprise du mal sur l'ensemble, incapables qu'ils sont de s'élever autrement. Car ils ne peuvent accéder nullement aux notions de bien, de bon, de beau et de juste de par leur incapacité structurelle à s'activer pour le bien commun. Et comme il est dit dans la bible en Corinthiens 10:4 : "Car les armes de notre guerre ne sont pas charnelles, mais puissantes à travers Dieu pour abattre des prises fortes ; Abattre les imaginations, et tout ce qui s'élève en haut contre la connaissance de Dieu, et amener en captivité toute pensée à l'obéissance du Christ." Ce sont des bastions démoniaques qui militent contre les croyants et les non-croyants. Les maintenir et les ralentir ici-bas fait progresser leur emprise sur la matière. Cette emprise maléfique sur les autres vient des esprits ancestraux de leurs familles, ayant les mêmes carences cognitives, des esprits introduits dans les familles par leurs hérédités malsaines. Ces esprits démoniaques ont été introduits essentiellement par le culte des idoles, comme celui de l'argent. Car lorsque les gens adorent des idoles, ils adorent uniquement des démons sciemment ou inconsciemment.

    Et l'esprit démoniaque dont fait preuve à l'heure actuelle cette mafia, n'est que la suite logique de son emprise physique sur la vie Terrestre. Mue par le besoin de toujours aller plus loin dans le mal, après avoir conquis les terres et les mers, elle veut dorénavant conquérir la création Divine, à savoir l'Homme et son âme. Elle a pour cela créé l'intelligence artificielle et veut implanter cette matière dans l'esprit des Hommes pour pouvoir mieux le contrôler. Et c'est en cela qu'elle est devenue démoniaque, car ayant conquis la matière, elle veut à présent se battre avec Dieu. Et c'est ainsi que le mal progresse chaque jour autour de nous parce que nous le laissons faire. Parce que nous ne bougeons pas. Les ténèbres se multiplient uniquement parce que nous refusons lâchement de les éclairer. Par inconscience, par soumission, par corruption, mais surtout par peur. Ainsi, nous nous réfugions dans des explications fallacieuses afin de justifier notre inaction face à l’avancée inexorable du mal dans notre monde. Notre lâcheté va jusqu'à prétendre que l'on ne peut pas combattre le démon car c'est "la Bête de l'Apocalypse" qui est là. Comme l'a souligné le petit taré poudré que la mafia a installé à la tête de notre nation France, consacrée à la Vierge Marie et fille ainée de l'église protégée par Saint Michel. Et c'est d'ailleurs pour cela que notre nation est attaquée de toutes parts par ces entités mafieuses bien matérielles. C'est parce que si la France cède, les autres nations céderont en suivant. C'est donc à nous, Français, chrétiens et Hommes francs, a nous battre plus que les autres pour empêcher cette entreprise maléfique d'atteindre son but assassin.

   L'auteur du Livre de l'Apocalypse, Jean, décrit au chapitre 13, en écho à la Vision des quatre bêtes du Livre de Daniel, successivement deux bêtes : l'une est issue de la mer, à laquelle Satan, partiellement vaincu par l'Archange Michel a délégué son pouvoir. L'autre est issue de la terre, afin de seconder la première à laquelle elle est asservie, et dont elle est une pâle réplique. Ce couple de bêtes fait écho au tandem marin-terrestre "Léviathan-Béhémot" présent dans la littérature judaïque plus ancienne et qui symbolisent l'oppression du pouvoir romain idolâtre et les moyens qu'il déploie à cette fin. Possédant sept têtes et dix cornes, elle représente un système politique dont le pouvoir, conféré par Satan, s'étend sur tous les Hommes qui y adhèrent en recevant la fameuse "Marque de la Bête", comme de nos jours ceux qui se font inoculer le pseudo vaccin anti-covid. Cette marque, le "Nombre de la Bête" généralement associé au nombre 666, s'impose à ses sujets dans sa dimension idéologique mais aussi économique puisque "personne ne peut acheter ni vendre s'il n'a pas la marque", attestant de l'ancrage du propos dans le cadre de la domination financière. Cette première bête, dont le trait essentiel est la violence et qui symbolisait donc l'Empire Romain idolâtre (de nos jours, ce sera le pouvoir des banquiers de Davos), est secondée par une bête venue de la terre, qualifiée de pseudo-prophète et chargée d'entretenir le culte de la première, symbolisant peut-être les clergés chargés des cultes impériaux, tels que les gouvernants actuels et ministres de la santé, si l'on devait faire un parallèle. Les exégètes voient généralement dans cette Bête le symbole de tout pouvoir qui s'oppose à Dieu et à ses commandements à travers le monde et à travers les siècles. Elle est donc, naturellement devenue le symbole de cette mafia, bien humaine et matérielle, pour justifier leurs actions délictueuses à l'encontre des peuples toujours plus soumis et abrutis par leurs écrans. 

    Mais, si des parallèles sont faits entre le vaccin et cette marque de la bête, ce n'est que par malice et dévoiement des textes Saints. C'est pour mieux assurer l'emprise psychologique sur les gens de bonne volonté. Car il n'y a rien de biblique là-dedans, sinon la volonté crasse de ses abrutis hallucinés multimilliardaires réunis en club à Davos ou ailleurs, de se prendre pour ce qu'ils ne sont pas, en soumettant simplement les peuples grâce à leurs fortunes et leurs meRdias. Il n'ont aucune puissance spirituelle, mais seulement matériellement financière. Ils n'ont rien d'autre qu'une armée de gens corrompus jusqu'à l'os et dont nous connaissons l'identité pour atteindre leurs buts totalitaires. Ces gens sont les "gens d'armes", les médecins, les enseignants, les fonctionnaires de tous bords, qui agissent de concert contre nous en croyant servir un maître puissant, alors qu'ils ne servent qu'eux-mêmes en se cachant sous des soi-disant "ordres" pour assouvir leurs vices prétentieux et hautains de frustrés. Car déjà au cours du XXème siècle, le nazisme et le communisme, le bolchévisme, le capitalisme, le mondialisme et le sionisme ont pu être perçus comme de nouveaux "visages" de la Bête (et tous financés par Rothschild !). Tous vendeurs de peur et trafiquants d'âmes. Mais bien d'autres pouvoirs ou puissances dans le monde, tant par le passé que dans l'actualité contemporaine et dans les temps à l'avenir, dès lors qu'ils s'opposent à Dieu et à l'Église, peuvent entrer dans cette grille de lecture interprétant leur action comme étant celle de la Bête. Et dont on connait parfaitement les rouages et volontés messianiques frustrées depuis plus de deux mille ans. Leur but n'est que de créer le Chaos afin de diviser et d'isoler les peuples, qui s'ils étaient unis et éveillés auraient tôt fait de les confondre et de les réduire à néant.

    Ainsi, pour les croyants véritables, la seule façon de briser l'emprise ancestrale du mal est par une intense prière de guerre, comme nous l'a enseigné Saint Michel. Car, le diable ne reconnaît que le pouvoir et la force. Vous ne vous libérez pas des prises ancestrales par la douceur ou en chouchoutant le diable, vous résistez au diable par la prière, et vous attaquez le diable et le chassez de votre vie par la force et non pacifiquement. Car seuls ces points de prière vous accordant un bras ferme et une volonté à toute épreuve, ce refus ferme de son emprise pourra briser les prises ancestrales du mal, et elles vous permettront de détruire chaque emprise du diable sur votre vie et votre destin. Cela détruira aussi l'emprise de la pauvreté, de la stérilité, de la stagnation, de l'échec... Cela mettra donc en péril les actions et les entreprises maléfiques mises en place par cette mafia. Pour les non-croyants, il suffit de rassembler les faits, les noms, les dates et les actions de ces mafieux et de les mettre en lumière en place publique. C'est d'une simplicité enfantine si l'on regarde cela d'un œil humain et non divin. C'est tout à fait à la portée de chacun d'entre nous de refuser de s'assoir à la table de ceux que nous connaissons, de ceux de notre famille et qui sont les acteurs quotidiens et volontaires de cette avancée morbide du mal. 

    Chacun de nous peut mettre face à ses responsabilités son père gendarme, sa sœur enseignante, son cousin médecin, son frère CRS, et tous les membres corrompus de son entourage proche qu'il côtoie au quotidien et sans pourtant ne jamais rien lui dire de ses méfaits. C'est donc simplement à chacun d'entre nous d'être un peu courageux pour écarter ces sous-fifres malsains et promoteurs de l'esclavage mondial, d'une vie heureuse en communauté qu'ils détruisent à longueur de temps, d'un partage du bonheur avec des proches qu'ils passent leur temps à soumettre. La réponse à tous nos maux est en nous, elle n'est pas dans les pensées mais dans les actes. Il n'est pas besoin de s'armer, sinon de courage, pour changer cet état de fait, il n'est pas besoin d'être nombreux à manifester dans la rue pour les faire reculer, mais d'être droit et honnête, et de refuser fermement chaque fois que nécessaire leur compagnie, de donner du plaisir et du bonheur à ces gens-là, à ceux qui nous fréquentent tous les jours et qui vivent de notre soumission. Les solutions sont simples et pacifistes, elles n'exigent qu'un peu de fierté et de courage. Elles sont à la portée de tous ceux qui ont encore une âme, une conscience et un cerveau. Regardez-vous droit dans une glace et demandez-vous, qui autour de vous agite la terreur, qui met des contraventions, qui empêche la vérité de voir le jour, qui apeure les enfants, qui injecte ce poison dans les bras, qui est perpétuellement du coté de la mafia ? Et vous verrez que la base sur laquelle est appuyée cette pyramide meurtrière est juste-là, à vos cotés et que vous pouvez agir sur elle pour l'empêcher de nuire plus. 

    Le combat est humain et non biblique, le courage aussi. C'est donc à chacun d'entre nous de refuser de participer à cette folie en faisant, dès à présent, la lumière sur les agissements malsains de nos proches et en leur énonçant en face-à-face. Il suffit de prendre en main son destin et de dénoncer haut et fort les actes de ces petites mains du quotidien, qui permettent à cette entreprise mafieuse de continuer ses sévices à notre encontre. Soyez enfin des adultes, assumez votre position d'être humain conscient, mettez ces scélérats face à leurs méfaits qu'ils justifient sous couvert d'augmentations de salaires ou d'ordres hiérarchiques. Nous ne vivons pas l'arrivée de la Bête de l'Apocalypse, mais l'acceptation d'un système mafieux qui n'a que trop duré. Relevez-vous, osez être des gens de biens, soyez clair avec votre esprit et vos envies, car le meilleur des oreillers c'est la bonne conscience du devoir accomplit. Soyez l'acteur du changement en profondeur de notre société, donnez un avenir sain à vos descendants, créez les conditions pour que la lumière de la vérité jaillisse dans notre monde. Soyez ce soldat inconnu, pacifiste et héroïque par qui tout changera, celui qui empêchera la guerre d'éclater, celui qui sauvera l'humanité juste en aillant le courage de dire qu'il refuse de s'assoir à la table des scélérats et de partager son repas comme son temps avec eux... 

    Coupez sans cesse les liens tentaculaires de la pieuvre mafieuse qui s'est installée sur notre société, ces liens humains que vous voyez et connaissez. Dites-leurs simplement la vérité sur leurs actions et comment ils détruisent la vie des autres pour un peu d'argent et de pouvoir. C'est de cette manière et pas autrement que vous libérerez de son emprise visqueuse toute l'humanité. Sans arme, ni violence, mais avec fermeté et honnêteté vous pouvez tout changer, aujourd'hui, ici, maintenant et à chaque instant. N'attendez pas que les autres agissent à votre place, soyez libres d'agir en Humain et vos chaines disparaitront. Commencez par nettoyez autour de votre table, devant votre porte et la rue sera propre d'ici très peu de temps. Et en arrachant directement à la base les tentacules de cette pieuvre, constituée par les actions volontairement délictueuses de vos proches, vous l'empêcherez de faire croire à tous qu'elle est la Bête de l'Apocalypse tant désiré par cette mafia ! Vous avez le pouvoir et le devoir de changer le sens de notre société, si vous voulez continuer à vivre libres et garants de votre destiné. 

    Mais agissez maintenant, car il est déjà presque trop tard !

Phil BROQ.