28 septembre 2023

L'ARCOM : 1er Bureau français du "ministère de la vérité dévoyée"...

 L'arcom l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, visant à "sécuriser et réguler l’espace numérique" (SREN), est devenu en peu de temps, le nouveau ministère de la vérité pour la mafia Française et internationale qui occupe les places de gouvernants. Les Young Leaders et autres bilderbergers. Que ce soit pour l’euro numérique ou la surveillance et la régulation du Net, ils veulent nous amener à la dictature totale grâce au numérique. Il s’agit d’un massacre illégal de toutes nos libertés et à but aussi totalitaire que lucratif.

    Calqué sur le modéle de la Chine qui collecte l'ADN, les scans de l'iris, les échantillons de voix et de démarche, les empreintes digitales et les groupes sanguins de TOUS les citoyens, les suivant à l'aide de caméras de reconnaissance faciale, de sécurité, et de vidéosurveillance, d'applications de surveillance/contrôle sur les smartphones et de technologie de reconnaissance vocale. C'est à dire tout le panel carceral numérique de surveillance des masses, inventé par les chinois et que nos gouvernants tentent de nous imposer.

    Cette manipulation grossière est actuellement visible par tous, en Europe aussi. A l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés par ce que la réalité révèle, refusent obstinément de la regarder en face, allant jusqu'à nier toutes les preuves factuelles, ou ceux qui ont tout intérêt à ne surtout pas la voir, ou la mettre en lumière, car ils en profitent largement. C'est ainsi que, depuis les ministres millionaires et leurs journalopes soumises, jusqu’aux administrations ou associations lucratives sans but réels, (mais dont l’existence même serait remise en cause si justement la pauvreté, le racisme ou la violence devaient disparaître), nous avons cette caste de malfaisants qui agit impunément au grand jour et sous couvert de vouloir nous protéger de ces turpitudes qu'ils créent au quotidien. 

    Le projet de loi SREN entend donc adapter le droit français aux nouveaux règlements débiles et liberticides européens, particulièrement le Digital Markets Act (DMA) et le Digital Services Act (DSA). Ce dernier, en vigueur depuis le mois d’août, oblige déjà les réseaux sociaux à s’autocensurer. La même autorité est aussi dotée de nouveaux pouvoirs pour "lutter contre la désinformation". C'est à dire la propagande qu'ils n'ont pas validée ou inventée, mais qui se trouve être contestée systématiquement par quiconque a un cerveau... Car les mondialo-assassins n'aiment vraiment pas la vérité. Ils doivent donc se cacher derrière des paravents de "moraline" afin de pérenniser leurs méfaits. D'où la nécessité de reconstituer le cheptel "d'opposants" contrôlables, grâce au traçage numérique et ainsi justifier des budgets iniques afin de lutter "contre". C'est ainsi que le racisme est apparu en France avec SOS racisme, l'antisémitisme avec l'apparition de la LDJ, la pauvreté extrême avec les restos du coeur, etc.

      C'est la raison pour laquelle des lois, ou plutot des règles mafieuses destinées à protéger les truands mondialistes en place, controversées et considérées comme attentatoires à la liberté individuelle, sont votées en masse et en catimini par cette caste de fripouilles néfastes à tous. Elles permettent notamment de censurer immédiatement un site internet qui leur déplait, sans avoir à recourir à la justice. Justice qui n'existait déjà plus depuis longtemps en France.

    Si le projet de loi SREN est adopté, les FAI (fournisseurs d'accés internet) ne seront pas les seuls à être sollicités pour censurer des sites web. Cette mesure qui vise à bloquer des sites web directement dans le navigateur serait un désastre pour un Internet libre et serait disproportionnée par rapport aux objectifs du projet de loi, à savoir la lutte contre la fraude. Mais cette mesure fournira également aux gouvernements autoritaires un moyen de minimiser l’efficacité des outils qui peuvent être utilisés pour contourner la censure. En somme, une tyrannie numérique est née sous nos yeux.

    Et surtout, avec l’article 4AC qui fixe comme objectif la dotation de 80% des Français d’une identité numérique d’ici 2027 et de près de 100% à l’horizon 2030. Un fichage en règle de tout et de tous, recommence comme dans les pires moments de l'histoire... Il s’agit d’un plan global, orchestré depuis Davos, pour s’approprier toutes les ressources de la planète, qu’elles soient vivantes ou non. L’oligarchie mondialiste qui l’a conçu se sert de "l’Etat", qu’elle a corrompu et colonisé  depuis longtemps, comme d’un cheval de Troie pour annihiler toute résistance individuelle et collective à sa volonté pathologique de domination.

    L'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, explique d'ailleurs pourquoi l'identification numérique et les CBDC doivent être rejetées à tout prix : "Ils prévoient de prendre le contrôle tyrannique numérique de tout le monde, puis de tuer la plupart des gens... Si je me trompe et que vous me suivez, on se moquera de vous. Si vous croyez au récit du gouvernement et que j'ai raison, Vous perdrez votre liberté et probablement votre vie."

    Ces quelques articles de ce projet de loi sont très inquiétants, au regard de la mise à mal de l’anonymat en ligne, de l’atteinte à la liberté d’expression et de la négation du droit à la vie privée qu’ils instaurent, car réguler l’accès au "porno" pour les jeunes, n’est qu’un prétexte de plus pour mettre fin à l’anonymat et contrôler toujours plus les peuples. Et il suffit de voir comment tous ces dégénérés sont en train de donner des cours de sodomie aux enfants de moins de 8 ans dans toutes les écoles de France, pour s'en convaincre. Il se foutent de l'enfance, ce qu'ils veulent c'est pouvoir nous ficher pour nous surveiller. Et nous surveiller pour nous empêcher de nuire à leur plan génocidaire.

    Il faut cependant se rappeler que l’informatique et l’État ne font pas toujours bon ménage. Et au vu des projets informatiques menés ces dernières décennies par l’État français, on se rend vite compte de la propension assez stupéfiante des administrations françaises à représenter avec exactitude les masses absolument monstrueuses d’argent public jetées à fonds perdus dans ces désastres informatiques, humains et financiers. Et avec des taux de la BCE à 4.5 % et une dette à 3000 milliards d’euros, l’Etat n’a dorénavant plus d’argent pour financer ses délires mondialo-wokistes.

    Ainsi, à l’exception notable du prélèvement à la source (qui ne s’est bien passé que parce que la charge de travail fut reportée sans vergogne sur les entreprises privées), absolument tous les projets informatiques menés par l’État et ses administrations, ces vingt dernières années, se sont soldés par des échecs cuisants et une incapacité des administrations à évoluer dans ce sens. Et en même temps, comme dirait le poudré, on ne peut pas plus demander à un fonctionnaire d'être utile et efficace qu'à un singe d'être savant.

    On peut donc raisonnablement tabler sur un futur fiasco, qui ne sera imposé une fois de plus que par la force, et amènera un nombre toujours plus grand d’individus et d’entreprises à haïr ces bureaucraties toxiques au plus haut point, alors que les dettes et les déficits publics s’emballent. Dettes et déficits destinés uniquement à nous dépouiller de tout pour n'enrichir que les banquiers apatrides et sanguinaires ne vivant que sur l'usure. C'est surtout cela le "Great Reset" et  "l'agenda 2030" !

    Comme l'écrit Olivier Demeulenaere : "Derrière l’alibi de la protection des mineurs, dont la caste pédocriminelle se fout bien sûr royalement, on sent venir la fin de l’anonymat et de la liberté de surfer sur Internet." Alors qu'en parallèle de ces démarches, les associations E-Enfance et la Voix de l’enfant assignaient en référé six fournisseurs d’accès à Internet. Elles exigeaient le blocage de plusieurs sites pornographiques, accusés de ne pas mobiliser suffisamment de moyens pour empêcher les mineurs d’accéder à leurs vidéos. Leur demande a été rejetée par le tribunal judiciaire de Paris en octobre 2021.

    On constate bien que leur projet d'attestation numérique sur le Net n'est qu'une autre façon détournée de nous imposer cette identité numérique, qui pourrait ensuite être généralisée et rendue obligatoire dans tous les domaines de la vie quotidienne. Il n’y a en réalité qu’une seule façon de protéger les mineurs des sites internet et c'est de leur interdire le smartphone. Un point c'est tout. Cela se nomme l'éducation et c'est aux parents, et uniquement à eux, à la donner à leurs gosses...

    Même si pour l'instant les systémes d’auto-défense, comme l'éducation à la maison, sont si sévèrement encadrés qu’ils sont en pratique interdits. Car le simple fait d’afficher ouvertement une vive opposition au délire ambiant suffit à déclencher des mesures coercitives hystériques de la part de l’État, le déclenchement des violences policières et la mise en branle d'une pseudo justice castratrice, alors l'espoir est encore permis... Oui, parce que la masse informée gagnera toujours sur cette minorité. Ce n'est qu'une question de temps et les mondialo-assassins le savent.

    Sachez  d'ailleurs que concernant les abus d'autorité, commis contre les particuliers, il existe des lois ( et non des decrets!) comme les Articles 432-4 à 432-9, ainsi que sur les atteintes à la liberté individuelle avec les Articles 432-4 à 432-6. Voici ce que dit l'Article 432-4, (Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002):

    "Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d'emprisonnement et de 100 000 euros d'amende. Lorsque l'acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d'une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450 000 euros d'amende."

    De plus, si le réveil se fait à grand pas parmi les peuples, il se fait aussi parmi les bureaucrates comme au parlement européen. Ainsi, la députée européenne Christine Anderson, qui lutte contre le programme de "Grande Réinitialisation" de Klaus Schwab, délivra un message accablant aux tyrans mondiaux, lors d’une session spécifiquement consacrée à la réponse au virus COVID-19 et à l’Organisation Mondiale de la Santé, l’eurodéputée a conclu la réunion par une déclaration percutante :

"Allez au diable !  
    Si vous ne vous rangez pas sans équivoque aux côtés du peuple … vous n’avez pas votre place dans un parlement ou dans un gouvernement. Votre place est derrière les barreaux." Nous devons juste trouver un moyen de réveiller les gens. Car le problème est simple : c’est un choix:
- C’est soit la liberté, la démocratie et l’État de droit;
- Soit l’esclavage.
    Il n’y a pas d’entre-deux. Il n’y a pas de petite liberté, de petite démocratie, de petit État de Droit, tout comme il n’y a pas de petit esclavage. Voilà donc le choix. Il s’agit de choisir entre les misanthropes mondialistes et les peuples. C’est nous ou eux. Et c’est, je pense, ce dont il s’agit vraiment.Lorsque mes collègues et moi-même avons été élus au Parlement, cela ne faisait aucun doute. Nous étions du côté du peuple parce que le peuple nous paie pour que nous agissions dans son intérêt.C’est notre travail !
  Et une fois de plus, je dirai à chaque représentant élu dans le monde, à chaque membre de chaque gouvernement élu dans le monde, que si vous ne vous rangez pas sans équivoque du côté du peuple et que vous ne servez pas ses intérêts, que vous n’agissez pas dans son intérêt, vous n’avez pas votre place dans un parlement ou dans un gouvernement. Votre place est derrière les barreaux. Vous pouvez même pourrir en enfer, car c’est exactement ce que vous méritez si vous trahissez le peuple."
    Le député Anderson a poursuivi : " Maintenant, je voudrais faire une promesse à la population, et je suis presque sûr de pouvoir parler au nom de mes collègues. Nous continuerons à nous tenir à vos côtés. Nous continuerons à nous battre pour la liberté, la démocratie et l’État de droit. Nous ne nous tairons pas et nous ne cesserons pas de poursuivre ces ignobles misanthropes mondialistes."Et j’aimerais vraiment que vous, les citoyens, ne les suiviez pas. 
Dites simplement non !
    Ils veulent que vous portiez un masque : dites non.
   Ils veulent que vous fassiez une autre injection d’ARNm : dites non.
    Ils veulent vous imposer un couvre-feu : dites non.
    C’est tout ce que vous avez à faire.
Et cela peut sembler un peu difficile, mais ce n’est pas si difficile. Parce qu’une fois que vous leur avez fait comprendre que vous ne les suivrez plus, une fois que vous leur avez fait savoir, ils ne peuvent plus vous faire peur.et compte tenu de ce que nous avons vu au cours des trois dernières années, compte tenu de ce que nous savons qu’ils veulent mettre en œuvre, vous avez le droit de dire non.
    Compte tenu de ce que nous savons qu’ils veulent mettre en œuvre, vous pourriez même avoir le droit de leur dire d’aller se faire voir et d’aller en enfer ! C’est leur place. 
C’est cet état d’esprit que je vous demande à tous d’atteindre."

    Je n'ai rien à ajouter de plus à cette déclaration, sinon que "Ce n'est pas parce que c'est difficile que vous avez peur, mais bien parce que vous avez peur que c'est difficile". Et de vous inciter à résister, bec et ongles, à cette mafia sanguinaire par tous les moyens possibles, légaux ou non, pacifistes ou non... 

    Il en va de votre vie, mais surtout de celle de vos enfants... 
Donc de notre futur à tous !

Phil BROQ.
    

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