Théodore Roosevelt disait, en 1913 :"Derrière le gouvernement visible se tient fermement assis sur son trône un gouvernement invisible qui n’admet ni responsabilité ni allégeance envers le peuple. La destruction de ce gouvernement invisible, le démantèlement de cette alliance impie entre un monde de l’entreprise corrompu et le monde politique qui l’est tout autant, doit constituer la première tâche inscrite à l’agenda de tout homme d’État." Et nous arrivons, après des siècles de malversation et de dérives sectaires et totalitaires, à l'apogée de cette caste malfaisante, servie par une masse inouïe de larbins, détruisant le monde entier pour son seul profit immédiat et son goût immodéré du pouvoir absolu.
Le complot des Illuminati est une thèse selon laquelle la "société de pensée" allemande des Illuminés de Bavière, historiquement dissoute en 1785, aurait perduré dans la clandestinité et poursuivrait un plan secret de domination du monde. Cette théorie, dont la première mention remonte à l’ouvrage de John Robison, "Proof of a Conspiracy", publié en 1797, se confond avec les théories du complot maçonnique en avançant que les Illuminati réalisent leur plan en infiltrant les différents gouvernements, en particulier ceux issus de révolutions, et les autres sociétés initiatiques dont la franc-maçonnerie. Le banquier Meyer Amschel Rothschild finança d'ailleurs généreusement l’ordre. Comme les Illuminati recrutaient à l'origine des francs-maçons, les deux groupes ont souvent été confondus. Au XVIIIe siècle, la franc-maçonnerie avait connu une forte expansion en Europe, notamment en Allemagne, où Adam Weishaupt envisagea dans un premier temps de rejoindre une loge, sans succès. S’il fut finalement déçu par les idées des francs-maçons, il s’imprégna malgré tout d’étranges lectures sur les mystères des sept Sages de Memphis, de la kabbale et des secrets de la magie d’Osiris. Fondée le 1er mai 1776 par le philosophe et théologien Adam Weishaupt à Ingolstadt, les Illuminés de Bavière (ou Illuminati de Bavière) se réclamaient de l'Aufklärung (nom donné au siècle des Lumières en Allemagne, qui s'étend approximativement des années 1720–1730 aux années 1775–1785), et plus généralement de la philosophie des Lumières portée par les Jacobins.
Ceux que l'on nomme "Les Jacobins" ont défendu bec et ongle, allant jusqu'au meurtre, la forme républicaine de gouvernance, le suffrage universel masculin et surtout l’idée d’un État fort et centralisé qui perdure depuis lors. C'est ce qu'ils nommaient "le progrès". Porté par la philosophie du siècle des Lumières et par l'essor de la science au XIXe siècle, leur progressisme part du postulat que le sens de l'histoire est le progrès. Or, on constate aisément l'inverse. Puisant ses racines philosophiques dans le mouvement européen des Lumières, le progressisme se rattache donc au mythe mensonger et rationaliste du Progrès. Mais ils n’étaient vraiment pas des "Lumières" comme on aime à nous le faire croire, seulement des suiveurs, des larbins, des perroquets sans conscience qui appliquaient déjà un plan venu des libéraux anglo-saxons, lesquels avaient déjà massacrés les amérindiens pour leur propre profit et suivaient, depuis Cromwell, les idées talmudistes. Ainsi, leur progrès n'est qu'une autre forme de tyrannie communiste archaïque destinée à faire de tous les hommes des esclaves soumis au dictat des marchands et dont ils resteraient les seuls bénéficiaires. Appelé d'abord "Club breton", le club des jacobins tient son nom du couvent des jacobins de la rue Saint-Honoré où il s’est installé en 1789. Il était constitué de membres aux idées radicales venues de l'étranger et a agi avant et pendant la Révolution française. C'était une société de pensée, ou plus exactement de "prêt à penser", qui a formée à la fois un groupe de pression et un réseau d’une remarquable efficacité. L’objet de ce club était à l’origine de préparer les séances à l’Assemblée, en discutant d’avance les textes qui devaient y être débattus et de travailler à l’établissement et à l’affermissement de leur Constitution. Constitution qui est aussi issue de la révolution des américains de 1776 et qu'ils n'ont fait que recopier et adapter à la France. Dans l'Assemblée constituante de 1789 issue des États généraux, la noblesse était le groupe qui avait la plus forte proportion de francs-maçons, avec de 79 à 81 maçons (selon les sources) sur 285, soit environ 28.5%, contre environ 6% du clergé et 18% du Tiers état. "C’est ici que s’est préparée la Révolution, c’est ici qu’elle s’est faite, c’est ici que se sont préparés tous les grands événements", disait Georges Couthon en 1793.
- Exécution du Roi : Qui était considéré par ces assassins sans foi ni loi comme un "traître à la patrie" pour avoir tenté avec des monarques étrangers de mettre fin à leur coup d'état finissant par la Révolution sanglante que l'on connait.
- Suffrage universel masculin : Manipulé par ce petit groupe Parisien qui dictait ses ordres au reste du pays, sous couvert de vote frauduleux, en faisant croire à la liberté que tous les hommes majeurs puissent participer à la vie politique.
- Gestion gouvernementale centralisée : Permettant ainsi de contrôler d'une main de fer tous les postes régaliens de l'état et qui est née de la propagande que dans des situations critiques, il était nécessaire d’avoir un État fort. Comme si tous les œufs mis dans le même panier ( de crabes) étaient mieux protégés.
- Laïcité et anticléricalisme : Leur goût et nécessité de gagner de l'argent par l'usure et les manipulations du marché du grain n'allait pas de pair avec la morale Chrétienne, ce qui se traduit par son aspiration à mettre fin aux privilèges de l’Église catholique et de faire main basse sur tous les avoirs du clergé.
Durant l’Ancien régime déjà, les pénuries et la famine servaient à soumettre les peuples aux volontés des marchands. Car comme disait l'ignoble Talleyrand : "il faut toujours agiter le peuple avant de s'en servir". Le grain étant la base de l’alimentation de la paysannerie, la sécurité alimentaire se trouvait au cœur de la relation entre le Roi et sa population. C’était donc la responsabilité du Roi et de son gouvernement d’encadrer le commerce du grain et de veiller à l'équilibre national et local entre demande et offre. C’est Choiseul, premier ministre de Louis XV, qui rend la déclaration royale du 25 mai 1763 autorisant la libre circulation des denrées d'une province à l'autre, jusque-là interdit et sanctionné, bientôt complétée par un édit de juillet 1764 autorisant de surcroît l'exportation vers l'étranger. L'aboutissement politique du développement de la pensée de ces Physiocrates (courant de réforme du droit et de la politique au XVIIIe siècle, du fait de ses théories du droit naturel et du despotisme légal) et libéraux anglo-saxons, est l'une des premières tentatives de libéralisation de l'économie française, comparable à celles menées en Amérique, en Angleterre, en Espagne ou en Toscane à la même époque. On voit déjà la concertation internationale des membres de ce club visant à s'accaparer les ressources vitales du monde. Cette libéralisation encourage la spéculation car les propriétaires des grains stockent les blés dans l'attente d'une hausse des prix, ou achètent le grain à bon prix dans des régions où il abonde et le revendent plus cher dans les régions qui en manquent. Ainsi, le Duc d’Orléans, membre des Illuminati, acheta une importante quantité de grains pour pousser la population à porter ses doléances au Roi qu’elle avait été amenée à tenir pour responsable de la disette. Ces comportements ont pour effet d'augmenter le prix du grain, lequel est reporté sur le prix du pain. Et en même temps, ils ont autorisé la spéculation et établi des prix maximums pour les produits de première nécessité, comme le pain en affamant ainsi volontairement le peuple pour générer des profits. Comme ils le font actuellement avec les pénuries et notamment celle de l'énergie. Chose que le Roi et les gens d'armes de l'époque réprimaient lourdement et surveillaient. Mais ça, c'était avant ! Et c'est cela qui eut pour conséquence la révolte du peuple et non l'envie de changer de régime. Et c'est aussi cela qui fit qu'on guillotina le Roi Louis XVI, car il était le dernier rempart pour protéger son peuple de ces vautours apatrides. L’explication classique de la Révolution française est celle d’un peuple qui, las de subir l’oppression du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, se souleva en opposition à la monarchie et commença par prendre d’assaut la prison de la Bastille. Cet événement, selon les archives historiques officielles, marque le début de la Révolution qui atteint son apogée avec le remplacement de la monarchie par la soi-disant "République Française".
En 1789, Jean-Pierre-Louis de Luchet, Marquis de la Roche du Maine, dit aussi "Marquis de Luchet", publie son essai sur la secte des Illuminés où il dénonce les dirigeants des Illuminés de Bavière comme contrôlant l'espace maçonnique européen en général et français en particulier. Après la révolution, "Les Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme" de l'Abbé Barruel soutiennent aussi une idée selon laquelle les Illuminés de Bavière, groupe fondé le 1er mai 1776 par Adam Weishaupt, ont infiltré la franc-maçonnerie afin de renverser les pouvoirs en place, aussi bien politiques que religieux, pour asservir l'humanité. Cette thèse, qui veut que la Révolution française résulte d'un complot fomenté contre l'Église et la royauté par les philosophes athées, les francs-maçons avec les illuminés et les jacobins, a connu une postérité considérable. Et de nos jours, un retentissement légitime. Ce n'était absolument pas une révolte du peuple, mais bien déjà un coup d'état des Illuminés/talmudistes.
Entre juin 1793 et juillet 1794, les Jacobins imposent la politique de Terreur, qu’ils justifient par la nécessité de sauver la République, menacée à la fois par la rebellions des monarchies européennes et par l’insurrection des secteurs monarchistes. Le gouvernement des Jacobins prendra officiellement fin le 27 juillet 1794 , avec l’arrestation de Robespierre, qui sera guillotiné avec une vingtaine de partisans. Et en 1797, l'érudit franc-maçon écossais John Robison publie les preuves d’une conspiration contre l’ensemble des religions et des gouvernements d’Europe. Robison accuse les francs-maçons, avant tout du rite français, de complot révolutionnaire sanglant qui allait en découler. Tout comme Barruel, il indique que les Illuminés de Bavière ont influencé les loges françaises, les incitants à comploter contre l'État et leur soufflant l'idée et les moyens de fomenter cette Révolution française. Ces deux auteurs tentèrent de démontrer, indépendamment l'un de l'autre, qu'au-dessus de facteurs tels que la répression du Tiers-état, la famine ou la mauvaise gestion de crises politiques par Louis XVI, le facteur prédominant qui aurait déclenché la Révolution française serait une préparation méthodique du processus révolutionnaire dont le plan fut tracé de manière détaillée des années avant son déclenchement et au cours duquel la franc-maçonnerie et les Illuminés de Bavière auraient joué un rôle central de décision et d'organisation.
Ces Jacobins faisaient partie des soi-disant "montagnards", qui était le nom donné aux députés qui siégeaient dans la partie la plus haute des tribunes de la Convention et qui étaient aussi les plus extrêmes. L’analyse sociale du recrutement opéré par ce club, à Paris comme en province, fait apparaître la même prédominance de l’élite du Tiers-état que dans les loges maçonniques actuelles : négociants, magistrats, officiers, médecins, rentiers… Ce sont les mêmes qui sont à la manœuvre plus de deux siècles plus tard, toujours aussi violents et radicaux, mais avec des armes plus sophistiquées et une stratégie plus élaborée qu'à l'époque. Bien que la finalité soit toujours de perpétrer un sacrifice sanglant des peuples afin de servir leur maître démoniaque, Moloch ou le veau d'or, qui les rétribuent de leur allégeance par le biais du pouvoir et de l'argent qu'ils amassent jusqu'à plus soif. C'était ni plus ni moins qu'une secte de meurtriers, mus par des considérations financières et se délectant de répandre la terreur et le sacrifice de sang dans la population afin de bénéficier seuls du pouvoir. Et rien n'a changé depuis lors.
On le constate de nos jours, les salopards qui ont fomentés cette révolution de 1789, tels ceux de Davos actuellement, ont organisé un véritable complot pour mettre à genoux tous les peuples au profit exclusif de leur caste scélérate de nantis. Exactement comme ils l'ont fait depuis l'épisode Plandémique avec d'abord les pénuries du PQ puis de pâtes, suivi de la moutarde et de l'huile, et enfin de l'essence et de l'électricité. Le tout sur fond de guerre et de conflit nucléaire pour ajouter un peu plus de peur à la peur. Ils étaient aussi tous francs-maçons, et comme aujourd'hui soumis aux libéraux anglais. Ils voulaient de prime abord rejeter Royauté et Église, qui les gênaient par la morale et la justice qu'elles dispensaient depuis des siècles et empêchant l'émergence de leur folie totalitaire à base d'usure. C'est ainsi que la Raie-publique est née et s'est construite, sur un sacrifice sanguinaire qui permit l'installation de la pseudo philosophie dite maçonnique des "Jacobins", lumières noires issues des loges créées par les ténébreux illuminés et inspirées par le nauséabond Talmud et éminemment contraire aux intérêts du peuple, au bien commun et aux antipodes de ce que l'on nous enseigne à l'école. Car la fausse "philosophie" de la Franc-maçonnerie, initialement "loge des Jacobins" durant la période de la "révolution, dite française" n'est en fait qu'une mauvaise copie du totalitarisme talmudiste adaptée à l'occident pour mieux le détruire de l'intérieur, faute de pouvoir le faire ouvertement. Ordo Ab chaos. L'ordre né du Chaos. Telle est la méthode employée depuis des siècles par un adversaire lâche, fourbe, hautain et profondément jaloux de notre messie et de nos valeurs chrétiennes universelles. Adversaire qui utilise le pouvoir de l'argent, acquis frauduleusement grâce à l'usure, afin de corrompre tout ce qu'il approche. C'est le seul savoir-faire actuel comme passé, des manipulateurs de l’école des "Young Global leaders" appuyés par les moyens gigantesques des mondialistes qui placent qui ils veulent, quand ils veulent, aux commandes des nations dépouillées de leur souveraineté. Vous constaterez de même que l’idée que nous vivons sur une planète interconnectée s’est imposée sans que l’on en connaisse bien la généalogie. Comme pour l'avènement des LGBT ou des Wokes...
Jusqu’à présent, une partie importante de l’humanité se trouve toujours au premier stade de la révélation (apocalypse), et donc de son évolution intellectuelle et spirituelle sur les véritables tenants et aboutissants concernant les gestionnaires de notre monde. Continuant à s'informer uniquement auprès des meRdias propagandistes de masse, appartenant à cette oligarchie folle et meurtrière, ils n'ont pas la moindre idée de l'ampleur de la toile d'araignée mondiale dans laquelle ils sont englués depuis leur naissance. Ni même quel genre d'araignée l'a tissé. Et malgré les énormes mensonges et manipulations flagrantes proférées au quotidien, ils ne peuvent ou ne veulent pas admettre que le monde dans lequel ils vivent est une illusion, un mensonge articulé, une trame si bien tressée qu'elle fait en sorte de les garder endormis pour mieux les dépouiller. Ils ingurgitent les informations toujours plus choquantes à un rythme incessant, empêchant toute forme de rationalité, tant ils sont pris dans la saturation de l'émotion ainsi suscitée, comme un canard que l'on gave trois fois par jour avant les fêtes pour gonfler son foie gras. L'esprit de ces larbins, gobant tout ce qui sort de leurs écrans, est alors saturé par des nouvelles souvent fausses ou erronées entrecoupées d'un matraquage publicitaire abrutissant, leur prohibant toute forme d'analyse du monde réel qui les entourent et masquant systématiquement les véritables responsables aux manettes de ce piège dans lequel est prisonnière l'humanité toute entière. Ce qui signifie qu’ils restent aussi intégralement sous la coupe d'un système basé exclusivement sur le spectacle (Cf. Debord) pour mieux annihiler leur conscience et pérenniser son emprise mortelle. Il s'agit là d'une maladie mentale, d'un déficit cognitif, d'un syndrome. Ce syndrome diminue les capacités d’analyse du larbin et se traduit par un blocage psychologique l’incitant à agir préférentiellement contre ses propres intérêts au profit de ceux qui l’exploitent. Mais ce spectacle n'est pas nouveau, ce n'est même pas un progrès, qu'ils nomment pourtant "progressisme", puisque cette technique manipulatoire incarcère la France depuis au moins la révolte fomentée par les Jacobins en 1789. Et cette toile a été tissée par un réseau imbriqué de loges Talmudo/maçonniques et entretenu depuis des siècles par de vils personnages, dont on commence à connaitre l'identité et qui n'ont rien à envier à leur maitre commun, Lucifer !
Lucifer, littéralement "le porteur de lumière", est fréquemment surnommé Satan. C'est le nom d'un ange déchu pour s'être rebellé contre Dieu (premier péché d'orgueil) et dont certains l'ont rapidement diabolisé et assimilé à Satan. Dans la tradition chrétienne, Satan est mentionné dans le Livre de Job et dans les Évangiles par Jésus qui le qualifie de "prince de ce monde". Il est identifié au chef des anges déchus et également au Serpent de la Genèse. Satan est connu par l'expression latine : Vade retro Satana "Arrière, Satan !", extraite de l'Évangile selon Matthieu (4,10) selon la Vulgate de Jérôme de Stridon, lors de la tentation de Jésus dans le désert. Les sources rabbiniques identifient Satan au serpent du Jardin d’Éden (Sanhédrin 29a). Elles le tiennent pour responsable de la faute du Veau d'or. Satan est alors présenté comme un archange déchu dès la Création pour avoir défié Dieu et ayant entraîné les autres anges rebelles dans sa chute. L'équivalent formel de Satan dans l'Islam est "Sheitan". Le terme vient probablement de l'hébreu, mais les lexicographes arabes tirent le mot de la racine arabe "š-ṭ-n", signifiant "détourner quelqu'un de son intention originelle" ou "quelqu'un qui s'est écarté de la voie de Dieu". En réalité, l'adjectif substantivé du porteur de Lumière désigne, dans la mythologie romaine, "l'astre du matin", c'est-à-dire la planète Vénus. Il correspond, dans la mythologie grecque, au Dieu Héōsphóros (Έωσφόρος), "Celui qui porte l'aurore", aussi appelé Phōsphóros (Φωσφόρος), "Celui qui porte la lumière", du fait que la planète Vénus est encore visible peu avant l'aurore. C'est l'entre-deux monde, entre le visible et l'invisible. C'est le monde de la magie, des incantations, des sacrifices...
Et donc, les Talmudistes, issus de cette synagogue rebelle vouée au culte du sang et de la magie, ont épaulé les Illuminati pour créer les loges maçonniques à l'origine des Jacobins de l'époque, comme les mondialistes actuels qui sont repérés grâce au "tamis" des loges maçonniques et ensuite formés à Davos chez les "Young leaders" pour les plus abrutis et soumis, avant d'être adoubés chez les Bilderberg. Les talmudistes voulaient combattre l’intolérance et l'obscurantisme de ce qu'ils nommaient alors dans leur inversion accusatoire "sectes", en éliminant en premier lieu le discours et la morale Chrétienne. Laquelle a tout de même créé la civilisation depuis 2000 ans, mais aussi en empêchant toute indépendance d’esprit du peuple qui devait suivre leur idéologie ou mourir, car toute forme de dissidence, toute pensée déviant de leur narratif, toute contradiction à leur discours, toute ouverture d’esprit critique, et toute contestation de leur légitimité devait être immédiatement sanctionnée afin d'empêcher l'éveil des peuples Un seul discours, une seule issue… Voila comment depuis 1789, la France est assujettie à cette idéologie mortifère et à ces truands matérialistes dénués de toute élévation spirituelle. C'est cela le matérialisme, issu des talmudistes fous et totalitaires ayant refusé que le Christ offre sa gloire au monde entier et les dépossèdent de leurs biens mal acquis, depuis des siècles avant sa venue, par les sacrifices sur le parvis du temple et la pratique de l'usure. Et qui depuis lors suintent de haine envers le genre humain ainsi sauvé par le seul Messie, fils de Dieu incarné et qu'ils ont refusé de servir.
C'est la raison pour laquelle cette pensée revancharde et destructrice s'était développé en premier lieu au sein du judaïsme, ce peuple se croyant élu mais qui avait toujours tout perdu après le retour de l'Exil à Babylone, avec l'idée qu'il existait entre la sphère divine et le monde des hommes, tout un monde intermédiaire peuplé d'anges et de démons. Ces anges étaient, selon eux, capables de modifier le cours des événements dès lors qu'on les sollicitaient avec des sacrifices. De là est née la Kabbale puis en suivant le Talmud, (interprétation orientée, égocentrique et totalitaire des textes saints) où les anges mauvais étaient responsables de l'apparition du mal dans la Création. Le Livre d'Hénoch, retrouvé à Qumran, parle clairement de ces anges déchus dont le chef est Azazel. Par ailleurs, l'expression "bouc émissaire" provient de la traduction grecque de "bouc pour Azazel". C'était un bouc portant sur lui tous les péchés d'Israël qui apparaît dans un passage du Lévitique (16-21). "Azazel apprit aux hommes à fabriquer des épées, des armes, des boucliers, des cuirasses. choses enseignées par les anges. Il leur montra les métaux et la manière de les travailler, ainsi que les bracelets, les parures, l'antimoine, le fard des paupières, toutes les sortes de pierres précieuses et les teintures. Il en résulta une grande impiété. Les hommes se débauchèrent, s'égarèrent et se perdirent dans toutes les voies." Depuis lors, le monde, privé de sa solution préférée, le mécanisme émissaire, devient ainsi de plus en plus violent, quoique les formes de civilisations ne cessent d'évoluer pour contenir, dans les deux sens du terme, cette violence dite apocalyptique.
Un ennemi commun doit alors être conjuré pour inciter l’humanité à s’unir sous une seule bannière, et les élites voient dans la catastrophe environnementale, causée par l’humanité elle-même, le meilleur facteur de motivation possible. Sachant que la pollution est surtout générée par leurs multinationales, leurs jets et leurs Yachts. Et en cherchant un ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, ils ont eu l’idée saugrenue que la pollution, la menace du réchauffement climatique, la menace nucléaire, les pénuries d’eau, d'énergie, les famines également, feraient l’affaire. Une attaque extra-terrestre ferait aussi très bien illusion, mais la ficelle serait trop grosse pour y faire adhérer leurs larbins. Car ils croient qu’ils seront en mesure de réécrire l’histoire des événements en toute impunité après la réinitialisation qu'ils ont initié, tel des Mao ou des Staline. L'histoire n'étant écrite que par les vainqueurs, on en voit les dérives actuelles. Ils pensent aussi qu’ils seront propriétaires du monde de l’information et qu’ils pourront modifier notre mémoire au fur et à mesure de leurs besoins. C'est en oubliant un peu vite les auteurs et autres indépendants dont je fais partie et qui tentent au quotidien de contrer leur hégémonie. Ainsi, dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes artificiels orchestrés par cette caste malfaisante constituent bien une menace commune à laquelle nous devons tous faire face et qui nécessiteraient selon leur point de vue, une gouvernance mondiale. Dans leur narratif, le véritable ennemi de l'homme est alors l’humanité elle-même. Or l'ennemi véritable de l'humanité c'est cette caste sectaire et mafieuse. Mais en désignant ainsi ces dangers comme ennemis, nous tombons dans le piège de confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont causés uniquement par l’intervention de cette caste de mondialo/progressistes et ce n’est qu’en modifiant les attitudes et les comportements individuels, en éduquant et en dénonçant par la vérité leurs actions, en ouvrant les yeux sur les véritables gourous de ce monde devenu fou, qu’ils pourront être surmontés. C'est cette théorie abusive qui est à l'origine de ce renversement de vague de la liberté et de la prospérité individuelle vers une manière très ancienne de faire les choses, semblable à l’ancien féodalisme. Vous devenez un paysan travaillant sur des terres appartenant aux élites ou à l’État et accaparées frauduleusement par la violence, dont vous ne serez jamais autorisé à posséder ces terres, bien que ce soit vous qui nourrissez l'état, les gouvernants et leurs maitres, gourous mondialistes, par votre labeur et vos impôts. Ils ont inversé le processus et au lieu de nous servir, se servent de nous ! Or, l'inversion des valeurs comme de la morale est le propre du maître du mensonge et de l'illusion, Lucifer, leur chef.
Ceci n'est pas une affirmation mystique, venue du Chrétien véritable que je suis, mais bien d'un de leur propre "chef" méphitique nommé Albert Pike (1809-1891). Le 14 juillet 1889, Albert Pike déclarait, par exemple, aux 23 Suprêmes Conseils du monde (les chefs de la Franc-maçonnerie universelle) : "la véritable et pure religion philosophique est la croyance en Lucifer." Et Jean Lombard, dans son livre "La face cachée de l’Histoire moderne" présente Albert Pike comme étant du 33e degré maçonnique, grand commandeur du Rite écossais du Sud qui fonda sa propre obédience luciférienne, le "New Reformed Palladian Rite", destinée, entre autre, à appuyer le Mouvement Révolutionnaire Mondial. De plus, la lettre d’Albert Pike à Mazzini, qui date du 15 août 1871, décrit le plan des francs-maçons pour provoquer 3 guerres mondiales et pousser le monde musulman et judaïque de la Torah (pas celui Talmudo/sioniste) à s’entre-détruire une fois le catholicisme anéanti, pour faire en sorte que les autres pays aussi s'entre-détruisent, afin d'amener un cataclysme social et donc un Nouvel Ordre Mondial qu'ils dirigeraient. Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu’après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde n'ait jamais connu. Voici ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres : "Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées (NDLA: créés par la raie-publique) et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps."
En résumé, selon les plans des francs-maçons manipulés par cette synagogue rebelle : La Première Guerre Mondiale devait permettre aux Illuminati, sous couvert de manœuvres maçonniques, de renverser le pouvoir des Tsars en Russie, transformant ce pays par la mainmise du Communisme athée, détruisant aussi la chrétienté soutenue par les rois en Europe. Le christianisme étant la cible majeure de cette secte. Et en février 1917, ce sera le renversement du régime tsariste de Russie, puis en octobre de la même année, la prise de pouvoir par les bolcheviks (juifs khazars) et à l’installation d’un régime léniniste communiste. La Deuxième Guerre Mondiale devait être fomentée en jouant sur les divergences entre Fascistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l’Etat d’Israël puisse s’établir en Palestine. Ce qui est acté aujourd'hui. Et la Troisième Guerre mondiale devrait être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (la religion de Mahomet y compris tout le monde Arabe) et le Sionisme Politique (y compris l’Etat d’Israël) se détruisent mutuellement. C'est l'Armageddon. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. C'est la soumission totale de l'homme, devenu un esclave, un larbin de ces forces ténébreuses. C'est la victoire illusoire de Lucifer sur Dieu.
L’histoire tragique du capitalisme ne suffit pas à mobiliser les populations pour une autre société, débarrassée de ce système d’exploiteurs avides et perfides. Le capitalisme produit ce type de défaut servile par l’attrait d’avantages financiers ou simplement de confort idéologique et matériel. Ces milliers de larbins mondialistes essayent de conditionner le peuple et leur faire accepter la fatalité de cette société d’inégalité outrageuse et sans complexe, qu'ils maitrisent grâce aux normes qu'ils inventent. Le syndrome du larbin consiste donc à prendre systématiquement la défense des classes les plus favorisées au détriment de celles dont vous faites partie. Ce syndrome vous incite donc à agir contre vos propres intérêts au profit de ceux qui vous exploitent. Mais le Larbin est plus qu’un simple domestique, il est conscient de servir son patron avec une certaine affection sans se poser de question. Beaucoup trop de gens ne comprennent pas ce qui leur arrive et les médias serviles peuplés de petits larbins sont là pour dérouter les cerveaux populaires qui n’ont pas fait les grandes écoles. Bien que bon nombre de larbins gouvernementaux sortent aussi de ces grandes écoles, mais suivent les ordres de leurs gourous afin d'accroitre leur richesse et leur pouvoir. Ce sont eux les Mondialo/larbins ! Tels Sarko et Hollande qui se sont succédés pour nous imposer la destruction de tout le système social gagné de haute lutte par nos anciens des années 30 et 40. Sarko nous a trahis et volé, Hollande nous a empêché de retrouver notre souveraineté, et enfin Macron est arrivé pour finir le travail de destruction de notre pays en tant que nation libre et souveraine. Les trois étaient des larbins (rémunérés) mais consentants. C'est cela leur grande réinitialisation...
La "Grande Réinitialisation" progressiste est aussi une grande usurpation, dont la base est l'inversion idéologique, permettant à long terme de détruire ce qu'il reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale inventée dans les loges et financée par les banquiers talmudistes. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la "réinitialisation" vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons, et où les institutions mondialistes et leurs "partenaires" gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires des crises qu'ils provoquent. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des nazis en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a un siècle. Le but ultime de la centralisation totale est d’effacer l’idée même de marché libre et de permettre à une poignée de personnes de microgérer chaque aspect du commerce, des affaires et de la vie des gens par le contrôle numérique total de leurs mouvements et activités. Ce n’est pas seulement une question d’influence, c’est une question d’empire économique et de pouvoir absolutiste. Les mondialistes ont comploté pour utiliser l’environnementalisme comme excuse pour la centralisation depuis au moins 1972, lorsque le Club de Rome a publié un traité intitulé "Les limites de la croissance". Vingt ans plus tard, ils publieront un livre intitulé "La première révolution mondiale". Dans ce document, ils recommandent spécifiquement d’utiliser le réchauffement climatique comme véhicule de la peur et de la mise sous tutelle des hommes. Changement climatique qui est une fable, un mensonge de plus, au même titre que les pénuries ou la création de la monnaie.
Les amis du "progrès" travestissent ainsi la démocratie afin de conserver leurs idées au pouvoir, et gouvernent en véritables despotes. Le progressisme actuel, qualifié de néo-progressisme, ne représente plus une quête du progrès, mais un culte du mouvement de la fuite en avant dans ce qu'il est convenu d'appeler la mondialisation. Le libéralisme économique radical devient une vaste machine à enrichir le 0.0001% de la population mondiale qui profite des trois quarts des richesses produites chaque année, au détriment des peuples, en saccageant toute la nature. Le progressisme, c'est la transgression, c'est le transhumanisme, c'est la tyrannie LGBTQazerty, c'est la déshumanisation, c'est le changement anthropologique, c'est le retour au sacrificiel et à la magie, c'est la violence systématique, la violence verbale, la violence psychologique, la violence physique, sous des dehors humanitaires et philanthropiques. C'est le mensonge et la destruction ! D'ailleurs, les opérations psychologiques qui ont permis l'ignoble mensonge nommé Covid, sont maintenant utilisées à l'identique pour le pseudo changement climatique.
Ces considérations philosophiques ne servent en réalité qu’à justifier et à couvrir d’ignobles perversions et d’infâmes abus. Et bien qu'extrêmement matérialistes, les mondialistes sont en réalité profondément mystiques, superstitieux, kabbalistes et vouent un culte à une religion archaïque qui est celle de Lucifer, le "porteur de lumière", bien qu’ils cherchent à détruire les sociétés traditionnelles et les religions qui les structurent au nom de la "Raison" et du "Progrès". Derrière les portes closes de leurs temples impies, les mondialistes vénèrent Satan, "le prince de ce monde", créature transgenre chez laquelle tout n’est qu’inversion, corruption et rébellion contre l’ordre naturel créé par Dieu. Le culte luciférien exigeant de ses adeptes des sacrifices rituels, ceux-ci participent régulièrement à des messes noires ou à des cérémonies occultes, comme c'était déjà le cas avec la secte qui vénérait le veau d'Or ou le culte de Baal. Ainsi, les religions et les pouvoirs ont toujours développé une abondante littérature ayant pour sujet le mal personnifié par une figure démoniaque. La plupart d'entre-elles y ont vu un être, créé ou non par la divinité, mais toujours opposé à elle et ayant pour vocation la conquête du monde, la possession des hommes, la perversion de leur esprit et de leurs mœurs. C'est une guerre invisible qui nous est menée par une oligarchie mondialiste bien décidée à nous éliminer ou à nous asservir. En pleine déconfiture, ils ne tiennent plus que par l'emploi des pires moyens du totalitarisme : mensonge d'État, fraude électorale, contrôle social, manipulation de masse (piquouze), décérébration de masse, déconstruction de la personne humaine, suppression progressive de toutes les libertés, répression, oppression, submersion migratoire et destruction programmée des peuples autochtones… Ils vont essayer d’exploiter cette peur pour obtenir une gouvernance encore plus centralisée et modifier les fondements mêmes de notre société tout en étouffant ce qui reste de nos libertés. C'est pourquoi il faut se réveiller et commencer dès à présent au démantèlement de ce système satanique d’exploitation de l’Homme et de la Nature par une clique de psychopathes déterminés à mettre l’ensemble de l’humanité en esclavage et à prendre la place de Dieu. Le progressisme conduit au changement de civilisation et à la naissance d'un Nouvel Ordre Mondial totalitaire et inhumain. Il conduit surtout à l'enfer sur Terre.
Déjà dès le début de l’histoire d’Israël, l’Éternel Dieu avait averti son peuple en déclarant : "Je suis l’Eternel ton Dieu... Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face" (Ex 20:2). C’était là, sur le Mont Sinaï, le tout premier des dix commandements. Le Seigneur le répète solennellement lors de son sermon sur la montagne (Mt 6:24). Il existe donc deux maîtres se partageant l’allégeance de l’humanité. Certains servent le Dieu vivant et vrai, alors que d’autres servent Mammon, le dieu de la richesse et du matérialisme. Des multitudes suivent ce dernier, se courbent devant lui, le servent et l’adorent jusqu’à en perdre leur âme. N'hésitant pas à inverser les valeurs, les mots, les accusations et à mentir pour atteindre leur but. L’apôtre Jean nous parlait aussi déjà de ces gens qui n'aiment que la matière et réfutent l'esprit saint. Et il confirme en affirmant : "N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement" (1 Jn 2:15-17). Il est très instructif de remarquer que lorsque Jésus fait référence à Satan comme "le prince de ce monde" (Jn 14:30), il ne dit jamais que l’homme doit choisir entre Dieu et Satan. Quand Jésus parle de deux maîtres que les hommes pourraient servir, il précise que les deux maîtres en question sont Dieu ou Mammon (Lu 16:13). Dieu ou Mammon. L’Éternel ou Baal. Les valeurs du ciel ou celles du monde. Comme il est écrit dans 1 Timothée chapitre 6, verset 9 : "Ceux qui veulent à tout prix s’enrichir s’exposent eux-mêmes à la tentation et tombent dans le piège de nombreux désirs insensés et pernicieux qui précipitent les hommes dans la ruine et la perdition." L'histoire d'Abraham, qui 1800 ans avant J-C. semblait interdire l’usure, mène tout droit à cette idole assez mal connue dénommée Mammon, qui est pourtant le 2e Prince des Enfers et partie intégrante de Lucifer, car il est l'ange de la richesse et le démon de l'avarice. Or, "Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l'un et aimera l'autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon" (Matthieu 6:24). Mais la destruction de l’homme est plus importante pour Satan que celle de Dieu, contre qui il ne peut rien. Il a eu l’âme et l’esprit, il veut le corps maintenant avec la dévitalisation des organismes (injections, sous-alimentation, immobilisation, prostration chimique et télégénique, contrôle numérique forcené, etc.). Tout cela sans que nous ayons aucune possibilité de contester. C'est donc bien cette secte qui est au pouvoir, dévolue à Lucifer, et qui tire les ficelles du monde en nous menant vers l'abîme.
Une secte est juridiquement définie comme étant un groupe idéologique clos qui suit un leader (gourou) dissident de la doctrine générale (ex: laïcité, wokisme, Lgbt, etc.) et qui se caractérise surtout par le fanatisme et l’intolérance de ses membres. C'est un groupe disposant d’une organisation pyramidale du pouvoir, centralisé aux mains d’une personne (un gourou), ou d’un collège restreint de dirigeants, qui pratique la manipulation mentale de ses adeptes, l’extorsion de fonds, cherchant à exclure toute doctrine différente, s’inscrivant en rupture de l’environnement d’origine des membres, pouvant atteindre à leur santé physique et psychique, recherchant à embrigader les enfants, provoquant assez souvent des troubles à l’ordre public et collectionnant les démêlés judiciaires. Or, à la lecture de cette définition, quelque chose apparaît assez clairement : la plus grosse secte qui sévit actuellement en France est celle de ce gouvernement composé par les progressistes mondialistes francs-maçons et ce n’est certainement pas celle qui est la plus combattue, bien au contraire. Plus aucun doute possible sur le fait que l’État français remplit tous les critères et les dérives des vingt dernières années au bas mot, si on ne prend en compte que Sarko et Flamby. Et accroissent encore ce sentiment que l’augmentation des dérives sectaires constatées provient bien de l'état en tout premier lieu. Car ceux qui gouvernent dorénavant les nations sont devenus soit esclaves, soit soumis au chantage de cette mafia sectaire et dorénavant internationale.
Cette secte tyrannique et étatique, pieuvre malfaisante qui infuse maintenant toute la société française, s’est aussi attelée, comme toute secte, à embrigader les enfants qu’elle prétend éduquer pour les formater. On en voit chaque jour le résultat calamiteux. De plus, à ces sectes diverses et variées, nées de cette synagogue rebelle jalouse et revancharde, s'oppose une véritable Tradition originelle et universelle, d’origine divine, rassemblant l’ensemble des Traditions. (Voir mon livre "La Tradition ésotérique" paru chez Thebookedition.com.) Cette Tradition originelle, qualifiée de primordiale par René Guénon, a été largement dégradée par des penseurs trop "humanistes" et "progressistes" voulant s’y substituer par une sorte d’égocentrisme de leur pensée. Se croyant l'égal de Dieu, ils ont placé l'homme au centre de la création. Ainsi, les pseudos humanistes que sont les francs-maçons, manipulés par les idées du Talmud au point de croire qu'ils étaient des lumières, comme les protestants, ont dévoyé toute forme de philosophie afin de faire rentrer dans leur cadre restreint, la pensée divine élevée par d'autres. Toute cette hiérarchie officielle sert à dissimuler le fait que le véritable pouvoir se trouve concentré entre les mains d’un petit nombre de familles multimilliardaires dont les plus connues sont les Rockefeller, les Rothschild, les Wallenberg, les Warburg ou encore les Saoud, associées à des individus tels que George Soros, Bill Gates ou Klaus Schwab. Et ces familles dominent le monde via leur contrôle des institutions financières comme la Banque des Règlements Internationaux (BIS) ainsi que les banques centrales, qui, pour la majorité d’entre elles comme la Federal Reserve américaine (FED) ou la Banque Centrale d’Angleterre, appartiennent en réalité non pas à l’État mais à des intérêts privés.
Ce contrôle total, basé sur la main mise financière s’étend à l’économie mondiale via des fonds d’investissement ou des holdings comme Vanguard et BlackRock détenant des participations dans 90% des entreprises cotées ainsi que dans les grands conglomérats médiatiques. Sur le plan politique, des institutions internationales telles que la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg, le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore le World Economic Forum (WEF) décident d’une feuille de route qui sera ensuite mise en application, sous couvert de démocratie, par des représentants soigneusement identifiés, larbins formés et sélectionnés en amont et le plus souvent élus grâce à un système sophistiqué de fraude électorale et de cooptation dans les loges. Notons qu’en plus dans leur contrôle effectif de la politique et de l’économie, les mondialistes utilisent les normes, les institutions et le droit international pour orienter le système dans la direction voulue, ainsi que leur emprise sur les médias, l’industrie du divertissement (Hollywood), le monde universitaire, les ONG… Elles sont utilisées pour mettre en œuvre un programme de changement anthropologique d’une ampleur inouïe soutenu par des techniques sophistiquées de programmation mentale et d’ingénierie sociale. La mondialisation a d'abord été soutenue par les Américains parce qu’ils pensaient en être les principaux bénéficiaires. En réalité ce sont des firmes transnationales, des financiers apatrides qui en retirent les plus grands profits.
Visionnaire, La Boétie, écrit à seize ans, sur la servitude volontaire : "Une population nourrie sous la tyrannie devient lâche et efféminée". Nous y sommes ! Un écervelé victime du syndrome du larbin n’a pas de conscience politique, il vote instinctivement dans l’intérêt de ceux qui l’exploitent pour s’attirer leur bienveillance. C'est ce que font au quotidien nos gouvernants, à l'instar des primo-injectés et autres bobos qui votent pour la Gauchiasse. Sachant que le syndrome du larbin ne prolifère pas seulement chez les plus démunis intellectuellement comme on pourrait le penser, il affecte une large fourchette de la population sans corrélation apparente avec le niveau d'étude (20% de la population pense faire partie des 0.001% les plus riches). D'après des scientifiques, une structure cérébrale nommée insula, repli du cortex cérébral au niveau des tempes, semble déterminer le basculement d’opinion, l’abandon de l’analyse personnelle au profit de la posture conforme aux attentes du groupe. Cette insula est réputée centraliser des informations de nature émotionnelle en provenance du corps, et s’activer lorsque l’individu sent peser la menace d’être exclu de son groupe d’appartenance. Le biais de conformité résulterait d’une pression sociale exercée par le groupe sur l’individu, créant une peur d’être marginalisé.
Mais nous avons aussi, pour nombre d'entre nous, pleinement réalisé l’énormité des événements qui se déroulent sur Terre, le changement d’époque, l’effondrement du système obsolète existant et son remplacement par un nouveau, bien que beaucoup d’entre nous ne le comprennent pas encore tout à fait. Or, la mise au rebut du système est inévitable, car nous comprenons qu’il est dans une impasse et qu’il n’est plus capable de se changer lui-même tant il est corrompu et pourri. Notre faute est due au fait que le système a pris notre liberté et nous a forcé à jouer selon ses règles, sans que nous nous y opposons farouchement, voire violemment. Ainsi, notre prise de conscience de la nouvelle réalité devrait être un tremplin qui nous permettrait de décoller spirituellement et d’élargir les frontières de la connaissance du monde. Notre âme sort du piège du monde matériel et mercantile obsolète, et se rapproche progressivement du monde de l’Esprit, où règnent des Lois non pas terrestres, mais universelles. Grâce à cela, nous pouvons faire de l’introspection, et mieux comprendre les relations de cause à effet des événements de notre vie et de la planète entière. Affirmer non seulement par des mots, mais aussi par des actes, la participation à des travaux créatifs doit nous mener à notre émancipation. Mais à condition toute fois que nous soyons aptes à gagner et à assumer notre liberté, c'est à dire à agir en adultes responsables agissant au quotidien pour le bien commun et personnel. Car un éveillé en vaut des centaines, et parfois des milliers de ceux qui ne le sont pas, puisqu'il veut préserver autant sa liberté que sa dignité en toute conscience !
Pour conclure positivement et en forme de motivation pour tous ceux qui se sont éveillés aux malversations de cette secte, pour ceux qui ne sont ni mondialistes, ni larbins, ceux qui comme moi agissent au quotidien pour l'éveil des autres et la mise en lumière du mensonge et des protagonistes, je citerai le tunisien Amor Abbassi:
mais celui qui se révolte pour sa dignité, ne se taira jamais."
Phil BROQ.
Bonjour Phil, je prends plaisir à lire vos billets tellement réalistes, mais dernièrement, vous n'avez plus rien publié, j'espère que vous allez bien...?
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