AUTOPSIE D’UN CRIME GLOBALISE

 Il arrive, dans l’histoire des peuples, un moment où l’évidence crie si fort qu’elle transperce même les tympans des sourds volontaires. L’épisode dit "Covid", ce théâtre mondial d’ingénierie sociale, s’inscrit désormais non pas dans le registre de la médecine, mais dans celui de la criminalité. Et non d’un crime ordinaire, mais d’un crime d’État, globalisé, méthodiquement orchestré par une caste de puissants aux mains souillées de profits et de sang.

Car c’est bien cela que révèlent les chiffres, les études, les autopsies, les fuites scientifiques. Car ce qu’on a appelé avec une obscénité feutrée des "vaccins à ARNm" n’est en réalité rien d’autre qu’une série d’armes biologiques injectées à l’échelle planétaire. Non pour soigner, mais pour conditionner, stériliser, empoisonner, soumettre. Le prétendu remède s’est mué en fléau. Derrière le masque bienveillant de la science, une entreprise de destruction méthodique s’est abattue sur des milliards d’êtres humains.

Ils ont menti. En pleine lumière et avec l’assurance glaciale de ceux qui savent que l’impunité est de leur côté. Ils ont menti au nom de la science, au nom de la santé publique, au nom du bien commun, en piétinant l’un après l’autre tous les fondements mêmes de la médecine, de la prudence, de l’éthique, de la vérité. Ce qui fut vendu au monde comme une prouesse technologique salvatrice n’était rien d’autre qu’un dispositif expérimental à l’échelle planétaire, une opération de manipulation biotechnologique sans précédent, une agression moléculaire contre l’humanité entière et administrée par seringue, promue par propagande, mais surtout protégée par le silence.

Derrière l’emballage sémantique rassurant des "vaccins à ARNm", se cachait une technologie encore instable, incomplètement maîtrisée, massivement déployée sans le moindre respect des protocoles scientifiques fondamentaux. À la hâte, dans l’urgence, sous la bannière hystérique du « il faut faire quelque chose », on a injecté à des milliards d’individus un produit dont la version finale n’avait même plus grand-chose à voir avec celle testée lors des essais cliniques. L’ARN modifié n'était plus produit selon le procédé originel, celui validé en phase 3, mais via un procédé industriel secondaire, bâclé, utilisant des plasmides clonés, amplifiés dans des bactéries, puis précipitamment purifiés, mal filtrés, insuffisamment testés. Et le résultat fut que tous les lots commerciaux analysés contenaient des quantités astronomiques d’ADN résiduel. Pas quelques traces, pas des résidus anecdotiques mais des milliards, centaines de milliards de copies d’ADN par dose. Jusqu’à 600 fois les seuils réglementaires. Certains flacons contenaient même des fragments du promoteur SV40 (séquence d’un ancien virus simien autrefois lié à des cancers humains et soigneusement évité par les biologistes depuis des décennies). Là, et malgré cela, il a été injecté. Dans des enfants. Des femmes enceintes. Des vieillards. Dans des corps confiants. Et ce n’est que la surface visible de la forfaiture.

Les données post-mortem, désormais nombreuses, révèlent ce que les fabricants savaient et que les autorités ont feint d’ignorer que les protéines de pointe générées par l’ARNm ne restent pas localisées et qu'elles ne s’évanouissent pas en quelques heures. Elles circulent, s’accumulent, colonisent les tissus. Elles s’infiltrent dans les parois vasculaires, dans le cœur, le foie, les ovaires, le cerveau. Elles induisent des inflammations, des nécroses, des lésions multiorganiques. Elles perdurent des semaines après l’injection. Dans certains cas, elles sont encore détectables des mois plus tard. Le corps humain, transformé en fabrique virale. Une machinerie forcée de produire un antigène toxique sans régulation, sans possibilité de l’arrêter, sans en connaître les conséquences. Et elles sont là, les conséquences. Massives. Tragiques. Silencieuses.

Une étude asiatique d’une ampleur inédite, huit millions de patients, vient confirmer ce que les observateurs lucides pressentaient depuis le début : une explosion épidémiologique de pathologies graves. Une recrudescence brutale et synchronisée de cancers fulgurants, dans des proportions délirantes. +125 % pour le pancréas, +69 % pour la prostate, +53 % pour les poumons, +35 % pour la thyroïde. Et cela, quelques mois après la campagne de rappels. Le lien temporel est implacable. La corrélation est écrasante. Le déni officiel est criminel.

Ce ne sont pas des effets secondaires. Ce sont des dommages primaires. Ce ne sont pas non plus des "coïncidences", mais bien les conséquences attendues d’un mécanisme que la science connaissait.  Entrainant inflammation systémique, dérèglement immunitaire et stimulation anormale de la division cellulaire. En un mot une cancérisation du corps humain.

Mais les gouvernements ont persisté. Pire, ils ont renforcé la coercition. La promesse de liberté fut conditionnée à la soumission médicale. Le pass’ sanitaire n’a jamais été un outil de santé mais fut un véritable test de servitude. Un dispositif de tri social, de punition civique et d’extorsion de consentement. Une ignominie totalitaire camouflée en précaution hygiénique. On vous a interdit de travailler, de voyager, de vivre, si vous refusiez l'injection. On vous a désignés comme parias, on a criminalisé votre prudence, on a médicalisé la répression.

Les journalistes ont relayé. Les médecins de plateau ont approuvé. Les bioéthiciens se sont tus. Les autorités sanitaires ont maquillé. Toute une structure institutionnelle s’est liguée pour imposer un produit dont l’inefficacité est désormais avérée, dont les effets délétères sont documentés, dont la toxicité systémique est objectivée. Les fabricants, eux, protégés par des contrats opaques, par des clauses de non-responsabilité dignes d’un cartel mafieux, ont empoché les milliards, pendant que les populations payaient la note en séquelles, en stérilité, en cercueils.

Oui, la stérilité. Sujet tabou entre tous. Discrètement évoquée, brutalement censurée. Pourtant, les études précliniques non publiées, mais accessibles via des fuites, montraient déjà des effets sur la fertilité, sur les cycles menstruels, sur le développement fœtal. Depuis, les témoignages abondent, les taux de natalité chutent, les anomalies explosent. On feint de ne pas voir, on évite les corrélations, on étouffe les alertes. Mais le corps des femmes, lui, se souvient. Et ne pardonne pas.

C’est un crime à l’échelle du monde. Un crime lent, diffus, bureaucratisé, mais d’une ampleur sidérante. Une agression biologique mondiale déguisée en salut collectif. Les États n’ont pas failli. Ils ont collaboré. Les agences sanitaires ne se sont pas trompées. Elles ont obéi. Ce n’est pas un échec. C’est une trahison. Et la chute commence. L’ordre globaliste qui a imposé cette horreur, cette expérimentation forcée sur l’espèce humaine, vacille. L’illusion sanitaire s’effondre, révélant sa vraie nature : un cheval de Troie idéologique pour la mise sous tutelle technocratique des corps. Les peuples, blessés, trahis, commencent à comprendre. Le ressentiment monte. La colère s’organise. Ce qui vient ne sera pas un débat. Ce sera un règlement de comptes. Car il ne s’agit plus de débattre. Il s’agit de juger.

Ce qui a été perpétré ne peut être réparé. On ne ressuscite pas les morts, on ne rend pas la fertilité aux ventres rendus stériles par trahison moléculaire, on ne restitue pas l’innocence à une science prostituée aux intérêts des multinationales. Mais ce qui peut, et ce qui doit, être accompli, c’est le procès mondial de ces assassins. Non pas un procès symbolique, ni une commission d’enquête soporifique, enterrée sous un jargon lénifiant. Mais un procès réel, mondialisé, inexorable, à la hauteur du crime commis, qui de ce point de vue, doit être plus large que celui de Nuremberg

Il ne s’agira pas non plus d’une simple condamnation des excès. Il s’agira de juger un système, de mettre à nu la collusion mortelle entre la puissance étatique, l’industrie pharmaceutique et les consortiums technologiques, tous réunis dans une même mécanique de profit, de contrôle et de mépris pour la vie humaine. Il faudra traduire devant la justice les dirigeants politiques, qui ont transformé leurs peuples en cobayes. Les hauts fonctionnaires, qui ont signé des contrats empoisonnés. Les PDG, qui ont menti sous serment. Les experts, qui ont masqué les données. Les journalistes, qui ont propagé la peur. Et jusqu’aux médecins, qui ont abdiqué leur serment pour une carrière télévisée.

Mais ce procès ne doit pas être qu’une vengeance. Il doit marquer le début d’une réorganisation complète de la souveraineté humaine. Il faudra démanteler les chaînes de dépendance technologique. Désarmer les laboratoires de leur pouvoir de censure. Rétablir une médecine libérée du diktat industriel. Rendre au citoyen le droit absolu à l’intégrité de son corps, au consentement libre et éclairé, à la dissidence médicale. Il faudra faire tomber les murs opaques qui séparent les peuples des décisions qui les concernent, et mettre fin à l’impunité des institutions supranationales qui se croient au-dessus de la loi, au-dessus des peuples, au-dessus du vivant lui-même.

La santé ne peut plus être un marché. Le corps ne peut plus être une propriété négociable. Le vivant ne peut plus être manipulé au gré des ambitions transhumanistes et des fantasmes eugénistes de quelques milliardaires à la vision cybernétique du monde. Il faut arracher la médecine aux griffes du pouvoir, et la rendre à son fondement premier de soigner, protéger et respecter.

Il ne suffit pas non plus de constater l’effondrement. Il faut l’accélérer, car le modèle globaliste a échoué, non seulement moralement, mais biologiquement. Il a inoculé la maladie sous prétexte de la combattre, il a imposé la mort sous couvert de la retarder. Il doit maintenant tomber. Avec lui, tomberont les institutions qui ont trahi comme l’Union européenne, qui s’est faite chambre d’enregistrement de Big Pharma. L’OMS, devenue bras armé d’une gouvernance sanitaire sans légitimité. L’OTAN, complice d’une géopolitique du chaos sous prétexte de sécurité. Il ne restera que les peuples, nus mais lucides, blessés mais debout.

La souveraineté n’est donc plus un choix politique. Elle est devenue une condition de survie. Elle ne sera plus négociée dans les salons dorés des technocrates. Elle sera arrachée, reconquise, reconstruite sur les ruines de la trahison. Les élites occidentales ont signé leur propre chute en sacrifiant leurs peuples sur l’autel de la rentabilité génétique.

Les nations doivent se lever, non pour réclamer un retour à l’ordre d’hier, mais pour imposer un ordre nouveau, fondé sur la vérité, la responsabilité, et l’inviolabilité du corps humain. Il faudra des tribunaux. Il faudra des exhumations. Il faudra des noms. Des aveux. Des condamnations. Et il faudra, enfin, refermer le siècle de la manipulation et ouvrir celui de la dignité retrouvée.

Car si l’Histoire doit retenir quelque chose de cet épisode, ce ne sera pas la peur, ni l’aveuglement, ni même le crime. Ce sera ce moment précis où, les masques enfin tombés, les peuples ont cessé de croire et ont commencé à juger.

PS: Pour ceux qui veulent aller plus loin, lisez donc : "Pandemic Circus - génocide au Bio virus"


Phil BROQ.

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