CHRONIQUE D’UN PILLAGE LEGALISE
Tandis que le monde vacille sous le double joug d’une dette publique colossale et d’un système financier parallèle totalement hors de contrôle, deux chiffres identiques surgissent comme des coups de massue avec le chiffre faramineux de 97 000 milliards de dollars…
Une première fois comme dette publique mondiale, officiellement comptabilisée ; une seconde comme dette cachée, dissimulée dans les arcanes des produits dérivés, en particulier les swaps de change, selon la Banque des règlements internationaux (BRI). Deux dettes, deux visages d’un même cancer économique venu d’un capitalisme financiarisé, dérégulé, devenu prédateur. Face à cela, deux figures se dressent, opposées en tout, unies seulement par leur puissance politique.
D'un coté, Emmanuel Macron, ancien larbin de la banque Rothschild, propulsé à la tête de l'État grâce à une élection aussi transparente qu'un miroir de salle de bain après une douche. Incarnant la silhouette fluette d’une petite princesse servile, prête à se coucher devant et avec les puissances financières, tremblant à l’idée de heurter l’establishment. Face à lui, Donald Trump, magnat de l'immobilier, héros décomplexé du peuple, self-made man, ayant défié trois tentatives d’assassinat et un vol manifeste de son élection en 2020. L'un se prosterne devant les maîtres du monde financier, l'autre leur a frappé les poches sans leur demander la permission. Macron, l'hermaphrodite politique, qui se farde de compromissions, transpirant la soumission, la trahison, le mépris et la peur du peuple. Quand Trump, lui, incarne la virilité crue, frappant du poing, qui écrase tout sur son passage, sans manières ni regrets et ne s'excusant jamais.
À l’horizon de cette débâcle financière mondiale, le chiffre astronomique de 97 000 milliards de dollars résonne comme une claque monumentale envoyée à la face des soi-disant économistes, ces marionnettes qui ont vendu leurs âmes pour des théories fumeuses. Ce n’est plus une somme, c’est une insulte, un signe brutal qu’ils ont laissé la fête se dérouler jusqu’à l’effondrement. Que ces "experts" se bouchent les oreilles car la réalité leur hurle qu’ils sont juste les complices d’un système sur le point d'imploser.
Et non, ce n’est pas une estimation vague ni une métaphore d’économiste fatigué, mais bien le niveau record de la dette publique mondiale atteint en 2023, selon la CNUCED(Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement). Un sommet historique, plus haut que l’Everest des absurdités financières, qui s’est encore élevé de 5 600 milliards de dollars en un an. L’Afrique, sacrifiée sur l’autel de la spéculation et des intérêts composés, en paie déjà le prix fort car en dix ans, le nombre de pays africains avec un ratio dette/PIB supérieur à 60 % est passé de 6 à 27!
Autrement dit, un continent entier étranglé pour que les intérêts de la dette engraissent les créanciers du Nord, pendant que les élites occidentales, dont Macron est le VRP le plus zélé, sabrent les budgets publics sous prétexte de rigueur. Cette dette n’est pas le fruit d’un excès, mais d’un système. Et ce système, Macron le chérit, l’entretient et le renforce. Trump, lui, l’a dénoncé, bousculé et défié. L’un cautionne le pillage des peuples au nom de l’illusion d'un équilibre budgétaire ; l’autre fracasse les dogmes pour tenter de redonner souffle aux oubliés de la mondialisation.
Ce prétendu 'Mozart de la finance', n’aura été en réalité que le chef d'orchestre d’une symphonie dissonante, où chaque note est une exonération fiscale pour les plus riches et chaque silence, un oubli délibéré des droits sociaux. Un virtuose de la manipulation, oui, mais pas de la musique – juste des fausses promesses et des comptes offshore. Il a dirigé le chaos à la baguette, pendant que le peuple, lui, écoutait la mélodie du désastre. L’ISF sabré dès 2017, la Flat Tax imposée à la va-vite comme un coup de pinceau malheureux, l'exit Tax enterrée dans l’indifférence générale… Et que dire de ce magnifique CICE, ce 'Crédit d'impôt compétitivité emploi', autrement dit une redistribution massive de milliards aux entreprises, comme si elles en avaient vraiment besoin. Pendant ce temps, les dispositifs de rémunération par actions ont été allégés, réduisant allègrement les prélèvements fiscaux et sociaux pour les dirigeants. Une véritable fête des privilégiés, où les seuls à payer l'addition sont les citoyens, mais qu'importe, ils n'étaient de toute façon invités qu'en spectateurs. Autant dire que pendant que l’argent s'évapore dans les poches des plus forts, les services publics se retrouvent à mendier une pièce de monnaie, comme si de rien n'était. Mais à qui la faute ? À ces génies économiques qui ont ouvert grand les portes du coffre-fort pour laisser les privilégiés se servir à leur guise.
Autant de cadeaux placés sur l’autel d’une idéologie économique obsolète, celle du 'ruissellement', une farce grotesque dont le peuple n’a jamais vu la moindre goutte. Le résultat est une explosion aussi absurde qu'abjecte de la richesse des 500 plus grandes fortunes françaises, passée de 500 à 1 170 milliards d’euros en seulement six ans. Un doublement aussi rapide que scandaleux. Pendant ce temps, les services publics se sont effondrés, l’hôpital suffoque sous les dettes, l’école saigne à blanc. Et la France d’en bas, elle, continue de payer la note de cette fête grotesque, financée par la gabegie des soi-disant "premiers de cordée", ceux qui sont bien trop occupés à pavaner dans leurs yachts pour se soucier des cadavres qu’ils laissent derrière.
Il ne s'agit pas d'erreurs, mais de choix délibérés, de manœuvres froidement orchestrées pour démanteler la France, pièce par pièce. Des choix d’un homme médiocre, adepte de la triche tout au long de sa carrière, mais qui a su s'entourer des bons parrains milliardaires, financiers apatrides et surtout de ces communicants de génie. Des hommes comme Nicolas Berggruen, qui ont investi dans sa campagne comme on parie sur une startup et aujourd'hui, ils récoltent les fruits d’un quinquennat taillé sur mesure pour eux. "Merci Macron", se disent-ils en riant. Et ils ne sont pas les seuls à le dire… Tout le monde le dit, sauf… les Français. Mais eux, de toute façon, ils n'ont même plus la place à la table.
Mais le plus grand scandale de ce mensonge présidentiel, n’est peut-être pas celui qu’on crie sur les plateaux télé, mais celui que l’on tait dans les couloirs feutrés de Bercy. Car derrière les portes blindées du ministère de l’Économie, l’évasion fiscale ne se combat pas, elle se gère, elle s’organise et elle surtout se protège. Chaque année, ce sont entre 100 et 150 milliards d’euros s’évaporent des caisses de l’État, non pas dans des valises planquées à l’étranger, mais dans des montages validés, couverts, voire inspirés par des hauts fonctionnaires eux-mêmes. On appelle cela "l’optimisation" lorsqu’il s’agit des grandes fortunes, mais "fraude" quand il s’agit du smicard au RSA. Selon l’OCDE, l’évasion fiscale coûte à l’Europe entre 400 et 1 000 milliards d’euros par an. Et c’est une estimation prudente. (entendez : "très largement sous-estimée !")
À ce jeu d’hypocrisie, Bercy excelle depuis des années. Le ministère s’acharne sur les petits indépendants, les artisans, les familles précaires, pendant qu’il déroule le tapis rouge fiscal aux grandes entreprises et aux exilés dorés. Non contents d’être les parasites du pays avec des subventions abusives, ils se permettent en plus de ne pas payer d’impôts. Et de hauts cadres, pantouflant entre public et privé, trahissant la nation à chacune de leurs décisions, ferment les yeux, ou les ouvrent au bon moment, selon que vous soyez puissant ou misérable. Cette noblesse administrative, plus loyale envers les cabinets d’audit qu’envers la République, orchestre l’évasion comme une partition bien connue et permettent aux multinationales de négocier leur impôt comme on marchande sur un marché. Et bien entendu, avec la parodie de justice qui agit dans le pays, les signalements de lanceurs d’alerte finissent dans des tiroirs ou en non-lieux et les évadés fiscaux reçoivent la légion d’honneur.
Voilà la réalité d’un État devenu le bras armé de l’injustice, où il est plus facile de piétiner ceux qui n’ont rien que de déranger ceux qui ont tout. Pendant que le peuple se débat, serre la ceinture, et se laisse plumer à chaque coin de rue, la "République des copains" se gave tranquillement, garantissant le secret bancaire des plus fortunés. Et en tête de cette mascarade, un ministre de l’Économie devenu le premier avocat d’affaires du pays, habillé en faux serviteur de l’intérêt général, mais prêt à défendre les intérêts privés des plus riches. C’est le triomphe du cynisme où les puissants rigolent, les citoyens trinquent.
À ce cynisme mafieux et calculé de la part des parasites français, s’oppose la brutalité stratégique de Donald Trump. Peu soucieux de plaire à Davos, il a choisi d'effrayer les marchés plutôt que de les flatter. Ainsi, l’annonce de ses droits de douane a mis Wall Street en déroute, provoquant une hémorragie boursière inédite avec plus de 6 000 milliards de dollars évaporés en deux jours. Les "Sept Magnifiques" de la tech, chouchous des globalistes, se sont effondrés. Bezos, Brin, Zuckerberg ont tous vu leur fortune s’éroder en moins d’une semaine. Et ce n’était pas un accident, là non plus. C’était un avertissement.
Trump n’a pas hésité à faire saigner les géants pour relocaliser, protéger, redresser. Qu’on l’aime ou non, il n’a pas gouverné pour les actionnaires, mais pour les ouvriers. Son mandat, critiqué avec véhémence par les élites, fut marqué par une baisse du chômage historique, une croissance soutenue, et une politique fiscale qui, paradoxalement, a bénéficié aux classes moyennes plus qu’aux cercles d’initiés.
Et que dire de cette finance mondiale, devenue un véritable monstre aveugle, qui marche sans contrôle, dévorant tout sur son passage ? Les 97 000 milliards de dette – l'équivalent de la dette mondiale, au cas où certains n’auraient pas encore compris – sont soigneusement dissimulés hors bilan, à l'abri des regards. Ces montagnes de swaps de change, invisibles au commun des mortels, ne sont que l'iceberg d'un système entièrement conçu pour éviter toute régulation démocratique. La vérité, elle est là où un réseau où tout est "légal", mais où tout est opaque et fait pour que rien ne transparaisse. Une finance qui fuit la régulation démocratique comme un vampire la lumière du jour.
La Banque des Règlements Internationaux (BRI) le confirme car ces 97 000 milliards de dollars ne figurent dans aucun bilan officiel. Pourquoi ? Parce qu’ils sont soigneusement enfouis dans les labyrinthes des produits dérivés, ces contrats énigmatiques que les banques utilisent non seulement pour se couvrir, mais surtout pour spéculer sans que quiconque puisse y voir quoi que ce soit. Un monde parallèle, parfaitement conçu pour voler en toute impunité
Le tour de passe-passe est enfantin : une entreprise ou une banque emprunte de l’argent dans une devise, mais signe un contrat pour le convertir contre une autre, à un taux figé d’avance. Sur le papier, tout semble en ordre, tout est 'transparent'. En réalité, un passif gargantuesque est généré, invisibilisé, échappant à tout contrôle, hors bilan, comme un secret bien gardé. Ce système permet aux institutions financières de dissimuler leur exposition réelle, de maquiller leur solvabilité et de continuer à emprunter sans jamais risquer de se faire prendre. Le genre de magie financière où les chiffres dansent et disparaissent avant même que le grand public ne se rende compte qu’on vient de le plumer.
Les banques centrales savent. Les régulateurs savent. Bercy sait. Et tout le monde se tait. Car ces montages sont les fondations invisibles d’une finance devenue trop grosse pour être honnête, trop tordue pour être comprise, et donc trop puissante pour être démantelée. Ce n’est pas une anomalie, c’est un système. Un système qui a depuis longtemps échappé à la démocratie, mais que Macron et ses acolytes servent avec la loyauté d’un agent double, prêt à trahir jusqu’à la dernière goutte d’intérêt public. Ce n’est pas de l’économie, c’est de l’ingénierie de l’illusion, un gigantesque numéro de prestidigitation où la dette gonfle discrètement dans l’ombre, pendant qu’on matraque les peuples avec des discours creux sur la "nécessité des sacrifices". Un véritable tour de magie où les perdants sont déjà connus, mais où on leur fait croire qu’ils ont une chance.
Et pendant que les États s’enfoncent dans une dette abyssale, les marchés eux, dansent frénétiquement au rythme d’une sarabande algorithmique hors de contrôle. En septembre 2025, ce sont 300 milliards de dollars qui ont disparu dans le néant du marché des cryptomonnaies, jetés en pâture à la spéculation sauvage, sacrifiés sur l’autel de l’effet de levier. Bitcoin et Ether se sont effondrés en un clin d’œil, comme des châteaux de sable engloutis par une marée noire de liquidations automatiques. Les machines, ces monstres numériques sans âme, ont pris le contrôle, puisque 70 % des transactions boursières sont désormais manipulées par des algorithmes, hors de portée de toute régulation humaine. Et là, vous imaginez un peu ce qui se passera si l’on passe au "tout numérique" ? Si l’euro numérique qu’on essaie de nous imposer prend le relais ? Ce n’est plus une question de pouvoir, c’est une question de survie.
C’est cette finance là que l’imposteur Macron a protégée, servie et défendue avec un zèle digne d’un sectaire, jusqu’à en faire un véritable dogme d’État. Une finance qui a pu se gorger d’impunités, pendant que Macron en redemandait, tout en nous servant la fable de la prospérité pour tous. Et face à elle, Trump l'a défiée, frappant à coups de taxes, de tweets assassins et de provocations brutales, avec le panache d’un homme qui préfère déchirer le tissu pourri plutôt que de le laisser s'étioler lentement. Un affrontement de deux philosophies, deux visions du monde avec l’une qui se soumet servilement et l’autre qui s’en prend à la bête avec brutalité.
Mais ce n'est qu’un épisode parmi tant d’autres dans un système désormais entièrement aux mains des machines. Rappelez-vous, en 2010, la Bourse américaine perdait plus de 1 000 milliards de dollars en vingt minutes. Une chute vertigineuse, totalement irréelle, qui n’a rien à voir avec une guerre ou un effondrement économique, mais qui est le fruit d’algorithmes déchaînés et de robots financiers hors de tout contrôle humain. Aujourd'hui, ces machines règnent sur la majorité des échanges boursiers. Elles n'ont ni morale, ni mémoire, ni obligation de rendre des comptes. Elles ne créent rien, ne produisent rien, mais elles détiennent le pouvoir absolu de tout anéantir. Et que fait Macron ? Rien. Il s’incline, comme d’habitude, devant l’invisible, pendant que l'économie réelle se fait écraser sous les pieds de l’automatisation. Il regarde ailleurs, trop occupé à flatter les grands fonds, à séduire les PDG, à laisser la finance s’auto-canoniser en autorité suprême. Trump, lui, avait déjà compris que ce monstre devait être encadré, défié, contenu. Macron, de son côté, a simplement ouvert la porte pour que la bête prolifère à sa guise. Une fois de plus, l’un a combattu l’anarchie des puissants, l’autre l’a sacralisée.
Macron n’a pas seulement trahi. Il a méthodiquement démantelé les digues qui protégeaient les plus faibles, pour faire de la France un paradis fiscal pour les initiés, un eldorado pour les lobbyistes, un no man's land pour les citoyens. Macron n’a jamais gouverné, il a seulement managé la France comme un fonds d’investissement, en vidant les caisses pour enrichir ses amis. Pendant que les hôpitaux, à bout de souffle, appellent désespérément à l’aide, que les campagnes se vident sous l’effet d’une désertification silencieuse, que la jeunesse se noie dans le désespoir et l’incertitude, les grandes fortunes, elles, trinquent tranquillement au champagne fiscal. Elles savourent leur festin d’exonérations et de niches fiscales, pendant que les services publics sont abandonnés à leur propre sort.
C’est un deux poids, deux mesures où la pauvreté est une fatalité et la richesse, une garantie d'impunité. Et le pire dans tout ça ? Ces mêmes puissants continuent de se faire passer pour les bienfaiteurs de la nation, tandis que les pauvres, eux, n’ont droit qu’à des miettes et à des promesses vides. L'injustice se distille dans chaque verre de champagne qu'ils lèvent. Le banquier a réussi là où tant d'autres ont échoué en faisant passer le pillage pour une réforme, l’injustice pour une modernité et la soumission pour du courage. Le vrai crime, ce n’est même pas de transgresser les lois des puissants, c’est de les écrire pour eux.
Trump, lui, a préféré cogner dans les vitrines du libre-échange, quitte à faire trembler la bourse. Parce que parfois, pour restaurer une maison en ruines, il faut d’abord en briser les fondations pourries. Et ses coups, aussi brutaux soient-ils, avaient une cible bien définie du pouvoir des marchés sur les peuples. Là où Macron a servi les siens, Trump les a servis à la table du peuple. Le contraste est saisissant. En France, sous Macron, les milliardaires prospèrent, le peuple s’endette, la colère monte. En Amérique, sous Trump, les oligarques s’appauvrissent, les classes moyennes retrouvent du souffle, la souveraineté économique reprend ses droits.
En vérité, ce n’est pas une opposition de style. C’est une opposition de vision du monde. En France, les milliardaires trinquent à la santé d’un président qui a légalisé leur privilège. Aux États-Unis, les géants de la tech ont vu leur fortune fondre dès l’arrivée de Trump au pouvoir. Là où Macron a soutenu les parasites, Trump les a mis à contribution. Là où Macron a servi la finance, Trump l’a combattue à coups de mesures protectionnistes et de politique monétaire audacieuse.
Et qu’on ne vienne plus parler de pragmatisme, de réformes courageuses ou de modernité éclairée. Macron n’a pas modernisé la France, il l’a monétisée. Il n’a pas redressé l’économie, il a redirigé les flux, allant des poches des travailleurs vers les coffres de ses donateurs. Il n’a pas gouverné mais a géré les intérêts d’un cartel invisible mais bien réel, celui des ultra-riches, des fonds d’investissement, des lobbys fiscaux, des parasites de la finance globale. Ce mécanisme n’est pas un accident. Il est conçu, huilé, et légitimé de bout en bout. Ce n’est pas de la régulation, c’est de la mise en scène. Le vrai truand, ce n’est pas celui qui braque les banques. C’est celui qui les gouverne.
Face à , Trump n’a pas été un saint, mais il a été un bélier. Il a cogné dans le système, pas dans les plus pauvres. Il a secoué la pyramide au lieu d’en consolider le sommet. Là où Macron a ruiné son pays pour engraisser ses amis, Trump, lui, a vidé les poches des siens pour tenter de sauver le pays.
Alors, qui est le truand dans l’histoire ? Celui qui prend aux puissants pour redistribuer, ou celui qui pille les siens pour enrichir une caste ? La réponse est là, brute, évidente, indiscutable. Car entre le banquier psychopathe soumis et le bulldozer brutal, entre le valet de l’oligarchie et le fossoyeur de ses privilèges, qui est vraiment le plus dangereux de la bande ? Celui qui sert la bête ou celui qui ose briser son échine pour qu’elle tombe une bonne fois pour toutes ?
Phil BROQ.
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