DECHIRER LE BROUILLARD DE GUERRE !
Il y a des vérités qu’on refuse de voir tant elles dérangent, tant elles fissurent les récits officiels et le confort des illusions collectives. Derrière la façade brillante des institutions, des traités et des discours bien huilés, se cache un système opaque, cynique et méthodique qui gouverne le monde par la peur, la dette et le chaos. Cet article n’a pas vocation à plaire, il a vocation à réveiller. Car tant que les peuples dormiront, les marionnettistes continueront leur œuvre de prédation. Voici donc un plongeon sans filtre au cœur du brouillard de guerre mondial, où la finance dirige, les pantins obéissent, et les peuples paient de leur sueur, de leur liberté, et trop souvent de leur vie.
Il faut être sourd, aveugle ou volontairement complice pour ne pas percevoir le théâtre grotesque qui se joue devant nous. Tandis que les peuples s’épuisent à survivre sous un déluge d’informations tronquées, de peur savamment distillée et de conflits que personne ne comprend vraiment, un voile opaque recouvre la scène mondiale. Ce "brouillard de guerre", savamment entretenu, n’est pas un effet collatéral du tumulte géopolitique mais l’instrument même du pouvoir. Il dissimule les marionnettistes véritables, ceux qui ne figurent jamais dans les bulletins d’information, mais dont l’ombre plane sur chaque guerre, chaque krach financier, chaque élection truquée et chaque traité truffé de clauses iniques. Ceux qui sèment le chaos ne sont pas ceux qu’on désigne car ils ne portent ni treillis, ni costume de président. Ce sont les banquiers sans patrie et les industriels de la mort, assis sur des trônes faits de dettes, d’armes et de cadavres.
La guerre, cette vieille compagne des empires déclinants, n’est plus aujourd’hui une fatalité mais un business très juteux. Elle est un marché, une industrie, un modèle économique en soi. Et dans cette économie du sang, il y a des gagnants très identifiables. Derrière chaque conflit qui éclate, chaque nation qui vacille, chaque "opération de paix" qui se mue en occupation perpétuelle, on retrouve les mêmes visages. Ils n’ont pas besoin d’être élus puisqu'ils possèdent ceux qui le sont. Ils ne votent pas les lois, ils les dictent en coulisse. Ils ne défendent aucun drapeau en particulier car ils sont les serviteurs exclusifs du profit, de la rente et de l’usure.
Il faut se délester des illusions enfantines selon lesquelles les États gouvernent le monde. Les États ne sont plus que des façades, des simulacres de pouvoir mis au service d’intérêts privés. Les véritables maîtres sont ceux qui tiennent la dette des nations. Car un pays endetté est un pays soumis. Or, Qui crée cette dette, Qui la prolonge, Qui l’orchestre et la rend inévitable sinon les banquiers internationaux, prêtant aux gouvernements l’argent qu’elles créent ex nihilo, (à partir de rien, avec une simple imprimerie de billets) pour ensuite exiger des intérêts perpétuels ? Elles font de la misère publique leur rente de situation. Chaque nouveau cycle de dette publique, chaque renflouement soi-disant "nécessaire", chaque plan d’austérité imposé au peuple pour satisfaire les créanciers, n’est que le prolongement méthodique d’un esclavage moderne.
La banque Rothschild, incarnation même de cette haute finance apatride, a tissé sa toile au cœur du pouvoir français avec une habileté cynique. En plaçant Georges Pompidou, son ancien fondé de pouvoir, à la tête de l'État, elle a subtilement orchestré le virage historique de 1973 : une loi scélérate, perfidement baptisée « loi Pompidou-Giscard », interdisant à l’État de se financer auprès de la Banque de France, le condamnant dès lors à l’usure des marchés privés. Une soumission volontaire aux créanciers, qui a méthodiquement asphyxié les finances publiques, creusant une dette artificielle devenue l'alibi permanent de l'austérité. Aujourd’hui, Emmanuel Macron — autre émanation du vivier Rothschildien — parachève cette entreprise de démantèlement national avec la froideur clinique d’un liquidateur judiciaire. Privatisations à la hache, démantèlement social, asservissement à Bruxelles où le projet néolibéral est en phase terminale, et la France, exsangue, se délite sous les applaudissements feutrés des salons dorés de la finance mondialisée.
Plusieurs autres banques dans le monde disposent d'un pouvoir immense sur les politiques économiques, les marchés financiers, et même les décisions gouvernementales. Certaines d'entre elles, bien que souvent moins médiatisées que Rothschild dans l'imaginaire populaire, ont un impact bien plus direct, massif et parfois opaque. Voici donc une courte liste non exhaustive de banques particulièrement influentes et, selon certains points de vue, dangereusement puissantes ou "malsaines" dans leurs pratiques systémiques. Ces banques ne sont plus simplement des acteurs économiques, ce sont des entités tentaculaires, déconnectées de toute responsabilité sociale, opérant au-dessus des lois, des peuples et des États.
Goldman Sachs, la plus emblématique d’entre elles, incarne cette finance carnassière. Tour à tour architecte et bénéficiaire des crises, elle infiltre les gouvernements comme une maladie chronique et Mario Draghi ou Mario Monti, voire même certains membres de la BCE en sont issus. Son rôle dans la falsification des comptes de la Grèce, qui a précipité l’effondrement du pays et l’a livré à l’austérité perpétuelle, est un crime économique à peine voilé. Pendant ce temps, JPMorgan Chase, cet autre colosse bancaire, étouffe la concurrence, manipule les taux d’intérêt mondiaux, et s’enrichit sur le dos de la misère planétaire, tout en se drapant dans des campagnes marketing "vertes" pour mieux dissimuler ses prédations. Les milliards d’amendes payées ne sont que le prix du silence et un coût calculé, intégré à leur modèle de rentabilité mafieux.
Mais le monstre moderne, c’est BlackRock. Ce n’est plus une banque, c’est un empire opaque qui gère l’économie mondiale à coups d’algorithmes et de conflits d’intérêts. L’État français, dans une soumission grotesque, l’a consulté pour "réformer" ses retraites, alors même que BlackRock profite directement de la privatisation des systèmes sociaux. Derrière, HSBC blanchit l’argent des cartels et des oligarques pendant que Deutsche Bank finance à la chaîne les opérations les plus toxiques du capitalisme spéculatif, empilant les scandales comme d’autres empilent les profits. Citigroup, Bank of America et consorts ne sont que des rouages d’un même engrenage d’une finance hors-sol, inhumaine, sans patrie ni morale, qui dévore le réel, dépossède les peuples, et transforme le monde en marché. Ces banques ne sont pas de simples institutions, ce sont des armes systémiques tournées contre l’intérêt général.
Ces banquiers n’ont ni nation, ni culture, ni loyauté puisqu'ils ne reconnaissent que la courbe des profits et l’odeur de l’or. Leur empire est virtuel mais absolu. Il passe par les banques centrales, les marchés boursiers, les agences de notation et les traités commerciaux dont les clauses sont plus contraignantes qu’aucune constitution. Ce sont eux qui dictent aux gouvernements la marche à suivre, eux qui écrivent les scénarios que les politiciens viennent réciter à la télévision. Quand un dirigeant s’écarte du programme, il est diffamé, renversé, marginalisé ou abattu. Mais quand il est docile ou corrompu, il est porté au pinacle, sanctifié par des médias bien dressés, décoré d’honneurs creux pour services rendus à l’ordre établi.
Et cet ordre mondialisé repose sur deux piliers qui sont la dette et la guerre. La première enchaîne les peuples, la seconde les détruit quand ils veulent se libérer. Les conflits armés ne naissent jamais par hasard. Ils sont provoqués, nourris, entretenus. Les services dits secrets tels que le MI6, le Mossad ou la CIA, ne sont pas des outils de défense nationale mais les bras armés de cette mécanique. Ils manipulent, assassinent, renversent, infiltrent, avec une efficacité dont l’Histoire a déjà trop d’exemples. Aucun gouvernement ne peut prétendre ignorer leurs exactions mais tous les tolèrent, car tous leur doivent leur place. Et leurs cibles sont toujours les mêmes, c'est-à-dire les nations qui résistent au pouvoir de l’argent-roi, qui refusent la soumission à l’ordre financier globalisé et donc de se faire racketter pour payer les intérêts à ces usuriers.
Et entre ces deux mâchoires, l’illusion démocratique est savamment entretenue pour que jamais ne soit remise en cause la légitimité de ce système. Les médias, souvent détenus par les mêmes groupes financiers ou arrosés par leur publicité, fabriquent l’opinion comme on fabrique un produit lisse, formaté et sans aspérités. On y maquille la servitude en responsabilité, l’austérité en vertu, la soumission en modernité. Pendant ce temps, les dirigeants politiques, trop lâches ou trop complices, se contentent d’exécuter les directives du marché sous couvert de réformes "inévitables". L’alternance devient un théâtre d’ombres, où droite et gauche gèrent la même machine avec des sourires différents. L’Europe elle-même, est un instrument majeur de cette finance mondialisée, imposant des règles budgétaires iniques et menaçant tout État qui voudrait dévier de la ligne. Il ne reste que des parodies de souveraineté, tenues en laisse par la dette fictive, matraquées par l’idéologie du progrès marchand, et vidées de toute capacité à défendre le bien commun.
Ce n’est plus de la diplomatie, c’est de la reddition. Quand Trump parade, comme la semaine dernière, avec les bellicistes européens sous le regard carnassier du Trésor américain, ce ne sont pas des décisions souveraines qui se prennent, mais une mise en scène sordide où l’Ukraine n’est qu’un prétexte, un théâtre de guerre sous contrôle comptable. Et quel détail révélateur lorsqu'on constate la présence du financier du Trésor américain aux côtés des généraux. À partir de là, oubliez la géopolitique, c’est une foire commerciale à ciel ouvert, avec un seul exposant : les États-Unis.
Le Financial Times l’a craché et annoncé 100 milliards de dollars de commandes militaires, exclusivement américaines. Missiles, blindés, munitions, c'est toute l’armurerie made in Pentagone. Et qui paie cette orgie ? Pas les Américains puisqu'ils encaissent. Pas les Ukrainiens puisqu'ils coulent. Ce sont les Européens, ces laquais volontaires, qui alignent les milliards. À crédit. En pillant leurs budgets sociaux, en étranglant leurs contribuables, en sacrifiant leur avenir sur l’autel de l’atlantisme béat.
Et pour parfaire cette prostitution économique, Bruxelles déroule le tapis rouge. Maroš Šefčovič, dans un zèle d’une servilité presque obscène, annonce d'ailleurs fièrement la liquidation avec la fin des droits de douane pour les produits US, le sabordage de notre agriculture, 750 milliards pour leur pétrole, 40 milliards pour leurs puces IA, 600 milliards pour leurs industries stratégiques… Et comme si cela ne suffisait pas, on renfloue leur complexe militaro-industriel, ce golem insatiable qui prospère sur les ruines.
Voilà, la "souveraineté européenne" est une fiction grotesque, vendue en boucle par des technocrates qui tiennent plus du fondé de pouvoir américain que du représentant des peuples. L’Union Européenne n’est plus qu’un comptoir colonial, un tiroir-caisse de l’Empire, vidé à chaque nouvelle guerre qu’on ne choisit pas mais qu’on paie rubis sur l’ongle.
Dans ce monde inversé, les criminels sont promus et les justes écrasés. Ceux que l’on désigne comme les défenseurs de la démocratie sont souvent des pantins vides, promus non pas pour leur intelligence ni leur intégrité, mais pour leur capacité à obéir. Macron, Von der Leyen, Merz, Starmer sont autant de figures interchangeables formés par l'école des "Young leaders" du WEF, sélectionnées par le Bilderberg non pour leur vision, mais pour leur docilité. Pour leur arrogance sans scrupules, leur égo surdimensionné, voire leur misanthropie psychopathique. Ils n’ont pas besoin de comprendre ce qu’ils signent puisqu'ils doivent simplement signer. Ils n’ont pas besoin de croire ce qu’ils disent puisqu'il suffit qu’ils le disent avec l’aplomb nécessaire à tromper les foules. Ils sont les préfets d’un empire sans visage, chargés de faire passer les décisions d’en haut pour des fatalités.
Et quand ces marionnettes faiblissent, les médias prennent le relais. Car l’information n’est plus une quête de vérité, mais un art de l’occultation. Elle ne vise plus à éclairer, mais à divertir, à confondre, à fragmenter l’attention. Les chaînes d’information continue, subventionnées par l’État ou détenues par des conglomérats liés aux mêmes intérêts financiers, noient les citoyens dans un flot ininterrompu de pseudo-scoops, de débats insipides, de scandales fabriqués. Le but n’est pas de convaincre, mais d’abrutir. Ce que l’on appelle "actualité", ce sont les miettes que laissent tomber les puissants pour donner l’illusion du mouvement. Pendant ce temps, les vrais enjeux des traités commerciaux, des opérations militaires secrètes, des chantages économiques, etc., restent hors champ.
Le divertissement est d'ailleurs l’arme suprême pour hypnotiser les masses, comme la peur. Les peuples fatigués, désorientés, précarisés, cherchent désormais dans les écrans ce qu’on leur refuse dans la vie. C'est à dire un sens, une échappatoire, un récit satisfaisant. Mais ce récit est calibré, modélisé, vidé de toute substance. Il ne dit rien de ce qui compte, il détourne l’attention vers des querelles fabriquées et insipides, des polémiques stériles, des figures médiatiques montées en épingle pour cacher l’invisible. Le citoyen n’est plus un acteur de la cité, il est un consommateur d’émotions. On l’indigne artificiellement un jour, on le rassure le lendemain, on le mobilise pour de fausses causes, on l’épuise dans des luttes périphériques. Pendant ce temps, la machine à dette tourne.
Mais cette machine ne tourne pas seule. Elle a besoin d’huile, et cette huile, c’est le sang. Chaque guerre qui éclate quelque part n’est pas une anomalie du système, mais son aboutissement logique. Là où les peuples cherchent à vivre, les puissants cherchent à vendre. Là où des enfants veulent grandir en paix, des consortiums cherchent des parts de marché. Et quoi de plus juteux, de plus durable, de plus rentable qu’un conflit qui ne finit jamais ? Chaque balle tirée, chaque missile lancé, chaque tank déplacé est une ligne de profit sur le tableau de bord d’une industrie qui prospère dans l’ombre comme celle de l’armement. Mais il y aussi celle de la pharmacie ou de l'agro-alimentation qui vont de pair désormais. Toutes ces industries sont dirigées in fine par les mêmes personnes, les mêmes conseils d'administrations et financés par les mêmes banques.
Le mensonge fondamental sur le chaos mondial, c'est de croire que les armes sont produites pour défendre les nations. En vérité, elles sont produites pour être utilisées, pour être écoulées, comme n’importe quelle marchandise. Regardez le film "Lord of War", tout y est dit et démontré. Ce n’est pas la sécurité des peuples qui motive leur fabrication, mais la croissance du chiffre d’affaires. Et cette croissance dépend d’un seul facteur qui est la guerre. Plus elle est longue, plus elle est sale, plus elle est confuse, mieux c’est. Plus elle implique de pays, plus les stocks tournent. Plus les civils meurent, plus les "besoins de reconstruction" justifient de nouveaux crédits, de nouveaux contrats. L’horreur devient un modèle économique. Et c'est justement ce modèle ignoble que veulent défendre les dirigeants européens face à Trump et la paix avec Poutine.
Les fabricants d’armes ne sont pas des sous-traitants dans ce système, ils sont au sommet. Ils siègent dans les think tanks, financent les campagnes, écrivent les doctrines militaires, rédigent les discours que les chefs d’État liront mot pour mot. Ils ne vendent pas seulement des armes, ils vendent surtout les guerres qui vont avec. Et ces guerres, ils les planifient comme on planifie une campagne publicitaire. Le Moyen-Orient, l’Afrique, l’Europe de l’Est, demain peut-être l’Amérique du Sud ou l’Asie-Pacifique…Chaque région est une opportunité d’expansion, chaque tension une promesse de dividendes.
Et comme toujours, ce ne sont pas les hommes de pouvoir qui meurent, mais les pauvres. Les soldats envoyés au front ne se battent pas pour la liberté, mais pour des contrats, pour des pipelines, pour des intérêts miniers ou énergétiques. Ils sont sacrifiés sur l’autel d’un profit dont ils ne verront jamais la couleur. Et lorsque la guerre les broie, ils sont jetés comme des déchets inutiles. Ceux qui reviennent blessés, traumatisés, défigurés, deviennent invisibles mais font tourner l'industrie pharmaceutique. Ceux qui protestent sont considérés comme des traîtres. La vérité, c’est que la guerre n’a besoin ni de héros, ni de martyrs, mais elle a un besoin crucial de chair fraîche et surtout de silence sur les contrats qui sont signés grâce à elle.
Et ce silence, ce sont encore les médias qui le garantissent. Tandis que des millions d'individus meurent dans l’oubli, on continue de nous parler de football, de prix de l’essence, de tendances vestimentaires, de querelles politiques minables. On détourne notre regard avec une dextérité diabolique. La structure médiatique n'est plus conçue pour informer, mais pour filtrer les faits, pour occulter le réel. L’information n’est plus ce qui éclaire, mais ce qui détourne. Tout ce qui pourrait éveiller les peuples, choquer les esprits par des révélations, relier les points entre tous ces acteurs méphitiques, est soigneusement écarté. Les journalistes ne sont plus des enquêteurs, mais des narrateurs, des agents d'un récit écrit pour mieux enfumer la vérité. Ils répètent ce que leur hiérarchie leur dicte, hiérarchie elle-même inféodée à ceux qui financent tout, qui fabriquent les armes, qui contrôlent les banques, qui sponsorisent les campagnes. Et lorsque vous n'êtes pas sur le champ de bataille avec une arme à la main, ils vous tuent avec leur malbouffe, leur industrie pétrochimique qui pollue l'eau, l'air et la terre. Là aussi c'est un terrain de guerre, contre l'humanité tout entière.
Dans ce théâtre macabre, le peuple est triplement victime car d’un côté, il paie les dettes que ses dirigeants contractent au nom de son bien-être, sans jamais lui demander son avis. De l’autre, il envoie ses enfants mourir pour des intérêts qu’il ne comprend pas, pendant que ses impôts financent les armes qui détruiront un autre peuple tout aussi innocent. Et lorsqu'il ne peut faire l'un ou l'autre, (trop pauvre ou trop vieux), il est intoxiqué, empoisonné et gavé de médicaments chimiques pour supporter les maladies développées à cause de la malbouffe, des OGM, du sucre industriel, de l'aluminium ou du plastique omniprésent dans nos assiettes. Sans parler des chemtrails au dessus de nos têtes, qui causent les catastrophes climatiques et agricoles, inventés dans leurs centres militaires et autres biolabs. Et dans tous les cas, les profiteurs du chaos ricanent. Car ce système est verrouillé. Ceux qui pourraient le dénoncer sont trop compromis pour le faire. Ceux qui voudraient le faire n’ont pas accès aux canaux de diffusion. Et ceux qui y parviennent sont éliminés. Ainsi, l’opinion publique est réduite à une multitude d’opinions privées, isolées, rendues inaudibles par le bruit de fond permanent.
Dans ce monde en déclin, la corruption n’est plus une exception, elle est la norme. Elle ne se cache plus, elle parade. Les pantins mis en place par les cercles financiers mondiaux affichent d'ailleurs leur mépris sans vergogne. Protégés par des milices armées et judiciaires que NOUS payons avec nos impôts et taxes. Macron, Von der Leyen, Merz, Starmer, Rutte, Zelensky… aucun de ces noms n’évoque la moindre idée, la moindre flamme, la moindre grandeur. Ce sont des gestionnaires de ruines, des technocrates sans âme, choisis non pour leur vision, mais pour leur capacité à obéir aux consignes venues d’en haut. Depuis les sphères bancaires et leur complexe militaro-industriel. Ils ne gouvernent pas, ils appliquent. Ils ne négocient pas, ils bradent. Ils ne construisent rien, ils administrent le démantèlement. Dans leur monde, le peuple est devenu une nuisance. La souveraineté est une fiction. La justice est un slogan aussi creux que la liberté. Et l’on s’étonne ensuite que la colère monte.
Mais ce n’est pas la colère qu’il faut craindre le plus mais bien l’apathie. Car la plus grande victoire de ce système n’est pas d’avoir divisé les peuples, mais de les avoir vidés de leur force. La résignation, le cynisme, le repli sur soi sont les véritables armes de l’ordre mondial. Tant que les Hommes croiront qu’ils sont impuissants, le pouvoir pourra tout se permettre. Tant qu’ils penseront que résister est vain, alors le crime deviendra légal, le mensonge deviendra la vérité et la tyrannie deviendra la routine. Et c’est là que nous en sommes. Ils le disent même haut et fort à propos de l'Ukraine en affirmant que "La guerre, c'est la Paix !"
Il faut arrêter cette folie et avoir le courage de regarder la réalité dans les yeux. Ce monde n’est pas en crise, il est sous occupation. Ce que l’on appelle "crise" est en réalité un mode de gestion par la peur. L’instabilité est programmée, calculée et recyclée à outrance. Chaque turbulence économique, chaque flambée de violence, chaque effondrement politique est un épisode prévu dans le scénario global. L’objectif de ces sbires du mal n’est ni la paix, ni la prospérité, ni l’émancipation des peuples. Leur objectif est le contrôle. Et le contrôle, dans cette ère moderne, ne passe plus par les armées visibles, par des batailles franches, mais par les flux invisibles comme les flux d’argent, d’information et de peur. Sauf pour les israélites aux idéologies archaïques, racistes et expansionnistes, qui continuent de vouloir nous faire croire à l'arrivée d'un pseudo Messie qu'ils se rêvent depuis 2000 ans et qui n'arrivera jamais, évidemment ! Alors, ils recommenceront à jouer les victimes perpétuelles en agressant tout le monde afin d'assouvir leur besoin d'exclusivité.
Mais revenons au sujet de cet article avec les banquiers internationaux qui ne se contentent plus d’émettre de la dette puisqu'ils émettent désormais aussi la norme, les règles du jeu de l'humanité ou ce qu'il en reste. Au centre de ce jeu mondialisé, la dette bancaire n’est pas qu’un simple outil économique puisqu'elle est devenue une arme géopolitique avec laquelle les banquiers apatrides manipulent les États comme des pions sur un échiquier infernal. La Chine, la Russie et l’Iran, malgré leurs différences apparentes, partagent un dénominateur commun fondamental d'être les principaux rivaux du système impérial américain, des banquiers de la City ou de la FED, des banques centrales et des puissances révisionnistes qui utilisent l’ordre mondial imposé par ces élites financières. Ces trois pays refusent la soumission à la logique de la dette imposée par l’Occident et à ses institutions bancaires, de fait, ils sont vilipendés.
Ainsi démontré, au cœur du tumulte mondial, derrière les guerres, la famine et la désolation, il y a cet unique mécanisme froid, méthodique, implacable qui est le système bancaire de la dette. Les Rothschild, Rockefeller et consœurs, ces dynasties financières apatrides, et la Réserve Fédérale américaine en sont les architectes silencieux, invisibles, mais omniprésents. Leur arme est l’endettement des nations, un piège dont elles tirent profit en créant de la monnaie ex nihilo, prêtée à des taux usuraires, étranglant les économies jusqu’à ce que la seule issue soit la soumission ou le chaos. Israël, dont la naissance fut soutenue par les Rothschild, n’est pas un hasard, ni une reconnaissance contre une injustice, mais un pivot stratégique dans ce jeu cynique où ses dirigeants, manipulés par ces intérêts, perpétuent la guerre, le génocide, la division, afin de maintenir ce cycle infernal. Israël soutient cet effort par la guerre perpétuelle car sans l'argent des USA, cette excroissance nuisible à la société humaine, cette verrue sur la face du monde, disparaitrait de facto de la surface du globe. Israël, fruit de cette architecture, est devenu l’incarnation politique de cette stratégie.
À sa tête, Benjamin Netanyahou agit comme un bras armé de ce système infernal, menant un génocide contre les Palestiniens, multipliant les fronts de guerre au Moyen-Orient, et poussant la planète entière vers un conflit global. Son cynisme est sans limites et il use de la terreur pour masquer les scandales financiers dont il est responsable, sachant qu’un cessez-le-feu l’exposerait non seulement aux accusations de crimes de guerre, mais aussi à des poursuites pour détournements massifs de fonds. Netanyahou est le pantin et le bourreau à la fois, instrumentalisé par ces banquiers apatrides qui, tapis dans l’ombre, tirent les ficelles d’un monde plongé dans ce brouillard de guerre, où la peur anesthésie les peuples pendant qu’ils s’enrichissent sur leur dos. C’est ce système, cette dictature bancaire, qui tire les ficelles des conflits, fabrique la peur, détourne la vérité, et plonge l’humanité dans un brouillard orchestré pour masquer les bénéfices scandaleux de quelques-uns.
Tant que ce monopole infernal ne sera pas brisé, la paix restera un mensonge et la liberté une illusion. Car ce ne sont que ces banquiers apatrides qui imposent leur loi aux États, comme les guerres et leur durée, par l’intermédiaire de pantins corrompus, de gouvernants médiocres faisant des peuples leurs otages, écrasant toute tentative de souveraineté. En vérité, la dette est une arme de destruction massive, un mécanisme financier plus redoutable que toutes les bombes, car elle mine silencieusement les fondations mêmes des sociétés, fait exploser les inégalités, et transforme les guerres en machine à cash.
La guerre en Ukraine n’est pas une tragédie imprévue mais l’aboutissement programmé d’un engrenage cynique, huilé dès 2014 par l’injection massive de fonds et d’influence américains dans le renversement du pouvoir à Kiev. Le coup d’État du Maïdan, habillé en révolution démocratique, a servi de cheval de Troie à Washington pour installer un régime docile sur le seuil de la Russie. Ce n’était pas une manœuvre isolée, mais un chapitre supplémentaire dans l’expansion agressive de l’OTAN, qui a méthodiquement grignoté l’espace post-soviétique, jusqu’à frôler la frontière russe, implantant des bases militaires et des biolabs dissimulés sous couvert de recherche sanitaire. Pendant ce temps, la France et l’Allemagne, faussement médiatrices, trahissaient les accords de Minsk en jouant un double jeu de la diplomatie molle en façade, et celui de l’armement discret en coulisse. L’objectif n’a jamais été la paix, mais bien l’enlisement, la provocation, l’épuisement stratégique. L’Ukraine a été transformée en proxy de l’Occident, un champ de bataille sacrificiel, un laboratoire de guerre hybride, mais surtout une gigantesque lessiveuse à argent sale.
Les milliards prétendument envoyés pour la défense du "monde libre" se sont évaporés dans les sables mouvants de la corruption, alimentant des réseaux opaques, transitant par des paradis fiscaux, enrichissant des oligarques locaux et des décideurs occidentaux qui y dissimulent leurs rétro-commissions avant de les envoyer dans des paradis fiscaux. La Russie, dans ce théâtre, joue le rôle de l’épouvantail commode, diabolisée non tant pour ses actes que pour son insubordination systémique depuis qu'elle s’est soustraite au système bancaire mafieux nommé SWIFT. Elle résiste à l’hégémonie du dollar et à la colonisation culturelle, elle refuse la vassalisation économique. En cela, elle est l’adversaire idéal, car crédible, stable, et surtout, imperméable aux injonctions du cartel financier mondialisé. La peur du Russe est devenue l’opium des masses décérébrées, un outil d’hypnose collective qui légitime les restrictions, les sanctions suicidaires, la censure et le pillage organisé des économies européennes. Ce n’est pas une guerre contre un pays, c’est une guerre contre la lucidité.
La Russie, notamment, a brisé les chaînes de ce système financier global verrouillé par Washington, pour tenter de préserver sa souveraineté économique. L’Iran, écrasé par des sanctions et étranglé par un endettement massif, lutte pour ne pas sombrer dans ce système toxique où la planche à billets mène à la ruine et à la guerre. La Chine, avec sa puissance économique grandissante, cherche à déployer des alternatives financières, telles que la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (BAII), afin de contourner l’hégémonie occidentale. Et comme l’a souligné Ross Douthat dans le New York Times, "la Russie, l’Iran et la Chine forment une alliance, implicite ou explicite, qui remet en cause la domination américaine, forçant cette dernière à déployer toute sa puissance militaire, diplomatique et économique pour maintenir sa suprématie".
Ainsi, la guerre n’est pas qu’une lutte militaire ou idéologique mais bien la conséquence directe d’un système bancaire mondial conçu pour perpétuer l’influence d’une caste financière au détriment des peuples et des États souverains.
L’Iran, à l’instar de tant d’autres nations piégées par le labyrinthe de la finance mondialisée, s’est enfoncé ces dernières années dans une spirale d’endettement incontrôlée, orchestrée sous couvert de nécessité budgétaire mais en réalité symptomatique d’un piège tendu depuis longtemps. Pour faire face à un déficit public colossal, la République islamique a accru massivement ses emprunts, notamment auprès de sa propre Banque centrale, gonflant artificiellement la liquidité monétaire et provoquant une chute vertigineuse du rial. La dette publique iranienne a ainsi plus que doublé en trois ans, malgré les promesses officielles de rigueur et de réduction du recours au crédit. L’Iran vient d'ailleurs d'annoncer l’arrestation de 122 personnes chargées par le fondateur et dirigeant du Conseil national iranien - créé en 2013, un groupe d’opposition iranienne en exil - Reza Pahlavi de provoquer des émeutes à Téhéran pendant la guerre des Douze Jours. Reza Pahlavi est désormais accusée de terrorisme en Iran en tant que meneur et agent de ces banquiers apatrides.
Et ce n’est pas une dérive isolée mais bien un schéma connu, éprouvé, recyclé. Car à chaque fois que la planche à billets est activée en dépit du bon sens économique, la guerre n’est jamais loin. Ce fut déjà le cas dans les années 1930, lorsque l’Allemagne nazie, d’abord soutenue par les grandes banques américaines, qui y voyaient une opportunité stratégique, fut brutalement diabolisée dès lors qu’elle refusa de se soumettre à l’extorsion des créanciers transnationaux et aux diktats du capital anglo-saxon. C'est de là qu'est venu "l'antisémitisme" du IIIème Reich. Dans ces cas, le schéma est toujours le même où ils poussent un pays à créer de la dette, à gonfler sa masse monétaire, à retarder la banqueroute par des artifices comptables, jusqu’à ce que la seule issue soit le chaos. Un chaos toujours providentiel pour les grandes banques qui y voient l’occasion de masquer leurs propres pertes en redémarrant le cycle infernal des reconstructions, des crédits de guerre, et des plans d’aide conditionnés. L’Iran d’aujourd’hui se trouve ainsi étranglé entre le marteau de l’hyperinflation et l’enclume du refinancement obligatoire. Il ne lui reste donc que deux options, toutes deux létales de, soit continuer à emprunter à sa Banque centrale et aggraver le désastre monétaire, soit émettre des obligations et repousser le choc à demain, au prix d’une dépendance croissante aux circuits financiers globaux. Autrement dit, choisir entre l’asphyxie lente et l’amputation rapide. Et comme toujours dans cette mécanique implacable, l’enjeu dépasse la seule économie car la déstabilisation interne devient l’antichambre d’un conflit voulu, provoqué, utile aux intérêts d’un ordre mondial qui ne tolère ni autonomie monétaire, ni souveraineté économique. L’Iran, comme d’autres avant lui, pourrait n’être qu’un pion de plus sacrifié pour équilibrer les comptes truqués des puissants, à l'instar de l'Ukraine.
Car ce sont eux qui décident de ce qu’un pays a le droit ou non de faire, sous couvert de "stabilité économique". Or, la stabilité est toute aussi factice que l'argent imprimé par palettes entières. Ils imposent des réformes, dictent des politiques budgétaires, fixent des seuils, évaluent la solvabilité des nations comme on jaugerait une marchandise. En réalité, ils n'ont pas besoin de nos impôts ni de nous taxer puisqu'ils impriment toute la monnaie. Et au rythme où ils veulent ! Ils ne nous taxent que pour nous asservir, nous soumettre, nous calibrer, nous garder sous leur joug artificiel. Et si un peuple uni décide de prendre une autre voie, de redistribuer les richesses, de nationaliser ses ressources, de fermer ses marchés, il est immédiatement attaqué, économiquement d’abord, puis socialement ensuite avec les révoltes populaires de couleur, et enfin militairement si besoin. Car pour cette caste maléfique, l’indépendance est un crime. La soumission est la seule vertu reconnue, car elle est la base de leurs revenus.
Et cette soumission n’est possible que parce que le discours officiel sert d'écran de fumée. Comme ce brouillard de guerre qui ne permet plus de distinguer où sont les positions armées ou les ennemis. On ne parle plus des causes, mais des symptômes. On n’analyse plus, on commente. Le langage lui-même est perverti où les guerres deviennent des "interventions humanitaires", les pillages des "partenariats stratégiques", les coups d’État des "transitions démocratiques", les élections libres et populaires des "ingérences étrangères". Les vérités les plus évidentes sont repeintes aux couleurs du mensonge, tandis que ceux qui les dénoncent sont relégués à la marge, diffamés, censurés, invisibilisés. Dans ce climat d’inversion, tout est permis sauf la lucidité.
Mais la lucidité est là, tenace, comme une braise encore rouge sous les cendres de la propagande. Elle renaît chez ceux qui comprennent que tout ce système repose sur l'illusion de l’impuissance du peuple. Si les banquiers règnent, c’est parce que les États leur ont délégué leur souveraineté monétaire. Si les services secrets manipulent l’échiquier mondial, c’est parce qu’ils ont carte blanche. Si les industriels de l’armement prospèrent, c’est parce que les conflits sont tolérés, entretenus, alimentés. Si l'industrie agro-alimentaire nous empoisonne c'est parce qu'on achète leurs produits. Si les médecins nous intoxiquent c'est parce qu'on leur fait confiance. Et si les médias mentent, c’est parce qu’ils ont été achetés. Rien de cela n’est une fatalité, car ce sont des choix. Ce sont des chaînes fabriquées par l’Homme et que seul l’Homme peut briser.
Mais pour cela, il faut commencer par désigner les véritables coupables. Et ce ne sont pas les populations, ce ne sont pas les cultures, ce ne sont pas les religions, ni les idéologies, tout cela ce sont des leurres, des armes secondaires. Les coupables sont ceux qui, à travers les décennies, ont su capter le pouvoir réel de créer la monnaie, d’émettre la dette, de contrôler les récits, de vendre la guerre comme un produit, de coloniser les esprits sans jamais poser un pied sur le sol. Ils n’ont pas besoin de frontières, car ils possèdent les nôtres. Ils n’ont pas besoin d’armées, car ce sont les nôtres qui les servent. Ils n’ont même plus besoin de nous convaincre puisqu'ils nous distraient.
Ils achètent les gouvernements avec les mêmes billets qu’ils créent à partir de rien. Ils achètent le silence avec des subventions, la docilité avec des crédits, la loyauté avec des postes de pouvoir. Ils n’ont pas de nom unique mais ils sont un réseau, une matrice, un système. Ils n’ont même plus besoin de se cacher puisque c’est nous qui refusons de les voir. Et tant que nous continuerons à consommer le mensonge au lieu de le dénoncer, tant que nous accepterons l’esclavage numérique, la surveillance généralisée, l’enrôlement idéologique, nous serons les complices passifs mais volontaires de notre propre dépossession.
La réalité, brutale, n’est pas que le monde va mal. C’est qu’il est délibérément saboté par ceux qui prétendent le sauver. Derrière chaque slogan progressiste, chaque campagne de communication institutionnelle, chaque sommet international, chaque déclaration de paix ou de prospérité, se cache une mécanique cynique de domination. La république est une association de malfaiteurs. Le gauchisme est une maladie mentale. Le socialisme est à la base de toutes les dictatures. La démocratie est un régime politique instable et imparfait, marqué par l'ignorance collective et susceptible de dégénérer en tyrannie. Elle n'a jamais existée ailleurs que dans les livres. L’écologie - que je préfère nommer "escrologie" - est un marché de dupes comme un autre, basé sur le mensonge du CO² pendant que les industriels pillent et polluent la planète entière. La diversité est une façade utilisée pour diviser les idiots et les ignorants. L'homosexualité n'est pas un projet de civilisation, pas plus que la "liberté" sexuelle qui est contre-nature. D'ailleurs cette notion de "liberté" est une fiction bien emballée pour nous faire accepter la prison mentale dans laquelle nous sommes plongés. L’égalité est une distraction utopique puisque personne ne peut être égal à son voisin. Et la fraternité est un mensonge servant à cacher le manque d'humanité.
Mais il est encore temps de retrouver cette humanité, ce bon sens et donc notre liberté de penser, de dire et d'agir. Car ce système, aussi redoutable soit-il, repose sur un mensonge fondamental selon lequel il est invincible. Or, il ne l’est pas. Bien au contraire, il est très fragile et ne tient que par l’ignorance des masses et la lâcheté des élites. Il ne résiste pas à la vérité, à la solidarité, à la désobéissance massive. Il ne résiste pas à ceux qui osent regarder derrière le rideau, qui refusent de céder, qui reconstruisent en marge, qui s'organisent en silence. Chaque fois qu’un esprit se libère du mensonge, la matrice vacille. Chaque fois qu’un Homme comprend que la peur est un piège, une faille s’ouvre. C'est pour cela qu'il y a autant de censure et de lois ou décrets tous plus stupides les uns que les autres. Parce que chaque fois qu'on construit une école, on détruit une prison.
Les empires les plus puissants se sont toujours crus immortels. Et tous ont fini dans les cendres, emportés non par des ennemis extérieurs, mais par l’arrogance, la corruption, et le réveil des peuples. L’Histoire est notre seul rappel car ceux qui croient pouvoir diriger le monde contre les peuples finissent toujours par le perdre. Il n’est pas nécessaire de croire aux complots pour voir qu’un système organisé autour de la dette, de la guerre et du mensonge est un système qui détruit tout ce qui est humain. Il suffit de suivre l’argent et il mène toujours aux mêmes endroits, aux mêmes personnes. Non pas vers des entités abstraites ou mystiques, mais vers des intérêts très concrets, très identifiables, très documentés. Ce n’est pas une conspiration, c’est une structure. Et cette structure n’est pas éternelle.
Il suffirait d’une étincelle pour allumer le baril de poudre salvateur. Et elle peut venir d’un mot, d’un acte, d’un refus. Elle peut naître dans un quartier ignoré, une usine abandonnée, une salle de classe surchauffée, ou dans le silence résolu d’un esprit qui ne veut plus courber l’échine. Car tout l’édifice tient par le mensonge, par l’illusion savamment orchestrée d’une fatalité économique, par la fabrication permanente de ce brouillard de guerre, de ce nuage de confusion où les banquiers maquillent leurs prédations en science, leur rapacité en responsabilité, leur parasitisme en progrès. Ce que vous lisez ici, je l’espère, aura été pour vous cette gifle salutaire, ce déchirement du voile. Il n’y a pas de neutralité possible désormais, soit l’on sert ce système, soit on le combat.
Derrière les courbes de croissance, les bilans consolidés et les notes des agences, il n’y a que des Hommes rongés par leurs propres vices, des technocrates médiocres aux ordres, des pantins arrogants qui tremblent à l’idée que le peuple ouvre enfin les yeux.
Et ce jour viendra, car l’imposture ne peut durer indéfiniment. Et ce jour-là, ils apparaîtront pour ce qu’ils sont réellement. C'est à dire non plus des figures de pouvoir, mais des usurpateurs nus, dérisoires, maladifs, réduits à supplier l’ordre qu’ils prétendaient dominer. Ce jour-là, les peuples cesseront d’être des troupeaux et redeviendront souverains… ce qu’ils n’auraient jamais dû cesser d’être !
Alors, que cet article soit au minimum l’amorce de cette étincelle, de ce retour de panache et de combativité, un appel à la lucidité radicale, à l’insoumission éclairée, au refus ferme de continuer à vivre à genoux devant une dette qu’on ne nous a jamais demandée mais qu’on nous impose comme une chaîne. Pas plus qu'une guerre dans laquelle ils cherchent à nous entrainer pour sauver leurs privilèges et leurs profits.
Il est temps de retrouver la virilité perdue, celle du courage, de l’honneur et du combat juste. Défendre ses droits, sa liberté, l’avenir de ses enfants, ne relève plus d’un choix mais d’un devoir sacré. Oui, cela demandera du sang, des larmes, peut-être même nos vies, mais à quoi bon vivre à genoux, si ce n’est pour offrir aux banquiers une humanité soumise, stérile et effacée ?
Mieux vaut tomber debout que ramper jusqu’à l’effacement. Gouvernants, banquiers, miliciens, qu’on se le dise, ne sont pas des dieux ! Ils n’ont qu’une tête, deux bras et deux jambes, comme nous. Et ils tomberont comme les autres, et perdront tous la tête quand le peuple relèvera la sienne…
Phil BROQ.
Et oui c est la kata! Face a ces vérités qu’on refuse tous de voir tant elles dérangent .
RépondreSupprimerJe tente, par mes modestes moyens, de faire en sorte que beaucoup soient OBLIGES de voir !
SupprimerTexte d'autant plus salutaire qu'il propose, sans chercher la pose, une éminente utilité proprement respiratoire, quand un cerveau ne reste en vie que s'il est opportunément, et ainsi utilement, oxygéné. Vous développez, constamment et au plus près, la conscience la plus vive du lien nécessaire entre l'intime le plus fouillé et l'impératif, tant catégorique que vital, d'un collectif national incarné en une métabolique organicité. Puissance d'un authentique Manifeste qui se dresse dans l'urgence d'un combat contre le fait social total qu'ambitionne de nous imposer une tumorale et métastatique matrice.
RépondreSupprimerMerci pour la permanence de votre effort.
Merci beaucoup à vous pour ce commentaire et votre fidélité !
SupprimerRemarquable édito, comme d'habitude. Vous êtes en pleine forme mon Cher Phil ! On ne se lasse pas de vous lire !
RépondreSupprimerJe vous en suis très reconnaissant !
SupprimerBRAVO ! Quel texte passionnant et tellement lucide !
RépondreSupprimerTout est dit, et j'espère que vous serez lu par le plus grand nombre !
Merci !
Merci et je souhaite aussi que mes texte soient plus souvent lus !
SupprimerBonjour ....merci très clair même pour ceux qui refusent de voir....cdt
RépondreSupprimerBonjour Phil,
RépondreSupprimerJe lis souvent vos billets d’humeur et ils m’éclairent sur le chemin qui est le mien. J’aurais besoin aujourd'hui d’une explication de texte sur ce passage précisément :
"L’homosexualité n’est pas un projet de civilisation, pas plus que la «liberté» sexuelle qui est contre-nature. D’ailleurs cette notion de «liberté» est une fiction bien emballée pour nous faire accepter la prison mentale dans laquelle nous sommes plongés. L’égalité est une distraction utopique puisque personne ne peut être égal à son voisin. Et la fraternité est un mensonge servant à cacher le manque d’humanité."
D’avance merci i