DU PROGRÈS SOCIALISTE À LA PURGE MONDIALISTE - Partie 2

La première partie de cette analyse a démontré, exemples historiques à l’appui, comment les régimes issus des idéologies socialistes, qu’ils soient soviétiques, maoïstes ou national-socialistes (nazis), ont bâti les pires dictatures modernes au nom de l’égalité, de la justice ou du progrès. Ce que l’Histoire officielle présente souvent comme des expériences de libération a, dans les faits, produit un écrasement systématique des libertés, une instrumentalisation des peuples, et des hécatombes humaines rarement égalées. Et toujours selon le même schéma avec un Parti, une Vérité et une Terreur.

Mais cette matrice socialite ne s’est pas arrêtée aux frontières de l’Europe ou de l’Asie. L’Afrique post-coloniale, en pleine quête d’émancipation après des décennies de domination européenne, a servi à son tour de terrain d’expérimentation idéologique. Des élites formées à Moscou, à Paris ou à Pékin, ont importé avec zèle les modèles socialistes les plus radicaux, souvent avec la bénédiction de la gauche occidentale, de l’URSS ou de la Chine maoïste. Le vocabulaire de libération nationale masquait mal des ambitions de pouvoir absolu. Et là encore, la promesse d’un pouvoir "du peuple" s’est rapidement transformée en appareil de répression "contre le peuple".

La suite de cette enquête plonge donc au cœur de cette période charnière, où le continent africain, meurtri par le colonialisme, fut jeté dans les bras d’idéologies tout aussi destructrices, sous des apparences de progrès et d’autonomie. Du Derg éthiopien à l’Angola marxiste, du Bénin révolutionnaire au Mozambique "rééduqué", nous verrons comment, une fois encore, le socialisme a accouché de la misère, du sang et du silence - avec le même fil idéologique, culturel et politique que celui analysé dans la première partie.

Ainsi, en Éthiopie, le socialisme prend un visage ouvertement criminel avec le régime du Derg, une junte militaire marxiste qui renverse l’Empereur Haïlé Sélassié en 1974. Sous la direction de Mengistu Haile Mariam, un admirateur déclaré de Staline et Lénine, le pays sombre dans un bain de sang. Le "Terreur rouge" éthiopienne, lancée en 1977, fait entre 100 000 et 500 000 morts selon les estimations. (33) Les exécutions sommaires se font à la chaîne, les corps sont laissés dans les rues pour terroriser la population. Dans les campagnes, les réformes agraires collectivistes provoquent des famines monstrueuses - celle de 1984/1985 tue plus d’un million de personnes. L’URSS arme le régime, l’Occident ferme les yeux. Encore une fois, le peuple doit mourir pour que l’idéologie socialiste vive. (34)

En Angola, c’est le MPLA (Mouvement populaire de libération de l’Angola), d’obédience marxiste-léniniste, qui prend le pouvoir en 1975 à l’indépendance. Soutenu par l’URSS et Cuba, il impose un régime autoritaire, centralisé, qui transforme le pays en satellite africain du camp socialiste. Le Président Agostinho Neto, puis José Eduardo dos Santos, gouvernent sans partage. Les années 1970/1980 sont marquées par les purges internes, la répression de toute opposition, les arrestations de masse et la création de camps de détention politiques. L’économie, entièrement nationalisée, s’effondre. Les services secrets angolais (DISA), formés par le KGB et la Stasi, instaurent un climat de peur permanent. Et là encore, cette idéologie a justifié des milliers de morts pour garantir la domination du Parti unique. (35)

Le Mozambique, libéré du joug portugais, suit une trajectoire similaire avec la prise de pouvoir du FRELIMO en 1975, dirigé par Samora Machel, autre marxiste-léniniste formé à Moscou. L’État devient propriétaire de tout, les églises sont persécutées, les paysans regroupés de force dans des villages collectivisés. Les opposants, réels ou imaginaires, sont internés dans des camps dits "de rééducation" - qui sont en réalité des goulags tropicaux. L'économie s'effondre, la guerre civile ravage le pays. Encore une fois, le socialisme ne construit rien, au contraire il détruit et appelle cela "progrès". (36)

En République du Congo (Congo-Brazzaville), le socialisme devient doctrine d’État dès 1969. Le Président Marien Ngouabi, un militaire marxiste, fonde le Parti Congolais du Travail sur le modèle du parti unique soviétique. Le pays devient officiellement une "République populaire", la première d’Afrique. La répression s’abat sur les opposants, les syndicats indépendants sont interdits, les libertés supprimées. Après l’assassinat de Ngouabi en 1977, ses successeurs poursuivent la ligne du marxisme d’État, jusqu’à l’effondrement du système au début des années 1990. Pendant deux décennies, le Congo fut un État policier au nom du même "progrès". (37)

Même là où le marxisme est moins dogmatique, la gauche africaine produit des tyrans au nom du peuple. Sekou Touré, en Guinée, se prétend socialiste humaniste. Il met en place un système de terreur généralisée, fait construire le tristement célèbre camp Boiro, où des milliers d’opposants meurent torturés ou affamés. Ses purges éliminent jusqu’à 50 000 personnes entre 1958 et 1984. (38) En Zambie, Kenneth Kaunda, chantre du "socialisme africain", interdit les partis d’opposition en 1972, nationalise massivement, et appauvrit son pays pour des décennies, toujours au nom de l’égalitarisme.

Dans chaque cas, le fond idéologique varie peu avec le rejet du pluralisme, la concentration absolue du pouvoir, la collectivisation, la glorification du Parti et la répression de toute autonomie individuelle ou locale. Peu importe que l’ex-URSS se soit effondrée puisque le logiciel est resté en place. Le socialisme, qu’il soit à la sauce marxiste-léniniste, africaine ou militaire, ne libère jamais. Il encadre, discipline, surveille, punit. Notez que tous ces dictateurs furent mis en place par les Franc-maçons français sous couvert de "coopération France-Afrique".

Ainsi depuis 1917, le socialisme ne libère pas, il capture. Il ne construit pas, il confisque. Il ne fait pas progresser l’humanité, il l’écrase sous le poids d’un appareil d’État devenu omnipotent. À chaque fois qu’il a pris le pouvoir, il a détruit la liberté. Partout où il s’est installé, il a dressé des murs, creusé des fosses, bâti des camps. Avec le tumulte sanglant de la Révolution russe jusqu’aux décombres fumants des dictatures modernes en Amérique latine, en Afrique ou en Asie, il est impossible de fermer les yeux sur la vérité accablante de ce que l’on nomme pudiquement "la gauche" ou "le socialisme", qui n’est rien d’autre qu’une fabrique ininterrompue de tyrans. Derrière le masque séduisant mais mensonger de l’égalité, du progrès et de la justice sociale, se cache en réalité un monstre insatiable qui broie les libertés individuelles, annihile le libre-arbitre et les religions, tout en déshumanisant des peuples entiers.

En France, on l’a appelée "la gôôôche", on l’a parée de toutes les vertus. Mais derrière ce lexique enjôleur, derrière les poings levés et les slogans fraternels, s’est toujours caché un projet plus sombre de dominer les autres au nom du bien, de soumettre au nom du Parti et de tuer au nom du futur. Le socialisme - dans toutes ses variantes allant du marxisme-léninisme pur aux dérives populistes, en passant par le national-socialisme (nazis) hybride ou les socialismes africains ou tiers-mondistes - n’a jamais cessé d’utiliser le pouvoir absolu comme instrument de domination. Il promet la libération collective, mais ne produit que l’esclavage systématique. Il invoque l’avenir radieux pour justifier les massacres présents. Il érige l’État en Dieu, imposant ses dogmes par la terreur, la surveillance, la censure et l’extermination.

Tout ce que l’on observe à l’échelle mondiale, des bolcheviques de 1917 aux régimes socialistes modernes, a une résonance bien particulière lorsqu’on regarde l’Histoire de la France sous l’emprise de cette gauche. Ce n’est pas seulement un rejet pur et simple des idéaux d’émancipation et de liberté. C’est une réécriture progressive du destin du peuple au nom du "progrès", qui, sous des dehors humanistes, dissimule un système oppressif, manipulateur, et totalitaire. Depuis Mitterrand, chaque alternance de pouvoir sous les mains de la gauche a renforcé cet enchevêtrement entre idéologie et autorité, introduisant progressivement des lois et des réformes qui ont transformé la démocratie française en une coquille vide, une illusion de liberté. De la "libération" par le socialisme à l’ascension du progressiste Macron, nous avons assisté à la transformation de la république en un mécanisme de contrôle sans précédent, où le peuple a été dépossédé de son pouvoir, transformé en sujet soumis à une "bienveillance" qui n’est, en réalité, qu’un masque de fer. Le socialisme français, héritier d’une tradition dictatorialement infantilisante, a conduit la société française sur la voie d’une dictature molle, subtile mais implacable, qui s’épanouit aujourd’hui sous les ordres des technocrates dont Macron est le symbole et le pantin. Une fois de plus, ce qui se prétendait être un projet d’émancipation a engendré une soumission totale.

Ainsi, en France, depuis 1981, la gauche française n’a pas libéré la société, elle l’a encadrée, surveillée, étouffée. Sous Mitterrand, les promesses d’émancipation populaire ont rapidement muté en un appareil étatique hypertrophié, bureaucratique et clientéliste, plaçant des cohortes de fonctionnaires, de syndicalistes, d’idéologues dans toutes les strates de l’administration, de l’éducation, de la culture et des médias. (39) Cette gauche s’est arrogée le monopole du Bien, criminalisant toute pensée dissidente, muselant le débat sous couvert d’antiracisme d’apparat, et redéfinissant les lois de la République à coups de "grands principes" vides et de tabous idéologiques. (40) Sous couvert de progrès, elle a enfermé les esprits dans une morale obligatoire, a tordu l’histoire nationale pour la faire entrer dans son logiciel mondialistes, et a détruit jusqu’au langage, à coups de novlangue administrative, inclusive et culpabilisante. (41) Le tout, bien sûr, au nom de la tolérance.

Ce glissement lent mais méthodique vers une dictature molle a pavé la voie à Macron, qui n’a eu qu’à cueillir le fruit pour imposer son autoritarisme technocratique. Issu du sérail socialiste, disciple de Hollande, Macron incarne l’aboutissement logique de cette gauche devenue machine à formater les masses avec un pouvoir centralisé, sans contre-pouvoirs réels, qui gouverne par ordonnances, par 49.3, par "conseils scientifiques", par décrets d’exception. (42) Un régime qui interdit, restreint, surveille, censure, mais toujours avec le sourire, toujours au nom de la "science", de "l’écologie", de "la lutte contre la haine". (43) La République devient un théâtre où la démocratie ne survit que comme rituel vide, pendant que l’État s’arroge le droit de décider ce qui est vrai, ce qui est bien, ce qui est acceptable. Cette gauche, en prétendant libérer l’Homme, l’a d’abord infantilisé, puis dressé, jusqu’à le rendre docile face à un pouvoir qui ne dit jamais son nom. Macron n’est pas un accident, mais le produit terminal d’un logiciel totalitaire déguisé en bienveillance dictatoriale. (44)

Mais avant que certains lecteurs, bien qu’ayant eu le courage de parcourir ce texte, contre la gauche, en entier, ne croient que la droite représente une solution à leurs maux, il est essentiel de leur rappeler ce qu’elle a produit, non seulement dans le cadre du capitalisme, mais aussi du libéralisme. La droite, loin d’être le rempart de la liberté qu’elle prétend être, est complice de la même logique qui a, depuis des siècles, écrasé des peuples entiers sous le joug d’un système impérialiste, raciste et déshumanisant. Le génocide des Indiens d’Amérique, perpétré par les colonisateurs protestants, n’a pas été un accident de l’Histoire, mais bien l’application d’une idéologie raciste, une idéologie nourrie par des croyances talmudiques. Et en est la plus cruelle illustration. Il en va de même pour l'esclavage des Africains, où l’exploitation systématique des peuples noirs a été orchestrée par des élites talmudiques, soutenues par des mercantilistes et des capitalistes européens avides de profit où l’Homme était réduit à une marchandise. 

Les textes talmudiques, qui forment une base centrale de la doctrine juive orthodoxe, ont engendré une idéologie radicale et déshumanisante qui se manifeste tout au long de l’Histoire à travers des formes de domination et de violence contre des peuples entiers. Le Talmud, en distinguant l'humanité en deux catégories (les juifs, considérés comme le peuple élu, et les non-juifs, considérés comme des êtres inférieurs, voire des objets de manipulation) a légitimé dans l’esprit des puissants une mentalité de suprématie raciale et d’exploitation systématique. Cette pensée se manifeste dans la conquête coloniale, l’esclavage, et plus encore dans des politiques de dépersonnalisation et d’extermination de masse. L'enseignement talmudique du "goyim" comme étant "uniquement fait pour servir Israël" (Talmud, Yevamot 61a, Sanhedrin 58b) a servi de justification morale à des pratiques inhumaines. En cultivant l’idée que les non-juifs sont des instruments destinés à être exploités au profit du peuple élu, ces textes ont fourni une idéologie de domination et de mépris de l’autre, un terreau fertile pour la folie impérialiste et les massacres à l’échelle mondiale. La violence contre l’humanité n’est pas le fruit d’un dérèglement isolé mais d’un système idéologique porté par des pseudos écrits sacrés, qui, au fil des siècles, ont nourri une vision du monde où la vie des non-juifs ne vaut pas celle des juifs, justifiant ainsi un cycle infini de violence, d’oppression et de déshumanisation. C'est de là qu'est née "la haine".

En tant que fondement du judaïsme rabbinique, ces textes talmudiques, ont, à travers leur interprétation et leur transmission, profondément influencé certaines structures de pouvoir, notamment via les loges franc-maçonnes de droite (GNLF) comme de gauche (GOF). Alors que le Talmud a longtemps été un guide pour les communautés juives, une minorité a choisi de l’interpréter d’une manière plus exclusive et hiérarchique, fondant un système de croyances basé sur la suprématie d'une élite. Ces principes ont été assimilés et parfois pervertis par certaines sociétés secrètes, comme les loges franc-maçonnes, qui, au XVIIIe et XIXe siècles, ont joué un rôle central dans la structuration des élites politiques en Europe et en Amérique. La franc-maçonnerie, qui se réclamait de principes de "liberté, égalité, fraternité", a pourtant souvent servi de véhicule pour des intérêts particuliers, notamment ceux des grandes familles bourgeoises et financières, qui ont cherché à renforcer leur pouvoir tout en dissimulant leurs objectifs derrière des discours humanistes, tout en pratiquant l'esclavage et la fabrication comme la vente d'armes. De la même manière, l'idéologie républicaine française, qui a émergé à travers la Révolution de 1789 et la mise en place de la République, s'est parfois trouvée mêlée à des idéaux de centralisation du pouvoir, d’oppression des masses et de contrôle des consciences.

Ces loges et systèmes de pouvoir ont ainsi, au fil du temps, contribué à la formation d'une élite internationale (bancaire et industrielle), parfois discrète mais profondément influente, qui a agi en fonction de ses propres intérêts, souvent au détriment des peuples. Le Talmud, loin d'être un texte purement spirituel, a été interprété par certains comme justifiant des hiérarchies strictes, tandis que les loges maçonniques ont permis à ces idées de se propager dans les institutions et gouvernements. Ces connexions entre religion, pouvoir occulte et politique ont engendré un système où la justice sociale et la liberté individuelles ont été sacrifiées sur l’autel du pouvoir et du contrôle élitiste. (45) (46) (47) (48)

Ces mêmes franc-maçons, qui se sont ouvertement vantés d’avoir joué un rôle central dans l’organisation de la Révolution de 1789, se présentent comme les architectes de la "liberté et de l’égalité". Cependant, tout comme les bolchéviques en 1917 ont renversé le Tsar, ces révolutionnaires maçonniques ont en réalité été manipulés et utilisés comme pions dans un jeu plus vaste, dont les véritables maîtres voulaient permettre l'émergence des puissances talmudiques. Donc, la Révolution de 1789, soutenue par les loges maçonniques, avait pour objectif principal de détruire l'Église chrétienne et la Monarchie de Droit Divin, symboles d’une autorité fondée sur la transcendance, la justice et le divin. En plaçant l'Homme au centre du pouvoir et en favorisant l’usure et la marchandisation de l'humain, cette révolution a inauguré un système où la dignité et la souveraineté de l’individu ont été sacrifiées sur l’autel du profit et de l’exploitation capitaliste. Derrière les idéaux de "liberté, égalité, fraternité", ces événements ont été surtout orchestrés pour favoriser un système de pouvoir centré entre les mains d'une élite, au service des intérêts d'un petit groupe de manipulateurs, désireux d’imposer un ordre mondial où la souveraineté populaire est écrasée par des stratégies occultes et des intérêts suprématistes.

Ainsi, que l’on vienne de gauche ou de droite, ce sont toujours les mêmes puissances économiques, souvent d’origine talmudo-sioniste, qui dictent les lois et les guerres, exploitant et massacrant les peuples pour maintenir leur hégémonie. Cette idéologie sous-jacente n’a été que le produit d’un système économiquement et moralement pourri, où l’Homme était réduit à une marchandise au service des profits des puissants. La droite, tout comme la gauche, devenues mondialistes n’ont fait que servir les intérêts d’une élite, qui même si ses méthodes peuvent être plus subtiles, son bilan est tout aussi funeste. Il n'y a pas d’"alternative" entre ces deux camps, il n'y a que deux faces d’une même pièce, une pièce gravée de sang et de souffrances.

Dans le système républicain, la prétendue "droite" n’est qu’un autre déguisement du même totalitarisme, une machine à accaparer et conserver le pouvoir pour jouir des privilèges qu’elle a acquis, non par le mérite, mais par le racket des citoyens, tel que le socialisme l'a enseigné et développé. Elle n’offre qu’une illusion de liberté, un faux choix dans un système verrouillé où la démocratie n’est plus qu’un spectacle d’apparences. Ceux qui croient encore que la droite est un rempart contre la tyrannie se trompent gravement car elle en est, tout comme la gauche, un acteur complice.

J'espère qu'après cette démonstration factuelle et sourcée, vous comprendrez enfin que le socialisme est l’idéologie de la servitude volontaire, celle qu’on accepte parce qu’on vous promet l’égalité. C’est la seule doctrine politique capable de justifier la misère, la terreur, l’emprisonnement de masse, la famine, la censure, la surveillance, au nom de la "justice sociale". Un mensonge absolu, déguisé en idéal. Et ce n’est pas un accident de l’Histoire. Ce n’est pas une déviation. C’est la logique du socialisme, mise en œuvre sans fard. L’individu n’est plus qu’un rouage, une cible, une variable sacrifiable pour nourrir la machine. Il faut l’égaliser, donc l’aligner. Le rééduquer, donc le briser. L’émanciper donc le priver de choix.

Cette idéologie, qui prétendait émanciper l’Homme, l’a réduit en objet docile, remplacé la pensée par la propagande, et substitué la solidarité par la délation. Elle a transformé des nations entières en prisons à ciel ouvert, brisant des vies, anéantissant des espoirs, exterminant des millions. S’il y a un mal qui dépasse toutes les autres doctrines dans l’Histoire humaine, c’est celui qui, sous le vernis progressiste, a su faire de la cruauté et de la servitude des systèmes universels. Et reconnaître cette réalité, c’est déjà commencer à rompre avec les illusions. C’est comprendre que la liberté, la dignité, et l’humanité ne peuvent s’accommoder d’aucun collectivisme totalitaire, aussi séduisant soit-il.  

De Moscou à La Havane, de Pyongyang à Caracas, d’Addis-Abeba à Hanoï, en passant par la France et l'UE, c’est toujours le même enfer avec un Parti omnipotent, une Vérité imposée et une Police de la pensée. Et ce long formatage idéologique qui dure depuis plus d'un siècle a créé des clônes décérébrés qui, aujourd'hui encore, avouent être fier d'être de gôôôche. Le socialisme, cette "utopie" prétendument humaniste, est la seule idéologie qui, en toute impunité, transforme chaque société qu’elle touche en un abattoir de liberté et d’humanité - et qui, en prime, ose s’en glorifier comme d’un "progrès".

Ceux qui aveuglément se revendiquent socialistes ou mondialistes, sans comprendre l’histoire de cette abomination, devraient, à défaut de lire des livres, ouvrir les yeux sur les ruines historiques qu’elle a laissées dans son sillage…

Phil BROQ.


Sources : 

33. Robert Kaplan, Surrender or Starve: Travels in Ethiopia, Sudan, Somalia and Eritrea, Vintage, 2003.
34. Inge Brinkman, A War for People: Civilians, Mobility and Legitimacy in South-East Angola during the MPLA Period, LIT Verlag, 2005.
35. Michel Cahen, Mozambique: La révolution implosée, Le Monde diplomatique, avril 1999.
36. Rémy Bazenguissa-Ganga, Les voies du politique au Congo: essai de sociologie historique, Karthala, 1997.
37. Djibril Tamsir Niane, Le camp Boiro : témoignages, Présence africaine, 2002.
38. Miles Larmer, The Political History of Zambia: From Colonial Rule to the Third Republic, Ohio University Press, 2011.
39. Jean-François Revel, La Tentation totalitaire, 1984
40. (13) Philippe Muray, L’Empire du Bien, 1991
41. (14) Alain Finkielkraut, La Défaite de la pensée, 1987
42. (15) Anne-Sophie Simpere, La Démocratie sous contrôle : surveillance, état d’urgence et 49.3, 2021
43. (16) Emmanuel Todd, Où en sommes-nous ?, 2017
44. (17) Michel Onfray, Théorie de la dictature, 2019
45. Freemasonry: A Journey Through Ritual and Symbol – W. Kirk MacNulty (2006)
46. The Talmud: A Reference Guide – Jacob Neusner (2000)
47. The Secret History of Freemasonry – Robert Lomas (2005)
48. The Origins of Freemasonry and the Talmudic Influence – Jonathan Israel (2015)





Commentaires

  1. Passionnant réquisitoire allant au plus cru, au plus nu de la réalité factuelle, historique, anthropologique, telle qu'elle ne cesse de convulser spasmodiquement en surface et en profondeur à l'instar d'un tumoral champ radioactif à jamais incirconscrit.
    Satanisme de l'idéologie qui aveugle, comme vous le soulignez si bien, des armées de "clônes décérébrés" diaboliquement mis en rang au pas d'un macabre et dionysiaque nihilisme se saisissant, en une éllipse tournoyante et ondoyante de fluidité morbidité, des corps et des esprits sans âmes.
    Merci pour ce vertige ...

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