SANCTIONS, MENSONGES ET CHAOS FORMENT LE VRAI VISAGE DU TERRORISME OCCIDENTAL

Alors que les puissances occidentales -européennes, australiennes et américaines- s’érigent en garantes du droit international, leur politique à l’égard de l’Iran révèle une hypocrisie structurelle et un alignement servile sur les intérêts israélo-américains. Sous couvert de lutte contre le terrorisme, elles ferment les yeux sur les crimes d’Israël, diabolisent l’Iran sans preuve tangible, et orchestrent un système de sanctions et de mensonges destiné à maintenir leur hégémonie sur une région en perpétuelle instabilité. Il est temps de démonter les rouages d’une propagande géopolitique bien huilée et introduit par mon dernier livre "Autopsie d’un Mensonge Occidental – Le Théâtre du Terrorisme Iranien", une lecture essentielle pour comprendre comment l’Occident fabrique le chaos tout en se drapant dans les oripeaux de la paix.

Les dirigeants européens et australiens, apparemment soumis à une influence américano-israélienne inébranlable, poursuivent une politique d'agression systématique et de mépris flagrant des principes de droit international lorsqu'il s'agit de l'Iran. Leur attitude n’est rien de moins qu’une hypocrisie flagrante, une démonstration de servilité vis-à-vis d'un État et d'une colonisation sanguinaire dont les actes de guerre et les crimes contre l'humanité sont pourtant largement documentés. Tandis qu'ils détournent le regard face à l'atrocité quotidienne commise par Israël contre le peuple palestinien, ces mêmes dirigeants européens et australiens, tels des marionnettes, se lancent dans des mesures économiques et diplomatiques abusives à l'encontre de l'Iran, un pays qui, paradoxalement, n'a fait preuve d'aucune hostilité envers eux, bien au contraire.

L’Europe, forte de son "E3" (les trois pays européens nucléarisés selon l'AFP), a fait le choix de renouveler les sanctions contre l’Iran sous des prétextes fallacieux, en invoquant des violations présumées de l’accord nucléaire signé en 2015, un accord que les États-Unis ont détruit unilatéralement en 2018, suivis de près par leurs complices européens. La résolution 2231, pourtant signée par tous les acteurs concernés, interdisait précisément un retour en arrière, mais la troïka européenne, ignorante des conséquences diplomatiques, préfère lancer un "snapback" illégal pour imposer à l'Iran des sanctions supplémentaires, mettant en péril la stabilité et la crédibilité même du Conseil de sécurité des Nations unies. Il est consternant de constater que ces mêmes pays, qui n'ont cessé de violer leurs engagements, n'hésitent pas à accuser l’Iran de failles qu’eux-mêmes ont sciemment créées. Ils accusent, mais ne jugent jamais leurs propres échecs.

Et pendant ce temps, aucune sanction n’est envisagée pour Israël, qui a tué des milliers d'enfants et d'innocents Palestiniens, détruit Gaza et laissé des centaines de milliers de survivants dans une situation de misère absolue et de famine. Alors que les souffrances des Palestiniens sont ignorées ou minimisées, les autorités démoniaques israéliennes continuent pourtant de recevoir le soutien inébranlable de l'Europe et de l'Australie. Où est la logique ? Où est la justice ? Où est le droit international ? Où est l'humanité ?

Mais ce n'est pas le seul paradoxe. L’Australie, dans une démarche particulièrement irresponsable, expulse l’ambassadeur iranien sous des accusations d'antisémitisme sans fondement et sans preuves concrètes, se laissant manipuler par des services de renseignement qui ont une réputation douteuse et un agenda parfaitement clair visant à discréditer l'Iran à tout prix. L’Australie, dans sa soumission à Israël, se trouve entraînée dans une spirale de mensonges et de décisions diplomatiques irréfléchies qui ne reposent sur aucune base solide. La réalité est simple puisque rien, absolument rien, ne prouve que l’Iran ait joué un rôle quelconque dans les incendies criminels en Australie. Mais les leaders australiens préfèrent écouter l’ASIO, dont la crédibilité n’est plus à établir, que de se confronter à la réalité géopolitique de leur propre région.

Il est évident que ces actions ne sont pas le fruit de préoccupations légitimes concernant la sécurité internationale, mais bien d'un agenda politique clair, façonné par des intérêts uniquement américano-israéliens. Les accusations contre l'Iran n'ont pour but que de maintenir une pression constante sur un pays qui, depuis des années, est pris pour cible dans une guerre de propagande, sans jamais avoir agi de manière agressive envers l'Occident. L'Iran a toujours défendu ses intérêts avec un certain pragmatisme, tout en cherchant à éviter l'escalade, bien qu'il ait été régulièrement provoqué par des incursions israéliennes dans son espace aérien et des cyberattaques contre ses infrastructures stratégiques.

L'argument avancé par ces dirigeants selon lequel l’Iran représenterait une menace nucléaire imminente reste une farce grotesque. Pourquoi, si l’Iran souhaitait réellement fabriquer des armes nucléaires, risquerait-il de tout mettre en péril en permettant une surveillance internationale sur ses installations ? Les inspections de l'AIEA, quand elles sont autorisées, ne révèlent rien de compromettant. Pourtant, l’Occident persiste à répéter inlassablement ses accusations sans fondement, reléguant au second plan l'évidence des violations israéliennes et américaines de toutes les normes internationales.

En réalité, la question n’a jamais été la prolifération nucléaire, mais plutôt la volonté d’Israël, soutenu par ses alliés occidentaux, de maintenir un rapport de force militaire exclusif au Moyen-Orient, comme dorénavant en Ukraine. Et pour cela, l’Iran, avec sa résistance et son indépendance, est devenu une cible privilégiée. Ce n’est pas une guerre pour la paix, mais pour l’hégémonie régionale, voire mondiale. Ce que les puissances occidentales, sous influence israélienne, ne comprennent pas, c’est qu’ils poussent l'Iran dans une position où, par défaut, il sera contraint de se défendre avec tous les moyens à sa disposition. Comme cela s'est passé avec la Russie et la défaite de l'OTAN.

Alors que l’Occident accuse sans relâche l’Iran de tous les maux, c’est pourtant ce dernier qui, une fois de plus, se retrouve contraint de se défendre contre les opérations clandestines israéliennes menées sur son propre sol. Le 30 août, le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) a annoncé l’arrestation de huit agents du Mossad dans la province du Khorasan, formés à distance via le cyberespace par les services israéliens. Ces individus ont reconnu avoir transmis, durant la guerre de 12 jours, des coordonnées stratégiques de sites sensibles ainsi que des informations concernant des personnalités militaires iraniennes. Leur mission était claire : planifier des attentats contre des responsables civils et militaires, et frapper des centres névralgiques dans la ville de Machhad. Le matériel saisi (obus, explosifs, engins improvisés) ne laisse aucun doute sur leurs intentions. Et ce n’est pas un acte isolé puisque quelques semaines auparavant, le 9 août, le ministère iranien du Renseignement arrêtait déjà vingt autres espions du Mossad opérant à Téhéran et dans plusieurs provinces. L’Iran, loin des fantasmes véhiculés par la propagande occidentale, est la cible directe d’une guerre secrète menée par une puissance étrangère. Mais là encore, ni l’Europe, ni l’Australie, ni les États-Unis ne lèvent le petit doigt pour dénoncer ces actes d’agression caractérisés, préférant diaboliser la victime et sanctifier le bourreau.

Il est désormais clair que ces mêmes dirigeants européens et australiens, en poursuivant leur politique de sanctions et de déstabilisation, agissent de manière irresponsable et risquent de provoquer une fois encore un conflit à grande échelle. Ces actions ne font que renforcer le cycle de méfiance et de violence dans une région déjà fragile. L’Iran, pour sa part, n'a cessé de montrer de la retenue et d’appeler à la diplomatie. Mais la communauté internationale, aveugle et complice, continue de favoriser un système de rapport de forces où la vérité et la justice sont les grandes oubliées.

L'attitude des dirigeants européens et australiens vis-à-vis de l'Iran est exactement la même que celle adoptée vis-à-vis de la Russie avec un refus obstiné de la réalité, un soutien aveugle à des puissances impérialistes et une inaction totale face aux véritables menaces. Il est grand temps que la communauté internationale prenne conscience de cette manipulation éhontée et cesse de servir les intérêts d'un petit nombre d'acteurs au détriment de la paix et de la stabilité mondiales. Les peuples de ces nations devraient exiger de leurs dirigeants qu’ils cessent de s'agenouiller devant des intérêts étrangers et qu'ils reprennent leur indépendance en matière de politique extérieure, avant que les conséquences ne soient irréversibles.

Dans ce climat d’hystérie anti-iranienne savamment entretenu par les chancelleries occidentales, mon dernier ouvrage, Autopsie d’un Mensonge Occidental – Le Théâtre du Terrorisme Iranien, s’impose comme un antidote radical à la propagande. Ce livre n’est pas une simple critique mais une dissection méthodique, une mise à nu d’un mensonge d’État étendu sur plusieurs décennies, où les États-Unis, l’Union européenne, Israël et leurs supplétifs australiens jouent à la perfection le rôle de pyromanes grimés en pompiers. Depuis quarante ans, on nous ressert les mêmes accusations sans preuve, les mêmes menaces imaginaires, les mêmes scénarios dignes d’un théâtre de marionnettes géopolitique et ce livre démonte, pièce par pièce, cette fiction toxique. 

Derrière l’accusation permanente de "terrorisme iranien" se cache en réalité un terrorisme occidental d’État, sophistiqué, systémique, et d’autant plus dangereux qu’il s’enveloppe dans les oripeaux de la morale et des droits de l’homme. Ce livre révèle comment l’Occident fabrique du chaos, entretient la guerre perpétuelle, instrumentalise la peur et détruit la paix pour maintenir un système mafieux fondé sur la dette, le pillage et l’hégémonie. À travers une enquête rigoureuse, documentée et implacable, nourrie des travaux de grands journalistes et d’analystes indépendants, Autopsie d’un Mensonge Occidental inverse le projecteur et ne désigne pas l’Iran comme le problème, mais comme le révélateur d’un ordre international corrompu jusqu’à l’os. Il ne s’agit pas ici de défendre un régime, mais de dénoncer une mécanique de domination qui se reproduit à chaque guerre, à chaque crise, à chaque mensonge d’État. 

Il ne suffit plus de dénoncer, il faut comprendre. Comprendre que ce que l’on appelle "communauté internationale" n’est bien souvent qu’un cartel d’intérêts occidentaux, opérant sous couvert de moralité sélective et de diplomatie falsifiée. L’Iran, dans cette architecture du mensonge, n’est pas l’ennemi, il est l’alibi, le prétexte utile à la perpétuation d’un système fondé sur la guerre, la dette et le contrôle des peuples par la peur. Pendant que des espions sont arrêtés sur le sol iranien, pendant que des sabotages se multiplient, pendant que des sanctions illégales étranglent un peuple, l’Occident continue d’afficher une indignation à géométrie variable, incapable de regarder ses propres crimes en face.

Ainsi, mon dernier ouvrage ne cherche pas à convaincre par l’émotion ou l’idéologie, mais par les faits, les sources, l’analyse. Il s’adresse à celles et ceux qui en ont assez d’être pris pour des spectateurs dociles d’un théâtre cynique, où les victimes sont désignées comme coupables, et où les bourreaux sont décorés en héros. Il est temps de briser le silence, de renverser le récit, et de redonner aux mots leur juste poids. Car dans un monde où l’information est une arme, penser par soi-même est déjà un acte de résistance.

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé



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