PREPARER LA SUITE, PAS LA CHUTE... Partie 1
Cela fait plus d'un quart de siècle que je regarde notre pays glisser, lentement mais sûrement, dans un cauchemar éveillé, engloutie dans une dystopie molle et anesthésiante que beaucoup confondent désormais avec la normalité. La France est méthodiquement démolie de l’intérieur, désarmée psychologiquement, soumise à un contrôle de plus en plus total, pendant qu'une caste de parasites professionnels s’enrichit sur notre dos avec la voracité des charognards. En réalité, ce pays, jadis phare des libertés et du bon goût auprès des nations du monde entier, est désormais le théâtre d’une opération de saccage intérieur, d’un sabotage planifié, car la France ne décline pas selon un cycle naturel mais est démolie délibérément, cyniquement et systématiquement.
Amis lecteurs de mon blog, (je ne parle pas ici de ceux qui me lisent sur les différents sites qui me publient gracieusement et pour lesquels je n'ai aucune maitrise ni capacité de réponse aux commentaires, car je suis publié sur une centaine de sites à travers le monde en plus de 14 langues actuellement…) vous savez que je n’écris pas pour me plaindre mais pour analyser, réveiller, proposer et mettre le doigt là où ça fait mal, dès lors que l'on a une conscience. Et je vous serais donc reconnaissant de bien vouloir faire l'effort de le commenter, d'apportez vos solutions, de vous investir un minimum dans la recherche de solutions communes pour enrichir ma pensée mais aussi étoffer ma recherche de solutions.
D'abord intellectuellement et voyons ensuite et ensemble, si une reprise en main de notre pays est possible. Car je suis persuadé qu'il est encore temps de rétablir la liberté, la souveraineté, la justice et le bon sens à condition de s'en donner réellement les moyens. Vous trouverez donc, en premier lieu, après le diagnostic de notre maladie collective, une série de dix propositions, immédiates, concrètes et radicales si nécessaire, mais surtout justifiées et justifiables, de mon point de vue.
Bien entendu, ce texte n’est pas fait pour rassurer les "Normies", mais encore une fois, pour réveiller les âmes de bonne volonté et les cœurs vaillants. Et si vous pensez que tout ne va pas si mal, alors passez vite votre chemin car vous ne trouverez rien ici qui vous plaira. Mais si, comme moi, vous sentez que quelque chose cloche profondément alors lisez ceci jusqu’au bout. Vous en avez le temps puisqu'il est sur internet et que vous pouvez y revenir autant de fois que vous le désirez et gratuitement. Vous pouvez le partager auprès de vos proches ou vous en servir comme base de réflexion.
En septembre 2025, la France se prépare à une rentrée où les tensions accumulées risquent de déborder, malgré les assurances présidentielles. Tous les signaux sont là puisque la société française est traversée de fractures profondes, et l'illusion d'une stabilité promise par l'exécutif semble se dissiper comme une brume. Comparer cette rentrée à celle de 2018, où les Gilets Jaunes ont secoué les fondements du pouvoir, n'est pas une simple analogie mais un rappel brutal des erreurs passées. L’échec de la gestion du pays, les répressions brutales, la tentative de nous entrainer dans la guerre et les promesses non tenues, ont laissé des cicatrices béantes.
Cette rentrée s'annonce donc comme une grande arène où l'affrontement ne se cantonnera surement pas qu'aux seuls mouvements sociaux. L’exécutif, tout en affichant son éternel discours culpabilisateur et arrogant, semble perdu dans une communication de plus en plus brouillée, sous le poids de sa propre stratégie de réduction des libertés publiques et d’encadrement des médias. Le législatif, aux abonnés absents depuis des années, dans son suivisme aux directives européennes atlantistes et contraires à l'intérêt de notre pays, risque fort de se retrouver éjecté avec pertes et fracas. Tout l'appareil d'état ne tient plus que grâce aux forces de police dont la directrice de l'IGPN vient de démissionner en dénonçant son incapacité à endiguer la fraude fiscale mise en place par les hautes institutions.
Ainsi, la rentrée pourrait donner lieu à un bras de fer social, mais il est tout aussi plausible qu'elle engendre des flambées de violence par un peuple trop longtemps écrasé. Les leviers d'apaisement existent, mais ils semblent de plus en plus inaccessibles, comme une promesse en fin de course. La guerre, pas celle contre la Russie qui n'est qu'une fumisterie tant nous sommes désarmés et ruinés, mais celle sociale, voire civile, elle, est prête à éclater. Et si une bouteille de verre, un produit inflammable et un bout de tissu peut paraître inégale contre un véhicule blindé et une répression armée, elle l’est beaucoup moins quand le cocktail Molotov trouve sa cible… Alors évitons d'en arriver là ! Du moins dans un premier temps.
La population française, pour parler de ce que je connais, exaspérée par l'éternelle spirale des crises et leurs répercussions dévastatrices, est aujourd'hui poussée à bout. Humiliés, insultés, rackettés, les habitants, accablés de tous les maux, observent dans l'angoisse croissante la dégradation rapide de leurs conditions de vie, comme un piège dont on peine à se libérer faute de solutions pacifiques. La baisse incessante du pouvoir d'achat les fait suffoquer, contraints de se serrer la ceinture, alors même que l'économie se fissure sous leurs pieds et que leurs dirigeants vivent tels des petits marquis arrogants et capricieux. Mais ce n'est pas tout. Désormais et par la faute exclusive de ces parasites mondialistes dont Macron est le fer de lance, le spectre d'une escalade militaire imminente pèse sur nos épaules. Une menace omniprésente qui rend chaque instant encore plus insupportable.
Or, ces angoisses ne sont pas seulement alimentées par le présent, mais aussi par l'incertitude morbide d'un futur où rien ne semble vouloir arrêter la machine de guerre européiste, qui broie tout sur son passage, des vies aux rêves en écrasant tous les espoirs de futur radieux. Car la guerre, ce spectacle macabre orchestré par ceux qui se vautrent dans leurs privilèges, n'est qu'un exutoire sanglant à leur soif insatiable de pouvoir. Ces dirigeants tyranniques, tels des marionnettistes impitoyables, précipitent des peuples entiers dans l'abîme de la violence, sacrifiant des vies humaines comme on jette des pions sur un échiquier géopolitique. Leurs mains restent propres, leurs doigts n'effleurent jamais le sang versé, pas plus que celui de leurs enfants, tandis que les foules, aveuglées par la propagande, se laissent entraîner dans une danse de mort. Ils envoient des hommes et des femmes se déchirer dans les tranchées, tandis que ces parasites festoient dans des salons feutrés, bercés par des promesses de gloire et d’argent.
La machine de guerre, impitoyable et infiniment mécanique, écrase et broie des existences, sans souci d’éthique ou de raison. Ce n’est pas la quête d’un idéal ou d'une cause noble qui les anime, mais la volonté froide et calculée de maintenir leur emprise sur un monde qu'ils étouffent dans une logique de profits et d’impunité. Ils alimentent la guerre, non pour défendre la paix, mais pour éviter que les masses, un jour, ne se retournent contre eux. La peur et l'horreur deviennent ainsi un levier pour maintenir un ordre mondial où ceux qui gouvernent restent intouchables.
Qui aurait imaginé qu’en l’espace d’à peine une génération, notre société, autrefois pleine de vitalité et d’espoir, se retrouverait réduite à l’état de proie, vulnérable et presque impuissante, sous le joug de dirigeants de plus en plus déconnectés et illégitimes ? Ces mêmes dirigeants, en véritables fossoyeurs de l’avenir, jouent impunément avec le destin de leurs peuples. Leur cynisme n’a d’égal que leur cruauté. Un cynisme qui transforme chaque décision en un jeu de domino où les premières victimes sont toujours les plus fragiles. La jeunesse, qui autrefois débordait d’espoir, se voit aujourd'hui paralysée par un système qui laisse peu de place à la révolte, étouffant toute tentative de se réapproprier son avenir. La violence n'est plus physique ; elle est silencieuse, invisible, mais d’autant plus dévastatrice. Le peuple, écrasé sous le poids de décisions prises à huis clos et loin de ses préoccupations, se débat sans comprendre que ce ne sont ni les vents du changement ni les échos de l’histoire qui l’assaillent, mais bien une classe dirigeante obsédée par le pouvoir et l'argent.
On nous parle sans cesse de démocratie, mais nous vivons dans une mise en scène politique permanente, où l'Union Européenne n'est qu'une dictature technocratique malsaine et illégitime, à l'instar des institutions mondialisées telles que L'OTAN, l'ONU, l'OMS, le WEF, le FMI, les banques centrales, etc. (je l'ai déjà largement évoqué dans mes précédents articles). On nous parle de liberté, alors que nous sommes enfermés dans un carcan psychologique et numérique. Et pendant que l’on nous distrait avec des polémiques stériles ou des indignations calibrées, les vrais responsables de ce suicide civilisationnel avancent en toute impunité et s'enrichissent dans l’ombre, dilapident nos économies comme notre histoire, tuent la morale comme nos enfants, empoisonnent la nature comme notre santé, nous rackettent et nous punissent, sans jamais rendre de comptes à quiconque. Et il est temps que cela cesse !
Chaque rouage de la société moderne a désormais été recalibré, grâce notamment aux smartphones, pour produire un citoyen nouveau, docile, dépendant, distrait, et surtout, incapable de désobéir autrement que symboliquement. C'est à dire virtuellement. L’individu français de 2025 est le fruit d’un conditionnement collectif orchestré depuis les sommets du pouvoir et diffusé à travers une chaîne de transmission parfaitement huilée des médias subventionnés, des réseaux sociaux filtrés, du système scolaire anesthésiant, et d'institutions policières et judiciaires asservies. On ne pense plus par soi-même, on répète le "narratif" imposé. On ne conteste plus physiquement, on réagit numériquement. La spontanéité populaire a été remplacée par une indignation encadrée, autorisée, calibrée… Le peuple, hypnotisé par les divertissements abrutissants, assiste à cette farce dans une indifférence désarmante. Et face à une population qui a perdu jusqu’à sa capacité à résister, les gouvernants, cyniques et froids, ont même poussé l’absurde jusqu’à inventer des formes de résistance factices.
Il est donc temps d'ouvrir vraiment les yeux sur ce processus méticuleux de désarmement psychologique qui a été mis en œuvre contre le peuple français en particulier et ceux du monde entier en général, par une bande crapules agissant en bande organisée depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Or, ce n’est pas à proprement parler un complot, puisque ce plan est annoncé depuis des années par le WEF, mais bien une stratégie d'incarcération technocratique. Ce n'est pas non plus une guerre véritablement frontale, même si elle est impitoyable, mais une guerre d'usure, rampante, rongeante et silencieuse à l'encontre de l'humanité elle-même. Elle ne tue pas dans les rues, elle tue dans les esprits. Elle ne détruit pas les bâtiments, elle s’attaque aux fondations invisibles de ce qui fait une nation, c'est-à-dire ses institutions, sa conscience, sa mémoire et sa volonté. Elle mène à l'impunité des gouvernants scélérats, des traitres et des gangsters en cols blancs qui, comme pour les barbares israélites à Gaza et leurs exactions dans tout le Moyen-Orient, bafouent toutes les lois internationales, comme la morale la plus basique, qu'ils nous imposent par la violence et la force.
Les révoltes « de couleurs », qu’elles soient fabriquées de toutes pièces ou habilement orchestrées par des milliardaires comme Soros ou Gates, ne sont qu’un écran de fumée pour masquer l'effondrement social qui gangrène des nations comme la France. Ces soulèvements n’ont qu’une vocation : détourner l’attention du peuple, tandis que l’oligarchie continue d’exercer son pouvoir en toute discrétion. Les médias, complices involontaires ou volontaires, alimentent l’indignation sélective avec des histoires soigneusement mises en scène, pendant que l’opinion publique, comme un troupeau docile, s’égare dans des polémiques aussi futiles qu’indigestes. Les véritables maîtres du jeu, eux, agissent dans l’ombre, déplaçant les pions sur l’échiquier mondial tout en nous réduisant à des spectateurs impuissants, aveuglés par des distractions vaines. Prenez l’exemple flagrant des tragédies qui se jouent sous nos yeux où pendant que l’on nous abreuve d’images d’un pauvre inconscient cherchant à se vendre en streaming live, les horreurs qu'Israël inflige aux enfants palestiniens, ou le meurtre collectifs des Ukrainiens et les agressions incessantes contre la Russie par l'OTAN, passent dans un silence assourdissant. Ce sont les mêmes élites, qui, par des manipulations sordides, détournent nos ressources, notre attention, et nos consciences, pour maintenir leur emprise sur un monde qu’ils transforment en un cimetière d’innocents, tout en agitant la torche de l’illusion.
Depuis ce 11 septembre 2001, véritable électrochoc planétaire, chaque événement majeur qui a défiguré notre réalité n’a été qu’un acte soigneusement scripté, financé et médiatisé pour remodeler les esprits, les rendre malléables à l’infini. Ce traumatisme mondial, mis en scène par la CIA et le Mossad (comme l’ont révélé des membres du Congrès américain), a servi de tremplin idéal pour instaurer une guerre sans fin, justifier une surveillance de masse omniprésente, et faire accepter les reculs démocratiques comme des inévitabilités. L’état d’exception est devenu la norme, et la population, à force de chocs répétés, est passée du statut d’acteur à celui de spectateur, puis de simple suspect potentiel. Ce glissement inexorable vers la servitude s’est fait sans bruit, comme une lente érosion des libertés, jusqu’à ce que l’inacceptable devienne tolérable, puis légalisé, et enfin légitimé. Le peuple, anesthésié par des promesses vides et un confort factice, a été façonné, progressivement, pour accepter sa propre soumission. Comme une grenouille que l’on plonge dans une eau tiède, puis que l’on chauffe à petit feu, il s’adapte à l’agonie silencieuse des libertés étouffées, le tout sous l’œil indifférent des banquiers apatrides et des marchands d’armes qui, eux, continuent de récolter les fruits amers de la guerre.
Aujourd'hui, la majorité des individus évolue dans une bulle cognitive soigneusement façonnée, une prison mentale tissée par les récits dominants qui s’imposent comme vérités absolues. L'« opinion publique », ce mirage d’une voix collective, n’est plus qu’un produit calibré : fabriqué, sondé, analysé, puis réinjecté dans le débat politique pour valider l'ordre établi. Les citoyens croient encore exercer leur liberté de choix, mais leurs décisions ne sont que le reflet d’un conditionnement en profondeur, invisible et insidieux. Le cercle vicieux est bien établi : le pouvoir manipule d’abord les perceptions, puis se sert de ces perceptions pour justifier ses décisions, renforçant ainsi sa domination sans fin. À cette illusion de liberté s’ajoute une dématérialisation de la contestation : désormais, les autorités scrutent chaque hausse de mécontentement avec une précision chirurgicale, analysant des milliards de données récoltées via smartphones, géolocalisation, réseaux sociaux, et les traces numériques laissées par chaque internaute. Et tout cela se fait loin des yeux du public, avec la complicité des médias dominants qui, sous couvert de neutralité, distillent une propagande mondialiste et aliénante, nourrissant une machine déshumanisée qui se sert de sondages manipulés pour justifier les pires dérives. Ces sondages, produits à la demande des plus puissants, sont des instruments de contrôle déguisés en instruments de démocratie.
Le pouvoir, dans sa toute-puissance technocratique, scrute, déchiffre et cartographie chaque mouvement, chaque frémissement d’indignation. Chaque manifestation, chaque cri de colère, n’est plus qu’une donnée brute, transformée en algorithmes prédictifs, aussi fiables et falsifiés que ceux du GIEC, mais identiques dans leur capacité à ignorer l’humain. Ce n’est plus la colère en elle-même qui inquiète l’État, mais son caractère insaisissable, incontrôlable. Voilà pourquoi il réduit les mouvements sociaux à des chiffres froids, des statistiques biaisées dans des tableaux Excel et des modèles mathématiques dévoyés afin d'expurger toute menace réelle en la transformant en une simple variable à manipuler.
Même les émeutes, jadis révoltes populaires spontanées, sont désormais une donnée calculable, un facteur à intégrer dans des stratégies gouvernementales. Le peuple peut protester tant qu'il respecte les limites des cases définies par le système, mais dès qu'il en sort, la matraque tombe. Et lorsqu'un mécontentement trop intense commence à friser l’insurrection, le pouvoir déploie une arme plus sournoise encore avec la "dissidence factice", ou l’opposition contrôlée. Ces mouvements de protestation inoffensifs, chorégraphiés et aseptisés, servent de soupape de sécurité, des fantoches comme les BLM, les Wokistes ou les soi-disant réparateurs du colonialisme, qui n’ont pour but que d’abdiquer toute véritable contestation grâce à la victimisation. La dernière invention en date étant la "rébellion de canapé" du 10 septembre, un ersatz de révolte virtuelle, où l’on croit militer en "likant" une vidéo ou en partageant un hashtag. Une pseudo-insurrection née sur des plateformes privées, contrôlées par des multinationales, qui n’est rien d’autre qu’une psy-op de plus, une manipulation mentale de masse. Le citoyen se voit offrir l’illusion de sa puissance, tant qu’il reste dans son fauteuil, ses yeux rivés sur un écran, enfermé dans sa bulle numérique. Ce n'est pas la "grève de la carte bleue" qu'il faut faire, mais le boycott de tous les supermarchés, le paiement en cash auprès de producteurs locaux avec la suppression immédiate de la TVA, ne plus rien consommer pendant au moins un trimestre de produits venant de l'industrie agro-alimentaire ou textile. Et surtout éteindre les smartphones comme les télévisions.
L'exemple le plus saisissant de révolte contrôlée, pourtant authentique et sauvage, demeure le mouvement des Gilets Jaunes. Ce fut la dernière tentative d’une France encore capable de se reconnaître dans un sursaut de conscience collective, une France qui n'avait pas encore sombré dans l’indifférence ou la résignation. Spontané, transversal, apolitique, il incarna la colère légitime d’un peuple face à une élite déconnectée, arrogante, autoproclamée. Mais ce cri de révolte, aussi brut et sincère fût-il, a été réprimé avec une violence systématique et calculée. L’État, avec ses LBD, ses gaz lacrymogènes, ses gardes à vue arbitraires et ses condamnations expéditives, a envoyé un message on ne peut plus clair où toute révolte non contrôlée, toute rébellion qui échappe aux canaux de manipulation, sera écrasée sans aucune pitié par une milice avide de primes. La brutalité policière n'était en aucun cas un dérapage, mais bien une stratégie délibérée, une démonstration de force financée pour décourager toute forme de résistance future. Aujourd’hui, les Gilets Jaunes ne sont plus qu'un souvenir douloureux, une balafre dans la mémoire collective d’un peuple qui a appris, dans sa chair, que se lever contre la mafia mondialiste coûte trop cher.
Puis vint la fausse pandémie, une opportunité en or pour tester jusqu'où pouvait aller l'obéissance aveugle des masses. En quelques mois, la France, tout comme une grande partie du monde soi-disant « libre », a été placée sous cloche, enfermée dans une peur orchestrée. Dont le seul exutoire fut d'applaudir sur les balcons ceux qui injectaient, contre rétribution financière, un poison dans le bras de millions de moutons. Sous couvert de santé publique, la peur est devenue la politique d’État puis politique mondiale avec l'oms, et les libertés fondamentales, suspendues comme par magie, ont été abrogées au nom d’une menace invisible. Les dissidents, ceux qui osaient remettre en question la narration officielle, ont été diabolisés, jugés, enfermés, ruinés, réduits à l’image de parias sociaux. La fracture entre vaccinés et non-vaccinés ne fut pas seulement sanitaire, mais une manière insidieuse de redéfinir la citoyenneté, une citoyenneté désormais conditionnée à l’obéissance aveugle. Cette période n’a pas seulement révélé la fragilité de notre société face à la peur, elle a marqué une rupture définitive où le pouvoir a compris qu’un peuple terrifié est un peuple qu’il peut manipuler et gouverner sans le moindre effort.
Une fois cette leçon apprise, il suffisait de changer l’objet de la peur pour maintenir le contrôle. Et ainsi, après la pandémie, ce furent les pénuries artificielles, les insectes à la place de la viande, les changements climatiques orchestrées par chemtrails, puis ce fut la tentative du retour de la menace d'une nouvelle pandémie de singes, (qui sont finalement remontés dans l'arbre sans bruit) et bien sûr, l’incontournable manipulation Ukrainienne, pour revenir ensuite à la guerre en Syrie manipulée par le Mossad et des agents terroristes devenant des "modérés" tel qu'El joulani, reçu en grandes pompes à l'Élysée, suivi rapidement durant l'été 2024 par l'arrivée des extra-terrestres… Et puis, à la rentrée, pour faire oublier le 49.3 et Barnier, ce fut le feuilleton sur "la bite à Brigitte" ou "le passé de Jean-Brigel", immédiatement balayé par le massacre à Gaza, lui-même effacé par l'agression contre l’Iran, puis est arrivée la peur contre la troisième guerre mondiale nucléaire… Tout, absolument tout, n'est qu'une manipulation mentale, une toile tissée avec soin pour étouffer la pensée libre et canaliser la soumission collective dans des dérives interminables.
Le système a muté, mais pas dans le sens que l'on pourrait espérer. Ce n'est plus un gouvernement, c'est une machine de gestion, un mécanisme froid et déshumanisé. Il ne gouverne plus, il gère des flux de données. Il ne prête plus oreille aux citoyens, il les surveille dans les moindres recoins de leur vie. Il n’inspire plus de vision, il impose la contrainte comme seule vérité. Ce n’est plus un État au service des citoyens, mais une interface de contrôle global, un bras armé de l'oligarchie mondiale. Ses relais sont multiples et parfaitement huilés avec McKinsey pour orchestrer les stratégies, le WEF pour baliser les directives, Bruxelles pour pondre les textes juridiques, les banques pour effacer la monnaie et les GAFAM pour régir la pensée, l'OMS pour nous soumettre et nous empoisonner...
La France, cette nation autrefois fière et souveraine, n’est plus qu’un territoire de transition, un terrain d’expérimentation dans un projet post-national, post-démocratique, post-humain et même post-futur. Si la technologie a progressé à une vitesse vertigineuse, l’humanité, elle, a régressé dans une déshumanisation grotesque. Même les esclaves de l’Empire romain étaient nourris, logés et blanchis, alors qu’aujourd'hui, nous devons tout payer de notre poche et, par-dessus tout, courber l’échine.
Les Français, dans leur grande majorité, vivent dans une illusion de normalité, englués dans des préoccupations futiles, tandis que les fondements mêmes de leur existence collective se dissolvent dans l’indifférence. La désindustrialisation avance à grands pas, l’agriculture est maintenue sous perfusion, la justice se couche face aux puissants, les médias sont à vendre et l’éducation se noie dans la médiocrité. Les élites, elles, ont depuis longtemps abandonné le terrain national pour se concentrer sur leur soif de profits et leurs privilèges. Elles ne pensent plus en citoyens, mais en actionnaires. Leur patrie est celle des dividendes et leur motivation est celle des tyrans.
Depuis le milieu de l'été 2025, l'État, fidèle à son rôle de voyou, a su habilement tirer parti de la répression qu'il impose pour orchestrer des distractions politiques qui n'ont pour but que d'occuper l'espace médiatique et de détourner l'attention des vrais enjeux. Le 8 septembre, alors que les députés sont en vacances jusqu’au 21 septembre, un vote de confiance pour Bayrou a été précipitamment organisé, une manœuvre grotesque qui n'a eu qu'une seule utilité : faire parler d’autre chose que de la défaite humiliante de l’Ukraine, dont les conséquences économiques et géopolitiques sont toujours plus lourdes à supporter. Puis, le 10 septembre, un contre-événement soigneusement monté avec Macron, destiné à capter les regards et détourner les esprits d'une éventuelle révolte massive, mais surtout d’un autre fiasco national avec l’effondrement total de nos industries et le pillage systématique de nos économies par des élites plus préoccupées par leurs profits que par le bien-être des citoyens. Un coup d'éclat vide de sens, mais parfaitement calibré pour alimenter une illusion de gouvernance, maintenir la fiction d'un pays dynamique et uni, tout en continuant à occulter les véritables catastrophes économiques et sociales qui frappent le peuple. Ces manipulations sont devenues des recettes bien rodées, dans lesquelles l'actualité se tord et se distord pour ne jamais permettre aux citoyens de se réveiller et d'affronter la réalité de leur asservissement.
La manipulation a évolué, certes, mais l’objectif demeure pour maintenir le peuple dans l’illusion avec une révolte contrôlée, tout en le forçant à accepter sa soumission silencieuse. Parce qu'au fond, malgré tout ce tableau de dévastation, le peuple ne se révolte toujours pas. car le pouvoir ne craint pas l’opposition, il craint la jonction. Celle entre les classes moyennes et les classes populaires. Celle entre les générations. Celle entre les déçus de gauche et les trahis de droite. C’est pourquoi il œuvre chaque jour à entretenir ces fractures artificielles, identitaires, raciales, sexuelles, religieuses, sanitaires, etc. Il proteste, parfois avec véhémence. Il ironise, souvent avec amertume. Il s’indigne à intervalles réguliers, comme une montre bien réglée. Mais il ne rompt jamais. Pourquoi ? Parce que tout a été conçu pour que, dans son impuissance grandissante, il n’en ait plus la capacité. Il ne sait plus vers qui se tourner, il ne croit plus en ses représentants, ni en ses syndicats, ni en ses intellectuels. Il ne croit même plus en lui-même.
Ce peuple, fragmenté, est seul, déprimé, isolé. Et cette solitude n’est pas un simple accident, mais le fruit d’une politique délibérée, une stratégie qui divise, isole, dissipe les forces collectives, détruit les liens horizontaux pour transformer chaque individu en atome, une petite cellule sans force, sans espoir, sans pouvoir de résistance. Car la désunion est la clé de leur contrôle. Et pendant que le pays se délite, on débat en boucle sur des détails. Et pendant qu’on se bat encore pour des symboles insignifiants, les vraies décisions se prennent ailleurs. Discrètement, techniquement, définitivement.
Certes, il ne suffit plus de dénoncer. Le temps des constats est révolu, comme une lente agonie d’un patient qu’on a trop longtemps laissé à l’abandon. Ce qui se joue désormais, ce n’est pas un simple débat entre oppositions politiques, une danse stérile de discours déconnectés. Non, c’est une alternative vitale : la reconquête ou la disparition. L’urgence n’a jamais été aussi criante. Alors, que faire ? Pas dans dix ans, comme un mirage lointain où l’on espérerait que tout se résolve par magie. Pas dans dix mois, lorsque la poussière des promesses électorales retombées se sera dissipée, et qu'on s'apercevra qu’on a encore perdu du temps. Pas dans cet hypothétique "après-Macron" en 2027, comme si les miracles s’opéraient après une simple éviction. Pas lorsque « les gens seront prêts », comme si une transformation viendrait de nulle part, à la faveur d’une lune bleue. Mais maintenant ! De suite ! Avec ce que nous avons encore, avec ce qui nous reste, dans l’urgence d’un pays qui s’effondre en silence, ses institutions pourrissant de l’intérieur, ses fondations craquées, mais la machine à répression, elle, toujours prête à écraser les derniers sursauts de résistance. Le temps des illusions est terminé, il est temps de choisir. Chaque minute, chaque heure qui passe rapproche un peu plus la France de sa disparition dans les abysses du conformisme et de la soumission. Alors, qu'attendons-nous ?
Les solutions existent pourtant, claires et évidentes, mais elles nécessitent bien plus que de simples vagues d’indignation. Elles exigent un changement radical de paradigme, un passage de la simple réaction à la reconquête. Il ne s’agit plus de dénoncer les injustices, mais de prendre les rênes du pouvoir qui nous ont été volées. Il faut sortir de ce cercle vicieux de la protestation stérile et se lancer dans une stratégie cohérente et offensive permettant de réinvestir les mairies, reprendre les syndicats, s’emparer des conseils municipaux, des tribunaux, des écoles, de chaque institution clé pour remettre les leviers du pouvoir entre les mains du peuple.
Il s’agit de refonder une presse libre, une économie véritablement souveraine, une justice populaire et, surtout, indépendante. Mais au-delà de cela, il faut exiger des comptes, rendre ceux qui ont trahi responsables de leurs actes. Le pillage de la France ne peut plus rester impuni. Ceux qui ont démantelé nos services publics, vendu nos fleurons industriels, trahi leurs mandats et leur peuple doivent répondre de leurs actions. Pas dans ces tribunaux d’apparat qui se contentent de faire semblant, mais devant des juridictions réellement indépendantes et populaires. Et tout cela sous les yeux du peuple, pour que justice soit rendue publiquement.
Le patrimoine volé doit être restitué, les fortunes bâties sur la trahison doivent être confisquées. Car la réparation commence par la restitution, point final. Mais, attention, il ne s’agit pas encore de parler de gouvernance. Il s’agit de sauvegarde. La nation est en état de mort cérébrale, et il ne reste plus que des morceaux éparpillés de ce qui fut un grand pays. Ce qui reste à sauver, ce n’est même pas un système, mais une mémoire saine, un instinct de survie, une flamme de dignité et de panache. Si la France ne veut pas sombrer dans le néant, il lui faut d’abord faire tomber les masques, briser cette façade de pouvoir et de fausse légitimité. Car si rien ne brise ce cycle de soumission, il ne restera bientôt plus qu’un territoire déserté de sa substance, un pays sans âme, une histoire abandonnée.
Aujourd’hui, la France est une blague sur la scène internationale, et la Grèce, par son chaos, paraît presque plus stable. Notre crédibilité est morte. Le taux d’intérêt français, plus élevé que celui du Portugal, c’est du jamais-vu. Et tout ça, parce que la dette, cette arnaque bancaire, atteint des proportions astronomiques, 3.346 milliards d'euros, 114 % du PIB, et ce n’est que le début. Depuis que Macron est entré à l’Élysée, cette dette a explosé de plus de mille milliards, et bien sûr, sous le contrôle de Rothschild et des grands financiers. Ces gens-là, ils n’ont jamais eu l’intention de sauver la France. Ils ont pillé le pays, et maintenant, ils nous demandent de payer leurs délires. Mais qui va nous forcer à rembourser une dette qu'on n’a jamais validée ? Pourquoi se soumettre à des politiciens corrompus et leurs amis banquiers ? Si quelqu’un doit être à genoux, ce n'est pas nous, c’est eux !
Et ce roi du rien, ce félon qu'est Bayrou, tente de nous enfumer alors qu'il n'est là que pour la retraite de ministre. Lors de sa dernière conférence, il a balancé sans honte que les aides aux entreprises du CAC40 s’élèvent à 211 milliards par an. Deux cent onze milliards ! Et pendant ce temps, on crache sur ceux qui survivent avec le RSA, comme si ces 5 milliards d’euros annuels pour les plus pauvres étaient l’origine de notre déclin. On nous traite d’assistés, mais les vrais parasites, ce sont ces grandes entreprises, les politiciens et les multinationales qui siphonnent l’argent public sans rien donner en retour. Qui est le vrai assisté ici, hein ?
Quant au 10 septembre, c’est juste la cerise sur le gâteau de la manipulation. Mélenchon, toujours à jouer les opposants, mais en réalité, il renforce Macron. Tout comme Le Pen/Bardella. Il va détourner la colère populaire, l’instrumentaliser, pour préserver l'ordre euro-mondialiste. Tout ce cinéma pour éviter un vrai débat sur la faillite organisée de la France, sur l’Europe mafieuse, et surtout, sur notre souveraineté. Il ont permis à Macron de passer deux fois, il ont refusé tout débat sérieux sur le Frexit. Ce ne sont pas des opposants, mais bien des complices. On nous vend du spectacle, mais l’issue est déjà écrite où le système gagne toujours.
Le 10 septembre, c'est la date clé qu'ils ont soigneusement orchestrée à l'Élysée, pilotée par McKinsey, pour neutraliser le mouvement #NicolasQuiPaie. Le plan est limpide pour capter la colère populaire, l'instrumentaliser, et la réduire en une protestation contrôlée par la gauche et les syndicats. Et bien sûr, les Black Blocs sont là pour semer le chaos, histoire de dissuader toute contestation réelle et de tuer dans l’œuf le seul mouvement capable de vraiment menacer ce système pourri. C'est ça, leur "opposition". C'est un cirque pour faire diversion. Deux jours avant, le 8 septembre, le gouvernement Bayrou tombe, et la note de la France est dégradée, en pleine crise, comme prévu. Puis, le 10, Macron convoque son conseil de défense, accusant des ingérences extérieures – vous avez bien entendu, il va encore chercher des boucs émissaires pour masquer son incompétence. Et là, bien sûr, pendant que Zelensky continue d’attiser le feu de la guerre, avec l'aide de l'OTAN et notre argent, Macron se retrouve face à une situation d’urgence qu’il a lui-même organisée. Tout ça, c'est le terreau idéal pour justifier l’article 16 et prendre les pleins pouvoirs, installant la France dans une dictature déguisée, avec un contrôle total sur la population.
Ce plan, c’est du machiavélisme pur, à l'image de ce que fait Macron et sa clique depuis 10 ans. Mais il faut le contrer dès aujourd’hui. Ce n’est pas en attendant le 10 septembre que ça va se jouer, c’est maintenant qu’il faut réagir. Si les patriotes anglais peuvent mener la résistance contre leur propre gouvernement, nous devons faire pareil. Drapeaux français en main, paiements en espèces pour couper l’accès aux banques, grève de la consommation pour frapper là où ça fait mal, actions conjointes avec les agriculteurs et les artisans pour bloquer le pays. On ne va pas se laisser endormir par les manipulations de ce système en décomposition. #NicolasQuiPaie, ce n'est ni la gauche, ni l’extrême-gauche, ce sont les Français qui en ont marre. Marre d’être traités comme des vaches à lait, marre de voir la France se faire dépecer par des élites qui ne pensent qu’à leur propre pouvoir. Il est temps de prendre le contrôle. Pas après, maintenant !
De mon point de vue, le 10 septembre, Macron compte bien exploiter la situation à son avantage et s'en servir en activant l’article 16 pour s’accrocher au pouvoir, camouflé derrière l’illusion de "l’unité nationale". Le vrai danger, c’est cette volonté de maintenir un contrôle total sur le pays, et ces manœuvres ne sont qu’un prélude à des années de gouvernance autoritaire. L’effondrement, il est déjà bien en marche ici. Pas besoin d’un hypothétique crash mondial pour qu’on s’effondre sous notre propre poids. C’est déjà le cas.
Quant au confinement, il a été un test, un vrai laboratoire social et réussi par les mondialistes. On a obéi sans broncher, terrorisés par un virus qu’on ne comprenait pas. Mais les éveillés l’ont vite étiqueté pour ce qu’il était vraiment, à savoir une "plandemie". Un test pour voir jusqu’où on pouvait aller. Depuis, Une large majorité des Français sont sous hypnose. C'est un peu le syndrome de Stockholm ! Et maintenant, le scénario se prépare à nouveau avec un blackout total pendant quelques suites à des "attaques" ciblées durant ce 10 septembre. Plus d’électricité, plus d’eau, plus de banques, plus d’internet, plus de réseaux… Tout sera coupé, par le gouvernement mais en accusant les manifestants pour tester notre réaction. Et activer le "Grand reset". L’objectif est toujours le même et le mode opératoire aussi, avec la création d'une panique, l’hystérie collective et donc la peur. Ils savent que la peur est le meilleur moyen de nous contrôler. Mais nous ne devons pas céder à ce piège.
Alors, il est temps de se préparer, de s’organiser, et surtout de ne pas sombrer dans cette panique inutile. Pour ne plus avoir peur, faites des provisions d’eau, de nourriture, de carburant, de piles, de médicaments. Soyez prêts à toute éventualité. Mais surtout, restez solidaires, restez unis. Ce n’est pas dans la peur et l’isolement qu’on va survivre à cette épreuve. Ce test nouveau n’est plus qu’une question de temps. Peut-être autour du 10 septembre, mais peu importe la date exacte, il viendra. Et quand il arrivera, on leur montrera qu’on n’est pas des moutons, qu’on est capables de résister, ensemble.
Klaus Schwab nous avait déjà expliqué les côtés "pratiques" du Covid et le projet mondialiste que cette manipulation a permis d'instaurer rapidement, afin de mettre l'humanité à genoux, privant les individus de leurs droits durement acquis et effaçant les états-nations au profit d'une gouvernance mondiale auto proclamée. La suite sera la monnaie numérique, puisque le nouveau "patron" du WEF n'est autre que celui de Black-Rock. Et au Forum de Davos, Eswar Prasad l’a expliqué sans détour en expliquant que La CBDC permettra d’interdire certains achats, de fixer des dates limites d’utilisation. La monnaie ne sera plus un outil mais une laisse numérique. D'ailleurs, même Trump veut déclarer le Forum économique mondial "organisation terroriste" !!
Il est impératif, cher lecteur, de garder un esprit critique et lucide face à ce projet qu’on nous vend comme "le meilleur des mondes", une utopie sensée résoudre tous les problèmes mensongers qu'ils promeuvent comme la démographie galopante, le réchauffement climatique, les conflits perpétuels, les inégalités orchestrées et la mainmise d’un pouvoir monétaire élitiste qui nous étouffe. Mais derrière cette façade se cache une réalité sombre. Chaque sujet évoqué mérite une réflexion profonde, mais ils partagent tous des conséquences humaines dramatiques. Le "Great Reset" n’est pas une idée nouvelle. Elle trouve d'ailleurs ses racines dans des doctrines anciennes, comme celles du Talmud, qui prônent une domination sans partage. La précipitation avec laquelle ce projet mortifère se déploie est la réponse à un éveil massif des peuples. La manipulation devient évidente, et ceux qui ont gouverné dans l’ombre depuis des décennies savent que leur emprise sur le monde est en train de se fissurer.
Pour maintenir leurs privilèges, l'oligarchie dominante, dénuée de scrupules et de compassion, n’hésite plus à lancer une offensive brutale contre l'humanité. Et cela va commencer en France. Ils sont prêts à tout pour pérenniser un système déjà en décomposition. Pourtant, face à cet événement historique, l'humanité ne doit pas céder à la peur ni à la division. Nous devons faire preuve de fermeté, de courage et de solidarité pour préserver les principes fondamentaux de liberté et du droit inaliénable à notre libre arbitre. Ces valeurs qui font de chacun de nous des êtres uniques, capables de décider de notre propre destin.
La véritable richesse de notre humanité réside dans nos différences et nos inégalités. Mais aussi dans la justice et la morale. Elles sont le moteur de notre évolution. C’est en acceptant nos divergences que nous pouvons réellement avancer. La diversité, loin d’être une faiblesse, est ce qui nous rend forts et capables de créer un avenir où chacun pourra s’épanouir, sans être soumis à une élite qui n'a d’autre ambition que de contrôler et écraser tout esprit libre. Nous ne pouvons pas permettre qu’on nous vole cette chance.
Alors, dans le prochain article, après avoir dressé ce sombre état des lieux, nous proposerons une série de 10 solutions urgentes et pragmatiques, non exhaustives mais impératives, pour amorcer une véritable reconquête du pouvoir populaire. Parmi ces mesures, on trouvera la fin des subventions publiques accordées aux médias et aux associations, y compris celles des ONG, car c'est un premier pas essentiel pour éradiquer la dépendance financière à des intérêts privés et à des agendas étrangers. Nous parlerons aussi de la fin des privilèges exorbitants des politiciens, qui devront désormais se contenter d’une simple indemnité, remboursée sur présentation de justificatifs, car être élu ou responsable public n’est pas un métier, c’est une vocation. De plus, un casier judiciaire vierge devra devenir une condition sine qua non pour toute fonction publique. Enfin, nous aborderons la nécessité d'une transparence totale dans le système judiciaire, avec l’instauration de caméras dans les tribunaux et un accès libre aux enregistrements, afin de garantir la responsabilité des juges, qui devront répondre de leurs erreurs, notamment en cas de récidive des délinquants qu’ils relâchent. Mais surtout, nous devons chasser du pays cette caste malfaisante et lui réapprendre à nous servir plutôt qu'à nous asservir.
L'heure de l'action est désormais venue, alors aidez-moi, aidez-vous, réfléchissons ensemble à ce que nous DEVONS faire pour nous en sortir en profitant éventuellement de ce 10 septembre comme date de départ du renouveau Français !
La suite et donc les 10 propositions, seront données au prochain billet...
Phil BROQ.
"chasser du pays cette caste malfaisante et lui réapprendre à nous servir" Je pense dans mon coin la réouverture du bagne en Guyane (celle qui n'est pas une île, pour les ados victimes de pédophilie et ainsi bloqués dans leur croissance mentale). Ce sera la seule manière adéquate de servir enfin.
RépondreSupprimerC'est justement le point N°10 des mesures que je vais publier ce soir ! J'ai coupé le billet en 2 car sinon, il était trop long. Comme quoi on est bien sur la même longueur d'onde... Bien à vous
SupprimerInversion et corruption sont au coeur, à l'épicentre même, de la substance de votre propos.
RépondreSupprimerPhénomènes diaboliquement attelés de par une orchestration, tant insidieuse que subreptice, telle que campée avec le talent de l'époque par la réalisation d'un Lautner à l'apogée dans "Mort d'un pourri", magistralement portée et scandée à la mesure de sa dramaturgie par l'incarnation la plus aboutie d'un Delon désabusé, mais ne renonçant pas à se confronter à une mafieuse synarchie d'intérêts, au rythme des dialogues d'un Audiard qui doit se retourner dans sa tombe au regard du pitoyable spectacle offert par une France d'après la "nouvelle vague".
Corruption de crédirentiers d'un Etat-voyou, indexée sur l'attente toujours plus impatiente d'un retour sur non-investissement en matière d'enrichissement sans cause.
Economie casino ou seuls les actionnaires dûment initiés, affranchis communautaires à la Scorcese, sont admis au partage entre charognards des dépouilles résultant de la crapuleuse vente braderie par appartements d'un édifice public séculairement construit par l'âme ouvrière, transcendée et transcendante, d'un Peuple qui a pu mériter ce nom à l'aune de son immémorial sacrifice.
Peuple qui se trouve désormais rendu à la fatidique épreuve de vérité ...
Merci pour cette adresse.
Merci pour cette réflexion stimulante qui nous rappelle que l’histoire, malgré ses déviations, doit rester un espace où nous pouvons interroger et renouveler les bases de notre engagement civique. Il est certain que l'épreuve de vérité à laquelle le peuple est confronté, dont vous parlez avec une certaine gravité, se trouve dans la capacité à comprendre les mécanismes de cette corruption omniprésente et à les affronter. l'économie actuelle, qualifiée de « casino » et fondée sur des mécanismes où seuls les initiés – ces actionnaires et spéculateurs – peuvent jouer et gagner, résonne fortement avec la critique du capitalisme moderne et ses dérives. Le peuple, qui autrefois s'était forgé dans la solidarité et l’effort collectif, se trouve désormais face à une réalité où la notion de bien commun est de plus en plus éloignée de ses préoccupations quotidiennes. Ce processus de braderie du patrimoine public, une vente aux enchères de l'âme collective, nous invite à une réflexion sur la manière dont nous avons cédé nos idéaux à une marchandisation de la politique et de la culture. Et l'évocation de Lautner, et en particulier du film Mort d’un pourri, est particulièrement pertinente. Il illustre à merveille l'image d'une société où le désespoir et la désillusion se heurtent aux compromissions d'un monde où l'argent et le pouvoir règnent en maîtres. La comparaison avec l'œuvre de Delon, cet homme fatigué par un système inique mais toujours prêt à se battre, renforce cette idée d'une confrontation entre l'individu et un système qui le broie tout en l'attirant dans ses pièges. Je ne peux qu'être en parfait accord avec vos idées ! Merci
SupprimerLe constat que vous faites mon Cher Phil est accablant et d'une vérité absolue. A mon petit niveau, je ferais tout pour agir et vous avez mon soutien le plus total !
RépondreSupprimerà mon sens, la meilleure façon d'agir est encore de retisser des liens avec nos voisins, de s'entraider, d'apporter notre savoir faire aux autres, mais pas à l'autre bout de la TERRE, juste au bout de notre rue déjà ! Et puis surtout, sortir de ce carcan consumériste des supermarchés qui ne vendent que de la malbouffe, des produits des multinationales... Et je vous remercie pour votre commentaire !
Supprimer- Rétablir la peine de mort
RépondreSupprimer- Interdire les double passports (oui, c'est toi que je vise Israël) à tous les détendeurs d'un mandat public
- Reconnaître dans le droit français le pouvoir de boycott du vote blanc et cesser de le mélanger aux bulletins de votes nuls
- Quitter l'Union Européenne
- Quitter l'OTAN
- Quitter l'OMS
- Interdire de posséder plus de deux mandats
- Obliger le gouvernement à emprunter uniquement, et à taux zéro, à la banque de France
- Découpler la banque de France à la Banque Centrale Européenne
- Rétablir une monnaie nationale, indexée sur l'or
- Alléger la légalisation pour re-armer le citoyen
- Rétablir le chef d'inculpation de haute trahison pour le président de la république
- Rétablir le protectionnisme
- Fermer les frontières
- Enseigner l'anglais et l'informatique, l'agriculture, la menuiserie et la couture dès le CP
- Autoriser l'éducation à domicile pour protéger les futures générations du ministère de l'endoctrinement national
- Supprimer les ministères et secrétariats inutiles (e.g. redressement économique, transition écologique, etc.).
C'est vraiment une belle liste de départ ! merci
SupprimerQue ça fait du bien de ne pas se sentir seul dans ce constat accablant de cette entreprise de démolition et de pillage en bande mafieuse organisée que subit ce pauvre pays, cette sous-France tiers-mondisée, wokisée, dégénérée, islamo-gauchisée, grand-remplacée, volée, pillée, dévalisée, maltraitée... violée ... par une pseudo caste de parasites privilégiés politocards pourris pervers psychopathes dépravés voire pédophiles ... quand pas pédo-criminels ! Alors oui aux 10 propositions de Nouveau Salut Public ! Ne soyons pas dupes de leurs supercheries et autres manipulations gouverne'mentales et restons lucides, fiers et forts ! Vive la Résistance Joyeuse !!!
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