LE NOUVEAU TEMPLE DES MARCHANDS DE MORT
La vie humaine est désormais officiellement dévaluée au profit de la rentabilité et du contrôle, la prétendue "médecine moderne" se transforme en une machine froide et déshumanisée, prête à administrer la mort sous le couvert fallacieux de bienveillance et de progrès. Et comme toujours, je vous dresse un tableau sombre de la manière dont les sociétés contemporaines, en apparence éclairées, s'engagent sur la voie d'une barbarie systématisée, maquillée en progrès scientifique et social. Le sacrifice des innocents, jadis interdit et rendu public sous forme de rituels sanglants d'un autre temps, se fait aujourd'hui dans le secret des salles d'hôpital et sous la légitimité des lois, érigeant la mort en droit, le suicide en choix et l'extermination en solution.
Il y a déjà deux mille ans, dans les cours du temple de Jérusalem, on saignait à mort tous les animaux au nom du sacré. Aujourd’hui, on saigne partout les humains au nom du progrès. La boucle est bouclée. La barbarie a troqué ses couteaux contre des seringues, ses prêtres sanguinaires contre des médecins zélés, ses rituels grotesques contre des protocoles "humanistes". Le mensonge s’est sophistiqué, la cruauté s’est médicalisée, mais le fond est resté le même et la même caste d’imposteurs sacrifie la vie pour asseoir son pouvoir.
Derrière les sourires policés des géants pharmaceutiques sionistes se cache une machine implacable, savamment orchestrée par une élite insaisissable, impunie et pourtant bien connue, dont les motivations tiennent plus du dogme talmudiste que de la science. Sous couvert de progrès médical, cette industrie s’est muée en bras armé d’une idéologie aussi froide qu'archaïque, où l’humain n’est plus un patient mais une variable à éliminer si elle déroge aux critères d’utilité gérés par algorithmes. Le soin, jadis un acte de compassion, redevient un outil de tri, de contrôle, voire d'élimination comme sous la main du docteur nazi Mengele. Alors faut-il vraiment qu’un droit à la vie soit contrebalancé par un droit à crever sous ordonnance ? À quel moment avons-nous décidé que le suicide assisté était une solution, pas un échec ? À quel point faut-il haïr la vie pour ériger la mort en service public ? Ce monde ne soigne plus, il trie. Il n’écoute plus, il abrège. Il ne comprend plus la souffrance, il l’exécute. Il ne tend plus la main mais la seringue.
Et lorsque des institutions supranationales comme l’Union Européenne, sous la plume docile de figures telles qu’Ursula Von der "la Hyène", déroulent sans vergogne un tapis rouge à ces pratiques, remplaçant l'histoire européenne par celle des rabbins de la synagogue rebelle, le vernis démocratique s’effrite pour révéler un programme d’ingénierie sociale immonde à peine voilé. L’échec des campagnes vaccinales controversées ne les a pas freinés, il les a poussés à redoubler de cynisme et de cruauté. À présent, on ne guérit plus, on sélectionne, on supprime, on "rationalise" la souffrance au nom d’un avenir aseptisé que seuls les "dignes" auront le droit d’habiter.
Les marchands de mort d’aujourd’hui, à l'image des marchands du temple, ont troqué les cornes contre des fœtus, les holocaustes tribaux contre des guerres interminables, les encens contre les pesticides, les rites sanglants contre des injections froides et silencieuses, les directeurs de laboratoires contre des assassins patentés. Ils ne sacrifient même plus pour un dieu, ils sacrifient simplement pour leur nombril, pour leur idéologie totalitaire, pour leur obsession du contrôle des masses, pour leurs envies de profits jamais assouvis. Ils n’ont pas d’âme, juste des intérêts. Leurs mains ne tremblent pas, elles exécutent. L’Hippocrate moderne n’est plus qu’un mercenaire du mondialisme. Il soigne à la seule condition de ne pas déranger le système et surtout de l'engraisser. S’il faut tuer pour respecter les normes, il tue. Il appelle même cela avoir de la compassion.
Désormais, leurs crimes se parent de blancheur, se glissent dans les discours ronds, les sourires faux, les termes aseptisés. Euthanasie, IVG tardive, aide médicale à mourir, soins palliatifs actifs, etc. Tout est bon pour effacer la vie sans l’assumer. Et on ose encore parler de "progrès" ? Non, ceci n’est pas le progrès, c'est le retour de la barbarie. C’est la mort, méthodiquement organisée, mise en barquette éthique et vendue avec le tampon de l’État. C’est l’eugénisme relooké, marketé, sponsorisé par une médecine de mort qui dit offrir du confort. C'est une version moderne de l'extermination de masse, habillée d'une façade de progrès et de bienveillance, mais qui, en réalité, sélectionne et élimine ceux jugés "inutiles" ou "déviants". La médecine, autrefois dédiée à la guérison, s'est muée en un outil avide, froid et calculateur, administrant la mort sous prétexte de soulager, de libérer, de respecter des choix "personnels". Car ce système basé sur la perversion, désormais institutionnalisée, transforme la vie humaine en une marchandise à gérer, tout en déguisant le meurtre sous le masque du confort et de la dignité.
L’eugénisme du Troisième Reich n’est pas mort, il est réhabilité et rentabilisé. Il est même financé comme avec les bataillons nazis d'Ukraine et leurs biolabs américains. Il a mis une cravate, un col blanc, un jargon aseptisé, une posture bienveillante appuyée par une propagande massive. Il ne hurle plus, il murmure, il cajole, il infantilise. Mais le fond est identique pour trier, éliminer, purifier le vivant, rayer les indésirables du fichier. Les trop vieux sont devenus inutiles. Les trop malades sont devenus trop coûteux. Les enfants imparfaits sont devenus irrécupérables. Et les malheureux, les inadaptés à ce monde sans vie, il faut désormais qu’on les aide à mourir pour "respecter leur choix".
Car tout cela est fait au nom du Bien. Du bien des actionnaires, du bien des héritiers dégénérés, des décadents politisés. Voilà le plus obscène. Ce n’est même plus de la barbarie honteuse, c’est devenu de la barbarie triomphante. Elle s'affiche, s’auto-congratule, se couvre de prix et de médailles. Elle appelle ses victimes des bénéficiaires et célèbre sa propre capacité à éliminer ceux qu’elle refuse de soutenir. Ce monde ne célèbre plus la vie. Il la gère, la corrige et l’efface. Il trahit les enfants, la nature, le soin, le sacré. Il détruit l'humanité et fabrique des individus comme on fabrique des produits. Et quand le produit dérange, on le détruit. Quand l’être souffre, on le supprime. Quand la vie crie, on l’étouffe sous un oreiller d’arguments sanitaires.
La vraie médecine, qui soulage et guérit, est morte. Ce qui reste est une mécanique de gestion des humains considérés comme des déchets du productivisme exacerbé. Ces bureaucrates de la mort douce, transformés en fonctionnaires de l’élimination, n’auscultent plus, ils enregistrent. Ils ne décident plus avec leur conscience, mais avec des tableaux Excel et des directives d’agence. Et s’il reste un souffle de vie, ils s’arrangeront pour qu’il s’éteigne rapidement, proprement, efficacement, mais surement pas dignement. Et gare à celui qui refuse cette abomination nommée progressisme. Le médecin qui soignait encore avec foi, qui croyait encore en la valeur de chaque souffle, sera chassé comme un hérétique. La vérité, aujourd’hui, est devenue un crime dans cet empire du mensonge. L’humanité est vue comme un archaïsme où la désobéissance est perçue comme un danger pour cette caste dégénérée.
Alors oui, disons-le sans détour que ce monde est devenu un temple inversé, une religion de mort. Et ses prêtres modernes, en blouse ou en costume, sont bien pires que ceux d’hier puisqu'ils savent ce qu’ils font et ils le font avec fierté. Car ce que l’on qualifie de "progrès" n’est qu’un camouflage. Un vernis lisse et brillant, posé sur des fondations pourries. Leur vision du progrès, dans sa forme la plus perverse, n’est plus un levier pour élever l’humanité, mais un outil pour la diminuer, la réduire à des critères utilitaires. Ce qu’il reste de la vie humaine est désormais mesuré en termes d’efficience, de rentabilité, de productivité. Les individus sont devenus des variables dans une équation économique, des éléments interchangeables dans une machine de plus en plus inhumaine. Désormais on ne vit plus, on survit ! Et la survie se vend comme une option, en injectant le poison du choix, annihilant le libre-arbitre divin, comme si l’être humain devait être étiqueté à l’échelle du marché.
La sacralité de la vie a été définitivement renversée par un petit groupe de malfaisants arrogants se vautrant dans l'impunité de leurs lois. Tout est devenu une transaction. La souffrance ne pouvant être qu’un coût à réduire. Une vie ne pouvant être qu’un chiffre à optimiser. L’avortement, jadis perçu comme un acte meurtrier tragique, est désormais célébré comme un "droit" indiscutable. Le choix de tuer un enfant à naître est glorifié sous des oripeaux de liberté et de libération. L’euthanasie, bien que dissimulée sous des promesses de compassion, est transformée en une solution légale et "rationnelle", comme si la mort pouvait être rationnelle. Chaque nouvel acte qui détruit la vie est revêtu d’un manteau d’innocence, et tout opposant à cette logique est désormais un "archaïque", un "régressiste", un "réactionnaire", un antisémite… Ce monde est devenu un enfer silencieux où les démons portent des blouses blanches et distribuent la mort avec un sourire poli.
Mais leur perversion va bien plus loin encore puisque la médecine n’est plus une vocation. Elle est devenue une industrie, sans foi ni loi, qui ne se nourrit plus que des souffrances humaines. C'est devenu une économie de la mort en perpétuelle expansion. Ceux qui jadis tentaient de soigner l’âme et le corps sont désormais de simples techniciens de la biopolitique, dressés à gérer la vie comme on gère un stock. Ce n’est plus l’individu qui compte, mais la machine à fric. Les hôpitaux, autrefois des lieux de réconfort et d’espoir, sont devenus des usines où l’on transforme des vies en coûts et des morts en statistiques. Les traitements ne visent plus à guérir, mais à "rentabiliser", à "stabiliser", à "rationaliser" le destin des patients dans des cases qui ne tiennent compte ni de la dignité humaine ni du désir de vivre.
La frontière entre l’Homme et la machine se fait chaque jour de plus en plus floue. Il ne s’agit plus de soigner l’humain dans sa totalité, mais de le transformer en un rouage actif d’un système à broyer plus vaste. On prédit, on calcule, on optimise. Et lorsque l’humain se révèle trop fragile, trop complexe, trop incertain, on l'infantilise, on le discrédite, puis on l’élimine, avec l’arrogance de ceux qui savent ce qui est "bon" pour lui. Parce qu’en fin de compte, la vie humaine, dans leur vision, n’est plus qu’une donnée de plus à manipuler. Elle devient un produit comme un autre, jetable, remplaçable, programmable comme le disait Harari aux dirigeants du WEF. Le choix des vivants, des derniers humains, des porteurs d'âmes et de conscience, n’a plus sa place dans ce monde de ténèbres. Seul le système compte, celui qui transforme la chair en ressource et la conscience en fonction.
Pire encore, l’industrie de la mort ne se cache même plus, elle se glorifie. L’achèvement de la vie humaine, le meurtre sous toutes ses formes n’est plus un acte caché, honteux, mais un "droit" inscrit dans les lois, célébré comme une avancée sociale. Le suicide assisté est désormais légalisé, l’euthanasie est devenue un programme, l'avortement est constitutionalisé. Ce qui était autrefois réprouvé par la morale est aujourd’hui inscrit dans le marbre de cette société décadente, comme si la mort pouvait vraiment être une option, un choix légitime dans un monde où l’on feint d’ignorer la déshumanisation rampante qui accompagne ce "droit à mourir". Les enfants, ces innocents, sont désormais des contrats, des produits que l’on achète, empoisonne, conçoit, formate et élimine à la convenance. La vie ne vaut plus rien dans cette indifférence tragique où tout est permutable.
Nous vivons dans un monde où le sens même de la vie a été dilué, remplacé par une logique d’opportunités, de pouvoirs et de profits. La souffrance n’est plus un cri à entendre, mais une situation à réguler. L’être humain n’est plus un sujet, il est un objet dont on se débarrasse lorsque sa valeur marchande a expiré. Le respect de la vie, cette notion fondamentale qui a longtemps incarné l’essence même de notre humanité, est désormais un vestige, une vieille idée démodée qu’il convient d’éradiquer pour faire place à une société plus "efficace", plus "rationnelle", plus inhumaine. Mais cette "rationalité" est une abomination chiffrée. Dans ce modèle, l’empathie et la compassion sont devenues des variables négligeables, sacrifiées sur l'autel de la rentabilité, car ce qui compte avant tout, c'est l’efficacité, le profit et l’élimination des coûts humains inutiles. C’est la rationalité du marché, de la rentabilité, de l’absence de cœur.
Il est grand temps de lever le voile sur cette prétendue "civilisation" que l’on prétend avoir bâtie. L’industrie pharmaceutique, alliée aux puissances politiques, se transforme en un monstre insatiable, un dieu déshumanisé dont le seul culte est la rentabilité. La médecine, jadis un acte de guérison, n'est désormais qu'un outil de sélection, une bureaucratie froide qui juge, classe et élimine. Sous le masque de la bienveillance, on administre la mort, on écrase l'individualité, on remplace l'humanité par des algorithmes. Ceux qui prônent la sacralité de la vie sont aujourd’hui des anachronismes, des intrus dans un monde où l'on décide de qui mérite de vivre et qui doit disparaître.
Ce n’est pas du progrès, c’est une régression. Ce n’est pas de la liberté, c’est une dictature déguisée. La barbarie s’est perfectionnée, elle ne crie plus, elle sourit. C’est de la barbarie 2.0, dématérialisée, aseptisée, mais tout aussi meurtrière et même plus cynique. L’humanité n’a pas évolué, elle s’est pervertie. Ce monde ne nous élève plus, il nous écrase. La prétendue lumière du progrès n’est qu’un voile de ténèbres, où tout ce qui respire, tout ce qui aime, tout ce qui cherche encore à vivre, est condamné à se conformer, à se soumettre ou à disparaître. Nous sommes à la croisée des chemins et soit nous reprenons les rênes de notre humanité, soit nous sombrons irrévocablement dans le gouffre de la déshumanisation la plus totale. La question reste donc de savoir si voulons-nous vivre ou simplement exister dans un monde devenu fou où la mort est désormais célébrée comme une libération ?
Phil BROQ.
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