ANATOMIE D’UN POUVOIR TOXIQUE
En ces temps de confusion organisée et de renversement des repères, rares sont les voix qui osent nommer le mal. Pourtant, ce mal existe, il avance masqué sous les oripeaux du progrès, il parle le langage de la paix tout en semant la guerre, il invoque les droits de l’Homme tout en piétinant les peuples. Macron n’en est pas l’origine, mais l’incarnation contemporaine, le visage d’un pouvoir hors-sol, technocratique, froidement destructeur, qui ne gouverne plus au nom du peuple, mais contre lui. Ce 8 mai, jour de mémoire et de résistance, voit une nouvelle profanation symbolique s’ajouter à la longue litanie des trahisons. L’heure n’est plus à la tiédeur puisque ce que nous vivons n’est pas une simple dérive, mais bien une offensive globale contre l’âme de la France, sa mémoire, sa souveraineté, sa foi. Ceci est un cri d’alarme, un acte de lucidité et d’insoumission face à l’effondrement orchestré d’une nation millénaire qui m'a vue naître.
Toxique, Macron l’est jusque dans la symbolique. Ce 8 mai, jour de la défaite du nazisme, il ose une fois de plus piétiner la mémoire des résistants et des millions de morts en se posant en défenseur d’une Europe qui flirte désormais ouvertement avec les héritiers du IIIe Reich. À force de mensonges, de posture guerrière et de servilité vis-à-vis de l’OTAN, Macron et ses acolytes atlantistes inversent les valeurs les plus fondamentales.
Car oui, si l’Allemagne a perdu la guerre en 1945, les nazis, eux, n’ont jamais totalement disparu. Ils ont muté, infiltré les structures de pouvoir mondialiste en créant l'ONU et l'UE, et aujourd’hui, c’est en Ukraine qu’ils paradent à visage découvert, intégrés dans des bataillons salués par l’Occident au nom de la "liberté". Quelle farce ! Et quelle infamie, en ce jour sacré, que de glorifier une nation gangrenée par des milices arborant la croix gammée ou le loup noir, pendant que Bruxelles déroule le tapis rouge à leur idéologie autoritaire et finance leurs délires.
Ce 8 mai, qui devrait rappeler la victoire contre la barbarie, est désormais capturé par ceux qui en ravivent les cendres. La paix n’est plus qu’un slogan creux, tandis que la France, entraînée par un président psychopathe en roue libre, se rapproche chaque jour un peu plus de l’abîme.
Depuis
2017, ce n’est pas
un mandat présidentiel que nous vivons, c’est un règne tyrannique. Macron n’a
pas reçu le pouvoir, il l’a capturé. Son rapport au pouvoir n’est pas
politique, il est psychiatrique. Son autorité, froide, verticale,
intransigeante, n’est pas celle d’un chef d’État, mais d’un manager halluciné
par sa propre importance, sûr d’incarner l’Histoire alors qu’il n’est que le
symptôme avancé d’un système à l’agonie. Non pas pour gouverner la France, mais
pour l’écraser. Il ne la dirige pas, il l’administre comme un gestionnaire
d’actifs humains, détaché de toute empathie, étranger à toute forme de dialogue
avec l’arrogance algorithmique d’un DRH
halluciné qui gère une nation comme une feuille Excel. Il ne s’agit plus
d’adapter la France au monde, mais de l’effacer du monde. D’en faire un terrain
d’expérimentation pour les délires technocratiques de minorités hors-sol.
Depuis son apparition sur la scène politique,
Macron n’a cessé de confondre la France avec un laboratoire, et les Français
avec des cobayes. Dès son arrivée à l’Élysée, ce faux président
hors-sol, formaté dans les salons feutrés du globalisme technocratique, a
imposé une verticalité glaciale, une autorité qui ne négocie pas, mais qui
ordonne, exige, et punit. Avec la froideur d’un entomologiste observant une
fourmilière en feu, il contemple le chaos qu’il provoque et jubile avec l’arrogance
d’un roi sans couronne. Il
ne doute pas, car il n’a pas d’âme politique, seulement une vision. Une vision
de déracinement, de dissolution, de soumission, forgée par une présidence de la domination, du mépris
et de la mise en scène.
Macron surplombe, juge, et manipule. Il ne parle pas aux Français, il leur parle dessus. Son pouvoir ne repose ni sur la légitimité ni sur la représentation, mais sur l’ingénierie sociale, la sidération permanente, et une obsession maladive du contrôle. Macron ne gouverne pas, il met en scène son pouvoir. Ce n’est pas un projet qu’il déroule, c’est une stratégie de contrôle mental. L’homme n’a pas de cap politique, seulement une obsession de soumettre. Chaque réforme devient une opération de démolition allant des services publics à l’école, de l’hôpital à la mémoire nationale, de la famille à la foi, tout y passe, tout est nivelé, marchandisé, dévitalisé, dépolitisé.
Son pouvoir n’est pas légitime. Il ne repose sur rien
d’organique, ni sur la culture nationale, ni sur l’histoire de France. Il est
un produit. Une anomalie fabriquée par les laboratoires du globalisme, où la
souveraineté est une gêne, la tradition une erreur, et l’identité nationale un
bug à corriger. Macron, c’est le fossoyeur de la France vue depuis Davos. Un
pays à convertir en plateforme de services, des citoyens réduits à des ressources
humaines, des enfants reprogrammés pour oublier d’où ils viennent. La
République est devenue une machine à laver les âmes. Et la France n’est plus !
Ce pays est devenu un centre de services à la botte du
marché mondialisé, son peuple réduit à une masse administrée, calibrée pour
l’obéissance. D'ailleurs, il n'y a plus de peuple, plus de racines, seulement
des flux, des chiffres, des protocoles. Macron n’exerce pas le pouvoir pour
servir, mais pour asservir. Il n’incarne pas la République : il la vampirise.
Il n’a pas de fidélité au peuple, seulement des obligations envers ses parrains
économiques et idéologiques. La France n’est pour lui qu’un point d’accès au
réseau oligarchique global. Et ce réseau, il le renforce par toutes les armes
possibles que sont la propagande, les injonctions morales et la sidération
permanente.
Depuis 2020, le masque est tombé ou plutôt s’est
imposé. La crise sanitaire a servi de laboratoire pour une reprogrammation
comportementale inédite. Sous couvert de Covid-19, Macron a expérimenté un
modèle de contrôle total basé sur une peur omniprésente, des contradictions
absurdes et des rituels d’humiliation. Masques, pass, confinements, Qr codes sont
autant de tests de soumission, autant d’outils pour imposer la docilité
collective que de leviers pour briser les résistances. Il ne s’agissait pas de
santé, mais bien de soumission. Ce n’était pas une dérive, c’était une
opération planifiée. C’était une opération psychologique de grande ampleur,
menée avec le cynisme d’un stratège sans scrupules, et l’aval d’un appareil
d’État réduit à un outil de dressage mental. L’État n’éduque plus, il
conditionne. La République ne protège plus, elle oriente, façonne, reformate.
La politique de Macron ne réforme pas la France, elle
la dissout. Les traditions nationales sont méprisées, l’identité française est
jugée archaïque et sa culture ancestrale est considérée comme un obstacle. La
nation est méthodiquement vidée de sa substance, réduite à une plateforme
logistique où seules comptent les données et les profits. À ce projet de
suicide collectif imposé s’ajoute désormais une dimension hautement symbolique de
destruction de la spiritualité chrétienne, qui en a fait sa grandeur. Car en
franchissant les portes de la Grande Loge de France, Macron ne célèbre pas la
neutralité de l’État, il sacralise une idéologie Luciférienne.
Il ne fait pas d’erreurs puisqu'il suit un plan. Un
plan où la France populaire, historique, catholique ou simplement vivante, est
une anomalie à corriger. Et la laïcité devient alors une arme, une croisade
contre toute transcendance, contre tout enracinement spirituel. Une laïcité
inquisitrice devenue religion d’État, visant à détruire toute mémoire, toute
foi. L’État ne protège plus les consciences, il les dresse. La République ne garantit
plus la liberté, elle l’encadre. L’ordre symbolique a été renversé et Dieu est occulté
par Satan !
Car ce pouvoir ne se veut plus serviteur du peuple,
mais architecte d’un Homme nouveau soumis et abêtit. Il ne repose plus sur
l’Histoire, mais sur l’effacement. Depuis la Révolution, un projet idéologique
s’est mis en place visant à effacer l’autel et le trône, falsifier les repères
et déconstruire l’héritage. Leur République se veut libératrice, mais elle est
l'inverse. Elle déconstruit les certitudes, remplace la foi par l’opinion, la
mémoire par l’idéologie. Aujourd’hui, croire encore, c’est désobéir. Être
enraciné, c’est se rebeller. Le croyant devient un dissident. Le citoyen
lucide, un insurgé tranquille.
Mais Macron n’est pas isolé dans cette entreprise. Et pour verrouiller ce système, il est entouré et soutenu par les pires scélérats héritiers du Nazisme et du Fascisme. Il n'est que l’un des visages d’un réseau idéologique transatlantique meurtrier, où la santé est devenue un prétexte et la science une idéologie destinées à l’obéissance. Celle du néo-totalitarisme numérique où ils ont remplacé la souveraineté par l’obéissance algorithmique. Ursula La Hyène et ses homologues transatlantiques, appuyés par les milieux "scientifiques" et médiatiques subventionnés participent activement à la mise en place de cette gouvernance totalitaire par la gestion de la peur et la rééducation culturelle. Et pendant que le pays est reformaté, Macron continue à perpétuer l’horreur.
L’université est désormais un outil de production
d’une intelligentsia woke et standardisée. Et avec l’opération « Choose Europe
for Science », il cherche à faire de l’Europe un sanctuaire pour les élites
globalistes rejetées ailleurs, formant une nouvelle classe de technocrates
déconnectés, mais dociles, subventionnés pour réécrire l’avenir dans le sens du
déracinement. Ce n’est pas
une initiative scientifique, c’est une greffe civilisationnelle. Il ne s’agit
pas d’attirer des chercheurs, mais d’installer une intelligentsia docile,
subventionnée, coupée de toute réalité populaire. Ce n’est pas une fuite de
cerveaux, c’est un transfert de souveraineté mentale couverte par une complicité
honteuse, une mémoire piétinée et une sécurité sacrifiée.
Dans ce théâtre du pouvoir, Macron joue au chef de guerre qui trahit autant ses généraux que son peuple. Et pendant que la maison France brûle, il danse dans les loges. Dix ans après les attentats du 13 novembre 2015 où le sang de nos compatriotes coulait dans les rues de Paris, Macron, sans vergogne ni mémoire, déroule le tapis rouge à Ahmed al-Chaara, l’un des architectes du chaos syrien, financé par le Mossad et formé par la CIA. C’est une gifle à la nation, une trahison des morts, une humiliation des vivants, un crachat au visage des victimes du terrorisme islamiste, un affront à l’Histoire. Tout cela pour 230 millions d’euros et la satisfaction de Rodolphe Saadé, magnat franco-libanais, intime du pouvoir et bénéficiaire du contrat, pour exploiter le port stratégique de Lattaquié en Syrie. Dont 60% sont pour l’État syrien et 40% pour le groupe français. Et la France dans tout ça ? Elle récolte le déshonneur. La diplomatie française, désormais, tend la main à ceux qui ont contribué à son malheur et devient affaire de profits où la mémoire nationale est réduite à une variable d’ajustement.
Comment en est-on arrivé là ? Par la lâcheté d'un
peuple tout entier. Par l’avidité de ses représentants. Par l’obéissance
servile de la police et de la justice à une oligarchie mafieuse et mondialisée.
Mais qui s’en émeut encore ? Plus personne
! Macron règne sur un palais d’échos,
entouré de courtisans muets et d’une opposition domestiquée. Après avoir
dilapidé des milliards en Ukraine Nazie, après un soutien militaire
inconditionnel à l'Israël sanguinaire, il finance directement, la
reconstruction d’une zone gangrenée par l’islamisme radical archaïque. Et
pendant ce temps, le "con-tribuable" français continue de payer sans
se révolter, et Macron pactise avec les ténèbres du monde. Le cycle est
complet. La boucle, bouclée. Car Macron n’incarne pas la France, il en
orchestre seulement le crépuscule.
Cependant, ce n’est pas un accident, mais bien l’aboutissement
logique d’un projet de longue durée d’une élite qui ne croit plus à la nation,
qui ne jure que par le marché et méprise l’Histoire bâtie par leurs ancêtres. Ce n’est pas une crise
politique que nous vivons, c’est une guerre ! Une guerre sans fusil, mais avec
des lois, des chiffres, des écrans, et des masques. Une guerre psychologique,
culturelle, spirituelle. Une guerre totale contre l'humanité et le vivant,
contre le bon sens et la liberté. Une guerre menée par une élite qui n’a plus
rien de français, et un président qui n’a plus rien d’humain.
Mais cette entreprise de désintégration n’est pas nouvelle. Depuis la Révolution française, un projet s’acharne à vider la France de son âme. On a renversé le trône et l’autel. On a remplacé l’histoire par des récits idéologiques, les saints par des "modèles inclusifs", les repères par le chaos. La tradition n’est plus un héritage, mais une maladie honteuse. Macron parachève aujourd’hui, c’est ce que d’autres ont méthodiquement préparé pour faire de la France un pays sans repères, sans héros, sans liens, sans futur, dans une société désossée. Et dans cette farce tragique, le peuple est devenu figurant. Mais pendant que le citoyen trop fatigué regarde ailleurs, Satan se pourlèche les babines.
Or, la première ligne de défense, c’est vous. Alors aujourd’hui, croire encore, c’est résister. Résister à l’oubli, à la soumission, à la dissolution. Car tenir bon, transmettre, prier c’est aujourd’hui un acte de résilience. Face au règne hors-sol d’un président sans peuple, la seule réponse digne est pour l'instant encore le silence résolu des enracinés. Ceux qui ne crient pas, mais qui tiennent. Refuser l’amnésie, c’est déjà se battre. Tenir debout, enraciné, face à la tempête est devenu un acte révolutionnaire. Le catholique fidèle, le patriote silencieux, le Français enraciné, ce sont eux les derniers insurgés.
Ce que nous vivons n’est pas une simple erreur de parcours, mais une offensive systématique contre la dignité nationale, contre la mémoire et l’honneur de ceux qui ont fait la France. L’heure n’est plus à la lucidité, mais à l’insurrection. Ce n’est pas un avertissement, c’est une urgence, une nécessité absolue, si nous ne voulons pas voir la France sombrer dans l’abîme de son propre effacement.
Je souhaite donc ardemment que bientôt des bataillons de
révoltés, n'ayant plus rien à perdre se lèveront enfin pour tout renverser, pour tout
purifier, pour chasser les ténèbres et ses sbires en abreuvant les sillons d'un sang impur, dans ce pays lacéré par les griffes du mal incarné.
Phil BROQ.
Vous n'hésitez pas a supprimer un commentaire qui ne va pas dans votre sens . L'ignominie de cette comparaison est une traîtrise à la France.
RépondreSupprimerje n'ai jamais supprimé aucun commentaire... Ce qui est une traitrise à la France, c'est Macron ! et visiblement des gens comme vous …
SupprimerHonte à vous
RépondreSupprimerAh ah ah ah… Ma honte vient surtout de la lâcheté du peuple Français qui refuse de défendre sa terre, sa culture et ses racines comme l'ont fait mes ancêtres…
SupprimerPascale la honte c’est toi
SupprimerPascale, quand on est ignorante, on se tait et on s'instruit, je te propose les lectures de Philippe Broquiere, entre autres...
SupprimerMerci à vous ! Cela dit, mon nom est Philippe Broquère sans "i" et vous pouvez trouver mes livres à cette adresse : https://www.thebookedition.com/fr/34715_philippe-broquere
SupprimerPour simple rappel Lire , c est planter des racines dans l 'esprit et faire fleurir les pensées de tous types, que l.on.partage ou non.
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