EDUQUER LES PORCS MENE A LA TYRANNIE
De nos jours la vérité est distillée à doses si infimes et manipulée avec une telle habileté machiavélique, que la réalité devient un artefact, façonné par ceux qui tiennent les ficelles du pouvoir. C'est à dire une élite financière, corrompue et déconnectée, qui gouverne à travers les mensonges, les médias, la violence et l’ignorance collective. Tandis que la majorité se vautre dans un confort d’illusion et de déni, incapables ou indifférents à la vérité qui les libérerait, je me suis résolu à ne plus gaspiller mon énergie. Puisque finalement l’éveil est une quête personnelle. Et ceux qui le recherchent, ceux qui osent sortir de cette fange de conformisme, ceux qui auront fait l'effort de se libérer mériteront mon attention. Les autres, qu'ils persistent donc à se vautrer dans leur propre hypocrisie et leur servitude volontaire jusqu'à ce que mort s'en suive.
Dans le grand théâtre du monde moderne, où chacun semble jouer son rôle avec une conviction de plus en plus artificielle, la réalité des choses semble devenue un produit de plus, un jouet dans les mains de ceux qui tiennent vraiment les ficelles des banques et des médias. Ce ne sont pas ceux que l'on nous montre comme étant les acteurs principaux qui dirigent ce spectacle, mais une poignée d'individus, une caste de malfaiteurs spécialisés dans les manipulations organisées, habiles à masquer leur soif insatiable de pouvoir et de profit derrière des discours philanthropiques et des sourires de façade. Ils s'auto proclament l’élite, non par mérite, mais par un héritage de sang et d’argent, fruit d’une alchimie infernale de chantage, de corruption et d’abus durant depuis des siècles, appuyé par l'incapacité des opposants à leur tenir tête.
L’héritage de ces pseudos "élites" n’est rien de plus que la transmission d’un pouvoir infernal et mal acquis, consolidé dans l’ombre par des mécanismes invisibles de corruption et de chantage, mais parfaitement maîtrisés. Ils ne bâtissent pas des empires à force de talent, mais à coups de mensonges, de manipulations médiatiques, de violence armée et d’embrigadement mental. Or, leur pouvoir ne tient qu’à une seule chose : l’ignorance collective.
Et c'est là, dans ce vaste champ de ruines qu'est devenue la pensée critique, que réside le véritable poison du déni total des peuples. Non seulement ignorants, mais surtout heureux de l'être, ils se vautrent dans un confort de bêtise volontairement entretenu, refoulant la vérité comme un danger dont l’odeur nauséabonde finit par se dissiper au bout d’une génération à peine.
Ce que l’on appelle le peuple, la mase, la populace, n’est plus qu’un troupeau docile et abruti, prêt à se laisser guider par ceux qui savent comment, qui comprennent et manipulent les fils invisibles de la société, pour leur seul profit. Peu importe les évidences, peu importe les faits, peu importe les alertes que l’on leur envoie, ils préfèrent retourner sans cesse se vautrer dans l'illusion de leur existence rassurante, sous prétexte de facilité et de sécurité. Ils mangent avec avidité les mensonges qu’on leur sert, les avalent goulûment, tout en affirmant qu’ils sont libres de penser et d’agir, qu’ils sont des individus, des citoyens responsables, sans avoir la moindre idée de la définition exacte des mots qu'ils utilisent.
C’est une mascarade grotesque qui m'est devenue insupportable à observer. Leurs yeux, aveuglés par la consommation et l’égoïsme, ne veulent plus voir les chaînes, ni les barbelés qui délimitent leur liberté illusoire fondée sur leur pouvoir d'achat et leur capacité d'acquisition d'objets inutiles. La lumière de la vérité, pourtant si simple à percevoir pour ceux qui daignent lever les yeux, est réduite au silence par un système qui transforme chaque question en hérésie, chaque réponse en violence. Et dans cette foule de têtes baissées, de cœurs anesthésiés, de cerveaux hypnotisés, la vérité devient une voix perdue dans le vent. Quiconque ose en parler, quiconque tente de réveiller ces consciences noyées dans la brume, se heurte à un mur de mépris et de haine. A cette masse d'êtres abrutis par leur propre déni crasseux.
À ceux qui pensent encore que l’on peut "éveiller" ces masses, à ceux qui imaginent qu’une prise de conscience collective est encore possible, je demande pourquoi continuer à perdre son temps ? Pourquoi perdre son énergie à essayer de sauver ceux qui ne veulent pas sortir du piège ? Pourquoi tendre la main à des créatures qui se complaisent dans leur bêtise, qui s’y vautrent avec délectation, qui s’y roulent comme des porcs dans leur merde, s’imaginant que cela fait partie de leur nature ? Seul le cochon domestique fait cela, car jamais un sanglier sauvage ne se roulerait dans ses propres excréments.
C’est exactement ce que je veux éviter pour mes années à venir. Je ne veux pas que l’on crée, par l'erreur d'avoir éduqué des porcs satisfaits, un nouveau système d’oppression sous prétexte d’un changement nécessaire, en offrant la couronne à des êtres qui, faute de culture, de conscience ou de véritable empathie, n’ont d’autres ambitions que de reproduire la même fausse liberté, mais sous des formes encore plus insidieuses. La vérité, c’est qu’éduquer ces porcs ne mène qu’à la perpétuation du cycle infernal, et je refuse donc d’être celui qui contribue à leur mise en place.
Face à ce constat d'échec massif, dorénavant, je ne serai donc plus celui qui lance des perles à ces pourceaux, comme je l'ai fait durant ces 5 dernières années. Je ne gaspillerai plus mes idées, mon énergie, mes écrits pour ceux qui préfèrent rester dans leur petite basse-cour, englués dans leurs croyances toxiques et leur autosatisfaction crasseuse. Non. Je ne m’adresserai désormais uniquement qu'à ceux qui ont encore un esprit, un cerveau et une volonté de s'en sortir. À ceux qui, par un acte d’intelligence et de lucidité, ont fait le choix de ne plus être dupes. À ceux qui par exemple, en achetant un de mes livres pour me soutenir dans mon action quotidienne, reconnaissent aussi leur place dans ce monde et la nécessité de valoriser le travail et l'entraide. Celle des chercheurs, des penseurs, des éveillés, des Hommes libres et assumant leur vie. Ils sont rares, mais ils existent, et c’est à eux que je m'adresserai dorénavant.
Les autres, qu’ils aillent tous se vautrer dans cette fange, qu’ils s’entre-dévorent et s’étouffent dans leur propre hypocrisie. Qu'ils finissent vidés dans les abattoirs de leur destiné, qu'ils disparaissent à jamais en espérant qu'ils n'aient juste pas eue l'idée d'avoir procréer avant. Leurs vies, leurs souffrances et leurs morts ne m’intéressent plus. Car la vérité, en fin de compte, appartient à ceux qui sont prêts à la recevoir. Ceux qui ont su voir au-delà du miroir déformant que leur société leur tend. Ceux qui savent que tout ce qu’ils croient être est en réalité une illusion soigneusement tissée par ceux qui les gouvernent, pour mieux les dominer.
Les ignares, les conformistes, les consommateurs, je les laisse à leurs chimères. L’heure de la rébellion a sonné, mais elle ne se fera pas dans les rues bondées, dans la fureur des foules. Elle se fera dans les esprits, dans la lecture, dans la réflexion, dans l'éducation personnelle et la volonté d'être un humain digne et responsable de ces actes. Et ceux qui n’ont pas encore compris cela, qui préfèrent encore se bercer d’illusions et de conforts factices, peuvent se contenter de leur existence de zombies, prêts à consommer et à mourir dans l’oubli. Je n'en ai cure dorénavant, mieux, je les encourages à continuer jusqu'à ce qu'ils s'étouffent d'avoir trop mangé leurs propres progénitures dans leur égoïsme et leur déni.
Je refuse de perdre plus mon temps à discuter avec des créatures qui n’ont ni l’envie, ni la capacité de comprendre. Ceux qui veulent connaître, ceux qui veulent comprendre, ceux qui cherchent la vérité et l’authenticité, ceux-là seuls méritent d’être éclairés et ils ont mes livres pour commencer à s'éduquer. Aux autres, qu'ils aillent vraiment se vautrer dans leur fange et surtout y mourir vite, parce que la vérité ne peut pas être donnée à ceux qui ne veulent même pas la voir.
Ainsi, il est temps de poser un dernier constat froid, amer et sans appel car nous vivons dans un monde où la vérité s'étouffe sous des couches épaisses de mensonges et de distractions, où les manipulateurs en place tissent leurs fils invisibles en toute impunité, contrôlant chaque aspect de notre existence avec une aisance inouïe. Ce peuple, autrefois porteur de l'espoir d'une révolution éclairée, n'est désormais qu'une masse de consommateurs anesthésiés, heureux dans leur servitude et trop bêtes pour voir les chaînes qui les entravent. Face à cette dévastation mentale, je me suis résolu à ne plus tendre la main aux aveugles volontaires, à ceux qui préfèrent se vautrer dans leur confort, plutôt que de se relever, de se regarder en face et de comprendre.
La vérité, celle qui ne craint pas les faux-semblants ni les illusions, appartient à ceux qui sont prêts à l’entendre, à ceux qui choisissent délibérément de sortir du marasme de l'ignorance.
La rébellion véritable, la seule qui vaille, ne se fera pas sur les pavés des rues, mais dans les esprits, dans les cœurs, dans l’âme même de ceux qui refusent de céder à l'abrutissement collectif. Ceux qui ont encore la capacité de réfléchir, de comprendre, d’aimer la vérité, d’agir avec discernement et intégrité, ceux-là sont les véritables héritiers de ce monde.
Ils sont peu nombreux, mais leur lumière, dans son éclat pur et intouchable, est tout ce qui compte. Pour eux, pour nous, il est encore possible de redéfinir ce que signifie être humain, d'aller au-delà des illusions et de briser les chaînes invisibles de l'oppression. Quant aux autres, que leur monde fictif continue à s'effondrer sur eux-mêmes… Et vite !
Phil BROQ.
Il est certain qu’on ne peut aider les gens malgré eux, quelle que soit l’aide.
RépondreSupprimerJe comprends votre amertume mais gardez-vous-en, elle fait baisser votre lumière personnelle.
Et votre lumière, associée à celle des autres lumineux, fera un jour toute la différence.
Cultivez d’abord votre lumière, c’est le meilleur service que vous puissiez rendre à vous-même et au monde.
Merci en tous cas pour votre lucidité. Toute mon amitié
Merci pour vos mots pleins de sagesse. Cultiver sa lumière est en effet la clé, et j'apprécie profondément votre bienveillance et votre soutien. L’amitié lumineuse est un vrai trésor.
SupprimerMessage entremêlée de désespoir et d'espoir . Vous le dites parfaitement : "La vérité, celle qui ne craint pas les faux-semblants ni les illusions, appartient à ceux qui sont prêts à l’entendre, à ceux qui choisissent délibérément de sortir du marasme de l'ignorance. " Prenez bien soin de vous et continuez d'éveiller ceux qui sont prêt pour cela. Pour les autres, il ne reste plus que l'indifférence. Terrible ........
RépondreSupprimerC’est vrai, l’espoir et le désespoir se côtoient souvent, mais l’éveil reste une voie possible, même pour les plus réticents. Celui qui cherche la vérité peut illuminer son chemin, et peut-être, celui des autres. Oui, l’indifférence est un défi, mais chaque voix éveillée peut encore en ébranler le silence. Prenez soin de vous aussi, et merci pour votre soutien.
SupprimerDès l'école primaire, on nous inculque un cadre de réflexion sur le monde dont les prémisses sont totalement fausses. Toute analyse qui ne s'inscrit pas dans ce cadre est considérée au mieux comme ignorante et au pire comme un extrémisme dangereux.
RépondreSupprimerAvant de formuler une seule pensée sur la politique, on nous apprend à partir du principe que les élections sont réelles et que le gouvernement démocratiquement élu est la seule structure de pouvoir qui décide dans notre pays. On nous apprend à supposer que les décisions de notre gouvernement sont prises en fonction du vote des citoyens lors des élections entre deux partis qui s'opposent et qui promeuvent les positions les plus populaires sur des questions importantes afin de gagner des voix. Tout cela est complètement absurde, mais c'est sur cette base que nous apprenons à fonder toutes nos idées et nos opinions sur les questions politiques.
Avant de formuler une seule idée sur ceux qui nous gouvernent, nous sommes habitués à partir du principe que les personnes qui dirigent notre pays nous sont connues et occupent des postes officiels dans notre capitale. Nous sommes habitués à supposer que si nous avons un problème avec la façon dont les choses se passent, il existe des canaux officiels par lesquels les puissants peuvent être tenus responsables et de véritables changements peuvent être apportés. Le fait que nous soyons en réalité dirigés par des ploutocrates non élus et des gestionnaires d’empire qui n’occupent souvent aucun poste au sein du gouvernement officiel n’est jamais pris au sérieux.
Avant de formuler une seule opinion sur les médias, nous sommes habitués à partir du principe que nous vivons dans un pays libre avec une presse libre, et non dans une civilisation dystopique où les médias fonctionnent comme des services de propagande au service de nos dirigeants. Nous sommes habitués à supposer que même si certains médias ont des préjugés évidents quant à la faction politique dominante qu'ils favorisent, il est toujours possible d'obtenir une lecture plus ou moins précise de ce qui se passe dans le monde en écoutant les deux côtés de cette fracture idéologique. Rien de tout cela n'est vrai, mais c'est le cadre dans lequel s'inscrivent toutes les analyses dominantes des médias occidentaux.
C’est le cadre conceptuel de réflexion sur le monde que les gens sont amenés à adopter, d’abord à l’école, puis tout au long de leur vie par les médias de masse. S’ils vont à l’université, comme le font généralement les personnes les plus puissantes de notre société, ce cadre est alors martelé avec beaucoup plus d’agressivité – en particulier dans les universités les plus prestigieuses d’où vient généralement la soi-disant « élite ».
Une fois que vous aurez compris à quel point ce conditionnement est omniprésent, vous comprendrez pourquoi la mise en place de véritables mouvements révolutionnaires se heurte à une telle inertie. Nous ne pourrons pas nous libérer tant que nous n'aurons pas trouvé le moyen de libérer notre esprit.
Vous soulevez un point fondamental ! En effet, ce conditionnement est si enraciné qu'il façonne non seulement nos pensées, mais aussi notre manière de percevoir la réalité. Sortir de ce cadre imposé est un défi colossal, mais nécessaire si l’on veut véritablement penser par soi-même. Or, nous sommes cernés par des êtres sans esprit. Pourtant, la libération de l'esprit est le premier pas vers une transformation profonde, et, comme vous le dites, c’est là que commence tout changement. Merci pour ce commentaire puissant et éclairant.
SupprimerDes solutions, effectivement, il en existe, mais elles passent par un éveil collectif. Le modèle des Chiapas ou l’autonomie des Colibris montre qu’on peut bâtir ailleurs, loin du pouvoir central. Cultiver son jardin, comme Voltaire le conseillait, c’est peut-être aussi cultiver son esprit et ses choix. Chaque petit geste peut créer un changement à plus grande échelle. Mais lorsqu'on est bloqué dans une basse-cour, je ne vois pas vraiment quoi tenter de plus. Merci pour ce partage de réflexion !
RépondreSupprimerA titre personnel, j'ai totalement abandonné l'idée de vouloir essayer "d'éclairer" les moutons (ou cochons dans votre réflexion), et ce depuis le covid. Pas la force ni la patience. Je ne pense cependant pas que ca soit la bonne chose à faire. A part se complaire hautainement d'un sentiment de supériorité, cela ne nous apportera rien. On ne change rien à 1% contre les 99% restants. Ceux qui semblent être nos ennemis à l'instant présent seront nos précieux alliés le moment venu. Cochons ou moutons qu'ils sont, il ne doit pas être insurmontable de leur faire ouvrir les yeux, d'autant plus si la cause que nous défendons est fondée. Facile à dire évidemment lorsqu'on n'applique cela à soi même. Mon éclairage se limite auj à ma femme. C'est un travail de longue haleine, mais années après années, information après information, il n'est pas impossible de faire émerger un début de prise de conscience. Je suis loin d'en avoir fait une révolutionnaire, mais je pense qu'il doit y avoir un bon 80-90% des masses qui avec temps et patience, soit "convertible". Cela demande cependant un temps certain, la plupart des individus ne pouvant pas renier leur univers du jour au lendemain. J'espère qu'en temps qu' écrivain, vous serez plus courageux et patient que moi, et continuerez à répandre, à votre échelle la bonne parole. JB
RépondreSupprimerMerci JB. Je comprends tout à fait ton ressenti. Après tout, la patience et l’énergie nécessaires pour tenter de "réveiller" les autres peuvent se révéler épuisantes, surtout quand on a l'impression de lutter contre un mur. Le fait de se retrouver à chercher à "éclairer" ceux qui semblent loin de notre point de vue peut parfois frôler l'absurde. Et comme tu le dis si bien, cela peut nourrir un sentiment vicieux de supériorité qui n'est jamais réellement satisfaisant, mais ma plume vide ce que mon cœur a en trop. Ton approche, plus centrée sur des changements progressifs, comme celui que tu vis avec ta femme, est admirable. C’est effectivement un travail de longue haleine, où chaque petite prise de conscience compte, et qui, je pense, est plus fertile à long terme que de vouloir imposer des vérités d’un coup. Et oui, bien sûr, je reconnais qu’on ne peut pas attendre une révolution du jour au lendemain, mais j’aime l’idée que, dans ce processus, tout changement, même minime, est précieux. Quant à mon rôle en tant qu'écrivain, je vais essayer de suivre ton conseil et d'être plus patient et persévérant. Même si parfois le doute s'installe, il y a toujours cette conviction que chaque mot, chaque texte a un impact, si petit soit-il. Peut-être qu’en semant des graines ici et là, on pourra, petit à petit, éveiller plus de consciences, et ça, ça vaut la peine. Même si la basse-cour est compliquée à gérer ! Merci encore pour ton partage, et pour ta sincérité. C’est des échanges comme celui-ci qui m’encouragent à continuer, malgré tout. Bien à toi !
SupprimerBonjour Philippe,
SupprimerJe partage totalement vos sentiments et vos observations sur le sujet.
Je souhaite cependant apporter quelques précisions concernant l'art d'être éveillé.
J'ai eu la chance d'effectuer mon service militaire dans l'ex République Socialiste Tchècoslovaque, donc de l'autre coté du rideau de fer. En y prenant mes fonctions, j'avais le comportement de tous les occidentaux "classiques" de l'époque : moi gentil et bon, eux mauvais et méchants. Bref, j'étais un petit occidental arrogant et suffisant.
La réalité fut bien différente et j'ai appris à ouvrir mes yeux (donc à m'éveiller) et à commencer à penser par moi-même. En effet, et comme le disait un internaute, la propagande comptait pour beaucoup...d'un cote comme de l'autre.
Bref, à bientôt 60 ans maintenant, je sais que ce sont les épreuves et les expériences de la vie qui peuvent vous ouvrir les yeux.
Si j'étais resté en France, je suis certain que je serais, aujourd'hui, comme 90% des français : endormis et lobotomisés.
C'est bien mon séjour de 4 ans derrière le rideau de fer qui m'a ouvert les yeux, qui m'a éveillé.
Depuis, j'ai toujours mis un point d'honneur à penser par moi-même et à construire ma penser par moi-même.
A partir de là, les français "classiques" n'ont pas eu d'expériences qui leurs ont permis d'ouvrir les yeux, rien à comparer, rien à relativiser...
Depuis la maternelle, ils sont dans le moule.
Tant qu'il n'y aura pas une expérience douloureuse à vivre, ils ne s'éveilleront pas, ils ne grandiront pas. La vie en France était et est encore trop confortable pour se remettre en cause. C'est la loi de la nature : il faut un événement douloureux pour évoluer. Et pour l'instant, en occident......le frigo est encore plein.
Ne vous découragez pas : de plus en plus de personnes ouvrent les yeux. Et pour rappel, la Résistance en France, c'était quoi ? entre 4 et 5 % de la population. Et c'est cette toute petite minorité qui a rendu son honneur à la France.
Bien à vous !
Laurent
Je pense que lire les Lettres du Christ pourrait nous aider à sortir de ce marasme vers la Lumière.
RépondreSupprimerJe tiens à préciser que ce livre n'a rien à voir avec les dogmes de la religion. Il est plutôt une synthèse de science, de spiritualité, de religion et de philosophie.
Il a été écrit en channeling par une sud-africaine anonyme sous la dictée du Christ. A la demande de celui-ci, les Lettres sont téléchargeables gratuitement. La version papier est très bon marché car il n'y a pas de droits d'auteur.
Pour moi, tout ce qu'Il dit sonne juste." Il ne reste plus" qu'à mettre en pratique ce qu'il dit en priant et médiant, en lisant et méditant ses lettres. Tout est très bien expliqué. Certains passages assez ardus demandent à être médités jusqu'à meilleures compréhension.
Il conseille notamment de ne pas critiquer les autres, les gouvernements, le monde afin de ne pas s'abandonner dans une conscience inférieure.
Il nous propose également de nous réunir le dimanche pour lire ses lettres et partager nos expériences, en construisant ainsi des communautés à côté de l'Eglise mourante.