08 août 2024

TERRORISME CULTUREL ET CORRUPTION INSTITUTIONNELLE

En retraçant l’évolution du concept de terrorisme et en établissant des parallèles avec les tactiques actuelles des mouvements wokistes et LGBT, on constate que la France est confrontée à une forme insidieuse de guerre culturelle. Ces actions, sous couvert de défense des droits et de l’égalité, conduisent à une polarisation extrême de la société et à une perturbation de l’ordre public comparant ces pratiques à des actes de terrorisme idéologique, soulignant leurs objectifs de manipulation mentale et d’intimidation. Cette situation, aggravée par des pratiques de corruption au sein des élites politiques et judiciaires, appelle à une prise de conscience collective et à une action déterminée pour préserver les valeurs fondamentales de la civilisation française.

La société française, comme beaucoup d'autres, se trouve à un carrefour civilisationnel critique. En prenant en otage des millions de familles et en leur imposant la vue de comportements sexuels explicites à des heures de grande écoute, les agressions visuelles et morales deviennent des formes modernes d’attentats terroristes. Le terrorisme se rapproche du concept de guerre idéologique ou de guerre civile. C’est de la manipulation mentale et lorsque les gens ne veulent rien voir, on appelle cela le déni. Au cœur de ces transformations se trouvent des débats enflammés sur les valeurs traditionnelles et les nouvelles revendications identitaires.

Les forces wokistes et LGBT, promues par les médias, utilisent ces méthodes agressives pour choquer et diviser, sous prétexte de défendre des causes égalitaires. Elles ont pour but de promouvoir des messages à caractère idéologique, politique ou anti religieux par la peur et la publicité médiatique. Elles cherchent à troubler gravement l’ordre public par l'exhibition permanente, l’intimidation et la terreur culturelle, menaçant ainsi les fondements de notre civilisation que sont la famille, le respect des aînés et de la nature humaine.

Ces notions partagent le caractère des actes d’extrême violence, et sont motivées par des fins politiques, idéologiques ou stratégiques. Elles opposent un groupe d’individus contre un autre et ont des effets délétères dont la population est victime, délibérément ou accidentellement Parallèlement, les institutions censées protéger la justice et l’équité sont minées par la corruption, rendant la résistance difficile, voire impossible. Comment ces forces interconnectées œuvrent non seulement à choquer et à polariser la société, mais aussi à imposer des lois et des pratiques aussi anti naturelles et liberticides qu'anti chrétiennes ?

Le principe de terrorisme a évolué au fil du temps, allant de l'action individuelle anarchique au début du XXe siècle, à des formes plus organisées et idéologiquement motivées au cours du siècle. Un attentat terroriste est par définition une action destinée à nuire aux biens ou à la vie d’autrui, caractérisée par l’intention de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur. Voici les éléments clés qui définissent un attentat terroriste :
Ils sont souvent préparés et exécutés par des groupes ou des individus organisés, utilisant des moyens variés tels que la propagande, la formation de recrues et la planification stratégique.
Ils sont souvent motivés par des objectifs politiques, idéologiques ou religieux, comme la promotion d’une cause, la défense d’une communauté ou la contestation d’un système politique.
Ils visent à créer une atmosphère de peur et d’anxiété dans la population, contraignant ainsi les pouvoirs publics à se plier à des revendications ou à modifier leur politique.
L’attaque implique une forme de violence excessive et intentionnelle, susceptible de causer des destructions, des victimes.
Selon Wikipedia, il existe quatre grands types de terrorisme :
le terrorisme individuel, provoqué par des rebelles, des anarchistes, ou des nihilistes (admettant une liberté morale),
le terrorisme organisé, prôné par des groupes défendant des idéologies différentes (ex. : extrême gauche, extrême droite…),
le terrorisme d'État,
le cyberterrorisme.
Selon le criminologue Maurice Cusson, ces différents types de terrorisme sont aussi motivés par quatre éléments:
la haine vengeresse (la haine débouche sur la détermination de venger les exactions dont les ennemis seraient responsables),
la dissuasion (pour que la population terrorisée fasse pression sur son gouvernement),
la propagande (pour frapper les esprits),
la provocation (pour pousser un gouvernement à surréagir).

En analysant ces types et ces éléments, on peut se rendre compte comment certains événements et manifestations, particulièrement ceux des mouvements LGBT et Wokistes, peuvent être perçus comme des attaques terroristes contre la structure traditionnelle de la société. Mais il s'agit ici d'un mode d'exercice du pouvoir imposé par une petite caste et non d'un moyen d'action contre lui. Par ailleurs, « Le terrorisme au sens moderne naît avec les médias modernes » nous signale F.B. Huyghe, dans son livre « Message et terreur, acteurs et vecteurs ».

Les marches des fiertés (gay pride), comme la récente cérémonie des JO 2024 jugée indiffusable dans 54 pays, par leurs exhibitions sexuelles en plein jour choquent systématiquement les spectateurs, constituant ainsi autant d'attaques en règle contre la cellule familiale traditionnelle et un terrorisme réel contre la morale chrétienne sinon naturelle.

Les stratégies LGBT avec les dérives de l'inclusivité, les plans d’action contre le racisme qui mènent à la "cancel Culture" et l’égalité impossible sinon sur les salaires entre homme-femme, adoptés par la Commission européenne reflètent les dogmes woke les plus extrêmes. Ces initiatives ne sont pas le fruit du hasard mais résultent d'une manipulation orchestrée par des associations de minorités très visibles, des fermes à troll et un système judiciaire biaisé cherchant à cliver les sociétés occidentales et à imposer leur idéologie. Ces lignes directrices, sous prétexte d’inviter au respect, versent dans l’endoctrinement le plus caricatural, avec des directives grotesques et dangereuses, dans l'impunité la plus totale.

On peut parler également de terrorisme d'État dans le cas où des actions terroristes ont été commanditées, manipulées ou complaisamment ignorées par un État. Lorsque nous parlons de cyberterrorisme, dont font partie les fermes à trolls parrainées par l’État, nous parlons en réalité de personnes payées par des pays pour répandre la désinformation afin d’affecter le discours public et qui utilisent Internet essentiellement à des fins de propagande. En 2017, l'Oxford Internet Institute a recensé 28 fermes à trolls dans le monde entier. Toutefois, dans un rapport de suivi publié en 2018, nous avons constaté une forte croissance, de 28 à 48, du nombre de pays qui pratiquent le trolling. Et ils ne sont pas les seuls à accomplir les basses besognes.

Selon une enquête menée par Harris Interactive et la Fondation Jean-Jaurès en 2023, presque un Français sur deux estime que les juges sont touchés par la corruption. Cette perception est partagée par plusieurs observateurs, y compris le Conseil de l’Europe. L’absence de réaction du système judiciaire face à ces pratiques explique l’impunité totale et l’absence de loyauté dans le système français. Depuis des décennies, les principaux postes de direction en France sont occupés par des individus impliqués dans des réseaux de favoritisme et de corruption, verrouillant toute résistance en instrumentalisant la justice, les autres administrations et les médias. Philippe Pascot, dans son ouvrage "Pilleurs d’État", recense les abus de la classe politique française : salaires exorbitants, exonérations d’impôts, retraites douillettes, passe-droits et autres arrangements entre amis. Ces pratiques se déroulent dans un cadre législatif sur mesure, maîtrisé par ceux qui en profitent. 

Les faits de policiers truands, élus et juges corrompus sont aussi récurrents et devraient être jugés par le peuple devant les assises. Actuellement, ces individus jouissent de préretraites confortables alors qu'ils sont la cause de la ruine de notre société, de ses valeurs, de crimes et de suicides. Ils permettent des milliers de spoliations des biens du peuple au profit d'une caste mafieuse. Les mises sous tutelle d'entreprises, de commerces, et de familles résultent en une dépossession de leurs droits et biens au profit de quelques réseaux et multinationales qui contrôlent nos institutions. Étant donné qu'il y a des caméras partout dans l'espace public, comment se fait-il qu'il n'y en ait aucunes dans les tribunaux et que les grands procès ne sont jamais retransmis ou consultables par les citoyens ?

Un juge intègre remarquerait aisément le caractère inhabituel d’une assignation infondée et délirante, souvent rédigée comme par une personne considérée comme dérangée mentalement. Pourtant, lorsqu'on nous présente cette pseudo justice comme un pilier de l’État, payé avec nos impôts et censé servir l’intérêt général, on comprend l’ampleur du problème. Les conflits d’intérêts sont monnaie courante : procureurs et juges travaillent ensemble, connaissent les mêmes personnes, et partagent souvent les mêmes intérêts. Et la police n'est plus qu'une milice indigne protégeant ces malotrus. La vérité se trouve dans les injustices subies, et c’est cette vérité qui est essentielle. Or, elle ne se manifeste plus tant les procès et procédures sont dévoyés par ceux sensés le défendre. La France est loin de voir inculpé un juge corrompu pour ses malversations, car cela nécessiterait que les avocats cessent de trahir leurs clients. En attendant, nous subissons tous la lâcheté de ces petites mains de la corruption.

Le mot avocat, dérivé du latin "ad vocatus" (au secours) et "ad vocare" (parler pour), souligne leur rôle de défenseur. Pourtant, l'argent n'est pas la motivation première de certains avocats, qui seront payés de toute manière. Refuser de trahir leur déontologie pour un inconnu sans importance ne leur apporte rien, mais leur coûte beaucoup s’ils s’opposent à la corruption d’un juge puissant.

La France, classée parmi les pays les plus corrompus par diverses organisations internationales, (classée comme le 23ème pays le plus corrompu au monde (Économie Matin) et l’un des États les plus corrompus d’Europe, selon Transparency International. La Justice française est classée par la Commission européenne pour la justice 37ème sur 43, présente un tableau inquiétant de ses institutions judiciaires et administratives. Les tentatives de pressions et d’influence sur les magistrats sont réelles. Les témoignages des juges Renaud Van Ruymbeke et Eric Halphen, ainsi que de l'avocat Patrick Maisonneuve, révèlent un système où les pressions et influences sur les magistrats sont monnaie courante. Le préfet Yves Bonnet, dans son ouvrage "La cour des miracles : que font les juges ?", décrit un environnement où la corruption est systémique, affectant la confiance des citoyens dans leurs institutions. 

Le peuple français, souvent passif face à ces abus, continue de subir les conséquences de l'installation d'affairistes mafieux dans nos institutions. La continuité de la corruption, issue du détournement de l'argent de la résistance, a permis à ces trahisons du peuple de France de se perpétuer pour le seul profit de quelques-uns. Les réseaux de la franc-maçonnerie, prétendant avoir créé la République, ont surtout contribué à transformer celle-ci en une "ripoux-blique". Et la mise en place d'élus soumis, proposés au peuple par des techniques de marketing politique et le contrôle total des médias, renforce cette dérive.

Le Parlement européen et la Commission européenne jouent également un rôle clé dans la diffusion de l’idéologie woke et LGBT. Des documents internes, tels que ceux commandés par la commissaire Helena Dalli, suggèrent des changements linguistiques drastiques pour des raisons d’inclusivité, souvent de manière caricaturale et délirante. L’interdiction de termes comme "ladies and gentlemen" ou "homosexuel" montre une tentative de remodeler le langage pour leurs fins idéologiques, ce qui suscite un tollé général. Les pratiques des forces wokistes et LGBT, couplées à une corruption institutionnelle systémique, constituent donc une forme moderne de terrorisme d'État. En prenant en otage des millions de familles et en leur imposant des comportements sexuels explicites à des heures de grande écoute, ces pratiques visent à troubler gravement l’ordre public par l’intimidation et la terreur culturelle. La corruption judiciaire et institutionnelle, omniprésente en France, sape les fondements mêmes de notre civilisation et nous obligent à nous révolter.

La société française, désormais arrivée à un carrefour critique de son histoire, doit prendre conscience de ces menaces et agir en conséquence pour préserver les valeurs de justice, d’équité et de respect mutuel de l'ordre naturel. Le terrorisme d'État, exercé grâce à un système policier et judiciaire corrompu, continuera de saper la confiance des citoyens dans leurs institutions jusqu'à leur disparition prochaine. Nous sommes dans une période de transition où nous comprenons que quelque chose ne va pas. Nous comprenons que cette bête que nous avons créée doit être apprivoisée. Il est urgent de dénoncer et de combattre cette réalité, de réaffirmer les principes fondamentaux de la civilisation et de renforcer le contrôle de ces institutions pour résister aux influences déstabilisatrices. Seule une action concertée et déterminée permettra de surmonter ces menaces afin de préserver les bases de notre pays et assurer un avenir où les valeurs fondamentales de notre civilisation seront respectées et protégées.

Phil BROQ.












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